Le blog de jip.pet
D'anciens propos sur la question de la " bave d'escargot ", autrement dit du filet de substance séminale semi-liquide accompagnant de manière chronique l'excitation mâle, lorsqu'elle est doublée du refus de masturbation et d'éjaculation, m'avaient conduit à conclure, à l'époque,
qu' "aucune solution au problème ne semblait se profiler "...
... en tous cas rien qui puisse satisfaire Une Maîtresse exigeante, facilement exaspérée - chose bien compréhensible - par ce filet de pauvre (mais intarissable) liquide d'origine spermatique " pendouillant " presqu'en permanence au bout du gland d'un esclave brimé, frustré...
Je me souviens que, suite à un commentaire de " Christophe soumis ", nous étions lui et moi, tombés d'accord pour conclure qu'il n'y avait sans doute pas de solution satisfaisante, surtout en cas de port prolongé d'une Chastity Belt... pas moyen d'enrayer l'humiliant , le " scandaleux " écoulement ... humiliant pour celui auquel on dénie irrémédiablement tout plaisir... scandaleux pour les Maîtres .
Il est vrai que j'ai souvent constaté de la résignation sur ce point , y compris chez les Maîtresses les plus tatillonnes ... Punir l'esclave de laisser dans son sillage, ces fines traces translucides et visqueuses, n'empèche rien, ne mène à rien... si ce n'est une petite jouissance sadique, chez la détentrice d'un tel pouvoir... au moment du châtiment .
Et bien Murielle A SA solution !
Oh rien de bien original ! ... quelque chose de déjà usité et que je connaissais , sauf que dans des foyers où le mâle asservi et interdit d'orgasme est nu, par principe ou presque, la solution imposée par la nouvelle Favorite revient à écorner quelque peu le principe de nudité ...
Simple, si l'on admet le bien fondé du port d'un vêtement de taille dérisoire...
... et dérisoire, ridicule même, à tous les points de vue ... celui ci l'est assurément...
Murielle m'inflige le port d'un slip... une culotte de Femme bien couvrante, un modèle année 60/70 qui fait disparaître l'aine, mais sans la forme du boxer, ou du boxer-short par exemple ...
Oui ! c'est bien d'une petite culotte qu'il s'agit, un modèle arborant quatre ou cinq lignes de fronces ou mini-franges parallèles à l'élastique de ceinture... l'étroitesse de la fronce donne l'impression de volume... ce qui de loin, enfin juste avec un peu de recul ( je m'en suis rendu compte sur des photos faites par Jenna avec son portable ) donne l'impression que je porte une culotte légèrement bouffante, voire une couche ...
Quand je dis " ridicule à tous les points de vue " je ne pense pas exagérer.
Ces slips sont noirs, mais les fronces sont roses et le liseré qui les borde est rouge pour l'un, jaune pour le deuxième, mauve pour le troisième ...
Oui ! Murielle a mis à ma disposition trois petites culottes de Femme semblables.
Je les connaissais, avant qu'elle ne me les impose :
Régis, son cocu légitime les a porté avant moi et pour les mêmes raisons !
Elles sont juste un peu plus ridicule encore sur moi... car j'ai la silhouette un peu moins fine que le mari de la Belle .
Pour les mêmes raisons oui ! ... car il ne faudrait pas oublier l'objectif de Murielle : Empêcher l'esclave de " goutter " ... de laisser des traces de
" sa libido dérèglée " ( dixit Janice ) qui permettent de le suivre à la trace et " salopent tout au passage " ( selon ... l'avis général ! )...
Objectif évidemment atteint, et - forme et aspect des culottes obligent - en n'étant pas moins ridicule que nu ( puisque, faut il le rappeler , avec la cage de chasteté, la nudité n'est jamais parfaite )...
Mais pour Murielle ce n'est que la première partie d'un objectif... " plus ambitieux " a cru déceler Joseph... Moi je dis ... plus vicieux !
C'est Cocu lui même qui me l'a fait remarquer :
Les culottes sont de coton noir ... Et alors ? ...
... le coton absorbe, capture le visqueux liquide séminal, que la couleur noire révèle à l'oeil : en séchant " la bave d'escargot " blanchie, marque le fond noir du tissu ! La quantité de traces renseigne sur ... le niveau d' "agitation cérébrale ", de pensées vicieuses et de frustration du " malheureux " ( comme disent Maître et Maîtresses ... qui ne sont pas avares d'efforts quand il s'agit d'élever ce niveau !!... )
Conséquence ... attendue , espérée par ces Dames, et qui me concerne...
oh ! combien :
Au moment de faire le point sur mes comportements, attitudes, activités de la journée, Murielle, en général ( même si d'autres sont en train de s'ériger en juge ces jours ci ) regarde, examine l'intérieur de la culotte ...
Si les traces blanchâtres et sèches sont nombreuses... inutile de préciser que je serai inéluctablement puni, comme l'a été avant moi le mari de la Belle, qui n'a pas eu besoin d'insister longtemps, auprès de moi, sur l'intérêt, pour elle, de la couleur noire du sous vêtement !
Lui était PUNI PAR L'AMANT RéGULIER de sa Femme ...
Régis m'a expliqué que, depuis quelques mois seulement, son épouse avait un amant " régulier "...
Il en avait souffert ... sa peur d'être quitté avait augmenté et déjà ce mélange de désir et de crainte qu' " Elle " ne tombe enceinte l'avait tenaillé ( car... oui ! il en avait été question... déjà ! )...
L' "avantage" de ce premier amant régulier dans leur vie de couple ?... (c'est ainsi qu'il voyait les choses) c'est que cela l'avait " habitué " à ce qu'il vivait maintenant et qui, pour le coup, lui paraît - à juste titre - très dangereux : Un amant régulier qu'elle aime et qui la domine ...
Le précédent, qu'elle ne voit plus, bien sûr, n'était pas un dominant ... et surtout elle était tout juste " accro... à sa grosse bite " ajoute invariablement Cocu quand il évoque la chose ... mais " pas amoureuse "...
Il a bien compris qu'avec Maître Joseph on était dans tout autre chose !
Bref, ce que Régis retient surtout à propos de ce " queutard " comme il dit, c'est que l'homme qui baisait sa Femme, éprouvait également beaucoup de plaisir à le corriger, pour les traces laissées par son vain désir sur le désespérant tissu...
Sa Femme assistait, bien sûr, à la correction après l'avoir dénoncé ...
... elle y prenait pas mal de plaisir, ajoute toujours Cocu quand il en parle ... et moi je le crois volontiers !... car c'est ce qui se passe quand Maître Joseph me fouette pour ce motif ...
Elle me dénonce dès qu' il arrive, quand elle a le bonheur de découvrir les traces " suspectes " ( en fait, plus précisément, les preuves de mon vain désir lancinant ! )... et elle assiste au châtiment, confortablement calée entre les bras épais du vieux fauteuil du cuir fauve .
Cela la fait mouiller plus ou moins ... et l'ouvre , comme l'apéritif qu'elle prend alors, le plus souvent, aux choses plus sérieuses qui vont suivre , dans les bras de notre Maître...