Le blog de jip.pet
Après la dérouillée " gratuite " infligée par mon Maître pour complaire à la sadique Teresa ( qui finance bien la partie " clinique " de la Base ... de plus en plus d'indices le montrent, mais ce n'est ni le lieu ni le moment d'en parler ...) celui-ci m'a assez peu "sollicité" personnellement pendant ces trois jours ... J'ai donc passé l'essentiel du weekend à obéir à Odile et Micky ... et à tenter de bien faire ce qui m'incombe désormais, puisqu'on assiste à une forme de spécialisation des tâches entre esclaves , à l'vidence voulue !
L'entretien et l'irrigation de la pelouse, du jardin floral sont très prenants en cette saison , d'autant que seul un bref orage est venu apporter de l'eau naturellement vendredi ... il n'avait pas plu depuis des semaines... Là , c'est Odile qui distribue les rôles ( et le fait assez équitablemnet entre nous trois )
Rayon ménage, à côté de celui des chambres de mes deux principales Maîtresses , qui me revient totalement - sauf cas de force majeure, absence prolongée - je suis désormais affecté seul à la propreté et l'entretien des salles de bains, cabinets de toilette et lieux d'aisance de toute la propriété ... et si l'on compte le petit bâtiment, construit à la hâte et qui vient d'être achevé près de la piscine - en attendant le futur chalet plus confortable - nous en sommes à quatre salles de bains , trois cabinets de toilette et six WC ... il convient d'y ajouter l'espace clos, mais à ciel ouvert , érigé récemment près du potager et destiné exclusivement aux "nécessités" des esclaves .
Ces différents lieux sont disséminés dans tout le grand corps de maison ( et deux d'entre eux sont même hors villa, je viens de le dire ) et je dois donc veiller scrupuleusement à ne pas en oublier dans mes " tournées d'assainissement " régulières...
L' attribution est donc à la fois " catégorique ET catégorielle " ! ...et m'y préparer fut l'un des objectifs annoncés du PERFECTIONNEMENT DE MON DRESSAGE qui m'a conduit en Catalogne ( l'autre objectif étant de me soumettre au travail forcé puisqu'ON m'a repoché , jusqu'au rabachage d'en faire moins que les autres ! mais ces deux objectifs se complétaient parfaitement ) ...
- Cela me permet , au passage de rappeler ces objectis pour les lecteurs comme soumis Christophe qui sont sans doute un peu frustrés et je le regrette, de n'avoir encore presque rien lu sur mes quinze jours à la Base. Ils me demandent régulièrement ce que j'y faisais-
Au Centre , les jours où je n'étais pas " loué " par des couples ou des Femmes ...comme la chilienne , pour ête utilisé intimement, avili, abusé sexuellement , j'étais automatiquement affecté au service " toilettes et sanitaires " .
Pour nettoyer ces pièces et les " rafraîchir " après usage , mais aussi pour que ma langue soit utilisée comme " langue-torche " ( expression usitée dans la Base de Loisirs et Soins pour caractériser l'organe en question lorsqu'il remplaçait le papier-toilette directement sur des raies souillées et des sexes humides et gouttants, l'expression est bien sûr reprise désormais à la villa, introduite et popularisée par Maîtresse Ines dont je reparlerai ) ...
Oui ! ma langue UTILISEE , jusqu'à l'écoeurement !... au prix de bien des nausées .... et même d'un vomissement !!
Je n'ai pu le retenir lorsqu'une Amazone, pourtant des plus mignones , juvénile et particulièrement sexy, affectée à la formation et à l' "éducation" des esclaves , s'est accroupie au dessus de ma bouche ouverte, et s'en est servie comme d'une cuvette de WC en y laissait glisser un étron modeste mais néanmoins insupportable pour moi . J'avais ordre de l'avaler ... ordre impossible à satisfaire ... j'ai vomi .. J'ai cru que ce fait allait figurer dans le rapport établi en fin de stage et me valoir des ennuis , mais la belle Amazone ayant fait du zèle et dépassé ses prérogatives , ces faits ne furent même pas notés !
Je m'en suis tiré, ce jour là, avec les coups de cravache - très appuyés et nombreux quand même ! - que la donzelle, furieuse , m'a distribué sur l'échine pendant qu'à quatre pattes je lui obéissais et nettoyais mes " cochonneries " ... selon son expression !
J'ai bien sûr souffert de ces excès, banalisés à la Base, tant dans la partie Motel que dans la partie Clinique, mais comme on dit " qui peut le plus peut le moins " et du coup, à la villa , maintenant, quand lors d'une "tournée" d'inspection , ou quand, s'apprétant à utiliser des sanitaires , une Soumise, la Gouvernante ou une Maîtresse découvre une cuvette pas vraiment impeccable et me sanctionne en m'obligeant à y mettre la langue ... je peux m'exécuter sans trop risquer la catastrophe !
Et il faut bien ça pour ne pas me rendre la vie intenable ! car je suis directement responsable du moindre " incident " ... et là pas besoin d'une Micky en permanence sur le dos comme pour les autres activités ménagères ( où elle dirige , surveille , contrôle tout et sévit en temps réel, vous le savez ) ...
Exemple d'incident : Une baignoire , une cabine de douche ...n'ayant pas été nettoyées après usage ... Trop de cheveux éparpillées sur un carrelage ... ou amassés sur une brosse pas assez souvent nettoyée ... Des WC dont la propreté de la cuvette n'est pas irréprochable ... ou encore non approvisionnés en papier-cul !!
Chaque faute découverte est généralement sanctionnée de manière appropriée :
-- Cheveux trop nombreux éparpillés sur le carrelage d'une salle de bains ? On en déduit que l'aspirateur n'est pas assez souvent passé : je suis condamné à lécher le sol en question jusqu'à disparition des poils et cheveux incriminés !
-- Une brosse à cheveux qu'une Maîtresse va trouver mal nettoyée ? Elle la nettoie elle même à la main et me fait avaler la ou les poignées de cheveux ainsi retirée ( très difficile d'avaler une poignée de cheveux ... on ne le sait pas assez !... l'autre jour , alors que Charlise m'imposait ce supplice - pour une brosse qui faisait partie de sa trousse personnelle et qui avait donc échappé à ma vigilance ... mais comment me défendre de telles injustices? ... quand elles sont voulues , prétexte à s'amuser pour ces Dames et Demoiselles !... l'autre jour donc , observant, l'oeil vicieux, mon haut le coeur, et mes yeux embués par la difficulté d'avaler la touffe drue de poils , Larissa qui passait par là , a lancé rigolarde : - " Regarde moi ce porc ! il à moins de problèmes pour lècher un cul bien souillé que pour avaler des cheveux ! " ... hilarité complice des deux jeunes Femmes et d'Odile qui me giflait pour m'encourager à ingurgiter la désespérante touffe ! )
-- Papier-toilette absent du dévidoir ou du distributeur ? ...Dans ce cas de figure , qui s'est quand même déjà produit DEUX FOIS !... alors que je suis particulièrement attentif à la chose , ne serait ce que par peur des conséquences ... la " victime " de mon oubli me fait appeler , m'envoie chercher ...selon les circonstances du moment , et même s'il ne s'agit pas de quelqu'un qui a l'habitude ou la volonté de remplacer régulièrement , ou parfois , le PQ par une langue d'esclave ... je risque fort d'être contraint de faire "la langue-torche" Rien , évidemment n'est plus facile que de subtiliser le papier, que je me souviens parfaitement avoir placé là un peu plus tôt et qui n'y est déjà plus... et sur les deux cas où cela s'est produit , je soupçonne Odile ... ou peut être Micky d'avoir voulu me piéger ( avec réussite assurée évidemment !... comment pourrais je me défendre ? )
Non ! Là encore je ne peux rien prouver ... et là encore il est exclu que je m'en sorte de cette façon .
Voilà comment une forme de spécialisation des tâches domestiques , et des services intimes est actuellement à l'oeuvre ... Voilà comment elle est le prétexte à plus d'humiliations , plus d'épreuves , plus d'avilissement !
J'y reviendrais ... forcément . Pour l'heure , ce qui me détourne un peu de ça et relativise nombre de choses , c'est que je viens d'apprendre que nous passerons , à partir du début du mois d'aout quelques dix ou quinze jours en Méditerranée , sur un bateau...
Cela me rappelle le mois d'aout 2009, où Maître Rafael fut à l'origine d'un séjour en mer plein d' " enseignements " ... et de tourments , bien sûr.
J'en parlerai très bientôt .