Le blog de jip.pet
Flavia me gifla encore au moins deux fois quand Nelly , à peine sortie appela " les garçons ! " puis elle me fit mettre debout main sur la tête ,
" au coin " mais dos au mur, et donc face à la pièce et à ses potentiels occupants, pour mieux me " filer la honte "...
Mais mon exhibition forcée ne dura pas très longtemps sous cette forme ...
Nelly revenant avec leurs deux boys friends du moment ... celui de Flavia et le sien : Arno et Franky ...
Ils étaient tous les deux en jean's , torses nus ... Nelly, pour sa part avait pris le temps de se changer ... elle avait passé une jupe plissée courte et un top minimaliste à fines bretelles qui contenait bien difficilement ses seins exhubérants rarement disposés, je l'avais vite remarqué, à supporter la contrainte d'un soutien-gorge. Elle s'était aussi parfumée ...
Arno avait à la main le ceinturon de son pantalon et à peine dans la pièce Frank fondit sur moi, et gifla à son tour plusieurs fois mon visage ... mais des gifles masculines, si je puis l'exprimer ainsi ... assénées comme au cinéma dans un vaste mouvement circulaires du bras ... des baffes infligées pour faire vraiment mal et déséquilibrer ... des gifles " coup de poing " ... ma tête m'entrainait vers la gauche, puis vers la droite ... j'étais sur le point de tomber d'un côté quand l'autre baffe me redressait et ... m'entrainait aussi brutalement de l'autre côté ...
Sonné autant que désireux d'esquiver le coup suivant , je suis tombé à genoux , sans un mot mais le visage sans doute assez explicite pour faire songer à une muette supplication ... pourtant quand mes genoux ont pris contact avec le parquet de la chambre, tout près du fond de la pièce où je cherchais à me faire tout petit, un coup à claqué sur mes fesses , un deuxième immédiatement sur mes reins , puis un troisième :
Mon visage n'était plus à hauteur des mains de Frank ... mais j'étais à porté de ceinturon du bel Arno, que sa chérie encourageait du regard et de son sourire, carnassier le sourire, féroce !! ... mon dos fut lacéré à son tour et quand Frank se pencha pour me gifler de nouveau ... cette fois , déséquilibré je me retrouvai sur le cul, puis sur le flanc après une énième gifle ...
Une des deux filles me donna un coup de pied dans le derrière , et le bout de l'escarpin , très pointu pénétra douloureusement ma raie ...
Les deux filles encouragèrent alors leurs hommes à me "dérouiller encore" selon la douce expression de Nelly ... et ni l'un ni l'autre ne souhaitant les décevoir , je ne fus pas le moins du monde épargné ...
J'avais beau me dire que c'était disproportionné ... être sidéré par leur cruauté ... me dire que ... c'était bien décidé : dès que je le pourrais je quitterai cette maison terrible où les vraies Dominas ne me protégeaient
en rien de tels excès ... que pouvais je faire, sinon gémir ? essayer d'apitoyer ? ....
.... en provoquant l'effet inverse
Flavia chuchotta à l'oreille de Nelly ... elles se regardèrent souriantes et complices ... et la seconde sortit rapidement ... il était évident qu'elle allait revenir ... puis Flavia sussura quelque chose à l'oreille de son amoureux cette fois ... il l'embrassa, lui mangea les lèvres ... et lui tendit son épais ceinturon de cuir ... et c'est elle qui m'infligea la dizaine de coups suivants ... lèvres serrées .... mordillées , pour l'inférieure ...
Quand Nelly revint je compris aussitôt ce qu'elle était allé chercher :
Le groin de porc ... en masque , à poser sur le nez et la lèvre supérieure de celui qu'on cherche à humilier toujours plus ! ... j'en fus une nouvelle fois la victime ...
Le plug anal terminé en " tire-bouchon " , comme la queue porcine ... c'est Flavia qui me l'introduisit dans le rectum ...
J'ai raconté , il y a quelques semaines comment je m'étais retrouvé ainsi équipé et ridiculisé dans mon précédent service auprès de Nadia, dans une autre maison .... Nadia aujourd'hui Maman ...
Mais l'important c'était certes, au delà du ridicule et de la honte , que les coups cessent de pleuvoir ... et ils cessèrent en effet quand je fus escorté dans le couloir puis l'escalier ...
Je dus dès lors me tenir à genoux à la porte du salon ... une grande ardoise posée en pendentif autour de mon cou précisant :
" VIEUX PORC LUBRIQUE SURPRIS EN PLEINE BRANLETTE et DESOEUVREMENT ... Idées de châtiment bienvenues ... "
Oui ! je comprends ! c'est vrai que ce qui est en train de se passer va sans doute me marquer durablement ... mais je ne peux dire comment ... d'abord parce que je n'en ai pas terminé avec cette interminable punition ... je finis de te répondre après avoir publié un post ... et je vais de nouveau être exhibé comme je le dis dans mon dernier texte , debout cette fois ... nu toujours ( heureusement que la pièce est très chauffée ... car en surplace permanent comme ça ! ) Sans aucune ironie ... bonne journée à toi !
Pour le moment il fait -6 degrès chez elle !
Je redoute énormément !
Je suis de tout coeur avec toi, par la pensée.