Le blog de jip.pet

Dès mon premier aller-retour, chargé des premiers bagages  extraits de  la voiture , il n'y avait plus personne dans le vestibule ... j'entendais des bruits de voix, qui venaient sans doute du jardin d'hiver... et parmi ses voix il y en avait une masculine ... celle du militaire évidemment ...

 Pas fait pour me rassurer : c'est vrai qu'il avait été traité avec aussi peu de considération que moi, à l'arrivée des deux Femmes, comme je le dis à la fin du précédent article   ... mais la hiérarchie avait assez vite repris ses droits semble-t-il ! .... j'étais vraiment inquiet de ce qu'il pouvait être en train de leur raconter  ... j'avais beau me dire que ça ne portait pas nécessairement sur moi, que lui était principalement un " mari "... un beau-père ... je trouvais quand même qu'il parlait beaucoup ... et surtout qu'il les faisait rire... était ce à mes dépens ? c'est ce que j'entendis à deux ou trois reprises lors de mes  navettes  ...

Maîtresse Mareen m'appela au moment où j'étais en train d'en terminer avec ses propres bagages... Sa fille était là, assise, et me regarda avec un petit sourire qui me sembla un tantinet moqueur; elle  n'intervint à aucun moment  ... elles n'étaient plus que toutes les deux :

- " Sors également  le petit  sac de voyage de cuir fauve de ma fille et son vanity case ! Joy va dormir là cette nuit ... tu connais sa chambre ...

...tu disposeras ses affaires de toilettes, ses produits de beauté dans la salle de bains... pour le reste nous aviserons demain ...

Apporte nous , dès que tu en auras fini avec les bagages, un peu de saumon et de champagne dans ma chambre, ne traine pas... nous sommes fatiguées ... tu m'apporteras  aussi  l'épais et large  paddle, celui qui a le manche pourpre ... je suis pas foutu de me souvenir où je l'ai rangé  ... alllez file !! "

Joy allait donc  dormir dans la chambre de sa jeunesse , celle de l'époque où  elle ne possédait pas la propriété d'à côté ...

je savais qu'elle avait toujours sa chambre...

je savais quelle était cette pièce, ici, mais jusqu'alors elle était restée vide ...

J'aimais la perspective de servir mes deux Maîtresses dans un contexte quotidien, pour la première fois ...

... et en  même temps, je n'étais absolument pas tranquille :

... ce qui s'était passé  ces derniers jours et dont je ne pouvais espérer  de retombées positives ....

 un certain nombre de remarques depuis mon arrivée ...

.... pour finir l'évocation  du  paddle...  le plus redoutable.