Le blog de jip.pet
J'ai changé les draps, et même les protections de sommier, de matelas...
j'ai fait le lit , nettoyé la moquette, passé l'aspirateur , aéré la grande pièce... activé un brule parfum...
... la pièce, quand les deux Femmes l'ont quittée, après leurs jeux anaux, ne sentait pas que le vomi, on s'en sera douté !
Toute trace de vomissures disparue, ma nervosité... ma honte ont un peu battu en retrait... j'ai pu respirer enfin ... me doucher même ! ... en attendant le retour de Murielle et de Bee...
A voir l'endroit, on avait maintenant le sentiment que rien de ce qui me faisait tellement honte et dont je savais devoir redouter les conséquences, ne s'était réellement passé, que ce n'était qu' un sale cauchemar... sans réalité... et pourtant ! malgré ma douche et un interminable lavage de dents, énergique et décapant, j'avais encore le sale goût de la pépite fécale de Bee au fond de la gorge... et comme rivée au palais !!
Que me réserveraient les deux Femmes après la terrible épreuve ?... Comme si ce que je venais de vivre n'était pas en soi une terrible punition !
Quelles probables funestes conséquences allais je devoir affronter ?... Pourquoi tardaient elles tant à revenir ? ... je les entendais rire maintenant ... pas très loin... mais sans rapprochement , pendant un bon moment ...
Que devais je faire ?... quitter la chambre ?... retourner dans la salle de bains ? ... c'est ce que je fis ... histoire de la rendre " aussi propre qu'avant usage " ... c'est ce que préconise Murielle qui n'aime pas que je me serve de " la salle de bains du Maître et des Femmes " ... mais la douche qui est dans le chalet de jardin est momentanément hors d'usage...
C'est là, dans la salle de bains qu'elle me trouvèrent !
Elle étaient vêtues pareils !! des combinaisons de cuir fin recouvrant la totalité de leurs superbes corps, moulant leurs épatantes rondeurs ... des chevilles jusqu'à mi-cou ... la fermeture éclair de l'entre-cuisses de la combinaison de Murielle était ouverte largement, de son bas ventre jusqu'à sa chute de reins , de l'autre côté...
C'était la seule différence... avec la couleur du cuir : Emeraude pour Murielle, rouge-vif pour la noire ...
- "Allez suis nous ! tu vas regretter ce que tu as osé faire ! crois moi !"
lança ma Maîtresse avec un regard noir qui ne me ramena pas à la sérénité !
- " un moment chérie ! "... Bee m'avait attrapé par l'avant bras... à m'en faire mal... puis s'adressant à moi ...
- " Donne moi ta brosse à dents toi ! "
Je l'ai fait ... elle l'a frotté de savon et me l'a passé énergiquement dans la bouche, sur les dents... en haut ! en bas ! ... brutalement ... sans ménagement , sans se soucier de me faire mal ou pas ...
Les bulles qui sortirent de ma bouche... puis la mousse savonneuse de plus en plus abondante qui débordait massivement des commissures de mes lèvres eurent le don de faire éclater de rire Murielle dont un peu plus tôt les beaux yeux me lançaient encore des éclairs terribles, en m'ordonnant de les suivre ... elle était d'une beauté ... fatale ...
Il n'y avait pas que le ridicule visuel de ma bouche faisant des bulles, puis toute écumante !... l'amertume savonneuse est une épreuve terrible que je n'avais que très rarement connu jusqu'alors dans ma vie !
J'en arrivai à regretter les lotions et décoctions des Soeurs Crav'Ach' .
Bee fit couler de l'eau dans un grand verre et me le tendit pour mon rinçage ... mais la chaleur de l'eau était à la limite du supportable ... et ne contribua pas le moins du monde à diminuer la quantité invraisemblable de mousse ... elle refit les mêmes gestes trois fois ... puis conclut :
- " Bon ! ça va ! tout à l'heure après ton châtiment, on te pissera dans
la bouche !... ça te débarrassera sans doute des dernières traces de mousse ! "
- " Du moins de cette mousse la ! " ricana Murielle qui s'était baissé pour me fixer aux chevilles des bracelets de cuir épaix reliés par une chaine non moins épaisse et assez courte ...
- " Allez ramène toi ! tu vas regretter de n'avoir pas su te tenir ! vieux porc ! " gronda Bee ...
J'ai eu quelques difficultés à suivre le duo dans l'escalier, avec mes chaines :
- la courte, entre mes pieds, qui fit un bruit sinistre sur le carrelage du bas,
- la longue à mon cou, reliée à mon collier de chien d'esclave, par lequel me tira Murielle, qui semblait maintenant très pressée et fort excitée de m'entraîner vers mon châtiment !
En tous cas cela allait se passer dehors , sous la petite pinède au fond du jardin ...
C'était clairement la direction que mes tortionnaires prenaient ... tout en marchant elles enfilèrent chacune une cagoule... noires les deux cagoules ! ... et comme sur la terrasse elles avaient moulé leurs jolis pieds dans des bottines ... plus un centimètre carré de leurs sublimes peaux n'était visible, d'autant que la fermeture éclair de l'entre-jambes se ferma aussi dans un étrange bruit ...
J'ai eu une vague idée de ce qui m'attendait quand j'ai vu sous les arbres le massif d'orties et le volumineux roncier... tellement menaçant !