Le blog de jip.pet

Non seulement je n'ai pu ni me laver les dents, ni utiliser mon flacon de bains de bouche - car comme je le précise dans mon article précédent mon tortionnaire m'a surveillé jusque sous la douche ce matin là ! - ... mais je me suis fait surprendre  en train de  chercher à subtiliser  deux euros dans la petite réserve de pièces  qui traine dans un mug, sur le piano à queue !!

Oui ! je vous ai pas dit : ce vieux porc joue du piano ... et se croit très bon !... mais c'est une autre histoire ! 

- " Ah  ben t'es un spécimen  toi !! Où m'a femme est allée chercher un zig comme toi bordel ?! ... putain ! ... mais tu peux dire qu'avec moi t'es bien tombé connard !... des bâtards comme toi, à l'armée  j'en ai cassé plus d'un  crois moi !  où a-t-elle déniché un chien galeux  dans ton genre ?...  mystère ! ... et sournois en plus !! T'as donc tous les défauts mon con  ! " 

 et il m'a rebalancé deux beignes ... dont l'une qui m'a fait siffler les oreilles pendant toute  l'heure suivante ... mais j'ai tout de suite  vu que ce n'était pas fini...

 Il s' est emparé d' une cravache posée  au bout du piano... une cravache  que j'avais remarqué, parce que très peu souple ... il m'a fait poser mon ventre sur la crête du tréteau  déja décrit ici, donc en travers, à l'inverse du dernier dimanche ... le but étant , je l'ai vu tout de suite , de casser mon corps en deux en présentant mon cul à hauteur des coups à venir, avec les membres pendant des deux côtés ...quelque chose de bien inquiétant et humiliant ! ... il ne m'a pas attaché les poignets et les chevillescette fois  ... simplement  UN poignet ... avec une paire de menottes , à l'un des pieds du tréteau ...

Etais je en progrès ? j' étais  mort de trouille oui ! ... au point d'être menacé de me pisser dessus , mais je ne l'ai pas supplié !.. enfin juste  vers la fin quand des sillons creusés se sont confondus avec ceux du dimanche amplifiant de ce fait ma douleur ... et puis à la fin  il y allait comme un sauvage !

...  j'ai aussi réussi à ne gémir et  pleurer qu'un peu vers la fin 

Je sentais quelques traces d'humidité sur mes fesses ... sans doute des sillons " revisités "  ou du sang avait commencé à perler et se trouvait ensuite étalé par la cravache .

Non je ne lui ai pas trop offert le plaisir et  la joie de me voir désemparé ... mais ce faisant, je me suis tellement trémoussé sous les coups ( je rappelle que je n'étais attaché au tréteau QUE par un poignet ) que j'ai bien failli basculer entrainant mon " support " dans ma chute... Une chute évitée de justesse par deux fois !!

Lui expliquer pourquoi il m'avait surpris  " la main dans le sac " ?... enfin je veux dire ... " dans  le  mug " ? ... peine perdue !

J'ai pourtant essayé de lui faire comprendre que je n'étais pas un voleur ... que dans ma situation , ça n'avait aucun sens ! que j'avais juste besoin d'une pièce pour m'acheter des bombons mentholés ... Que pouvais je faire d'ailleurs avec deux malheureux euros ? ai je ajouté pour crédibiliser mon argument ...

 -  " Ta gueule pauvre larve ! au total il y a sans doute au moins quinze euros dans cette tasse, et tu veux me faire croire qu'en la retournant tu voulais seulement prendre dix euros ?!! Tu crois que tout le monde est aussi con que toi ? ..."

... et ça m'a valu deux nouveaux coups... puis  une dernière phrase ...un peu  réconfortante , compte tenu de ma  situation ... malgré sa chute  :

-  Allez ! casse toi ! va bosser pour ta Maîtresse !... qu'elle puisse quand même espérer rentrer dans ses frais ... on finira de régler ça ce soir ! "

 

Le court chemin jusqu'au restaurant fut un supplice ... Douché, en plein air ...  je sentais encore d'avantage la puanteur de ma bouche ... je réfléchissais intensément au moyen  de masquer au moins un peu mon odeur ...Du coup je ne pensais pas  ... pas encore ! à la nouvelle menace du soir ...

A l'arrivée, devant le pâté de maison où étaient et le magasin et le restaurant, ma décision était prise : on m'avait confié une clé de l'arrière boutique, pour les jours où je ferais de la manutention , à des heures où la boutique ne serait pas ouverte... et bien j'irais chercher ces bonbons dont j'avais absolument besoin ...j'avais pensé juste avant passer par le restaurant ... demander une

" petite avance " pour cet achat  ... mais " ça tenait pas la route " je ne  pourrai

m'approcher de personne sans éprouver une honte insurmontable ... j'étais persuadé que je puais à ... " des kilomètres " !

 

Dans le magasin j'ai encore été imprudent ! ... tout ce liguait contre moi pour me perdre un peu plus ... alors que je n'avait pensé qu'aux bonbons ... il a fallu que je passe devant le rayon où trônaient dentifrice, brosses à dents et même bains de bouche !.. j'ai cru que j'étais sauvé ! .. bien plus surement qu'avec quelques bonbons ... j'ai encore eu une vague hésitation ... mais l'heure m'a rassuré ... pas un bruit... et personne ne reviendrait ici avant quatorze heures ...

 Je suis allé aux toilettes de l'arrière boutique , me suis mis en  tête de longuement me  brosser les dents, avec le matériel " emprunté " ... mais j'avais juste sorti la brosse à dents de son emballage cartonné  et ôté l'opercule du tube de dentifrice, quand j'ai entendu du bruit...   ça venait nettement  du rayon glaces et  surgelés ! ... la porte des toilettes était juste en face ... j'ai voulu voir ce qui se passait ... qu'elle était cette menace soudaine ... et j'ai vu Clara une glace cornet à la main qui refermait le  couvercle de la gondole !... Durant la fraction de seconde où j'ai cru qu'elle était  " vue " mais pas moi , j'ai voulu me mettre à l'abri derrière la porte ... mais sans doute la tache de lumière dans la pénombre ambiante était elle trop vive ... elle m'a vu  ... et regardé ... j'ai paniqué ... j'ai jeté emballage, dentifrice et brosse  dans le bac reservoir de la chasse d'eau ... j'ai juste oublié les bonbons sur la tablette  fixée sous le miroir ... elle est rentré ... elle a vu ces bonbons ...

- " Eh tu piques des trucs toi ! a ton âge ! "

Elle était si contente de son effet qu'elle ne pensait  même  plus que je l'avais vu le nez dans  le carré des glaces  et qu'elle en avait une en main !! et du coup elle me tutoyait  !

Si je pensais encore vaguement qu'après tout on était  " au même niveau " elle et moi tout c'est écroulé alors :

- "  Ben quand je vais dire  à Joy ce que fait son protégé ... "

Ma Maîtresse après la conversation sur skype , n'avait donc pas  pu résister longtemps à l'envie d'appeler l'étudiante...elle ne lui avait sans doute pas dit ce que j'étais par rapport à elle ... mais le mal était en marche ... le ver dans le fruit ! ... ses beaux petits yeux en amande se plissèrent cruellement  et elle s'approcha de mon visage , comme pour m'impressionner  d'avantage .

 - " Non ! vous ne ferez pas ça mademoiselle ! Je ne crois pas que vous soyez méchante  et ... "

- " Pouah ! tu te laves  jamais les crocs toi ? c'est pour ça que tu piques des bonbons à la menthe ? ahaha ! "    et elle léchouillait sa glace  avec volupté , jubilant sans doute de me tenir ainsi à sa merci ... elle avait un piercing sur la langue que je découvrais pour la première fois .

Moi , j'avais été tenté de me jeter à ses pieds pour la supplier ... comme  le fait si souvent   l'esclave que je suis, mais  j'avais pensé aussitôt  qu'il était bien possible  qu'elle ne   sache rien de ma vraie vie  et qu'il ne fallait pas bêtement  me mettre encore plus en difficulté...

 je m'étais contenté  de la phrase qui lui avait fait  prendre conscience de l'état de ma bouche ...

- " Qui sait si t'as raison de ne pas me croire méchante ! ahaha !mais pour l'instant tu vas me suivre ... tiens puisque tu as piqué le paquet prend un  bonbon ... je vais pas bosser pendant deux heures avec  un vieux à l'haleine de chacal ... j'avais pas   remarqué que  ta bouche était une bouche d'égout  ! ahaha !  "

 

Et elle m'entraîna  en me tirant par l'oreille comme un détestable gamin !

Sauf que dans l'affaire c'est elle qui n'avait pas beaucoup plus de vingt ans

 et moi facilement le triple de son âge  ... La honte ! oui encore une foi !

Je n'imaginais pas en quittant la propriété un aussi cauchemardesque scénario ... en entrant dans le magasin et en découvrant les produits d'hygiène dentaire , je m'étais même cru ... sauvé ... pour cette fois !

 

On était bien loin du compte !

Ven 4 mar 2011 1 commentaire
L'enfer pour un soumis, c'est que quoiqu'il arrive, il est toujours en faute, et n'a jamais le droit ou la possibilité de se justifier.
C'est super injuste, mais il faut s'y habituer.
Enfin moi, j'ai encore du mal
titou - le 04/03/2011 à 16h15

Oui ! injuste ! mais moi qui n'ai jamais pu supporter l'injustice dans les rapports sociaux , professionnels  dans " l'autre vie  " ... j'admets, je sais ... que l'injustice , voulue par une Maîtresse peut être un formidable levier ... au service de l'excitation  de la Maîtresse  ... et si c'est JUSTEMENT l'injustice qui galvanise cette excitation... cette recherche que je lis  que je bois ..; que je savoure  sur le visage de ma Maîtresse me mets dans un état d'excitation   très complémentaire ... mais là encore ce n'est pas du tout pareil selon la personnalité , la personne et son sexe  

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