Le blog de jip.pet
Au retour de la banque, Joy a demandé à sa mère si elle pouvait... m'avoir avec elle ..." me garder un moment " ...
Je rappelle, ou précise - peut être ne l'avais je encore pas dit assez clairement - que des deux Femmes les plus importantes pour moi désormais, celles qui sont mes Maîtresses, c'est avec la mère que j'ai le plus " vécu " depuis une semaine ( même si je sais que j'ai été acheté par elle pour Joy sa fille )
Les deux Femmes, je le rappelle, vivent à quelques centaines de mètres l'une de l'autre par " l'intérieur "... alors que par la route près de deux kilomètres séparent les deux portails ...
Comme ces grandes maisons sont mitoyennes il est en effet possible d'aller de l'une à l'autre " par l'intérieur " des domaines ( pour rappel : une étendue totale assez proche de 30 000 m2 ! ) en empruntant un petit chemin qui disparait un moment dans un sous bois équidistant des deux ...
... un mur de pierres sèche double un ruisseau, un filet d'eau qui est souterrain hors des propriétés ... mais émerge et s'élargit quelque peu ici ...
Ce mur limite chacun des terrains... et ... entre les deux domaines précisément il est éboulé à l'endroit du passage, de la passerelle, au regard de l'étroit chemin ... Le sentier à cet endroit est si étroit qu'une voiture n'y a évidemment pas sa place, tout juste un vélo et , mais en faisant très attention ! ...le tricycle! ...
A pied d'ailleurs selon le jardinier il y aurait sept cents mètres, par l'intérieur, entre les deux perrons !... mais lorsqu'on vient de la ville, ou d'une agglomération voisine, il est plus naturel, si les passagers du véhicule n'ont pas tous la même destination, de déposer les uns, puis les autres... d'où la question de Joy à sa mère !
- " Mais oui ma fille ! cet esclave est à toi, tu le sais bien ... même que tu songes à le marier non ?! " ( ainsi les mots entendus à l'agence bancaire et que j'évoque maladroitement à la fin de mon dernier article n'appartiennent pas qu'au monde du rêve )
- " Ahahah ! je savais bien que tu avais relevé ! Oui.. Mam ! enfin c'est pas fait ... On en avait déjà un peu parlé ! tu sais bien ! ... c'est ton mari qui avait lancé l'idée le premier ... et tu m'avais semblé y trouver des avantages ... il faut peser le pour et le contre et j'ai besoin aussi que toi et moi nous en parlions sérieusement ... là je voudrais juste qu'il soit un moment à la maison ... mais tu ...
- " Du moment qu'il travaille avec Norma cet après midi ! Elle m'a appelé tout à l'heure pour un changement de son emploi du temps ... et puis n'oublie pas que ce soir il doit revenir au château ...Il y a plusieurs chambres à préparer pour le week end et puis aussi le repas avec Roberto et un autre soumis appelé en renfort par ton beau-père !
- " Oui Mamour ... je sais tout ça ! j'ai juste envie d'une petite douceur , puis qu'il me repasse deux trois trucs pour ce soir et demain justement ! "
- " Une petite douceur ma fille ! ... voyez vous ça ! "
Elles se regardèrent et éclatèrent de rire toutes les deux ...
On arrivait devant le grand portail, après avoir pris la plus petite des deux routes, celle qui conduisait chez Joy... l'autre route, un peu plus large, menait à la grande gentilhommière qu'elles appelaient "le château" ( parce qu'il avait deux petites tours : une ronde, une carrée )
- " C'est à moi peut être d'ouvrir ma porte cockette ? "
J'avais fait le voyage sur la banquette arrière et alors que je voyais bien qu'on était tout près de l'entrée , perdu dans un abime de pensées déclenchées par le mot " mariage " , je n'avais pas réagi aussitôt que le véhicule s'était immobilisé ... j'ai giclé comme j'ai pu, ouvrant au plus vite la portière pour Joy ...
Quelques minutes plus tard, arrivée dans l'incontournable vestibule prolongeant le strict perron, Joy s'est jetée sur une sorte de sofa...
... elle a relevé, dans le même mouvement, sa jupe serrée au dessus de ses rondes hanches épanouies , elle a écarté ses cuisses d'un geste presque brutal... et se fendant d'un sourire effronté elle a sussuré d'une voix vibrante :
- " Viens me lécher " 107 " ! depuis le temps que je mouille ! ... tu vas voir, ça a suinté de partout depuis ce matin ! j'ai l'intérieur des cuisses qui poisse, c'est à ne pas croire ! "
J'étais déjà à ses ordres ! à genoux ! ...
Mes joues en effet collaient à ses cuisses ! ... et l'odeur épaisse de marée s'aventurait au-delà du triangle délimité par ses jambes !!
... des jambes qui finirent par trembler ... et bientôt des plaintes rauques sortirent de sa gorge .. bientôt elle pressa sur ma nuque ... à deux mains ... ... bientôt je sentis ses ongles griffer sans pitié l'arrière de mon cou ...
Elle connut un orgasme intense et bref ... comme ceux qu'elle avait exigé de ma langue le soir et la nuit de la St Valentin ...
Cette nuit là, cela m'avait frappé : elle avait joui plusieurs fois sous ma bouche, rapidement et brièvement comme ce vendredi ... dans les deux ou trois minutes suivant son ordre " de m'activer " ... alors que sous la grosse et longue bite de " son " Jacques " elle montait en puissance pendant des dizaines de minutes avant d'exploser dans une succession d'orgasmes en " rafales " ...
J'étais émerveillé ... cerné par ses odeurs grisantes !! ... elle allait sans doute me demander de " rentrer au château " quand son téléphone sonna... c'était une de ses amies, elle m'ordonna de m'allonger sur le dos et vint s'asseoir sur mon visage... calant mon nez sous son anus...
Puis raconta à son interlocutrice sa matinée ... notre matinée...
Quand elle riait tout son corps vibrait ... quand elle se " recalait " ... je redoutais d'être étouffé ... mais c'était si grisant ... aussi !
C'est certain et je peux la comprendre ... pour ce qui est de " mon savoir faire " il faut bien admettre que mon" incapacité " au niveau de la pénétration étant sans retour , j'ai cherché , plus ou moins consciemment à être "utile " quand même ... sexuellement et je dois avoir quelques qualités sur ce plan ... je comprends assez vite ce qui convient à une maîtresse ... et c'est mon intérêt car j'adore être utilisé tant sexuellement que pour la toilette intime.
Oui ! Quand la pénétration n'est plus qu'un lointain souvenir ... il faut bien " compenser " un peu ... et puis être vaguement utile au plaisir vénérien de sa Maîtresse est quand même un peu gratifiant non ?
C'est probablement l'entretien à la banque qui l'a excité de la sorte ? ? ?
Prendre officiellement et financièrement pocession de son esclave ! Ce doit être excitant pour une Maîtresse.