Le blog de jip.pet

Les  trois articles précédents n'ont pas beaucoup d' "unité". Ils proposent cependant un certain RETOUR à la " normalité ", APRèS le paroxysme quasi-scatologique et le supplice au milieu des orties, des ronces ( paroxysme VéCU - c'est pourquoi je le raconte,  désolé pour les déceptions que cela provoque parfois - )... C'est cette unité qui explique leur réunion ... A B C . 

  

Oh ! une " normalité " très relative, puisque les relations  et comportements 

" vanillas " sont exclus de ma vie quotidienne... Mais c'est cette... EXTRAORDINAIRE BANALITé... cette EROTIQUE ROUTINE,  qui ont repris leurs droits dans les trois articles précédents . 

Ainsi, il me semble utile de revenir à ce qui fait la " couleur " les " saveurs ", les " odeurs "... et toutes  les spécificités d'un parcours comme le mien...

... et pour en pointer du doigt l'unité, la cohérence, je réunis de nouveau les quelques articles à venir en " parties de... ".

 Voilà pour le(s) titre(s) .

 

HIER, J'AI FAIT UNE GROSSE BÊTISE  : j'ai profité de l'absence de Maîtresse Murielle  pour laver la petite culotte qu'elle me fait porter par dessus ma Chastity Belt.

C'était tentant aussi !  : je savais qu'elle serait absente trois bonnes heures .

 Il faisait beau et chaud, la petite culotte serait sèche en un rien de temps et je pourrais la renfiler, bien avant son retour ... ou même  quand j'entendrais sa voiture. Mes tâches de l'après midi seraient toutes du côté de l'entrée principale et personne ne pourrait pénétrer dans l'antre sans que j'en sois alerté ... même à pied : le portail comme la petite porte latérale grincent énormément , et chaque arrivée, même lorsqu'il n'y a pas de bruit de moteur  est " signalée "...

Oui !... " mes tâches de l'après midi " ... sauf qu'il fallait commencer par laver cette maudite culotte et que j'ai opté machinalement pour la buanderie dans le but de  le faire... local adapté évidemment, mais qui se trouve de l'autre côté de la maison, côté sous-bois, roncier et tout et tout... côté insonorisé, aussi, à l'écart des bruits de la rue...

 Oui , j'aurais pu utiliser n'importe quel lavabo, voire même l'évier de la cuisine...

... non je n'imaginais pas une visite suivant d'aussi près le départ de ma Maîtresse...

 

Janice adore surprendre, mettre en difficulté soumis et esclaves, je m'en suis déjà rendu compte... elle tient à marquer aussi souvent que possible son statut de Maîtresse de maison, sa légitimité d'Epouse du Maître...

Mais s'il y a bien quelqu'un que je n'attendais pas à cette heure, et ici, c'était bien elle !  

- " Eh bien " centsept " tu en fais de ces choses quand ta Maîtresse croit tranquillement qu'en son absence tu effectues les tâches qu'elle attend de toi ! "

Je me retourne au son de sa voix ironique , au timbre métallique ... Je me retourne comme  sous l'effet d'une gifle !... L'Epouse du Maître est là, mains sur ses hanches... jubilant de l'effet produit par son intrusion si " discrète " !

... elle a ôté ses chaussures à talons , preuve qu'elle cherchait bien à

" piéger " ! ...  elle en  tient une dans chaque main sur chacune de ses  hanches rebondie, et,  frottant énergiquement comme j'étais en train de le faire, avec la petite brosse, pour obtenir la  disparition totale des traces blanchâtres, je n'ai pas le moins du monde entendu de bruit dans la maison.  (  les traces visqueuses spermatiques  s'incrustent dans le tissu et sont  impossibles à faire disparaître sans frotter, je suppose que tout le monde ne sait pas ça )...

 Ah ces marques qui valent aveu de mon excitation coupable et de mes  

 " mauvaises pensées " redondantes... Voilà qu'elles m'ont  finalement poussé à la faute ... car je réalise immédiatement  MA FAUTE ...  et l'exploitation qui va en être faite... croyez moi !... Il n'est que de voir la façon dont Janique exulte sans grande discrétion !... 

 Oui ! ... il suffit de regarder l'air amusé de Janice ... air amusé d'abord ...mais  soupçons de cruauté immédiats !   Elle fait un pas vers moi, fait passer les deux escarpins dans sa main droite  et me gifle violemment de sa main libérée...

Plus le moindre sourire d'un coup !... ses yeux froncés comme des meurtirères, et les ailes de son nez qui palpitent  témoignent de son état d'esprit...

- " A genoux esclave ! face à terre !  baise mes pieds  ... excuse toi ! " 

Je m'exécute, coeur battant . 

Je sais que je viens de me mettre dans le pétrin... 

J'invite celles et ceux qui  en seraient à leur première lecture ici, et  comprendraient mal la situation, à lire en particulier le précédent article... cela rendra compréhensible aussi cette histoire de culotte de Femme que je porte sur ma CB... et de traces blanchâtres quand elles sont sèches ... traces si dures à faire disparaître... traces qui révèlent  " la lubricité permanente " de mes pensées selon ces Dames ! 

Oui , j'étais bien dans de sales draps et ce que j'étais en train de faire , dans le but de minimiser les effets de mes " mauvaises pensées " et d'une excitation toujours perçue comme coupable, allait produire tout l'inverse... 

J'ai baisé avec une ferveur implorante les beaux pieds poussiéreux de la Femme du Maître ...

 J'ai levé, au bout d'un moment,  mon regard vers elle, faute d'une manifestation...  d'un nouvel ordre de sa part ...

 Son visage impassible  , à la verticale de ses pieds un instant délaissés me toisait...

- " Qui t'a dit d'arrêter vermine ?! "...

... et de la plante d'un pied  qu'elle posa sur ma nuque,elle me fit reprendre mon action ...

- " Lèche ma plante de pied maintenant  ! avec cette chaleur ça me fera du bien ! " ... elle avait les pieds humides de transpiration, et les jolies escarpins très découverts qu'elle portait à la main, avait laissé passer sans difficulté toute la poussière de l'allée centrale, entre autre ...

- " Lèche entre mes orteils ! ... hmmm ! c'est bon !  " ...

...  elle en profitait pour tourner la chose  en partie de plaisir ... mais je savais qu'elle n'oublierait pas  ce qui avait provoqué ses exigences  .

Je dus m'occuper tour à tour de ses deux pieds puis les masser ... elle s'était assise dès qu'elle avait exigé que je lèche entre ses orteils...  

 

J'étais vraiment  dans une situation bien délicate ... que le plaisir sensuel  de m'occuper ainsi des pieds de Janice  ne me fit pas oublier ...  

Il me faudra en reparler  au plus vite ... dès la deuxième partie de ce récit . Mais , encore une fois, des tâches qui sont mon quotidien d'esclave dommestique et intime m'appellent.              

Jeu 19 mai 2011 Aucun commentaire