Le blog de jip.pet

La belle Julie, très garce selon l'esclave André, n'a pas été inerte dans ce que j'ai dû  affronter samedi  matin .

Je l'ai dit : au moment  ou je fus  attaché par les pieds jambes écartées , ma tête mes épaules et le haut de mon dos   étant les seules parties de mon corps à toucher le sol, cela faisait trois semaines que je n'avais pas été autorisé à me branler et donc autant de jours que je n'avais pas éjaculé ... En conséquence, même si une masturbation, publique et très humiliante, comme les dernières n'était pas une partie de plaisir  ... l'idée n'était  pas franchement désagréable !

Il  faut savoir que, depuis  que  je ne suis plus, de manière quasi permanente,  sous la contrainte  de ma CB, je  ne cherche pas pour autant  à profiter d'un accès de mes mains à mes génitoires dans mes moments de solitude ... car il existe une autre contrainte fort dissuasive : la substance dont j'ai parlé dans un précédent article, applicable sur la queue et le gland,  initialement incolore, invisible une fois bien étalée et qui après séchage va  se colorer inmanquablement au contact du sperme , mais aussi provoquer rougeur et irritation de la peau  du sexe si délicate en cas d'érection intense ou prolongée ... Une irritation  qui de plus dure et même augmente , bien après  la débandade ... 

J'ai déjà  expliqué cela et je vous assure que les conséquences sont suffisamment dissuasives pour que je ne sois pas ... trop tenté de m'astiquer le poireau ( le mouvement énergique  et répété des doigts ou de la main sur la tige suffisant à provoquer coloration et irritation ) 

Bref j'ai suffisamment  à faire pour justifier la présence de  petites taches et marques  rougeoyantes ou bleutées autour du méat urinaire, pour ne pas me mettre dans une situation encore plus indéfendable ...

Ces  "souillures", beaucoup de soumis   peuvent le comprendre... sont la conséquence du contact avec la portion de peau traitée , du liquide séminal qui, chez celui à qui l'orgasme est refusé, s'écoule de manière inéluctable ... et d'autant plus désespérante , en "pendouillant" au bout du gland lors d'excitations impossibles à masquer de ce fait( même sous CB et sans érection donc ) ...

Les vraies Maîtresses expérimentées connaissent ce phénomène " bave de crapeau " ou " sillage d'escargot " et si elles en sourient  souvent, elles peuvent excuser  ce " dysfonctionnement " d'autant plus fréquent et abondant que le sujet est soumis à une forte et longue  contrainte ... en revanche il n'y à aucune raison qui permette de justifier ce qui traduit de manière indiscutable une tentative de masturbation ...

Voilà je pense qui permet de comprendre ma " sagesse " .

Cependant , quand les taches autour de mon méat urinaire s'élargissent et foncent , quand des témoins de mes érections s'en " émeuvent " ON  parle de me permettre d'éjaculer , ou, plus désespérant de me soumettre au milking ... de me traire !! ...

Voilà le processus qui conduit à " me soulager  de manière licite " épisodiquement . J'ai sans doute été un peu long , mais tout le monde , même chez mes lecteurs soumis  - ou dominants - ne connait sans doute pas la substance dont je parle ( moi qui suis soumis depuis des lustres ... je ne connais la chose que depuis quelques semaines  )

Des personnes présentes en ce samedi matin , plusieurs avaient  proposés depuis la veille que les " trois esclaves maison " soient " soulagés " ... La question étant de savoir quand et sous quelle forme ...

Pour le moment, nous fûmes tout près d'un choix privilégiant le soir même , malheureusement alors que ça faisait l'unanimité , j'ai dû suivre Norma pour des soins esthétiques de dernière minute chez une cliente !

Je dis bien malheureusement ... car le report au lendemain fut décidé ... et que pour moi ça changea tout  . J'explique :

Le vendredi soir tous les votants optèrent pour une branlette jusqu'à éjaculation et cela  pour nous trois ...

Et je dois dire que j'eus peur jusqu'au bout du scrutin ...mais  finalement  j'ai coupé au milking à une voix près ... je me croyais sauvé... j'ignorais que le report au lendemain  pouvait tout remettre en cause ... car de nouveaux  " weekendards "  allaient arriver et voter .