Le blog de jip.pet
Quand je suis arrivé au restaurant le mardi huit, j'ai tout de suite compris que Clara allait me rendre la vie impossible !
Elle s'est arrangée pour que notre premier contact ait lieu dans l'arrière boutique , derrière les cuisines, là où nous avons chacun une armoire vestiaire, pour nous changer et avoir à portée de mains quelques petites affaires personnelles...
Au début, quand j'ai commencé à travailler là, je le rappelle, le tutoiement était de circonstance de part et d'autre... et la bise . J'ai raconté comment, ensuite, elle a exigé, publiquement, que j'utilise le vous " de politesse " ( alors qu'elle continue à me tutoyer... un " tu " pas le moins du monde affectueux !... oh non ! .... pas amical le moins du monde !! )...
Dans l'arrière boutique ce midi là ... elle m'a obligé à m'agenouiller devant elle et à embrasser ses pieds, cul levé , bouche sur la pointe de ses chaussures à talons...
C'était évidemment une première , et fort heureusement il n'y avait que nous !
C'est un geste assez courant pour un esclave permanent...
... pour moi.
... Si courant que je le passe souvent sous silence .... et du coup vous pourriez croire que je n'en parle aujourd'hui que parce qu'un lecteur a mis l'accent là dessus , la semaine dernière ...
Du coup ... oui !... j'avais évoqué dans mon commentaire ce dont je parle aujourd'hui, puisque, je le rappelle, cela avait eu lieu déjà... mais il faut bien voir que je ne raconte pas cette scène pour flatter les fétichistes du pied et des divers types de chaussures ( dont je suis )...
Il faut bien situer ce qui se passe ce jour là :
Une " vanilla ... ? "... ( certes de ça je doutais déjà beaucoup la semaine dernière ! d'où mon point d'interrogation hésitant, hésitation qui me correspondait assez bien alors ...plus aujourd'hui !! )... disons plutôt une belle nana que je NE connais QUE dans le monde " vanille " de mon nouveau boulot ... une jeune Femme qui m'a déjà foutu la honte publiquement dans les cuisines comme je l'ai raconté antérieurement ... Bref la sémillante Clara qui m'embarque dans l'arrière boutique ...Plus exactement, un local séparé de la véritable arrière boutique et qui ne
sert guère qu'à la demi-douzaine de personnes qui travaillent là, dont
nous deux . Si je précise maintenant c'est pour qu'on comprenne bien que la fille sait ce qu'elle fait ... de même elle va prendre soin de fermer la porte ... je veux dire un petit verrou qu'elle a sans doute manipulé très vite en tous cas à mon insu...
C'est un détail que je ne verrai qu'au moment de sortir et dans l'ignorance de ça, il va de soi que j'avais encore un peu plus les boules !
Imaginez moi ! cul levé face à terre ! ...
D'autant qu'elle m'avait fait " baisser culotte ", que j'avais le pantalon bouchonné, entravant mes chevilles... et donc, ignorant la fermeture du verrou, j'avais un peu plus peur encore d'être surpris ainsi !
Elle s'était appuyé contre mon armoire métallique, et pendant que je passais la langue entre deux orteils, selon le dernier ordre reçu, de son autre pied, encore chaussé celui là, elle m'appuyait sur la nuque, son talon griffant le haut de mon crâne !
- " Lève ton cul !... mieux que ça !"
Au milieu de la courte phrase, claquante, un coup de ceinture sur mes fesses pourtant déjà exagérement et ridiculement levées.
Ensuite elle voulut être déshabillée ... puis habillée dans sa tenue de service
Les dessous que je dus lui ôter étaient magnifiques ... elle me faisait la totale : porte-jaretelles ! bas et petite culotte " couture ", soutien gorge exquis, assorti à la culotte ... Toujours à genoux et si près de ses temples et sources , les effluves de ma tourmenteuse m'assaillaient avec force ...
Le plaisir évident qu'elle prenait à me torturer ainsi les accentuait...
Plus : l'anticipation...la manière dont elle avait imaginé, bien avant l'heure sans doute, ce qu'elle me faisait subir l'avait déjà fait fondre , avant même notre arrivée, j'en suis sûr ... son slip était déjà bien mouillé quand je le lui ai ôté...
Elle a voulu que j'embrasse sa vulve avant de lui enfiler son autre petite culotte ... plus ordinaire ... et qu'elle ne changeait semble t il pas chaque jour ... elle sentait un mélange de pipi et de mouille qui me rendait fou ...
Elle me tira par les cheveux et me gifla :
- " je t'ai dit d'embrasser ... respectueusement ! tu comprends ça ? "
et elle me gifla !
Elle me gifla encore sous deux ou trois prétextes futiles ... elle tapait fort .
Je compris qu'elle souhaitait que je me m'inquiète de ma mine : j'avais les joues en feu au sortir de la petite pièce et elle me refusa le temps de me regarder dans le miroir , de me " débarbouiller " , de m'arranger avant de sortir ... me laissant juste le temps d'enfiler, sur mes vêtements quelconque " de ville ", la blouse grise , tout aussi ordinaire que j'étais d'ailleurs le seul à porter ...
Elle rejoignit les autres après moi ... histoire de m'interdire un retour , même rapide au vestiaire ...