Le blog de jip.pet
Le deuxième matin l'Amazone resposable de l'unité " travail forcé " appela Inès , pour savoir ce qu'on faisait de moi ... j'avais pu me lever une heure après les autres, qui étaient donc déjà sur le chantier ...
On ne réveille semble t il pas la fille du patron dès l'aube ...
Là , le temps de la toilette et du petit déj. bien moins appétissant que celui de la veille et il était huit heure et demie ... La belle n'était évidemment pas réveillée ... ou pas opérationnelle et c'est son secrétariat qui répondit en fonction des instructions qu'elle avait j'imagine donné la veille ... Le propos fut clair :
Toujours rien du côté de la bienfaitrice chilienne !
J'étais donc remis à la disposition du camp en qualité de "main-d'oeuvre servile et corvéable et au moins pour la journée " ...
Je fus donc conduit sur le chantier .
Je dus le gagner en courant, encadré par deux Surveillantes qui chevauchaient de belles motos et me stimulaient à coup de fouets ... Quand essouflé j'arrivai à destination, il y avait un groupe de visiteurs,
des asiatiques .... une douzaine de membres dont deux tiers de Femmes ...
Mon arrivée entre les motardes ne passa pas inaperçue ...
Ces deux là étaient des Amazones dont l'une , la rousse, assura la relève de celle de la veille ... ( il y a toujours au moins une Amazone, une responsable de rang supérieur par groupe de soumis ou d'esclaves )
Celle là s'appelle Katiochka ... Elle répondit avec bonne humeur aux questions du groupe , qu'Agathe traduisait ...
Agathe était d'ailleurs la seule "survivante" des groupes d'hier , peut être justement parce qu'elle parlait la langue asiatique employée ...
Je l'ai dit , mon arrivée tardive et bruyante et avec un tel encadrement fit de moi , bien involontairement " un personnage " qu'ils crurent digne d'intérêt ...
Photos , regards inquisiteurs ! J'eus droit à tout !
( Ici je dois rappeler que les photos, pour les esclaves de ma catégorie - je crois avoir déjà parlé de ça dans un précédent article - ne sont pas interdites ... En règle générale , au camp, c'est de la responsabilité et du bon vouloir des Maîtres ... celui qui veut préserver l'anonymat de son esclave lui fait porter la cagoule .. mais sur les " chantiers S.T.F " - Service du Travail Forcé - ... aucun anonymat n'est autorisé - on nous le serine dès le premier jour très explicitement ! L'amazone chargée de l'info ajoute généralement, dans un langage coloré, que nous n'avons" aucun droit sinon celui de trimer et de fermer ( nos )gueules" - les Maîtres qui permettent l'emploi de leurs esclaves par le S.T.F savent donc parfaitement à quoi s'en tenir et le font en toute connaissance de causes ...)
Ces photos , ces regards , ces questions me mirent un peu plus au supplice , mais c'était la règle cruelle en vigueur ... j'avais d'autant moins de chance que l'Amazone de service semblait beaucoup plus favorable à la présence de ces visiteurs que celle de la veille ... Ils étaient pourtant très excités !...
La veille une Surveillante ou une gardienne serait intervenue pour les faire accélérer , leur dire que leur présence à même le chantier et au milieu des esclaves pouvait être dangereuse ...ou tout simplement pour leur faire savoir assez rapidement que pour les questions c'était terminé ...
Là rien de tel ... Katiochka semblait ravie et coachait elle même le groupe, répondant aux questions avec des sourires entendus et un plaisir évident .
Une touriste d'une vingtaines d'années qui me regardait travailler sous tous les angles ( un coup de cravache d'une gardienne , qui les avait bien fait rire , m'avait confirmé son propos : je ne devais pas me servir de la présence de visiteurs pour ne rien faire ) finit par demander jusqu'à quel âge les esclaves travaillaient ainsi ... Elle reçut la réponse de l'Amazone par la voix d'Agathe " Il n'y a pas d'âge , si leur état de santé est à peu près satisfaisant ( sic )...la semaine d'avant il y eut deux esclaves de 71 et 73 ans ... au printemps un de 75 ... Lui , de toute façon c'est l'esclave personnel du patron " alors ! ...Décidément la jolie jeunette insolente semblait me trouver très vieux .
Elle insista : " Quel âge a t il ? "... sembla étonnée de la réponse et demanda la permission pour une photo avec moi ... on dut me permettre d'arrêter le travail un instant ... elle voulait quelque chose de précis .
On m'expliqua que je devais me mettre à genoux devant elle , elle mit un pied sur une grosse pierre du chantier pour se hausser et pouvoir poser l'autre sur mon épaule ... dans une attitude de triomphe elle leva le menton et mit son bras en angle droit en signe de victoire !
Cela fit rire !
Mes compagnons de galère avaient évidemment beaucoup trop de distractions pour travailler efficacement , les coups de cravaches volèrent donc ...excitant encore davantage la petite troupe visiteuse !
La position de la petite peste - et la mienne à ses pieds - me permirent , en contre-plongée, d'admirer sous sa courte jupe malmenée , sa jolie culotte rose d'où des paquets de longs poils raides et noirs jaillissaient de tous côtés ... C'est son petit ami qui prit les photos ( car bien sûr elle en voulut plusieurs ! Une surveillante finit quand même par lui expliquer qu'il serait bon d'arrêter ... elle et son copain se dirigèrent en riant vers une autre partie du chantier ... mais moi je n'étais pas au bout de mes peines ( je veux dire avec ce groupe ... pour le reste bien sûr ...)
On aura peut être remarqué que l'Amazone eut la "malencontreuse"
idée - mais sans doute intentionnelle - de préciser que j'étais " l'esclave personnel du patron " ...je ne fus donc pas " débarrassé " quand la jeune insolente s'éloigna ...
Une quadra voulut une photo avec moi à genoux entre elle et une autre jeune Femme dont elle semblait très proche ... c'est une Surveillante qui nous prit ... et naturellement les questions redoublèrent ...
Puis l'Amazone, qui depuis un moment semblait prendre beaucoup moins de plaisir , finit par indiquer que la visite devait s'achever , entrainant un long murmure de déception dans le groupe ... mais le reflux commença .... le calme finit par revenir .
Et la joyeuse troupe partie , il fallut quelques coups de fouet et de cravache biens sentis , que nos Surveillantes et gardiennes distribuèrent généreusement, pour rétablir l'atmospère laborieuse qui sied à l'endroit....
Il y eut d'autres visites dans la journée, plusieurs couples mixtes , homos ... Deux autres groupes ... mais aucun nouveau débordemment !
Merci de votre fidélité de lecteur ... Pour le reste voir ma ( très longue ) réponse à votre commentaire précédent .