Le blog de jip.pet
Ce titre ? Pour rappeler qu'au delà des vicissitudes et tourments extrêmes subies la semaine dernière, et qu'on a pu me reprocher de relater - parait il de manière trop triviale voire vulgaire - ma vie quotidienne est quand même, fort heureusement, celle d'un esclave conjugal, dressé de longue date et obéissant...
Je le rappelle parce c'est ce qui me permet de TENIR ... mais aussi parfois, à l'inverse de... PARTIR, quand cela devient insupportable, en dépit de promesses de " félicité servile "...
Celles et ceux qui me lisent assez régulièrement ont sans doute compris, dans cet ordre d'idée, pourquoi, par exemple j'avais fui à deux jours d'un mariage qui me promettait le bonheur servile, plus que tout ... une servilité sur des bases conjugales ...
Et si je suis amené à reprendre mon errance dans les temps à venir, encore faut il que les personnes qui s'intéressent à mon cas, quelles qu'en soient les raisons, puissent comprendre pourquoi ...et peut être que Bee tiendrait alors la place naguère occupée par Robert, le mari de mon ex propriétaire...
Si je ne raconte pas au fur et à mesure, impossible de comprendre ensuite ... ET PUIS SURTOUT : CE BLOG N'A DE RAISON D'ÊTRE QUE DANS L'EXPRESSION DE TOUT CE QUI FAIT LA VIE D'UN SOUMIS/ESCLAVE CONJUGAL - MOI - en chaque circonstance de la vraie vie ... IL VISE A EVEILLER DES VOCATIONS, A AIDER CERTAINS A FRANCHIR LE PAS ....
MAIS AUSSI A MONTRER LA DIFFERENCE ENTRE FANTASME ET REALITE ... ET DONC A DISSUADER D'AUTRES "AMATEURS " de franchir le pas ...
... faute de conviction et de détermination suffisante ...
Ainsi, ma vie a repris , "presque" normalement, au lendemain de ce cruel châtiment ... d'une FAUTE discutable .... mais INDISCUTABLE !!
Presque... car il m'a fallu apprivoiser une souffrance physique lancinante, qui, plus de cinq jours après demeure vive : impossible depuis de dormir sur le dos, par exemple ... mais il faut savoir qu'outre les blessures du roncier, j'ai terriblement souffert de démangeaisons consécutives à mon " bain d'orties " ... Je m'en suis arraché la peau à certains endroits :
sur le ventre, les cuisses ( l'intérieur surtout ) les fesses, la poitrine ...
... la " gratouille " a cessé , mais c'est encore récent, et pour la peau déchirée, j'ai dû supplier Murielle plusieurs fois, pour qu'elle soigne mon dos et mes fesses ...
Cela l'a d'abord fait rire, de me voir grimaçant, geignant, implorant ... cela titillait son indéniable cruauté :
- " Allez ! supplie moi donc encore lavette ! si tu voyais ton air ridicule ! ... tu es pitoyable ... vraiment ! ahhaaha ! "
... Et puis, même si elle n'a jamais exercé je crois, ses études d'infirmières l'ont incité à prendre au sérieux mes douleurs , et quelques lésions qui ne sont pas que des écorchures ... Depuis elle me soigne et mon dos va mieux, mais des jours ont passé, fiévreux... très durs .
J'ai passé de nouveau deux nuits " avec " ma Maîtresse, dans son lit ... celles au cours desquelles Maître Joseph n'est pas venu...
Les autres nuits ? j'ai pu vérifier, également dans les propos des deux amants, que Régis ne fantasmait pas ... Il y a bien un désir de " mettre en cloque "... Murielle ... ( si je le dis comme ça ... c'est parce qu'il arrive à Joseph... de le dire comme ça ) et " Elle " pour sa part " n'a pas de mots " pour glorifier son Maître d' " y avoir pensé " ...
La nuit dernière a été ma première bonne nuit depuis longtemps : j'ai d'abord fait jouir ma Maîtresse avec la langue, puis les doigts, puis elle s'est tournée , en " chien de fusil ", vers l'intérieur du lit et je me suis placé en travers, selon son ordre, corps perpendiculaire au sien, sur mon flanc droit, le visage pris dans l'étau de ses cuisses... " lèvres à lèvres " ... nez "fiché" au creux du cratère anal... mais là pas le moindre risque de nausée ...
... son anus, lorsque la sodomie ne vient pas y semer le désordre, est d'une fréquentation olfactive tout à fait délicieuse pour quelqu'un dans mon genre ... sa saveur n'est pas discutable non plus ...
... mais là, ma tâche était simple : léchouiller son sexe lentement, très lentement ... " sans insistance déplacée " selon ses propres mots ... et lui permettre de s'endormir en frissonant d'aise, l'air chaud de ma respiration irradiant tout l'espace de son mont de Vénus... buttant sur son entre-cuisses... remontant le long de sa raie culière... pour s'évader en fin de course le long de son exquise chute de reins ! ...
J'ai senti à sa respiration qu'elle s'était endormie et j'ai fait la même chose ... pour la première fois depuis de longs jours !