Le blog de jip.pet
J'ai terminé mon récit précédent par l'expression d'une idée comme " le plus dur était à venir ", mais pourtant les quelques heures qui suivirent me furent très douces ... en dépit des conditions d'incarcération ( cette fois , au sens le plus fort du mot ) ...
Ceux qui lisent mon autre blog savent que, ce que les Maîtresses , soumis et esclaves de notre Communauté appellent le cachot est en fait constitué de deux cages métalliques placées au sol sol de la villa ( Un sous sol qui court sous toute la superficie du vaste bâtiment ) .
Ces deux cages ont en commun leur étroitesse . Dans la moins petite , on tient à quatre pattes au mieux , le dos de quelqu'un de ma taille ( 1m77) touchant quasiment les barreaux du "plafond " dans cette position en longueur , pas question de s'étendre de tout son long ...lorsqu'on n'est pas à quatre pattes , et comment pourrait on y rester des heures ?on ne peut que s'allonger en chien de fusil ... .... et pendant quelques semaines , depuis l'arrivée de la deuxième, modulable , réglable en hauteur et longueur comme en largeur elles avaient aussi leur " proximité " : l'une près de l'autre , voire l'une raccordée , attachée à l'autre ... IL n'en est plus rien aujourd'hui, celle ou Odile m'a enfermé , dans laquelle elle a du me pousser puis me piquer avec un aiguillon pour que j'y trouve plus vite une position à conserver certainement plusieurs heures ... oui , la plus petite est dans un recoin un peu labyrinthique , d'où je ne vois pas l'autre ...
Oui ! Odile m'a lardé les cuisses de quelques coups d'aiguillon pour que je "replie " au plus vite, jambes , chevilles et pieds et qu'elle puisse refermer et cadenasser la grille du fond l J'avais peur qu'elle ne vise avec la pointe acérée mes fesses ou pire : mes couilles dangereusement exposées , mais elle était sans doute pressée de remonter ...: elle devait j'imagine être présentée à mon Ex Epouse par Charlise et attendait beaucoup de cette rencontre ... elle n'en rajouta donc pas ... Elle fit simplement quelque chose de nouveau qui me stupéfia : elle raccorda un gros anneau très épais que je n'avais pas vu sur la grille supérieure qui me servait de plafond à une aussi épaisse chaine qui pendait autour d'une roue de poulie et, le raccordement effectué , au moyen d'un petit interrupteur au sol qu'elle actionna du pied , elle mit en mouvement la poulie ... La chaine s'enroula dessus et la cage qui m' "abritait " se mit à s'élever en se balançant ...
Mon effarement la fit rire ... Elle appuya de nouveau sur l'interrupteur quand mon visage incliné se trouva au niveau du sien ... Elle me fixa , amusée pendant quelques secondes, comme elle l'aurait fait d'un animal exhibé ... elle se repaissait de ma vulnérabilité , de mon inconfort , de cette exhibition forcée , de mon ridicule ... ses yeux riaient , pas sa bouche ... Sa bouche , elle , se contracta en forme de cul de poule et elle éjecta vers mon visage tout proche un jet ténu de salive que je reçus sous le nez et sur la lèvre supérieure ... elle tonna : " lèche ou je te massacre le cul et ton paquet de couilles à l'aiguillon !! " elle n'avait pas besoin de menacer ! ...j'ai léché ma lèvre sous mon nez dégustant son modeste crachat comme un baiser , comme les baisers que j'aurais aimé d'elle ...
Puis elle a calé entre mes cuisses sous ce qu'elle avait appelé " (mon) paquet de couilles " un petit entonnoir , relié à un tuyau, ... et le tuyau , reliait l'entonnoir à un seau hygiénique ...
- " Et n'en met pas partout gros malin , tâche de pisser dans l'entonnoir ... le sous sol n'est pas une porcherie . ".... elle disparut en riant .
La dernière image qui survécut à son départ fut celle de son cul magnifique sous un déhanchement qui renouvela mon désir , mon admiration ...
C'est là que j'ai entendu ces échantillons de conversations dont je parle sur " tindick"... ces différents dialogues qui m'en apprirent beaucoup sur la nouvelle donne , les nouveaux rapport de force ... Beaucoup de nouvelles certitudes intéressantes voire exaltantes sortaient de ces bouts de conversations ... la cage , en son nouvel emplacement, nécessairement sous la poulie, puisqu'on avait décidé de s'en servir , me plaçait providentiellement au niveau d'un conduit d'aération , vraisemblablement en provenance des chambres de l'étage et plus précisément de celle où s'installait Hannah...
Oui !! j'appris des choses pendant ces heures !! pourtant , ma curiosité ne m'accaparait pas vraiment et même il m'arriva de " décrocher " complètement ...
Comme il devenait difficile de penser à autre chose que la présence ICI de ma Déesse !!
Quant " on "vint , je n'avais aucune conscience du temps passé ...
J'allais remonter , la revoir ... vraiment cette fois ... du moins pouvais je l'espérer !!