Le blog de jip.pet
Le mari soumis s'appelle André , il est assez grand , mince, bien foutu et pas mal membré du tout ! Il a dans les trente ans , comme Madame .
Quand il est rentré pour prendre les ordres, je me suis senti un peu moins seul ! ... non parce qu'il était esclave comme moi, mais parce qu'il était nu...
J'allais dire " comme moi " , mais lui n'avait pas de collier autour du cou , en revanche il avait le sexe sous Chastity Belt, à ce moment là du moins . ( Un appareil que je porte moins ces temps ci je l'ai souvent dit )
Nelly offrit à son tour des clopes aux deux fumeuses , Marion et Irina et le cendrier nécessaire fut posé sur mon dos ( j'étais à quatre pattes tout près de ces Dames et Demoiselles et cela leur parut plus commode que la table basse, pour un accès facile au cendrier ) ...
C'est ainsi que je les entendis deviser gentiment un bon moment .
Nelly répondit à leurs questions convenues :
" Oui j'étais son esclave ... enfin ! l'esclave de son couple . "
" Non je n'étais pas un esclave sexuel - contrairement à André - " ...
... elle ajouta goguenarde : ... " vous avez vu son sexe ! " cela fit rire et me donna un peu plus " la honte " !
" Oui ... je suis soumis au déni d'orgasme . "
" Non je ne suis pas autorisé à me branler et me vider plus de deux ou trois fois par mois "
" Oui cela produit un effet indéniable sur mes prestations serviles, sur
mes performances domestiques "
Il y eut d'autres questions, peut être plus intéressantes, posées à ma Maîtresse, mais elle rappela qu'à son grand regret - et elle semblait sincère en le formulant - elle devait partir... Cela lui donna l'occasion de souligner que j'étais " là AUSSI pour satisfaire ( leur) curiosité , que c'était une des raisons principales de( ma) présence " et qu'elles pourraient si nécessaire , punir mes réticences à expliquer, à informer ...
Une fois Nelly partie, c'est moi qu'on chargea d' oter au mari de Marion sa cage de chasteté. Sans doute pour l'humilier davantage et me troubler, me metre un peu plus mal à l'aise .
Les quatre Femmes confortablement installées dans le long canapé dont André et moi , nus et agenouillés côte à côte étions si proches, se livrèrent à un feu roulant de questions, portant sur une multitude d'aspect de mes obligations, contraintes et " performances " ...
Quand je parlai, à leur demande, de mes " records ", les presque huit semaines d'abstinence et de déni d'orgasme firent sensation ... même si je pris la peine de préciser que ma moyenne d'abstinence était bien moins ...spectaculaire ...
Bien sûr la belle et directive Marion s'intéressait à tout ça parce qu'elle était depuis peu dans cette perspective avec son mari.
A plusieurs reprises elle ponctua mes réponses à leurs questions d'un " tu vois " ou encore " sois attentif ! ça va te concerner très vite "... en fixant son pauvre mari qui malgré sa jeunesse, sa beauté et le calibre très enviable de son sexe n'en menait pas plus large que moi...
Ensuite je dus raconter " sans fioritures et dans ses grandes lignes " ma vie d'esclave conjugal, répondant à une demande de la charnelle Coralie... Même en ne trainant pas cela me prit un moment ... Marie Odile envoya
"DD" leur chercher de nouveau à boire ...
Quand il revint, sa Femme lui demanda de se retourner " par respect " pour elles, et de se masturber... Il devait éjaculer "dans les trois minutes" sinon " tant pis pour toi ! on te remet la CB et tu devras faire comme cet esclave " lança la blonde Irina en me regardant durement .
Il se masturba donc !
Coralie baissa son short aux chevilles, puis l'ota, avant de se rasseoir et de m'ordonner, cuisses écartées, de venir la lécher... Elle était déjà bien mouillée quand mes lèvres s'écrasèrent sur celles de son entre-jambes, sous la pression de ses deux paumes sur ma nuque... rapidement ses puissantes cuisses musclées se mirent à vibrer et elle émit des petits cris
" touchants " ... qui s'achevèrent en cris sourds et rauques au moment de l'orgasme.
André dut jouir, lui aussi, juste avant la rousse ! car j'entendis , malgré l'étau puissant des cuisses de Coralie qui se referma, quelques secondes durant sur mes oreilles, sa belle-soeur dire à son esclave :
- " Voilà qui est fait ! Lèche tes saloperies sur le parquet maintenant ... après on te remetta ta cage de chasteté et on sera tranquille avec ça pour un moment ... même si tu ne tiens pas de suite aussi longtemps que l'esclave de Nelly ! "
L'esclave de Nelly c'était moi bien sûr !... Et je dis " la belle-soeur " en parlant de Marion car si je l'ignorais alors, j'ai appris peu après que Coralie et l'Epouse , semble t il en pleine mutation dans son couple, étaient soeurs !
Il finissait de lécher le sol , cul levé, quand je sortis d'entre les cuisses odorantes et poisseuses de Coralie ... Et j'eus une nouvelle surprise en me relevant :
Il y avait là, debout près du canapé, une jeune fille qui regardait le mari soumis en train de lécher son sperme ... elle arborait une moue vaguement méprisante, mais dont je perçus surtout la cruauté ... elle avait sans doute à peu près de l'âge de ma Maîtresse, guère plus de vingt ans ...
Elle était blonde, plus blonde encore qu'Irina ... Elle était d'une beauté à couper le souffle !!... Dotée d' un visage fin, régulier, juvénile et angélique ... elle ne faisait rien pour cacher une poitrine abondante, parfaitement dessinée : son top était particulièrement échancré et lui allait à ravir ...
Elle lança en regardant Marion :
- " C'est bon alors cette fois ... on va pouvoir enfin se déplacer... vivre chez toi, sans avoir sous les yeux la bite de ton bonhomme dressée irrespectueusement ! "
La phrase provoqua des rires ! Sauf évidemment chez nous, les deux esclaves !
Et c'est un " bon " prétexte pour des Maîtresses et vanillas cruelles qui veulent s'amuser et jouir des tourments des esclaves ... il suffit d'invoquer la mauvaise conduite d'un esclave frustré sexuellement et " bavant " pour le punir ... C'est chose faite ...