Le blog de jip.pet

Oui ! pour la première fois je viens d'être cravaché  sur les couilles dans des conditions très délicates et je confirme qu'il s'agit d'un vrai supplice, avec de tels instruments .

J'étais allongé sur une table basse, sur le dos, jambes séparées, écartées et retenues par les chevilles, attachées au plafond ... mais mes chevilles n'étaient pas seules ainsi suspendues : entre mes cuisses ouvertes , un serre-couilles d'une trentaine de centimètres de longs, faisant penser  à ces vieux cintres, de type  " pince-pantalons " sauf  que,  dépassant des tablettes de bois il y avait mes couilles pourpres, presque violettes, gonflées et couvertes d'une peau, celle du sac boursier,  si tendue q'elle en était toute lisse et luisante, brillante !! 

Plus rien de l'image habituelle  des bourses libres à la peau plus ou moins granuleuse !! 

Image atroce ! ( j'en ai revu depuis des clichés pris par Janice et Murielle avec leurs mobiles et vous assure que je ne suis pas  dans le superlatif destiné à cultiver la sensation  )...  la suspension plafonnière était assurée par deux filins tendus, partant des deux extrémités des planchettes et... pour moi, douleur à l'unisson, avant même les premiers coups de cannes et de cravaches :

Adeline qui avait pris la direction des opérations  et  supervisait tout ordonna , quand tout le monde fut là, de " mettre un peu de mou " dans la suspension des chevilles... ce qui, pendant un bref instant fit retomber l'ensemble de mes fesses - et pas seulement mes reins - sur la table ... mais hélas le soulagement n'était pas le burt de l'opération :

Pendant que Janice semblait me ménager en rallongeant la cordelette des chevilles, Cucky suivant lui aussi les instructions impératives d'Adeline tirait sur la corde actionnant et relevant le pince-couilles.

Ainsi dans les trente secondes suivant le retour de mes fesses sur la tablette, mon bassin remontait ... MAIS CETTE FOIS LA SUSPENSION SE FAISAIT INTEGRALEMENT PAR L' "ASPIRATION " DE MES COUILLES !  

Si vous imaginez leur extrême sensibilité liées aux 15 jours de déni d'orgasme ( série en cours ) comme aux  " allumages " et excitations  aussi permanents que vains ... vous pouvez avoir une idée de la rudesse de l'épreuve ... il faut néanmoins ajouter la violence de l'étirement !

Jenna à son tour prit une photo , fascinée qu'elle était par la " bonne  douzaine " de centimètres qui sépara alors la racine de mon sac boursier du pincement  de mes " blues balls " ... Il n'y eut évidemment  pas d'arrachement, mais chez moi la peur ... l'affolement m'étrignit  jusqu'à la fin du supplice... parvenant presque à me faire oublier la douleur des coups  ! 

Car... oui !  après avoir été ainsi soulevées , mes pauvres boules honteusement exhibées furent  frappées par trois des quatre Femmes présentes ( seule Adeline ... responsable de tout, se dispensa de prendre un instrument punitif )

 Jenna utilisa  un petit martinet à très fines lanières de cuir qui irradia l'ensemble de la zone à " corriger " , Janice préféra une cravache qui me fit atrocement souffrir du fait de son manque de souplesse ... - je me suis même quasiment évanoui sous ses coups - ...quand à Murielle, quand j'eus retrouvé mes esprits, elle eut la perverse idée d'aller cueillir un bouquet d'orties pour le même usage ... ( je l'ai compris avant même qu'elle ne sorte de la pièce ... elle avait enfilé des gants  qui ne laissèrent aucun doute sur son intention  à mon égard ...)

 Maître Joseph tempéra pourtant les ardeurs  de ses Femmes !... par exemple il insista pour que les orties ne soient pas " promenées " sur mes couilles ... pour que Murielle privilégie mes fesses , le bas de mon dos ... 

....( ah mes pauvres fesses qui, d'une correction sur l'autre, ne s'en remettent pas !! ... elles sont dans un état ! ... je suis pris régulièrement de "gratouilles"  incontrôlables qui on trasformé le gras de mes fesses en champ de bataille )   ce qu'elle fit une minute ...mais hélas pour moi, par deux fois le téléphone de Maître  sonna et il s'écarta quelque peu de la scène ... oh ! assez peu à chaque fois ... mais suffisamment pour  qu'échappant à ce garde-fou qui était mon seul réconfort, une Femme comme Murielle  se lache  sans retenue !... Elle m'infligea  donc un surcroit de douleur qui me fit un instant penser que j'allais de nouveau perdre connaissance ... mais surtout elle s'ingénia,

 comme chaque fois, à provoquer les conditions de tourments et d'inconforts  récurrents...

Régis avait raison : son Epouse Adorée n'était pas qu'une  " candauliste invétérée " ... elle avait en elle  une cruauté qui lui procurait de belles jouissances chaque fois qu'elle parvenait à l'exercer ...

 Quand je fus détaché, enfin,  c'est moi qu'elle emprisonna en premier entre ses cuisses et sous ses fesses, et je pus vérifier combien ses chairs intimes poissaient, combien elle avait répandu de cyprine pendant  mon châtiment !!

En tous cas j'espère - mais sans trop y croire - ne plus vraiment subir ce genre de supplice, ou avec beaucoup de parcimonie, car c'est vraiment très cruel et infiniment douloureux  

... je dis " sans trop y croire " car j'ai vu le plaisir qu'y prenaient tant Jenna que Murielle ... deux Femmes que cherche à séduire ouvertement Adeline, les deux Femmes de Maître Joseph les plus réceptives ...

Adeline a  " fini la leçon " en me disant :

- " Si tu veux éviter ça à l'avenir, tu sais ce qu'il te reste à faire " centsept "... ne plus jamais chercher à nous berner ... tu vois ce qu'il t'en coûte de tenter d'éviter quelques coups chaque jour ! Tâche de réfléchir un peu ! ça te changera ! " 

J'ai en effet réfléchi , et je sais que s'il n'était question que de ça , je ne serais plus jamais suspendu par les couilles et ainsi frappé ... mais je doute qu'Adeline ait usé de cette technique uniquement pour impressionner " une fois " l'assistance ! ... un achat qui hélas devrait resservir ...

Côté serre-couilles d'ailleurs , j'ai dû en commander un autre , plus classique qui entraine les testicules vers l'arrière en se calant derrière les cuisses , gràce à deux arrondis ... c'est celui que Jenna m'a posé , suivant les conseils de Murielle , après la fin de ma suspension .

 

Adeline croit en la radicalité de mon esclavage - et pas seulement parce que mon immatriculation est " sérieuse " ,  et bien réel mon diplôme - 

Elle  va sans doute, pour peu qu'elle s'en donne la peine, parvenir à m'extraire de la servitude bon-enfant et  douce de ces dernières semaines... Elle a au moins deux alliées de poids dans l'affaire et je crois que cette complicité n'aura pas que des aspects bénéfiques pour moi . 

Vous en serez les premiers informés, évidemment .    

    

       

    

Jeu 26 mai 2011 1 commentaire
Ma Sublime Maîtresse possède aussi le modèle "plus classique qui entraine les testicules vers l'arrière en se calant derrière les cuisses , gràce à deux arrondis ... "
Et lorsqu'elle me l'impose, il m'est alors impossible de me tenir droit !
Cela la fait évidemment rire, tout en me forçant à me redresser le plus possible !
Christophe soumis - le 26/05/2011 à 18h56

Nos Maîtresses ont évidemment des sources d'amusemeent et de rires communes parfois ... et nous sommes amenés à subir des tourments assez voisins ... je souffre aussi beaucoup de porter ce modèle que tu appelles  " classique " et il est vrai que la position est inconfortable ... particulièrement ... surtout si on nous l'impose longtemps ... As tu une durée moyenne d'imposition ? pour moi c'est assez nouveau et je n'ai pas d'idée de ce qui se fait ... si toutefois il y a des normes en la matière ... j'ai l'impression que le port prolongé dans la mesure ou il empèche de se tenir droit doit être très pénible , je l'ai eu à peu près une heure hier soir et j'avais très mal aux reins ensuite  ( et pendant bien sûr )

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