Le blog de jip.pet
Ce que j'ai au moins gagné, avec cette histoire de petite culotte souillée
par mon indiscrète bave séminale, que j'ai, pour mon malheur, tenté de dissimuler ( voir articles précédents ) c'est que durant les heures éprouvantes sexuellement, pendant lesquelles, j'ai honteusement " bavé " en servant... massant... léchant la Femme légitime de mon Maître... ben !... au moins je n'ai pas taché de slip !!...
Non ! puisque durant le plus clair de cet après midi je n'ai rien porté sur ma Chastity Belt !...
Oui !! la plastique obsédante, le corps épatant et les attitudes plus ou moins directement allumeuses de la " légitime " de notre Maître ont bien généré ma " bave " séminale... mais en l'absence d'écran de coton, si j'ai dû me soucier de ne pas en semer un peu partout, puis , n'y parvenant pas ... de faire disparaître les honteux filets, sillages révélateurs de tous mes déplacements ... - et ce, comme dans les moments les plus délicats - au moins n'ai je pas eu le souci des taches révélatrices et accumulées sur le tissu, destiné d'ailleurs à me coincer !
Il m'a suffi d'enfiler un des deux slips restants , suffisamment longtemps avant le probable retour de Murielle... - mais pas trop pour ne pas le tacher - afin de ne pas risquer trop vite de nouveaux ennuis ... avec elle ! Mais restait le problème de la missive dénonciatrice de Janique !
Quand ma Maîtresse est rentrée je suis allé l'accueillir sur le perron...
Elle était en robe d'été très courte , à bretelles - autant dire que les seules régions anatomiques couvertes allaient des aréoles de ses seins opulents jusqu'au milieu de ses cuisses, et encore pour les cuisses ... c'est plus de la moitié qui était à découvert -... Je me suis donc rituellement agenouillé derrière elle , attendant qu'elle tende son sculptural fessier vers mes lèvres ( c'est ainsi que je dois la saluer quand elle est en robe ou en jupe ... c'est désormais bien établi : un baiser appuyé sur chaque fesse divinement bombée ) mais c'est un pied qu'elle m'a tendu, posé sur l'arrête d'une marche ...
Visage au sol et cul levé, j'ai donc baisé tour à tour chaque coup de pied... C'est un rituel habituellement plutôt réservé aux moments de port d'un pantalon !...
Mais cela m'a permis de voir , en contre-plongée qu'elle ne portait plus la petite culotte de soie sauvage, hors de prix, qu'elle avait en partant ... Cette culotte, justement, elle l'a sortie de son sac et l'a jetée sur une chaise dès son entrée dans le vestibule , puis , alors que j'étais toujours à genoux , la suivant comme un toutou, elle m'a plaqué la tête sur son sexe odorant et... fort crémeux !! ...
Elle n'avait pas fait que déjeuner avec Joseph : son vagin était encore débordant du sperme de l'heureux homme , et elle tint à ce que ma langue fasse son oeuvre réparatrice avec application ...
... elle avait du ôter sa culotte dans la voiture, et en quelque pas l'abondante semence du Maître non encore évacuée, avait dégouliné le long de l'intérieur des cuisses de la trop sensuelle ! Il me fallut un moment pour faire disparaître la consistance visqueuse de toute la peau de ces régions délicates ! Moment délicieux pour moi maios qui n'était pas sans conséquence sur la tenue de ma queue dans l'espace étroit de la CB !
Un fois terminé, elle attrapa sa culotte bouchonnée, l'ouvrit, afin de poser l'entre-jambes imbibé de sperme sur mon visage , mon front, le sommet de mon crane !... et cela la fit rire .
Puis elle partit dans un mouvement léger de robe vers la terrasse... robe dont elle se débarrassa d'un seul geste, en pénétrant dans le cadre de la porte vitrée menant vers les chaises longues ...
- " Ouf ! je suis épuisée et je meurs de soif... j'ai envie d'accentuer un peu mon bronzage, tant qu'il est encore temps !... apporte moi donc un grand Perrier citron !... et elle s'étala de tout son long sur le ventre avant de prendre le verre que je venais de lui remplir aussitôt ...
- " Lèche mon cul maintenant ! il poisse lui aussi ! " ...
j'ai terminé mon travail intime désormais " routinier " en écartant ses charnus hémisphères de mes mains ... naturellement je me suis senti bander, un peu plus ! enfin ! autant que faire se pouvait sous le carcan de la CB et sous le tissu du slip !
- " Rien à signaler " centsept "?
- " Non !... enfin ... si !! Maîtresse Janice a laissé un mot pour vous ! "
- " Alors pourquoi ne l'ai-je pas encore en main ? "
- " Désolé Maîtresse ! je n'y pensais plus ! je vous l'apporte ! "
Elle a lu pour elle même ce qui la concernait... et à haute voix les quelques lignes qui traitaient de ma " faute " ... et dans un sourire ironique , a souligné qu'elle comprenait mieux pourquoi je ne m'étais pas précipité pour lui remettre le mot...
- " Va me chercher un bouquet d'orties ! " ...
... son sourire s'était encore élargi .
- " Oooh non Maîtr ... "
- " Tu veux que je demande à ton Maître de te corriger ? !!... c'est ça que tu veux ?! ou tu comprends qu'il vaut mieux qu'on règle ça tous les deux ! "
Le ton ne se prétait pas à la discussion ... la question n'en était pas une !
Je suis allé cueillir le bouquet d'orties, où vous savez ... cela ne faisait pas encore dix jours que j'y avais souffert le martyre ...
Par ailleurs, elle m'avait refusé l'autorisation d'enfiler des gants de jardinage ... ma nouvelle punition a donc commencé par la cueillette !!
A mon retour elle m'a fait allonger, sur le ventre, au beau milieu de la longue table de la terrasse après avoir ôté mon slip ...
... constat désespérant , le tissu intérieur était déjà tout " baveux " ... et même une goutte était en train de perler sur le devant , sur le renflement provoqué par la CB ...
... la bave provoquée par tout ce temps passé à la servir, à honorer son corps ... à n'en pas douter !! Elle le remarqua ...
- " Sale vicieux ! ça ton Maître le saura ! crois moi ! "
Elle avait vraiment l'air en colère ! ... mais cela ne l'empêcha pas d'enfiler les gants de soie, d'attraper le " bouquet " et de commencer à me le " promener " sur les fesses, le bas du dos , les cuisses ... parfois elle cessait de faire glisser les feuilles urticantes, d'en parcourir ma peau , pour m'en frapper... mais elle se rendit compte que cela faisait moins d'effet ... et détériorait plus vite la gerbe... alors elle se remit à
" carresser " ma peau avec ... pour accentuer brulures, démangeaisons !
Heureusement Joseph arriva ... cela mit un terme légèrement prématuré au châtiment, même si, face à nous deux :
... elle sévissant rieuse, moi subissant résigné...
il s'intéressa d'abord à l'état de mes fesses , de mes cuisses, semble t il rosies et toutes cloquées ! Il posa le plat d'une main au milieu de mes fesses, riant à son tour, accentuant l'irritation, pour moi ... et il rit , jusqu'à ce que sa belle vint plaquer ses lèvres sur sa bouche ... Dès lors je cessai d'exister pour lui ... et l'enthousiasme avec lequel il manifesta son désir me rendit bientôt " transparent " .
Et cela...y compris aux yeux de la Femme de Cocu ...
Mon utilité ne leur apparut de nouveau qu'un bon moment après ... quand ils m'appelèrent de la chambre pour leur toilette intime ... Entre temps j'avais été très occupé à me gratter les fesses, tant elles sont maintenant
" sinistrées " : les cloques du jour deviennent rapidement des griffures et des plaies sous l'action de mes mains , de mes ongles , impossibles à réprimer ... des lésions qui s'ajoutent aux blessures précédentes , vieilles de près de dix jours mais pourtant pas encore entièrement cicatrisées ...
Non vraiment , je n'ai pas le souvenir d'avoir déjà eu les fesses dans un tel état !
Mais " faire creampies " , pour Maitre Joseph et sa Favorite revient " à prendre du fortifiant "comme ils disent ... et alors là, côté production ... mon Maître me stupéfie : Ce soir là quand ils m'appellent, il a déjà honoré les deux temples intimes de son amante ...
... quand je l'ai léchée, tout à l'heure , son intimité débordait encore des " coups de queue " de l'après midi .