Le blog de jip.pet

Guénola n'était que la Soumise d'un couple de Lesbiennes Gynarchistes  et pourtant c'est elle qui, sous les yeux de ma Maîtresse et de sa petite amie ... elle qui  m'entraîna vers le dortoir, tantôt à genoux, tantôt douloureusement courbé sous la douleur qu'elle m'infligeait en tordant sauvagement mon oreille .

Ses petits yeux cruels  plissés formaient deux fentes , les ailes de son joli nez palpitaient... et quand elle tournait son visage vers moi un rictus inquiétant tordait sa bouche, si sensuelle par ailleurs :

- " Je vais t'apprendre moi à mater sournoisement des femmes en train  de s'aimer !... sale porc !! "  

J'entendis une dernière fois, dans le lointain, rire ma Maîtresse - qui n'avait finalement rien fait pour remettre la Soumise à sa place, en dépit d'une vélleité initiale, porteuse d'espoir éphémère pour moi, ( voir article précédent )...  ni m'arracher à ses griffes -  ... France avait dit quelque chose que je ne pus déchiffrer ... et on fut bientôt dans le dortoir ...

Elle était aussi nue que moi ... Plus : moi j'avais ma CB.... et malgré ma peur mon sexe ne parvenait pas à reprendre un volume anodin qui m'aurait bien arrangé  ...

Pour le reste , elle portait au cou un fin collier de soumission de velours noir sur lequel étaient accrochées deux petites pierres précieuses... une sorte de bijou qui, loin de l'humilier, magnifiait encore son corps de Femme ronde  à l'ancienne - que le soleil de la veille avait joliment rosi - ...

Ma crainte qui augmenta encore, une fois la porte  du dortoir refermée, ne m'empêcha pas  de me dire qu'elle était décidement bien  belle  dans son enveloppe charnelle exhubérante ! 

Elle me gifla de nouveau ... un aller retour , mais de face cette fois, en me fixant, les yeux grands ouverts :

- " Reste à genoux ! complètement !... sale bête que tu es  ! " et, méprisante, elle posa sa main douce et ferme, très chaude sur mon épaule pour que je me courbe davantage, puis avec une cravache dépourvue de souplesse me flagella, sans compter, les flancs  et le dos !...

Elle m'en voulait donc à ce point de ne pas l'avoir réveillée quand ses Maîtresses ... et d'autres, étaient rentrées  ?

Régis avec qui j'ai évoqué cet épisode hier  ( sans donner de détails ... juste qu'il s'agissait de la soumise d'une amie de sa Femme venue la voir ) pense que,  lesbienne avant d'être soumise, elle s'est  " bien défoulée " ... me faisant payer sa haine des hommes...

 Moi je pense que, plus simplement, elle appartient au vaste groupe des humains qui ont des pulsions contradictoires... elle a pris plaisir à m'humilier devant ma Maîtresse et son amie, à m'imposer sa loi, à se montrer publiquement supérieure à moi...

La preuve ? quand basculant sur le dos au beau milieu de  son lit  elle m'a attiré par les cheveux entre ses cuisses ouvertes elle était toute poisseuse, ses poils épais étaient trempées d'une mouille odorante... et vaguement rancie déjà, bien antérieure à l'action de ma langue ! ...

... oui ! elle était toute excitée et n'eut besoin que de bien  peu de temps  pour faire éclater sans retenue sa jouissance , dirigeant elle même ma langue,  par les amples  mouvements de son bassin, de ses lèvres boursouflées à son anus et sa raie poilues, eux aussi très  humides !!

Ensuite, malgré mes supplications , sans même m'accorder le temps d'un brin de toilette, elle me remit le bâillon-boule qu'elle serra rudement sur ma nuque ... 

Moins de deux minutes plus tard elle dormait de nouveau ... 

Moi je mis bien longtemps à trouver le sommeil en dépit de ma fatigue !!

L'odeur capiteuse de son cul et de son coquillage ne me laissait aucun répit ... et mon dos cravaché me cuisait ... quand à ma nuque meurtrie par le serrage excessif de la fixation du bâillon elle ne risquait pas de se faire oublier, pas plus que mes commissures de lèvres ... La boule était la plus grosses et couché sur le côté  - la position la moins douloureuse! - je bavais comme un porc : la Soumise avait raison !   

Mar 7 jun 2011 Aucun commentaire