Le blog de jip.pet

Voilà que je peux enfin tenir ma promesse : raconter ce qui s'est passé il y a maintenant une semaine dans la chambre où ont dormi Nelly et Franky ...

Je sais ! j'ai produit nombre d'articles depuis ... mais il y avait des urgences .

Si vous voulez vous remettre un peu en mémoire les évènement précédents,  et le passif avec ces deux personnes, il faudra retourner voir :

 " Déboires et tourments ...  etc... "  et.... 

" Comment Nelly s'acharne sur moi ... etc ... " ce dernier  sous-titré  " A l'origine " ... mais si vous voulez vous en passer ... ou si  vous vous  en souvenez vaguement , il suffit de se rappeler que  Nelly a fait une chute de moto, dans un bois, en cherchant à en provoquer une mais pour moi ...  afin de m'envoyer " bouler "  dans un fossé ... Elle s'est relevée vexée et furibarde ... car la scène avait quelques témoins .. elle m'a accusé d'avoir SCIEMMENT provoqué cette chute  et m'a promis de me le faire payer ...

ce qui par rapport à un esclave comme moi ... même quand on est vanilla comme elle signifie  me filer  une " dérouillée " une  " trempe " , une

 " rouste " ... enfin des trucs comme ça ...

En rentrant dans la chambre je savais que la sanction différée ne le serait plus très longtemps ....

Et puis en effet les deux jeunes gens  étaient bien dans le même lit !

Mieux ! ( pour lui ! ) Nelly était en train de tailler une pipe à Franky ... dont j'ai expliqué je crois qu'il nourrissait certains complexes vis à vis des filles du groupe . Des complexes sans doute un peu causés par son physique, très moyen pour ne pas dire ingrat ... comparé aux autres, comme Nagy,  Arno, Karim  et quelques autres ... 

Avec Nelly il avait tenté, comme avec les autres , mais jusqu'alors ça n'avait pas marché ... et là !!

C'est un peu comme si, leur idylle ( durerait elle ? ) s'était  " cristallisée "  sur moi ... amalgamée à mes dépens : Frank avait proposé de l'aide, avait offert sa contribution quand Nelly avait parlé de me châtier ... et elle n'avait pas dit non ... bien au contraire ! ... elle l'avait regardé d'un autre oeil ...

Et ce vendredi matin , ils étaient dans le même lit . L'autre, le petit, n'avait même pas été défait ... et il faisait l'important , main sous la tête , sur le dos, Nelly à quatre pattes ... son beau cul levé pour une fellation qui le remplissait d'aise mais peut être surtout de fierté .

- " Pose ton plateau et viens prendre la place  de Nelly "  ricana -t-il en me toisant ... je ne sais pas ce qu'il appréciait le plus , de la pipe prodiguée par la belle Fille, ou d'être vu dans cette situation ... certes je ne suis qu'un esclave ... mais les complexes de Franck ne lui permettaient pas de faire la fine bouche sur " qui voit quoi " il était persuadéqu'il prenait de l'importance à mes yeux ... il pouvait aussi imaginer que j'en parlerais à Dick etc... 

Je fis ce qu'il voulait ... il ne sentait que sa propre odeur, qui était assez aigre  ... ils  avaient usé de capotes ... il y en avait plusieurs : dans une coupelle ... dans un cendrier, à même la petite commode ancienne, le latex déversant du sperme sur le bois précieux, ce dont il se moquait visiblement !

Alors que j'avais adopté la même position que Nelly - pour une  prestation similaire - elle  s'était dirigée vers un petit sac de sport et en avait extrait ... un paddle   !

...j'essayais de la suivre du coin de l'oeil ... avec un brin d'inquiétude, surtout quand elle sortit de mon champ de vision ! ...

Je n'oubliais pas qu'elle avait entre les mains ce paddle de cuir épais ! 

Un coup violent claqua alors que Franky était en train de  " regrossir " dans ma bouche... je ne sais pas ce qui m'a le plus fait réagir... du claquement  soudain, sec...  ou de l'impact sur la peau de mes fesses! 

...  j'ai sursauté  et Franck s'est plaint qu'il sentait mes dents ... que je n'avais pas intérêt à recommencer ça ! ...

Et lui grossissais , je devais ouvrir plus largement ma bouche ... il ne mentait pas ! ... il parlait à tout bout de champ de sa grosse queue ...il en avait vraiment une très  grosse ... heureusement pas aussi longue proportionnellement ! 

Oui il grossissait après avoir légèrement débandé en quittant la jolie bouche de son amante de la nuit ... Il grossit encore presqu'au rythme des coups que continuait à m'infliger Nelly...

 Et elle n'y allait pas de main morte  !! 

Etje ne cessais de la traiter de garce ! mentalement bien sûr ... comment faire autrement  ?? 

 Quand ça claquait bien fort, trop fort  ! ... sur ma pauvre  peau tremblante ... elle riait un peu plus fort  aussi ... elle vit combien  le calibre de son amant suivait ...   En proportion  des douleurs qu'elle m'infligeait !...

.... elle s'amusa même à le faire remarquer ... puis, pour amplifier l'effet, elle se mit à pousser des cris de tenniswoman ! ... sur chaque impact ... si j'avais eu la bouche libre ... j'aurai hurlé " pitié !! " tout en sachant bien sûr que ça ne pouvait que produire l'effet inverse ...

 ... Et puis  lui aussi faisait durer le plaisir :  quand  je sentais qu'il était sur le point de venir  ... que sa jouissance allait peut être me permettre  de  souffler . ... il parlait de choses et d'autres ou plaisantait avec Nelly ...

....  elle avait bien compris ... elle jouait le jeu ... il débandait légèrement et c'était reparti ...

Vint enfin le moment où les spasmes de son sexe furent suivis de jets épais et puissants qui assaillirent ma gorge ... ils avaient été précédés de  quelques cris  rauques ... Nelly les accompagna de coups particulièrements puissants ...

Puis au moment ou son gros  gland quittait  ma bouche en  crachant encore deux petites giclées qui  s'écrasèrent mollement sur le bout de mon nez et entre lèvre inférieure et menton , Nelly  elle,  tomba sur le flanc , à son côté , caressa son torse ... son cou sa joue ... ils s'embrassèrent ... se regardèrent , les yeux brillants, et tout sourire ... comme s'ils étaient chacun fier de l'autre ... Ils étaient beaux ... même lui .... qui ne l'était pourtant pas vraiment ... Le sourire de la Fille disparut quand elle se tourna un instant vers moi : j'étais sur mes genoux , au bout du lit , attendant  de recevoir l'autorisation de bouger ... les admirant !  

 - "  Eh toi ! tu va rester à faire  l'épouvantail combien de temps dans nos pattes ? Tiens ! vas réchauffer ce qui peut l'être et refais moi un thé ... je déteste le thé tiédasse ! allez magne ! Ensuite  Franck te puniras à son tour comme il l'a promis ...  Ben  qu'est ce que t'attends ? " 

Si j'avais eu un vague espoir que la sévérité de la correction qu'elle venait de m'imposer soit le signe d'un " abandon des poursuites "  ( et j'eus en effet ce vague espoir !  je l'avoue honteusement ! .... comme je connaissais mal cette Fille ! ... comme j'associais encore bêtement " vanilla " avec mesure , avec compassion ! )... et bien  je me devais de déchanter dès maintenant !!   

J'ai fait ce qu'elle m'ordonnait ... Quand je suis revenu,  une vingtaine de minutes plus tard, avec un nouveau petit déj... il était encore en elle ... de nouveau en elle ... elle venait d'avoir un nouvel orgasme  ... je l'avais compris dès l'escalier ... 

Je posai, sur ordre de Franck cette fois , le grand plateau sur la table  où  était le précédent un peu plutôt ...  ils  se levèrent nus,  flanc contre flanc et je dus oter la capote, vide , du garçon avec mes dents , dans ma bouche ...

Ensuite je dus attendre la fin de leur dégustation  ... avant d'être attaché par les poignets au radiateur de la pièce  ...

La mise en scène ne me fut pas épargnée ... le choix d'un ceinturon ... dont ils discutèrent les mérites  ( il y avait deux  possibilités , Francky opta pour celui que vanta sa belle ) prit encore une bonne minute puis mon calvaire reprit  ...

Nelly avait enfilé son manteau sur son obsédant corps nu  ...

Franck avait passé un gros pull de laine ...

Nelly ouvrit la fenêtre et alluma une cigarette  au moment où les premiers coups tombèrent ...

.... le froid entra très vite dans la pièce !   ... j'étais le seul à le recevoir ainsi ... directement ... sans protection ... 

Nelly plaisanta encore en rejetant  un nuage de fumée qui arriva très vite jusqu'à moi 

- " Dérouille le bien Franky ! ça m'ennuierai  qu'il prenne froid avec ce temps ... ahahah ! "

C'était reparti ... et rien ne m'était épargné !