Le blog de jip.pet
Quand nous sommes arrivés chez Elena, qui parle un excellent français avec un joli petit accent slave ... son mari n'était pas encore là ... tout a commencé comme prévu , sans que rien ne laisse présager le désir de libertinage qui animait la rousse si sexy ... puis dès qu'il arriva, son homme .
Seule lueur - mais pour moi qui ai côtoyé beaucoup de naturistes dans
ma vie.... gens généralement très à l'aise avec et dans leurs corps, je n'y
vis pas d'indice majeur - la jolie Dame se déshabilla facilement, devant sa future masseuse , mais aussi devant moi ... qui pouvais être perçu comme un intrus, de sexe masculin ... ou comme " rien " ...
Norma n'avait pas pris la peine de me présenter ... et comme elle me donnait des ordres brutalement ... j'avais l'air de ce que j'étais : le bon larbin de service ... est ce qui expliquait ce qui après tout pouvait aussi passer pour une forme de désinvolture ?...
Elena, nue, servit donc à boire à son invitée , se servit à son tour ... et s'arrêta là quand ma Maîtresse sortit son couplet sur " la bouteille d'eau que ( j') avais dans la voiture " ... sous entendu " et qui me suffisait amplement "
La maîtresse de maison me regarda avec un peu plus de hauteur encore qu'avant et ce fut, dans un premier temps, à peu près tout ... J'allai par deux fois chercher quelque chose dans la voiture :
Des bottes un peu moins hautes que celles à talons de ... 10 cm, qu'elle avait chaussées ... son téléphone portable dans le quart d'heure suivant ...
Quand je revins de ma première " mission " je trouvai les deux Femmes hanche contre hanche et se tenant gentiment par le cou, face à une superbe orchidée ... Elena expliquait semble-t-il à Norma, admirative, comment faire pour obtenir un si brillant résultat ...
Mon principal sentiment, outre que le fessier de l'ukrainienne était vraiment splendide et plantureux à souhait, fut que ces Dames ne perdaient pas de temps ( car je confirme qu'elles ne se connaissaient pas à l'arrivée ) ...
Norma était encore vêtu ( d'un collant de laine épais et d'une jupe en toile denim sous un pull en cachemire à même la peau ... je l'avais aidé à s'habiller, comme souvent lorsqu'on sortait pour le travail et je savais qu'elle n'avait pas de sous vêtement sous son collant, ni de soutien- gorge sous son pull rouge et bleu ...
Le mari arriva dans cette période et ne trouva rien à redire aux attitudes
et comportements des deux Femmes ... Son épouse, dans un déhanchement assassin resta encore debout pour lui servir à boire ... et moi je fus envoyé chercher dans la voiture un numéro de téléphone qui ne figurait que sur un calepin ...
Après avoir trouvé ce numéro je devrais moi-même téléphoner dans une famille, pour prévenir que l'esthéticienne étant débordée ... nous étions au regret de repousser le rendez vous au lendemain !
Je commençai à me douter que ce report était directement la conséquence des liens qui se tissaient, à vitesse " grand V " entre nos deux ...
non ! maintenant nos trois protagonistes ...
Car quand l'homme fut à son tour servi et qu'ils se furent installés dans le canapé de cuir fauve , face au mini-bar, lui se retrouva entre les deux élégantes Femmes... option délibérée, qui ne souffrit aucune contestation ...
il avait déjà sa main sur une cuisse de ma Maîtresse ... qui ne fit rien pour modérer son ardeur ... Elena faisant même un clin d'oeil complice à sa nouvelle amie par dessus l'épaule de son mari ...
Je mis pour ma part un temps certain pour trouver le numéro de téléphone souhaité et ensuite j'eus du mal à trouver quelqu'un au numéro indiqué ... quand ce fut fait , on me fit savoir que la personne identifiée n'était plus la titulaire de cette adresse téléphonique ... autre numéro ...autre appel !!
Arrivant quand même à localiser puis prévenir la personne recherchée selon toute affaire cessante ... j'étais en train de mettre le téléphone de ma Maîtresse dans ma poche pour le lui apporter quand l'écran s'alluma pour me permettre de lire un message :
Norma s'étonnait que je sois " si long pour un petit coup de fil " et m'intimait l'ordre, pratiquement, de me rendre dans " la chambre du couple " au plus vite ...m'indiquant le chemin à parcourir
A mon arrivée le trio était déjà en pleine action ... et Yvon était clairement sur le point de sodomiser sa Femme, encouragé du geste et du regard par ma Maîtresse ...
Elle, au vu de sa raie " chiffonnée ", de son anus encore bien béant, et dilaté, sous mon regard dès qu'elle me tourna délibérément le dos pour diriger le gland de l'heureux homme dans l'orifice le plus étroit de Madame son épouse ... qui ne lui semblait pas pour autant si familier ...
Elle ... Norma ... était déjà passée "à la casserole" selon toute vraisemblance .
Et c'est la rousse qui protesta qu'elle NON PLUS, sans lavement, n'était pas sure d'une propreté irréprochable ... sans grande conviction portant tant elle semblait avoir envie ...
Norma eut raison de ses dernières pudeurs :
- " Tu vois l'esclave est là maintenant ! c'est lui qui va nous nettoyer ! ça n'a pas vraiment d'importance ! crois moi ce ne sera pas la première fois ! sa langue est habituée ! ... puis à mon intention :
.... Approche ! toi !! montre à mes amis ce que ta langue sait et peut faire ! " ... elle se plaça plus que jamais à quatre pattes sur le lit, cul tendu vers moi sans la moindre pudeur ( pourquoi avoir un tel sentiment à l'égard d'un esclave ? ) ... sa tête était alors sensiblement plus basse , et Yvon qui venait de passer sur le dos, en travers de son lit , chercha la bouche de celle qui ne lui refusait décidemment rien ... il la trouva ...
Moi, j'avais confirmation qu'il était déjà passé par le cratère qui portait alors bien mieux son nom qu'en temps " normal " tant il était encore dilaté: du sperme glissait de l'orifice, et s'y mêlaient quelques traces moins claires .
Un long gémissement suivit ... Non ! ce n'était pas Norma qui appréciait ma langue à ce point ! ... mais Elena qui s'était assise sur le bassin de son mari et s'empalait lentement sur son énorme chibre !!
Je vis le préservatif maculé, souillé, dans un cendrier tout proche Pendant que la voluptueuse épouse montait et descendait au rythme qu'elle choisissait sur la riche nature de l'entrepreneur, Norma se retourna , se plaçant elle aussi sur le dos , pour me faire faire .... après un " feuille de rose " bien utile pour sa toilette , un cunnilingus, moins indispensable ... mais qui l'émoustilla aussitôt ...
Côté performance, celle d'Yvon fut plus qu'honorable :
Il gicla une nouvelle fois !! ... dans le rectum de sa Femme cette fois ... Il crièrent en même temps leur bonheur, leur jouissance débridée !
Pour moi , après un court repos des deux amants , le plus dur commença :
ce fut de rendre " sans tâche " le membre viril bien sollicité ... ( et ce ne fut pas si facile, bien que je passe su certains " détails " imaginables ...
puis de nettoyer les puits d'amour de l'épouse ... avant ... qui sait ? de nouvelles étreintes plus ou moins spontanées ! ...
Mes " exploits " dans ce domaine s'avérèrent moins spectaculaires que ceux qui témoignaient de la virilité de l'entreprenant entrepreneur ... mais moins spectaculaires ne veut pas dire moins " méritoires " !!! ...
j'ai quand même bien résisté au liquide lacrymal qui baigna mes yeux durant toute l'opération ... et " aux mouvements nauséeux provoqués par l'obligation de fellations "
Cette journée restera mémorable à plusieurs égards ... et pour les protagonistes cités , au moins ... et je suis à peu près sûr que Norma et nos deux protagonistes n'ont pas fini de se revoir ...