Le blog de jip.pet

La venue imminente de Matthieu ramena vers le sous bois quelques jeunes gens qui n'étaient intéressés semble-t-il que par la cravache !...  le fouet !... le paddle ! ... le tout  sur ma peau de victime expiatoire . 

Mais Nagy considéra que ça lui laissait bien le temps de m'humilier à son tour en forçant ma bouche au moyen de sa bite... le pire c'est qu'il était suivi, dès la sortie de la maison  par son meilleur ami ( que j' ai déjà présenté ) le cher Karim... sans doute le plus membré de la troupe,  et qui partageait avec "Nage", comme disaient les Filles, le désir de m'enfoncer  son engin  jusqu'à la garde ...

Karim vint s'appuyer sur l'épaule de son pote, après avoir répondu  aux sourires, à la sympathie débordante et aux salutations empressées de ces demoiselles, dont la plupart l'appréciait... à l'évidence !  ...

De  ce poste d'observation privilégié : juste au dessus de moi, bras sur l'épaule de celui que je suçais, contraint forcé et honteux, le beau kabyle suivait de  très près ma prestation ... et exhortait Nagy, qui n'avait pas vraiment besoin de ça,  à me " casser la bouche ",   à me " perforer la luette " , à me " baiser les dents ", " à me fourrer la langue "...

Chacune de ses expressions approximativo- ridicules  fit tordre de rire celles qui étaient maintenant  " bien  torchées "...

L'expression - lucide à mon sens - fut employée par Franky ... et je crois que, lucide encore, il s'englobait dans les " torchés " ...

  Les deux  " nouveaux " eux n'étaient pas encore pétés , c'est pourquoi leur dureté naturelle à mon égard n'en était que plus exaspérante, inquiétante !   Karim alla même jusqu'à me presser sur la nuque  avec insistance !

Son but était bien sûr que son copain aille  encore plus loin ! ...

 Comme s'il voulait que le  gros gland de Nagy, qui sentait toujours plus mauvais à la sortie de braguette !... se fiche au fond de mon gosier pour toujours...

Moi ?.. je n'étais pas dans l'éternité ! je cherchais juste un moyen d'éviter le pire :  gerber  sous les coups de boutoir impitoyables ! ... et là encore plus il cracherait vite son foutre moins l'horreur  durerait ...

 Je me suis donc appliqué à sucer au mieux , ce qui me valut les sarcasmes et insultes d'usages  ...

- " Vous avez vu cette lope ? c'est chié !!  on dirait qu'il a fait ça toute sa chienne de vie ! "   ... 

A la remarque crachée par son copain, Karim ricana, et,  en me toisant  voulut amplifier le constat   :

- "  Pour sur ! il suce et pompe mieux que la plupart des gonzesses ce trou du cul !! ahaha ! "

 Quand Nagy  a joui, je crois que j'étais vraiment sur le point de le vomir ... le fond de ma gorge était agité de spasmes et de  mes yeux  ruisselaient des larmes mécaniques , incontrolables, qui n'avaient plus rien à voir avec le chagrin ou la honte  ...  simple phénomène physique  désespérent et paniquant .. des larmes   dont le flot doublait presqu'à chaque coup de queue !!...

Lui préféra rester dans ma bouche presque jusqu'à la fin  ... et ses jets eurent une force inouie  et ...

  .... à la fin ...  j'ai avalé  ses glaires consistants et épaix , d'une grande amertume ...

...... à la fin il s'est essuyé sur mes cheveux et mon visage ... et mon nez et mon menton ont  dégouliné, malgré tout,   des seules  deux dernières giclées !!...  ... et les rires  alcoolisés ne se sont pas éteints !! Oh non !!

 ...  A la fin , Karim aurait sans doute pris sa place dans ma bouche ! ...

mais Matthieu est arrivé  ...

Nadia était de retour ... et Eric aussi  !! ... et les autres  qui papotaient et riaient ... verre à la main  ... le coeur léger ! 

Les revenants étaient moins éméchés que ceux qui avaient passé le plus clair de leur temps à me martyriser ! ils étaient mon espoir ... pour que les choses n'empirent pas ... pour que l'hystérie collective ne prennent pas le pouvoir !!

Le mien de coeur se mit à battre à tout rompre ! mais pourtant ... pouvait il vraiment m'arriver des choses pires ... ? 

Plus honteuses ? certes non !  plus douloureuses .... oui ! ... certes oui !... c'était mon éternel problème avec la douleur physique   !

 

  Pendant que Matthieu  s'occupait de la corde et me faisait passer de la station " à genoux " à la station " debout "

.... membres étirés ! ... pieds ne touchant le sol que de la pointe  ....

le "contexte" et la  "règle" furent précisés par Michelle qui rappela  au passage  " mon exploit "... et aussi  que Nadia ne pouvant me punir elle même les trois " bourreaux " - car ils seraient trois, je l'appris moi aussi - seraient tirés au sort...

Elle ajouta que, mon attente ayant été longue , ce que j'avais vécu de difficile faisait peut être partie de ma peine - peut être... elle interrogea les gens du regard -  et qu'en conséquence elle proposait la réduction de  dix  à vingt pour cent des coups  prévus  ...

Je ne savais pas ce que voulait dire quantitativement " les coups prévus "

la proposition accueillie  fut d'ailleurs accueillie  avec une certaine tiédeur ...

De plus les partisans de deux taux ( une "remise"  de dix pour cent, l'autre

" allègement " allant jusqu'à vingt pour cent ... ) ne parvinrent pas à se mettre d'accord  et c'est Matthieu qui trouva une issue... en toute complicité avec Nelly qui lui parla un moment à l'oreille  ...

Résultat : chaque fois que je ne pourrais retenir un cri , cela jouerait  contre moi...  en revanche , si  au bout du compte, je n'avais pas crié plus de  sept fois sous la douleur du coup, ma peine serait réduite de  vingt  pour cent  ...  si je natteignait que douze  cris  ... il s'agirait  de dix pour cent de remise ... 

  Mais à partir de treize , c'était le retour à la case départ ... et sans remise ...

 Je sus rapidement que mon batteur ... ou  ma cravacheuse  avaient le résultat  " du jeu " entre leurs mains ... 

C'est

Matthieu fut l'heureux élu pour l'utlisation du fouet, c'était bien ma veine !

...c'était un homme  et je savais qu'il maniait "correctement" l'instrument, j'eus donc très peur  de ce premier round .. mais contre toute attente , je n'ai été pris en défaut que  quatre  fois  ... étais je en train de "progresser" dans ma résistance à la douleur physique ? au début j'ai cherché à compter les coups ... mais concentré comme je l'étais sur l'obligation de ne pas crier, j'ai vite laché prise ...

...  je caressais encore l'espoir d'une conséquente remise de peine .... vingt pour cent, quel que soit le " prix " initial ... ce n'était quand même pas rien !

Franky  tira le deuxième bon numéro ... hélas pour lui , le paddle ne lui permit pas d'exprimer  totalement  sa hargne, sa méchanceté perceptible à mon égard  : il frappait fort certes ! ça claquait spectaculairement, mais je pouvais dans l'ensemble résister...  

De plus, contrairementà Matthieu et à son fouet, son champ d'action autorisé  se limitait à mes fesses, au haut de mes cuisses ...

même si sa puissance physique ne souffrait aucun doute , j'eus moins de raison de crier que sous le fouet  ...

....et puis, obnubilié par mon cul et les exhortations des copines,  il ne comprit qu'à la fin que les coups sur le haut des cuisses faisaient plus mal que ceux reçus sur le gras des fesses...

Résultat : il ne m'arracha que deux cris ... ce qui le mortifia vis à vis de l'assistance ... et dont je me doutai qu'il me le ferait payer dès que l'occasion s'en présenterait ... mais dans l'instant , je pouvais encore espérer , certes faiblement et si je parvenais à ne pas crier sous  le  dernier  supplice, d'échapper aux majorations ...

Quand Nelly s'avança pour ma dernière épreuve , je compris, rien qu'en croisant son regard, que je serais  inévitablement au dessus des sept        " cris " et donc qu'au mieux mon cadeau serait de dix pour cent... l'assistance savait aussi qu'elle pouvait compter sur la belle brune pour  m'ôter tout espoir de remise de peine !!

Elle m'avait à peine infligé une demi douzaine de coup de cravache que j'avais laissé échapper deux nouveaux cris ... elle frappait mon dos, mes fesses, mes cuisses , mes hanches ... elle chercha même la trace des coups de badine  de tout à l'heure , pour cingler le sillon d'alors , la chair égratignée !...

Elle le trouva alors qu'on était à dix cris ... et que je pensai la fin de sa malfaisante action toute proche  ... mais dès lors elle s'acharna sur  cette portion de mon anatomie, sous les encouragements des copines  avinées et hystériques ! et  sous la dernière demi-douzaine de ses coups, je criai quatre fois ...

Elle avait gagné !! j'étais au dessus de treize !!... à elle seule elle avait ruiné mon espoir .... elle fut acclamée ... les " soeurs " qui  tentèrent même de la porter en triomphe ... mais elles manquaient un peu de ... "stabilité " pour la porter bien longtemps et tout le monde finit par terre dans des éclats de rire et des attouchements ....  " complexes " :

  Par exemple, Flavia qui, vautrée  sur elle, eut l'idée de glisser un doigt dans la foune  de la cravacheuse constata combien elle était lubrifiée ... elle ne s'en étonna pas mais le fit savoir à tous , hilare, l'autre lui rendit la pareille, main entière entre les cuisses ... pour un même résultat ! 

Elles vinrent naturellement ensuite me faire lécher le  doigt tout poisseux et odorant  et la main luisante ...

Les coups que je n'avais pas réussi  à éviter me furent donnés, par nouveau tirage au sort, par Charlotte et Roxane qui choisirent respectivement la cravache et le fouet  ...

Michelle qui avait  bien vu que j'étais au bord de l'épuisement et de la syncope ... (Matthieu aussi ! ... ils s'étaient concertés en me regardant  deux minutes avant... me redonnant un peu d'espoir ... car aucune trace de méchanceté ni de plaisir sadique  n'altéraient alors  leurs traits, contrairement à ce qui se passait avec beaucoup d'autres participants )  .... Michelle donc vint relacher la corde ...

Et je retombai à genoux pour les derniers coups  ...et même sur le flanc pour  les derniers coups de fouet de Roxane qui ne jugea pas pour autant utile  de m'en dispenser ... elle acheva même de faire éclater la chair , sur le sillon initialement esquissé à la badine en début d'après midi ... cruel châtiment d'avant le châtiment  !!


La suite ? car non décidément nous n'en avions pas terminé ! ..même si la punition elle même était achevée  !!  ... ce sera pour tout à l'heure ...

ou plus tard encore , car nous sommes dimanche  à l'heure où j'écris,  et loa nécéssité de panser mes plaies ne m'a valu aucune protection particulière ni  exonération de service !!

 




Dim 14 nov 2010 Aucun commentaire