Le blog de jip.pet

J'ai expliqué, dans le post que j'ai publié juste avant mon service de midi, comment, à une certaine époque, je  " badigeonnais " moi-même ma peau entre racine de la verge et couilles...

...  comment le produit agissant, chauffant, piquant ... Magali, ma Maîtresse de ce temps là, pouvait, s'appuyant sur la douleur provoquée et donc sans risque de me voir bander et éjaculer, manipuler et triturer à sa guise mon sac boursier enduit de crème grasse, suspecte, inquiétante . 

En fait ce qu'elle faisait alors pouvait s'apparenter, pour l'observateur visuel, à une sorte de traite ... sauf que le pis était figuré ici, non par la bite, mais par la peau étirée du scrotum .

Elle plaçait index et pouce en cercle, refermé du bout des doigts  autour

 du misérable lambeau de peau vide, les autres doigts s'arrondissaient naturellement sous ledit cercle et, le rond formé par les deux doigts

 ayant un diamètre inférieur à celui de mes couilles réunies dans leur sac, le simple étirement provoqué par la main de la trayeuse allongeait " le paquet "... mes couilles étaient pleines , conséquence de mes longues périodes d'abstinence forcée... pleines de ma frustration permanente, de ma tentation récurrente... pleines de mes désirs étouffés !

 Tantôt bleu, tantôt violacé, le paquet, sous les doigts de ma Maîtresse descendait toujours plus...

Parfois, peut être pour singer encore davantage une traite , assise face à moi, elle alternait...  se servant tour à tour des deux mains, tirant férocement vers le bas ma chair et mes boules suppliciées ...

Là, j'avais l'impression que mes couilles étaient au bout d'un sac élastique... qu'il ne faudrait peut être pas grand chose pour distendre complètement.

Mais je redoutais presqu'autant ... la " possible " déchirure de la peau ... et tout ça faisait très mal !

La douleur finissait par passer ... des heures après !...

... mais l'inquiétude subsistait :

quelle cochonnerie contenait cette substance ?  ... pour brûler et irriter  ainsi !... pour faire aussi mal !... 

... et puis le résultat était là :

Mes couilles étaient de plus en plus pendantes ! ... alors qu'au fond , comparé à certains esclaves ou soumis, que je connaissais et qui étaient plus souvent et plus longuement " lestés " de poids plus lourds, je m'attendais à des résultats bien  moins spectaculaires !

Je me faisais aussi du souci pour les effets sur ma virilité : à l'époque je n'étais pas encore catégoriquement interdit de pénétration - c'était bien avant Hannah - et j'avais encore l'illusion prétentieuse  de pouvoir rendre heureux une Femme avec mon sexe ...

Bref je n'aimais pas du tout ce produit ! ... ni lui, ni aucun de ses effets ! et la perspective d'avoir les couilles " au milieu des cuisses " comme le pronostiquait Magali " à  échéance d'un an ou deux de traitement " me désespérait assez franchement ! (  et le pire c'est qu'en voyant le résultat obtenu en seulement quelques semaines, l'hypothèse de progression avancée  était assez crédible ! ) 

Ave Magali et David, l'aventure , pourtant par ailleurs assez grisante, n'a pas duré assez longtemps pour que mon inquiétude vire au cauchemar...

 

Une pommade du même genre, aussi mystérieuse ... aussi  irritante et pénible à supporter ... et poursuivant les mêmes buts m'a bien  été appliquée  plusieurs fois pendant que j'ai travaillé pour les Soeurs Crav'Ach'...

c'était une des substances chimiques qu'elles commercialisaient ...

... mais heureusement  je n'y fus confronté que lorsqu'il s'est agi de faire quelques démonstrations d'applications pour des clients ...

Heureusement car à quantité égale, j'eus l'impression que la nouvelle pommade était plus " active " plus efficace ... et  plus douloureuse quoi !

 - après une des applications ma peau est restée comme brulée pendant des semaines ! - et par ailleurs l'odeur était à la limite du supportable ...

Je crois d'ailleurs que c'est celle odeur qui a incité les Soeurs à ralentir, puis stopper la commercialisation ...

 Cela nuisait par trop au succès , à la vente du produit .

Et désormais , les serre-couilles dont on équipe mes génitoires, trop souvent à mon goût, suffisent à mon malheur ...

Quand , coincés dans cet appareil mes testicules sont ramenés  sous mes fesses, impossible évidemment de garder la position debout !

... je hais cette position à la fois ridicule, humiliante et douloureuse que le port de cet instrument  impose  à la malheureuse victime ...

Et là pas question d'y couper ... mais au moins cela n'entraine pas  de conséquence différée, pas  de sanction à long terme... sinon  qu'en effet ... peu à peu, mes boules, bleues ou non, sont de plus en plus visibles, parce que pendantes.  

Ven 17 jun 2011 3 commentaires
Oui, je connais bien cette douleur de l'étirement.
Mais par contre, contrairement à toi, le résultat me plait beaucoup.
Et surtout il plait beaucoup à ma Maitresse.
Aussi, elle et moi, aimerions bien que mes couilles pendent très très bas. Mais malheureusement ça semble être limité . . . l'étirement semble avoir ses limites.
Christophe soumis - le 18/06/2011 à 08h15

Oui ! l'étirement a ses limites, je le pense aussi ... Mais j'ai connu quatre congénaires dont les boules pendaient bien au milieu des cuisses depuis le début de ce siècle  ! Pas de point commun entre eux : je les ai connu à des  années de distance , dans des lieux différents ,      " sous " des Maîtresses et Maître différents ... statistiquement ( mais on ne peut tirer de conclusions d'un " échantillon " de quatre ! pas vraiment représentatif ! ... deux - la moitié - sont homo ou bi, propriété des mêmes  Maîtres depuis plus de 10 ans  ... et trois - 75 % ! -    ... dont un de ces deux là, ont plus de 50 ans... comme quoi la durée de l'étirement doit quand même jouer ... Et puis la question que je soulève, sans vraiment la poser il est vrai : est ce que des substances comme celles dont je parle accentuent vraiment le processus, par exemple en altérant l'élasticité du tissu dermique ? j'avoue ne pas avoir de certitude , même si, je l'ai dit, je trouve que mon " étirement " a été assez spectaculaire dans cette période,  assez intense certes, mais qui n'a guère dépassé une année ... Enfin j'ai connu, mais c'était il y a beaucoup plus longtemps , un vrai couple ... marié et tout ! ... des quadragénaire ( à l'époque j'aurai pu être leur fils ) dont la dama avait pour habitude de " ranger " les couilles de son soumis ( pas très grosses il est vrai ) dans son trou du cul... Oh apès tout pour des couilles pendantes , la distance n'est pas si grande ... la performance était plutôt dans l'opération " enfouissement " elle même , qui avait d'ailleurs un honnête succès lorsqu'ils la réalisaient en public ... Je me souviens qu'à l'époque je  rêvais d'être à la place du mec : quelle humiliation de subir ça devant des couples hilares , dans des soirées privées comme celles où je les ai rencontrés plusieurs fois - ils faisaient aussi des happenings , des " performances " comme on dit , dans des lieux de spectacles pour adultes etc ... as tu connu quelque chose comme ça ?    

jip.pet
Oui Jip, j'ai connu des choses dans ce genre.
C'était, dans une "autre vie", puisque avec une autre maîtresse. Et j'ai fait quelques "performances".
Un trait est tiré sur cette période.
Christophe soumis - le 25/06/2011 à 07h28

Je sais que toi aussi tu as un passé " chargé " ... ahahah ! c'est pour ça que je t'encourageais à publier ... mais ta Maîtresse s'y oppose ... dommage pour nous tous !

jip.pet
Et lorsque tu parles du tire couilles "en forme de cintre" qui se met derrière les cuisses . . . Cela me rappelle de très nombreux souvenirs.
Notamment une journée complète sur un salon érotique en Belgique, ou même les non sm se sont moqués de moi, car je devais rester sur un podium ou dans les allées du salon, tout le monde habillé et moi courbé par cet appareil horrible.
Seul "vêtement" un collier de chien et ce diabolique tire couilles !
Christophe soumis - le 25/06/2011 à 15h15

Wooooaaahh ! quel pied ! et toute une journée ! Ben mon salaud ! tu as dû en essuyer des moqueries ! des quolibets ! des injures ! j'imagine ... moi c'est avec un " parachute " au bout des couilles que j'ai vécu un truc comme ça , dans un congrès- meeting de Dominas  à Barcelonne, il y a bien des années... il n'y avait pas la même " proximité " que sur un stand... j'étais sur une scène, dans une sorte d'immense amphitéâtre au vu de toutes, mais de loin ... Puis pendant une bonne demi-heure les ' congressistes " ont pu monter sur la scènes, voir de près, commenter, ricaner  et même toucher... j'en garde un grand souvenir , comme lors des humiliations collectives que je raconte assez souvent ici ... mais ce que tu évoques est  bien plus grand ! d'abord par la durée ... toute une journée !!! et du fait que tous les gens , sur un salon érotique sont loin d'être vraiment concernés par ce qui nous motive toi et moi ...  WWWoouuuhh !  

jip.pet