Le blog de jip.pet
Ainsi, non seulement je n'échapperais pas à la présence de ce Nagy que je détestais et qui m'inquiétait de plus en plus , mais l'annonce de sa venue, juste avant le début de ma flagellation renforçait, aggravait la durée et donc la dureté de ce que je subissais et allais subir !
Nous attendîmes donc !... et les pestes juvéniles qui m'entouraient sous les arbres, n'avaient pas appris, dans leur enfance encore bien proche , à attendre tranquillement , en discutant de tout et rien ...
Oui ! je sais j'exagère en disant cela ! c'est de la mauvaise fois ? de la bêtise de ma part ? ... comment imaginer qu'avec un souffre douleur aussi réjouissant que moi au milieu d'elles, à quelques poignées de centimètres, ces jolies personnes ne trouvent rien de mieux à faire que de discuter des mérites du dernier gadget électronique apparu sur le marché ?
Vous imaginez la scène ? je la relance à grand traits puisqu'elle est dans mon article précédent :
Nous sommes au milieu d'une petite clairière, sur le terrain privé qui cerne la maison, la petite dizaine de joyeux habitués de ladite maison est en train de s'agglutiner, tout autour du malheureux, de l'infortuné futur supplicié ! ... pour un spectacle à venir des plus croustillants :
son châtiment !! ...
Ce malheureux c'est moi ! je suis à genoux ... nu .... TOTALEMENT NU ... je veux dire par "totalement " que je n'ai même pas sous le ventre mon exaspérante, blessante , humiliante ... mais dans mon état ... au fond ... rassurante cage de chasteté !!
Mes bras sont levés, tendus au dessus de mon crane, entourant ma tête, sans possibilité de modifier en rien cela ... puisque mes poignets, sévèrement serrés, liés l'un à l'autre sont fixés à une corde épaisse dont l'autre extrémité tire, au moyen d'un noeud coulant, sur l'épaisse branche d'un orgueilleux sapin qui sur des chaises apportées à la hâte ...
Vous imaginez vraiment la scène ?!!
Rien que ça, pour le commun des mortels serait assez pour vous donner envie que la terre s'ouvre sous vous et vous engloutisse au plus vite ! ... pour échapper à tous ces regards ... goguenards ... égrillards ... inquisiteurs ... moqueurs ... hautains ... méprisants... émerveillés ... curieux !...
Oui ! émerveillés parfois !! comme ceux d'enfants face à un nouveau jouet excitant ...
Elles ? eux ? Les "spectateurs" et ... trices , dont certain(e)s élégant(e)s, parfumé(e)s, sur(e)s - avec raison ! - de leurs avantages, de leur mérites, de leur destins et qui sont prêts à vibrer ... à rire ... qui rient déjà de mon ridicule ... de ma honte ... de ma trouille palpable ...
Elles et eux sont assis par terre ... qui en tailleur, sur un plaid ... une couverture ... ou bien un isolant de fortune, car le sol de terre fine est couvert d'aiguilles de pins, de feuilles, branchages, badines improvisées ! ... Si je parle de badine improvisée, ce n'est pas la conséquence de mon esprit pervers ... dérangé ... certes il l'est, je l'admets volontiers ... mais certaines, qui sont ici du côté des vainqueurs transforment très facilement un baton, un branchage, parmi ceux qui jonchent le sol, en instrument punitif des plus efficaces ...
C'est ce qu'a fait Nelly ... quand je l'ai vu ramasser une branche , presqu'à mes pieds, l'examiner, en oter une excroissance jugée superflue, puis la rejeter ... en prendre une autre , derrière moi cette fois , la tordre ... testant sa souplesse et la faisant claquer sur le tronc du sapin ... je n'avais pas à être bien malin pour savoir ce qu'elle comptait en faire !
Ce que j'ignorais c'est qu'elle allait s'en servir aussitôt !!
Elle la fit claquer deux fois sur mes flancs : un coup de chaque côté ! ... sans retenue ! pas du tout " pour rire " ... pour l'essayer ...
Alors " zob de nain " ( c'était son sobriquet préféré du moment ... même si Nagy lui avait fait remarquer, rigolard, que les nains avaient plutôt la réputation d'être " gatés " par la nature sur ce plan ! ) ... alors " mou du gland " ! on fait moins le fier d'un coup ... ahaha ! " et elle m'asséna un nouveau coup, qui se superposant au précédent sur ce côté , me fit atrocement mal ... Comme si j'avais l'habitude de faire le fier ! c'était vraiment n'importe quoi ...
Autour de nous " la chaleur " monta d'un coup, des regards se firent plus aigus ... des yeux se mirent à briller plus intensément, comme les siens, qu'elle fronça méchamment, tandis que les ailes de son jolie nez se mirent à palpiter ... La douleur consécutive au troisième coup ne me permit pas de retenir mon cri de vraie souffrance ... j'aurais portant bien voulu, car je savais qu'elle n'attendait que ça ...
- " Il est bien douillet ce porc ! " ricana Charlotte qui, du coup, avait aussitôt cessé ses attouchements très ciblés sur le sexe de la rousse anglo-saxonne.
- " Yè ! je t'louve aussi " ..... avait renchéri cette dernière avec son délicieux accent ... du coup, comme je le redoutais , un quatrième coup partit , du côté qui n'en avait pris qu'un ... elle le donna plus fort encore , narines dilatées, en se mordant la lèvre inférieure ...
- " Tu n'as pas à crier lavette ! compris ? tu n'as donc aucun amour propre ... si tu te voyais ! pauvre larve ! et baisse les yeux maintenant ! "
Son haleine qu'elle me soufflait sans complexe au ras du visage était lourde, chargée ... j'obéis à l'injonction ... mais l'entourage "montait en puissance" :
- " Vise son paquet ma chatte ! ses couilles sont moins bleues ... vous avez vu, mais le tout est encore tout gonflé ! ahaha ... si tu vises entre ses guiboles pour sûr qu'il va couiner le bougre ! ...t'es sûre Nadia qu'il a balancé du foutre ce matin ... ahaha ! "
- " Oui ! cingle cette horreur boursouflée et ridicule ! " ... appuya Flavia qui venait aussi de délaisser un instant la bouche et les bras d'Arno, sur lequel elle était vautrée, pour s'asseoir ... et conseiller ...
Si elle faisait ça , si elle écoutait ses cruelles amies je savais que j'allais m'évanouir !! ... mes génitoires sont d'une hyper sensibilité qui m'a toujours fait peur ... mais là c'était pire ! ... mon sac boursier, encore gonflé comme une grosse balle, comme si en effet je n'avais pas éjaculé ...était à mon avis " intouchable " ...
La première qui avait exhorté Nelly, juste avant l'approbation de Flavia, c'était cette grande inconnue en short de toile, dont j'ai juste signalé la présence précédemment ... si j'avais vaguement escompté, au départ, un peu de compassion de cette grande jeune Femme athlétique ... il me fallait déjà déchanter ...
C'est Nadia, confortablement installée dans son gros fauteuil , le seul dans le sous bois ... privilège évidemment lié à son état ... oui c'est Nadia qui me sortit du désespoir dans lequel les actes et propos de quelques Filles étaient en train de me plonger ... Elle était magnifique ! seins et buste dénudés sous la fourrure qu'Eric avait remis sur ses épaules avant de retourner seul vers la maison ! Ventre majestueux , plus bombé que jamais
- " Bon les filles ... je comprends que vous soyez excitées, mais je vous rappelle que nous attendons Nagy , au moins, pour commencer à le corriger, Nagy et peut être Matthieu ... selon ce que vient de me dire à l'oreille Charlotte ... N'oubliez pas que cet esclave est là avant tout pour m servir en tout ! pour rendre agréable et confortable la fin de ma grossesse ! ... au moment ou il va m'être si utile ... je ne veux pas que vous le mettiez " hors service " quand même ! "
Sa réflexion fit rire ... mais Nelly lâcha son baton ... dont la présence à mes pieds continua à me perturber : et si Nadia, à son tour retournait vers la maison ?... puisque l'attente se prolongeait ... n'y aurait il pas une de ces garces excitées pour reprendre la badine ? ...
C'est Charlotte qui s'était levée la dernière , pour aller vers la maison ... elle revint très vite :
- " Nage vient d'arriver ... mais on a eu un coup de fil de Matthieu à l'instant ... il aimerait bien qu'on l'attende, il est coincé dans un embouteillage sur l'autoroute ... "
- " Bon ! on n'est plus à quelques dizaines de minutes près... " lança Nadia en me regardant rieuse ... " pas vrai toi ? ... il va pas s'envoler hein ! alors on se calme les filles ! " ajouta t elle pour les autres ... Elle s'était levée... elle avait visiblement l'intention de retourner attendre à la maison ... et la crainte que je viens d'exprimer devint énorme ... heureusement elle eut une simple phrase pour calmer le jeu ...
... je n'en attendis pas une amélioration sensible de mon sort ... oh non ! simplement l'assurance de n'être pas vraiment battu avant l'heure de la sanction...
Nadia partie Charlotte manifesta l'envie de pisser et se leva pour aller à son tour vers la maison ... Flavia l'arrêta:
- " Pisse lui dans la tronche Charlie !... je suis sûr qu'il a soif ... la trouille ça assèche la bouche il paraît... tu vas quand même pas aller jusqu' à la baraque pour ça ! "
Du coup Charlie ne fit ni une ni deux, elle prit une pierre plate pour être un peu plus haute et se plaça au dessus de mon visage , jambes flèchies et écartées ... j'avais , pour la deuxième fois son anus juste au dessus du nez et son odeur me surprit encore une fois : odeur forte, aggressive, poisseuse ... mais pas repoussante ... elle libéra un flot d'urine aussi impressionnant que deux semaines plus tôt ... sous les sarcasmes de la petite assistance fidèle au poste ... sarcasme à mon endroit évidemment ...
Ensuite c'est Flavia qui voulut faire la même chose ... mais pour elle pas besoin de pierre plate : elle entraina son
amoureux dans l'affaire , le plaça devant moi , lui sauta au cou , croisa ses jambes autour de ses hanches , comme pour s'empaler sur son chibre et lui proposa de faire un demi pas vers moi
... et elle vida à son tour sa vessie bien pleine dans ma bouche ... dans cette posture si sexuée !!
Ensuite comme Arno commençait à la caresser, très excité qu'il était, j'imagine, par le corps magnifique de sa chérie tout contre le sien, par les bras de la Fille autour de son cou, par les baisers enflammées qu'elle lui donna dès qu'elle eut fini de m'arroser le palais, il chercha de son gland fièrement pointé au bout de sa tige infiniment dure , l'entrée du vagin convoité ... caverne déjà bien lubrifiée, j'étais bien placé pour le sentir, de différentes façons ... Flavia du coup chercha à s'appuyer sur ma face en feu ... son anus et sa raie " avalèrent" mes reliefs faciaux ... Flavia gémit quand le bel engin glissa en elle , et libéra un petit vent sonore qui les fit rire tous les deux ... et en provoqua un autre ... et ils se mirent à faire l'amour ainsi ...
Pour moi cela devint vite préoccupant : à mesure que le plaisir de la belle prospérait, elle se faisait plus lourde sur mon visage , sans doute aussi son amant se penchait il d'avantage sur son visage ... je l'entendis lui dire " je t'aime " ... elle susurra , le souffle court " OOhh ! moi aussi amour ! " ... et la petite troupe de nanas qui restait là , avec Charlotte, Nelly et les deux jeunes inconnues ... debout ! applaudit spontanément ...
On ne m'entendit même pas crier ... Le sublime cul de Flavia m'écrasait littéralement !!... elle était en train de s'abandonner sur moi au moment de l'orgasme , et dans ma position ( je rappelle que j'étais à genoux et que mes bras étaient étirés vers le haut , tendus , à l'instar de cette méchante corde qui les reliait à l'arbre ... ) mes poignets ... mais aussi mes articulations ... mes épaules me faisaient atrocement mal ... une sorte d'écartèlement insensé des membres supérieurs - on aurait dit une oeuvre, une illustration BDSM de Namio, je suis sûr que quelqu'un, parmi les témoins, y aura pensé !! mais là c'était vrai ! -... je criai encore ... la douleur devenait atroce ... Flavia le comprit elle ? ou son " amour " ?
Toujours est il qu'après mon dernier cri bestial , il roulèrent en douceur , sur le côté dans les aiguilles de pin , les branchages et c'est là qu'ils jouirent en parfaite simultanéité, insensibles au soudain inconfort !!! Ils crièrent l'un et l'autre leur bonheur, à l'unisson ... les applaudissement reprirent ... plus émus ...
Moi ? J'étais soulagé mais j'avais très mal ... j'avais l'impression que mes poignets étaient cisaillés par la corde tant la pression avait encore resserré le lien ... J'espérai néanmoins connaître un léger répit ... c'est le moment que choisis Franck qui était revenu juste avant le bel orgasme de ses " amis ", pour s'approcher de moi et sortir sà grosse verge ...
J'avais vu avant qu'il ne la sorte, qu'il bandait ! ... la bosse longiligne , en travers de sa braguette ne trompait pas ... Libérée par l'ouverture, elle jaillit comme sur ressort ... cela fit fuser quelques rires ... Aussitôt il enfourna sa fière virilité dans ma bouche ... ne prenant même pas la peine de me dire " suce ! ", ça allait de soi ... Je sentis qu'il allait éjaculer très vite ... Je pris une grosse rasade dans la bouche, mais il rejeta aussitôt
son bassin, pour le plaisir, de me couvrir le visage de sperme ... Miraculeusement, alors que je sentis une giclée s'écraser dans mes cheveux ( qui commençaient à repousser ) , il n'en arriva pas dans mes yeux ... il avait pourtant visé avec cette intention ... mais j'en avais des paquets filamenteux qui dégoulinaient au bout de mon menton ! ... des glaires qui coulaient sur mes joues ... s'il avait raté mes yeux ... mes
narines souffrirent beaucoup plus de sa générosité ... La rousse saxonne ricana parce que j'avais " la morve au nez "... elle semblait connaître ce mot depuis peu et cela l'amusait de faire le rapprochement ...
C'est le moment que choisit Nagy pour arriver !!
Aussitôt, la grappe de Filles qui entourait les deux amants, puis qui avait repris quelque distance pour mater ma fellation
... se rua en direction du jeune homme ... qui nous annonça que Matthieu venait d'appeler et qu'il serait là dans les vingts minutes ! ... j'étais presqu'impatient de subir
l'inéluctable ... d'en finir ! j'ignorais combien j'étais loin d'être au bout de mes épreuves ... de mes souffrances .