Le blog de jip.pet
Petit clin d'oeil, d'abord au figuré... léger ... mais aussi réel matériel, parce que Nelly, espiègle, joueuse, mutine, l'a voulu ainsi :
Quand ma Maîtresse m'a appelé vers 17 heures, tout à l'heure ...
... elle était... dans la salle de bains ...
... elle était suspendue au cou de l'homme, doigts croisés sur sa nuque ...
... elle avait les cuisses levées et les genoux, les jambes ceinturant les hanches, les fesses du mâle ... Lui, debout, face à moi cette fois encore, tenait de ses avants bras puissants la Fille sous les cuisses ...
Nelly, confortable, coulissait presqu'assise sur le mandrin de son porteur et ses murmures de plaisir accompagnaient chaque mouvement de haut en bas ... de bas en haut !
Je voyais son visage dans la grande glace murale cette fois ... son visage au dessus d'une épaule toute blanche et le dos masculin ... le dos de son porteur .
Oui ! je voyais son visage ... et quand elle rouvrit les yeux après un énième murmure extatique, elle m'adressa un vrai clin d'oeil ... que je fus seul à voir évidemment ...
C'est pour ça que dès la première ligne, je parle de clin d'oeil au figuré , mais aussi réel : celui que m'adressa ma Maîtresse dans la glace alors qu'à son appel j'étais entré dans la pièce et qu'elle me tournait le dos .
Qui a lu le précédent article peut aisément comprendre le sens de ce clin d'oeil :
La situation était la même que moins de cinq heures plus tôt ... et je devinais, avant même qu'elle ne m'ordonne, d'une voix vacillante altérée par l'excitation...
- " Agenouille toi ! ... S...sous mes fesses ! ... L..lèche ma raie ! mon cul !... m..mon petit trou ! Fais ça bien ! "
Elle cherchait en dépit de cette excitation à me donner de vrais ordres ... à me rappeler ma place , ma condition ... mais en même temps il y avait eu ce clin d'oeil ... et le lecteur des deux articles peut comprendre facilement je pense - ou alors c'est que je m'explique mal ! - combien la situation soulignée par le clin d'oeil, était lestée de complicité ...
MERVEILLEUSE COMPLICITé entre la Maîtresse et l'esclave ! ...
car beaucoup l'auront compris je pense ...
... j'étais appelé par ma Maîtresse, que je trouvais dans la même posture, la même situation que moins de cinq heures plus tôt ... elle m'ordonnait les mêmes gestes ... les même choses ...
Il n'y avait que deux différences...
l'une très secondaire : ce n'était pas la même salle de bains,
l'autre essentielle ... et pour moi jouissive ...oh combien ! ... et qui expliquait, justifiait , ornait le clin d'oeil de Nelly ... L'AMANT DE MA MA MAÎTRESSE N'ETAIT PLUS LE MÊME !!...
Certains l'avaient devinés bien sûr ... c'était Frank ! ... qui était revenu du village avec les autres un bon quart d'heure après le départ de William ...
Le rapprochement de mes deux Maîtres avait été laborieux ... avait nécéssité les bons offices et le savoir faire des deux Soeurs ... et d'autres , comme par exemple Daphné ( qui elle avait sans doute quelqu'arrière pensée : si Nelly et Frank ne se réconciliaient pas, c'en était fini de la présence de l'esclave à la colocation ! )
Bref le déjeuner ... le café ... la promenade digestive dans la campagne environnante ... la virée en voiture, je ne sais où, de quelques invités dont Nelly et Frank ... tout cela n'avait pas été de trop pour générer un rappeochement qui ne me sembla pas encore évident quand ils sortirent de voiture, peu après quatre heures ...
Frank me jeta les clés de la voiture et m'ordonna sèchement de la laver rapidement ... elle était toute boueuse, suite au petit périple ... et l'insistance sur la rapidité qu'il exigeait ... s'ajoutant à sa mine renfrognée m'avait d'abord fait penser qu'entre eux c'était le statu quo et qu'on risquait bien de repartir d'ici avec la soupe à la grimace sur le chemin du retour ...
Ce qui n'était pas franchement une catastrophe à mes yeux ...
Et puis il y a eu l'appel de ma Maîtresse ... et tout ce que j'ai dit ci-dessus ! ... je venais de prendre ma douche après la fin du lavage de la voiture , et je me demandais si cet appel était le signe d'un départ imminent ...
Bien sûr compte tenu de mon espoir d'une désagrégation rapide du couple le spectacle de la salle de bains, le dernier ! ... n'était pas forcément réjouissant ... mais je l'ai dit :
le regard de ma Maîtresse dans la glace , suivi de son merveilleux clin d'oeil, balaya toute ma réticence et ma mauvaise humeur ...
Je suis tombé à genoux avec un enthousiasme inhabituel quand il s'agit de laper le sperme abandonné par Frank ...
Il est vrai que les supports et receptacles de ce foutre me ravissaient, me comblaient !
J'ai trouvé les sécrétions du cocu moins amères que d'habitude ... même quand j'ai dû le sucer après avoir quitté l'adorable cul de l'espiègle beauté ... Tout indiquait qu'il ne l'avait pas sodomisé ... et j'en fus heureux car sachant combien il aimait ça , ce ne pouvait être que la conséquence d'un refus de ma Maîtresse !
Nous ne repartirons que demain matin ! ... et cette nuit ... là ! tout à l'heure, dès que j'aurai fini cet article sans doute ... je vais aller dormir dans la chambre que mes Maîtres retrouveront en rentrant de leur petite soirée " entre jeunes " ... je vais dormir par terre, près de leur lit , enroulé dans une couverture ... mais je crois que je vais bien dormir ... même si quand ils rentreront, lui me réveille pour me pisser dans la bouche comme il le fait assez systématiquement maintenant ...
Ma Maîtresse, en le faisant cocu avec ce talent, me venge ... même si évidemment ce n'est pas le but recherché ... et puis elle me prouve que sa relation avec lui n'est pas la chose la plus importante de sa vie .