Le blog de jip.pet

Au réveil je me suis dit qu'enfin je pouvais dire " demain "... à propos du retour de mes Maîtresses  et cela me rendit presqu'euphorique ..

Pourtant une nouvelle pipe matinale me fut imposée par le militaire ...

... et cette fois il sortit de ma bouche juste  avant  le début de son éjaculation  et  dirigea ses giclées gluantes  en direction de mon crâne ... de mes cheveux... qui furent bientôt imprégnés de filets blanchâtres et baveux...

Ensuite il ricana que " maintenant qu'il venait de m'offrir  le shampoing ... il serait bon que j'aille me laver, de la tête aux pieds "

Il m'annonça que Norma viendrait me chercher à huit heures, que je serai au magasin à partir de dix heures et demi .... et au restaurant  peu avant midi...

... il m'annonça aussi les "rotations" de l'après midi... 

C'était la première fois  de la semaine que l'information précise, le programme presque minuté me venait de lui ... cela n'avait en fait pas beaucoup d'importance ... 

Avant, c'était  des coups de fil ... de Norma ... de Nadia ... de la commerçante de la supérette... de la restauratrice, soeur de la précédente ...  qui m'apprenaient presqu'au dernier moment ce que je devais faire , ou quelles tenues seraient les plus adaptées ...

... mais bon ! tout ça n'était quand même pas très important ...

...sauf que cela laissait entendre une direction et un contrôle de plus en plus important de ce sale bonhomme sur moi ... et  aussi... et bien je préférais bien évidemment, quand je recevais, au fur et à mesure, mes ordres de chaque personne pouvant m'en donner ... par téléphone , à tout moment de la journée ( mon téléphone, je le rappelle  ne sert qu'à ça puisque je ne suis autorisé à répondre qu'aux rares Maîtresses  figurant à mon répertoire ) ...

Programme chargé donc, et dès le matin ... mais ça voulait dire aussi que je serais à coup sûr hors de la maison... jusqu'au soir ... et c'était toujours ça de gagné ! ... les heures passaient - lentement certes - qui me rapprochait de mes Maîtresses !!

Sauf qu'il y eut, à la mi-journée, DE QUOI CHANGER TOUTE LA DONNE A VENIR... ET LES PERSPECTIVES !... et que cela vint confirmer ce qui me tracassait ces jours ci , ce à quoi j'aurais aimé ne pas croire, en dépit de ce qui s'était passé le mercredi à la superette ...

 

Allez! je ne vais pas tourner plus longtemps autour du pot :

Clara, comme je le craignais savait des choses sur moi, sur ma véritable condition... des choses qui, hélas, ne pouvaient que lui venir de ma chère Joy !!

Et les minutes qui précédèrent le  début du service au restaurant furent, à cet égard, atroces pour moi  ( autant que jouissives pour elle, fatalement :

Elle m'entraina, vers midi moins le quart, dans  le cellier-cave , au fond d'une petite cour, au prétexte d'aller chercher du vin ...

Nous venions de déjeuner , comme le fait généralement le personnel avant l'heure de début du service  de restauration  ( moi je ne mange là que lorsque Norma ou Nadia me ramènent assez tôt ... ou, bien sûr, quand l'heure d'avant se passe au magasin )

J'ai bien essayé de faire remarquer qu'il y avait tout le vin nécessaire ... elle m'a coupé la parole sèchement " Dépêche toi ! "...

....intervention qui a surpris ... ou amusé, les autres membres du personnel (dont j'ai pu voir les échanges de regards ! ) ... j'ai déjà raconté, dans cet ordre d'idée, ce qui s'était passé  48 heures plus tôt ... je n'y reviens pas !

Je l'ai suivi finalement !... vaguement inquiet de l'attitude qu'elle avait de plus en plus envers moi ...

Dans la pièce fraiche et mal éclairée il n'y eut pas de préambule :

- " A poil ! Dépèche toi ! " elle me soufflait au nez une haleine légèrement avinée et nicotinisée !

- " Pour ... pourquoi ? Clara ... dites moi , je ... je ne comprends pas ! " 

- " Tu comprends pas ?  vraiment ? Tu veux que j'explique à ta patronne et aux autres ce que tu étais en train de faire quand je t'ai surpris, mercredi ? ... c'est ça que tu veux ? "

  Elle me fila une baffe , après une tentative pour ma part de me défiler encore ... et me subjugua par la dureté de son regard, ses narines palpitantes, sa main de nouveau levée, prête à frapper ... 

- " Dépèche !! on nous attends ! "

Je le fis la mort dans l'âme ! ... elle m'obligea à commencer "par le bas"... 

 et  se mit évidemment à rire quand elle découvrit... ce qu'elle savait qu'elle allait trouver  : que je portais une Chastity Belt !!... quand elle découvrit... l'état de mes fesses !

Elle me demanda ensuite d'ôter ma veste ... et découvrit l'état de mon dos !

- " Mort de rire ! allez !... rhabille toi minus ! j'en sais assez !  j'en ai assez vu ! ... maintenant on nous attends  ... et ne t'avise plus de m'appeler Clara ou t'en prends une ! ... je suis pas ta copine ".