Le blog de jip.pet

Ce mardi après midi, pas de travail avec Norma ou Nadia  et entre  des bottes à cirer et des sous vêtement à laver à la main  ( je lave ainsi, manuellement les petites culottes, bas, collants, soutien-gorge, et quelques bustiers de mes deux Maitresses ... et aussi  les chaussettes, caleçons ou slips de leurs maris et/ ou amants !... Robert, Jacques et quelques autres....

je ne suis pas " dépaysé " : je l'ai fait pour ma précédente Epouse et ma belle-famille d'alors   )... j'ai été appelé par ma Maîtresse  en plein après midi ...

Je ne dis pas que c'est rare ... pour l'instant je manque de recul en ce domaine, c'est que  je manque d'expérience de la chose, voilà tout  :

en journée je travaille avec les Soeurs et la semaine dernière, par exemple, après le travail à l'extérieur, je me trouvais souvent chez la mère, au château, plutôt  que dans la maison voisine, chez la fille...

D'ailleurs lorsque j'ai été appelé, précisément j'étais chez Madame Mère , sur les nombreuses bottes et sur une variété de sous vêtements ... pas seulement ses propres bottes et ses seuls dessous (  je commence en effet  à prendre l'habitude de travailler sur une catégorie d'objets avant de passer à une autre, par exemple tous les sous vêtements sont réunis chez l'une ou chez l'autre et " traités " ensembles ... c'est Roberto qui m'a donné l'idée et même si pour bottes et chaussures c'est un peu plus compliqué, je tend de plus en plus à m'organiser ainsi  ... il faut dire aussi que la profusion d'articles : sous vêtements et chaussures... rend la chose possible  sans " rupture de stock " )

... Bref mon téléphone a sonné  et je sais maintenant que je n'ai guère plus de dix minutes, tout compris, pour gagner l'endroit où l'on m'appelle, lorsque ce n'est pas une pièce de  la même maison ...

Je dois donc abandonner sans délai ce que je suis en train de faire, sauf s'il y a un ordre de priorité ... en cas de doute j'en réfère à la personne qui me convoque ... mais là, j'avais juste à me précipiter vers la chambre de Joy comme elle venait de l'exiger ... très sèchement ...  ( et je n'ai pas compris pourquoi de suite ) 

 

Quand je suis entré dans  sa belle et lumineuse grande pièce, elle était de dos , dans les bras de son amant... C'est que lui était face à moi, debout , solidement campé sur ses pieds et qu'il soulevait la belle de son bras passé sous la cuisse levée ...

 Elle , pied gauche en l'air donc ... avait l'autre  posé sur le siège d'un fauteuil de cuir massif et dans cette pose bien  indécente, son large fessier irradiait d'insolente beauté !! ...

Elle descendait et montait au rythme que le long  sexe  de l'homme lui imposait ... elle montait et redescendait sur l'inflexible chibre  et elle était si trempée sans doute que le glissement du long pieu dans la profonde caverne produisait des clapotis audibles dès l'entrée  du vaste espace ! 

- " Mets toi à genoux Hubby et lèche ma raie ! ... mon... mon  trou ... !! et .. et ... ooouuuiiii ! les c.. couilles de mon homme ...  OOOOOUiiihhh ... arghhh  c'est  bon  chériii !! " 

J'étais déjà le visage dans son cul merveilleux ... au milieu des senteurs  si peu policées qu'elles avaient envahi presque toute la pièce  ! ... elle avait déja joui... à coup sûr  ! l'endroit était trop incandescent  ... lui aussi avait joui ... c'était encore plus sûr : relents et bouffées de sperme s'imposaient rageusement ... 

Elle a joui si vite après mon  plongeon au coeur de sa raie ( qu'elle avait écarté à deux mains pour m'en faciliter l'accès ) que j'en ai éprouvé une certaine déception...

 Lui a joui rapidement ensuite, dedans et hors  de la gourmande féminité ... Sortant inconsidérement de l'antre féminin , il a dégouliné alors , giclé...  éclaboussé la voute majesteuse  des cuisses de la Femme...

... ce qui ne s'écrasait pas sur la peau soyeuse de son amante  giclait sur mon menton  mes lèvres, mon torse ... mais aussi  dévalait le long de sa tige et sur  ses propres couilles  et pour  un ou  deux jets... sur la moquette... 

Je dus lécher la fourche de ma Maîtresse... les parois de sa caverne... la  soie vibrante encore de ses cuisses, presque jusqu'aux genoux ... la hampe de Jacques, son sac boursier ... pour finir par la moquette, gris perle que le liquide gras avait rapidement noirci ...

Après ? 

Je croyais m'être acquitté correctement, et dans les délais, de ma tâche... et m'attendais , au pire, à être congédié sans attention particulière ... mais ça ne se passa pas ainsi ... 

Le téléphone, par exemple  posait problème ... et  doublement !!

... il sera bon  que je vienne en reparler , car cela m'a valu des ennuis que je ne prévoyais pas  et que je ferai tout pour éviter désormais ... quand vous saurez ce qu' il m'en a coûté vous le comprendrez !

  

- " Il va falloir que tu apprennes à utiliser  correctement ton téléphone Hubby ... "

...voilà le début de ce que j'ai entendu après un service intime qui me semblait avoir donné satisfaction ...

... voilà de quoi je repartirai dans mon prochain article ... car cette phrase est à plusieurs égards significative ...

Oui ! je viens d'écrire " hubby " et ce n'est pas la première fois que je retranscris ce mot ... car pas la première fois qu'il est prononcé par ma Maîtresse !!  

Et dans l'aflux de rumeurs et bruits qui parlent de mariage possible  ... il faut admettre que cela n'est pas fait pour calmer le jeu ... Joy prononcerait elle ce mot dans ce contexte ... si elle ne lui donnait pas de sens  ? 

Chercherait elle seulement ainsi à... me jauger... m'éprouver... me sonder ?                  

Mar 22 fév 2011 Aucun commentaire