Le blog de jip.pet
Je l'ai appris presque par hasard et à la denière minute !
... vous l'avez peut être perçu dans mon dernier article, mais je suis depuis hier soir sous l'autorité, la surveillance et le contrôle de mon vieux futur beau-père .
Dans un autre ancien article ( mais assez récent ) j'ai pris la peine de dire que cet ancien officier supérieur était aussi dominant avec les représentants de son sexe ... qu'il était soumis à la plupart des créatures du sexe féminin ... et j'ai raconté alors comment il me l'avait prouvé d'emblée !
Bien sûr, il a tenu à ce que je reste à proximité de lui quand je ne travaille pas à l'extérieur et j'ai donc migré vers le petit appartement que lui réserve Mareen dans une autre aile du bâtiment central, donc pas tout près de sa vaste chambre - qui n'est plus vraiment conjugale - et de la salle de bain personnelle de Madame .
Les Femmes sont donc parties vers les pistes enneigées hier dimanche en fin d'après midi... et aussitôt Maître Robert - il exige que je l'appelle ainsi - m'a trouvé " des occupations " .
D'abord le nettoyage et le rangement de sa chambre , son antre ... et de son bureau ! Depuis que je suis là je fais ça deux fois par semaine et c'est toujours le bordel : des fringues qui trainent partout, propres ou sales...
... des cartes d'état-major ouvertes sur son bureau, ou à même le sol, quand ce n'est pas sur le lit , des jumelles d'un côté , un boitier de l'autre ... ( l'homme fait souvent de grandes ballades à pied ... Il lui est même arrivé de faire venir Roberto un après midi rien que pour porter son sac à dos pendant des heures )
Hier il y avait une carcasse de poulet dans un plat et même deux ou trois os par terre !!... cela ne m'a qu'à moitié surpris ... il déjeune ou dine parfois " dans ses appartements " comme dit avec ironie sa femme .
Quand il m'a vu aller vers la poubelle pour jeter tout ça il a gueulé :
- " Eh ! couille molle ! ... je l'aurais fait moi même ! je te l'ai gardé pour ce soir ... moi je vais me finir une blanquette qui est au frigo... avec un bon Bourgogne se sera parfait, mais y'a pas pour deux et j'ai rien pour toi ! ... si tu veux pas jeûner ..."
j'ai marqué un temps d'arrêt et ... mal m'en a pris !... j'ai quand même fait glisser les reliefs de son repas dans la poubelle . "
Il m'a regardé intensément et j'ai senti aussitôt que j'avais fait une erreur... une grosse connerie même !
- " Fallait surtout pas faire ce que tu viens de faire " trouduc' " ! ... ça non !! fallait pas ! tu commences mal avec moi ! ... commence par ramasser ce que tu viens de balancer comme si je t'avais rien dit ... NOON BÂTAARD AVEC CE QUI TE SERT DE BOUCHE ! "
Et comme il avançait vers moi après avoir haussé dramatiquement le ton ... comme il s'était emparé d'une cravache d'équitation suspendue au mur j'ai plongé - bien à contre-coeur ... vous l'imaginez ! - mon museau dans la poubelle .
J'en ai extirpé la carcasse et quelques os pour les recracher dans le plat que j'avais toujours en main ... mais le vieux militaire était sur moi et mon obéissance immédiate ne l'avait pas calmé ... il était , comme souvent dans sa chambre, vêtu d'un pull over kaki de laine , mais nu à partir de la mi-fesses ses pieds étaient chaussés de ses chaussures de marche qu'il me faisait cirer deux ou trois fois par semaine ( parfois sans les quitter , à genoux devant lui ) ...
Je suis tombé lâchement à genoux ... sans laisser tomber le plat duquel la carcasse faillit glisser et j'ai dit
- " Oh noon Maître ! je vous en prie ! il faut m'excuser !! je... je ... "
Mais la cravache avait déjà mordu mes fesses ! ... par deux fois !... et la deuxième fois la carcasse avait " valsé "
- " Ramasse , et va porter le plat sur la table... gibier de potence ! après tu vas te mettre à plat ventre sur le tréteau et tu m'attends ! "...
il y avait un tréteau en effet ... Roberto m'avait dit que pour les punitions, " le Maître " comme il disait parfois, le faisait mettre à plat ventre dessus et liait ses chevilles et poignets aux pieds de l'objet... objet qui n'avait de positif que le fait d'être gainé de vieux cuir sur la barre où il fallait bien , la mort dans l'âme, s'allonger...
j'ai tenté un stupide et lâche " pitié Maître ! ",
...lâche... parce que je le suis !
... stupide parce que Roberto m'avait bien prévenu : " quand il voit que tu as peur de lui et que tu es prêt à faire n'importe quoi il se met à bander comme un malade ... là tu peux te dire que t'es fait ! ... Alors que par ailleurs il a de plus en plus de mal à bander !... tu penses si ça le mets en joie ..."
... je m'étais bien rendu compte que ses érections , n'étaient pas toujours ... enviables, et qu'elles étaient longues à venir ...
ET LA IL BANDAIT COMME UN JEUNE HOMME ! ... surtout après m'avoir donné deux nouveaux coup de cravache - en entendant le dernier témoignage de ma trouille et de ma lâcheté - cette fois sur les mollets !
Je suis allé m'allonger sur l'instrument de supplice ... j'ai eu du mal a caler mon bas ventre... pour que ma CB me gêne au minimum et j'ai trouvé le temps très long pour son retour !
Quand il revint, dans mon dos, je le vis d'abord dans la grande glace murale qui couvrait tout le pan de mur, juste en face de l'instrument de torture...( et cela n'avait rien d'hasardeux ! )
Il avait remplacé son pull par un simple gilet de cuir noir qui laissait voir sa bedaine blanche et lisse ( le seul endroit de son corps dépourvu du moindre poil) et aussi la masse de chair molle de ses seins au coeur de laquelle on distinguait à peine deux petits tétons pales ... il avait à la main un fouet court ... il s'accroupit, derrière puis devant moi pour fixer mes membres au pieds du traiteau ... quand il passa devant je sentis son haleine avinée juste sous mon visage ... je voyais aussi ses fesses en goutte d'huile et blanches et l'écartement de ses pieds, pendant qu'il se penchait vers l'avant, m'offrit une vue imprenable sur sa raie poilue ... il sentait la transpiration ... autre preuve de son excitation ( toujours selon Roberto ... et un autre soumis occasionnel qui m'avait aussi parlé de la peur qu'il lui inspirait ) ... j'ai pourtant tenté une nouvelle prière ... toujours plus répugnante et inutile ...
- " Tu perds ton temps pauvre larve ! tu n'as pas encore compris ça ? ...
à l'avenir tu m'obéiras ... tu verras ! ... ça t'aura au moins servi à ça ! "
Entre ses jambes maigres blanches et poilus fléchies je ne voyais plus que son braquemard dressé à mort et tout rouge avec son long gland violet et luisant ... parfois, dans cette position, l'odeur de sa bite et de sa raie ouverte l'emportait sur celle de transpiration ... quand il eut fini de m'attacher, il se mit un peu plus de côté leva un bras et m'ordonna :
- " lèche " ... il avait les longs poils de ses aisselles si trempés de sueur qu'ils collaient, par paquets , j'ai lèché , le coeur au bord des lèvres , le corps nauséeux ... il m'a tendu l'autre aisselle pour que je fasse la même chose, puis s'est levé mais sans s'éloigner de moi , fier de me mettre son érection sous le nez :
- " Embrasse ma bite sale chien ! Là ! juste tes lèvres sur mon gland ... en signe de dévotion ... peut être que tout à l'heure elle ira dans ton cul ... on verra ... mais je dois dabord te corriger pour t'apprendre l'obéissance et le respect ... je suis sûr que ma fille m'en saura gré ! "
Il disait presque toujours "ma fille" en parlant de Joy ... quand elle ne ratait jamais une occasion de préciser qu'il n'était pas son père !
Ensuite ... en effet il m'a fouetté !!! ... les fesses , le dos , les épaules .... les cuisses , les mollets ... j'avais l'impression que ça ne finirait pas ... ou que je tomberais dans les pommes tôt ou tard ! ... mais j'ai tenu...
j'ai crié , même si Roberto m'avait dit qu'il fallait éviter ( toujours cette idée de l'exciter au minimum ) mais comment faire !
Il m'a dit en s'éloignant , comme si rien ne s'était passé :
- " je ne te demande pas de me tailler une pipe ... je vais revenir tout à l'heure pour t'enculer ! tu m'as mis en forme lopette ! "
J'ai vu ses fesses balloter comme un sac pas assez rempli quand il s'est éloigné en disant :
-" Je vais couler un bronze et je reviens ! ... attends moi hein ! "
.... et ça l'a fait rire !
Repoussant et abject conviendraient mieux ... et dire que j'étais soulagé d'échapper à l'emprise de Franck ! ... dont tu sais combien il me faisait peur ...