Le blog de jip.pet
Après ce que je viens de raconter dans mon précédent article ( la sodomie brutale, imprévue par William - c'est le prénom de l'amant de Magdalena, je ne crois pas l'avoir cité - et qui s'est passé voici moins de six heures )
je pensais avoir quelque répit " de ce côté " ...
Après tout les gens qui me lisent régulièrement savent que je ne suis pas trop souvent abusé ainsi ... et bien la loi des séries peut aussi fonctionner dans le sexe !!
Peu après mon récit de cette pénétration sauvage de mon fondement, Norma m'a fait appeler ( par Dick, son esclave de mari ) ... C'est ainsi que j'appris que ma venue précoce au foyer des deux Soeurs était aussi la conséquence d'une journée de travail programmée par mes employeuses ... mais à domicile ... à leur domicile ...
Quand j'entrai dans la grande pièce dans laquelle mes Maîtresses font leurs démonstrations de matériel lorsqu'elles opèrent chez elles , il y avait une dizaine de Femmes, clientes potentielles des sex-toys proposés et testés... elles étaient confortablement installées dans les quatre canapés disposés en carré ... autour de la puissante Norma harnachée d'un gode ceinture de belle taille ( tant en longueur qu'en épaisseur ) ... Un modèle que je connais, pour l'avoir déjà " présenté " avec elle ou sa Soeur à des épouses supérieures et dominantes, clientes potentielles ...
Norma rayonnait au milieu de ce groupe dissipé ... Un groupe qui s'agita un peu plus quand je fus introduit par Dick dans l'endroit ...
J'étais nu bien sûr, totalement, avec mon épais collier d'esclave ... mais sans ma Chastity Belt ( je redis que Norma me la pose assez peu quand elle m'utilise dans son travail ... sauf bien sûr quand l'objet proposé à la démonstration et à la vente est ... une CB ) ...
Dick me conduisit jusqu'au centre du carré, cerné de Femmes, sans doute passionnées à l'idée du spectacle à venir ... en tous cas très agitées ... je l'ai déjà mentionné ...
Norma m'ordonna de m'agenouiller devant elle et dirigea la fausse bite de caoutchouc noir entre mes lèvres ... elle me gifla pour ne pas les avoir ouvertes assez vite ... puis amorça quelques mouvement du bassin qui mirent l'assistance en joie ...
Ensuite elle demanda à son vieux mari de me " mettre en position " ... Je la connaissais bien sûr cette position : la plus humiliante ! ... plus encore que d'être simplement à quatre pattes ... je dus me mettre, comme ce matin dans le lit de Magda avant d'être défoncé par William, la tête au sol
- mais il était moins doux à ma joue que les draps du couple ! - et le cul levé ...
Pour son confort, et assurer une meilleure pénétration , elle demanda à son mari de rapprocher une petite estrade ... sur laquelle elle vint se placer , la foulant de ses talons aiguilles, pendant que , toujours sur son ordre Dick m'enduisait la raie et la rondelle d'une vaseline, ou assimilée, que son épouse, toujours pratique et avisée ( car elle en vend ! ) vanta ... au détriment de toutes les autres ...
Ensuite l'esclave conjugal s'abaissa jusqu'à mon visage pour me faire sucer ses doigts... mais depuis ces délicats moments de la matinée je m'étais douché et " clystérisé " ...( même si j'étais loin de penser subir quelque chose de semblable aussi vite, un lavement astringent et apaisant ne me parut, sur le moment , pas un luxe !! )
Puis Norma me " travailla " ...
Tout cela intéressa ... intrigua ... amusa ... passionna l'assistance ... je ne voyais qu'un côté du carré ... et en contre-plongée, mais c'était évident ... et puis il y avait les bruits, les rires, les cris !!
Norma, comme d'habitude , expliqua les différents modèles, les différentes tailles ( heureusement, compte tenu de ma sensibilité du moment, elle n'avait pas vu trop gros ! mais elle me fit cependant beaucoup souffrir, et ma crainte d'être déchiré ressurgit )
Quand elle sortit de mon rectum, dans un bruit final de bouchon sauteur qui raviva les rires, à ma surprise, après m'avoir ordonné de lui oter des hanches le harnachement, elle imposa à son mari, et non à moi, de le sucer ...
... puis de me lécher le cul... elle voulait insister sur " les saveurs multiples " de la pommade lubrifiante qu'elle commercialisait et pour ça Dick devait répondre aux rares questions dont il ferait l'objet ... pour dire évidemment qu'il appréciait le goût de la substance grasse ...
C'est le seul moment où j'ai souri discrètement, en le regardant faire son cinéma ... ses figures imposées , hypocrites ... mensongères .
Nous avons lui et moi, pendant que j 'ai vécu là, parlé de ça assez régulièrement et je peux vous assurer qu'il déteste !!
Mais ton anus ? Tu as supporté cette seconde chevauchée ?