Le blog de jip.pet
Je suis donc totalement nu, reins, dos et épaules "reposant" sur une banquette du Bedford qui a servi à mon enlèvement et ce serait un moindre mal, s'il n'y avait le reste : j'ai les fesses au bord de ce canapé de fortune et les cuisses tendues, écartées, dressées en V .
Dans leur prolongement mes jambes, dont une barre d'écartement fixée aux chevilles interdit irrémédiablement tout rapprochement ..
On peut aisément imaginer mon supplice face aux cinq belles inconnues qui ne se privent pas d'accentuer ce terrible malaise et ce mal être physique aussi, par des sourires , des remarques ironiques, désobligeantes ou humiliantes ...
Mon pauvre sexe est nu... comme le reste de mon corps .... je rappelle que j'ai été autorisé à éjaculer la veille et que personne ne craint que je m'y remette si vite , au risque de me faire surprendre et d'être copieusement châtié ...
Celle qui conduisait, avant le traquenard , passe sa jolie tête rieuse entre mes jambes et me montre que ce qui m'a menacé, pointé sur mes reins, n'était en fait qu'un jouet .... un pistolet de matière plastique
- " Mais comme jouet j'ai mieux pour toi p'tite fiotte ... tiens tu m' passes l'engin , je pense que mossieur va aimer ! en tous cas ça lui assouplira un peu plus la rondelle que je trouve assez décevante, vous trouvez pas les filles " ...
Pour l' " engin " elle s'est adressée à une des deux filles masquée, la plus grande, qui se saisit d'un plug dans un sac et le lui tend ... elle me l'enfonce aussitôt dans l'anus, sans que le moindre sentiment ne s'affiche sur son visage, régulier mais froid ... le volume du plug la conduit à forcer un peu, à pousser ... et à me faire mal, le temps du passage de la partie la plus
évasée ... mais ce n'est pas son souci ...
Les autres se sont approchées ... histoire de vérifier sans doute " l'aspect décevant de ma rondelle ".
- " C'est vrai que son trou du cul n'est pas très joli ... c'est un esclave sexuel ? " .....c'est l'autre fille masquée qui parle ... quelques mèches rousses dépassent de sa cagoule et elle a les yeux très beaux, d'un vert étincelant ... elle a surtout un fort accent anglais qui colore son propos, l'amplifie , d'une certaine manière ... Trois des autres filles éclatent de rire ...
- " Esclave sexuel !!! hahaha ! c'est trop drôle !... t'es bigleuse ma jolie ! t'as vu ce qu'il a la place d'un sexe ? "
Les deux plus proches m'appuient sur l'intérieur des cuisses, tout près des fesses, pour essayer de faire ressortir ... ce qu'il y a " à la place du sexe "... et c'est vrai que la peur, le froid relatif qui règne dans ma prison roulante, la honte , et ma position ( je rappelle que mes jambes sont écartées par une barre métallique d'à peu près un mètre de long, que mes pieds arrivent à hauteur de mes mains... mains portant menottes, et que le tout est accroché à une fixation murale ) ont fini par réduire ma verge ... à néant ... d'ailleurs une des deux filles qui m'appuient sur l'intérieur des jambes le remarque en constatant que seul mon gland émerge de ce désastre :
- " on dirait qu'il a trois couilles et pas de bite !! ahahaha !
- " C'est vrai ! " ...... observe un choeur hilare.
La conductrice indiquera bientôt :
- " On va arriver les filles ! "
Je pense alors que ça marque, déjà, la fin du voyage... et cela m'étonne un peu , d'autant que, humiliations et peurs tendent à étirer et chambouler la notion " temps "...
je n'ai franchement pas l'impression qu'on roule depuis une demie heure ... et si c'est le cas,ce ne peut être qu'un maximum !
- " Je peux pisser dans sa bouche avant de descendre les filles ! " interroge la plus grande des donzelles masquée...
- " Te gêne pas ma grande " surtout qu'après, vous z êtes pas rendues toutes les deux hein ! "
- " Tu l'as dit ".... bougonne la fille qui m'a enjambé le visage et libère un flot doré et très odorant à peine ma bouche ouverte ... elle pisse longuement, en soupirant du bonheur de se libérer ainsi ... le véhicule s'immobilise lentement ... elle, descend de sur la banquette, remonte sa culotte ...
L'anglaise - appelons là comme ça ...à aucun moment des prénoms ne seront prononcées pour les deux cagoulées - demande à son tour à soulager "son" vessie ... permission évidemment accordée par les geolières qui vont continuer le voyage avec moi ... Pipi très acre, presque blanc et moins parfumé ... mais dans lequel semble trainer des vestiges odorants de sperme , comme si la coquine avait baisé peu de temps avant, et sans faire de toilette après ... d'ailleurs quand elle se pose presque sur moi pour que je lèche" la dernière goutte " , mon hypothèse devient certitude !
Elle n'aura pas soupiré de plaisir, comme sa compagne, mais en se redressant elle libère un long vent qui la fait rire
...
Une fois "les deux mystérieuses" descendues , le voyage reprend, mais les Femmes ne s'occupent plus vraiment de moi ... elles papotent entre elles, y compris la conductrice qui a ouvert le volet, nous isolant jusqu'alors de sa cabine ... elles parlent des choses de leurs vies , qui montrent qu'elles se connaissent assez bien ... il est question de mecs ... elles les comparent sur de nombreux plans ... ne sont pas toujours d'accord . Elles rient .
Puis la fin du voyage approche à l'évidence ...
L'ex conductrice dit à la brune potelée aux petits yeux méchants :
- " Passe moi la seringue Line ! "
- " T"inquiète ! je vais le faire moi même ! " ....... et avant que j'ai eu le temps de réaliser et de me débattre vraiment ( mais que puis je faire ? mon agitation ne peut être que symbolique ... ou risible ) elle est sur moi .... elle me pique une fesse avec un honnête savoir-faire .... Ensuite ma capacité de résistance faiblit très vite, atteint le néant ... et je sais que je vais perdre conscience .... cela m'affole un peu, juste dans ma tête ... rien ne suit .
Et puis je les vois rire en me fixer, elles parlent de moi ... elles me parlent même ! ... et tout s'estompe ! le rideau tombe ! juste le temps d'avoir un peu plus peur encore ... je lâche prise ... je perds conscience ...
Je me réveillerai dans la piaule décrite la semaine dernière..... sur le lit ...
je ne suis plus entravé ... mais quand je me lève c'est pour constater que la porte est fermée de l'extérieur....
Je continuerai donc encore un bout de temps à imaginer, dans l'angoisse que ce coup spectaculaire est l'oeuvre de
Teresa ...