Le blog de jip.pet
Quand les manifestations extérieures de l' orgasme de ma Maîtresse décrurent (voir dernier article ), elle ne tarda pas à rappeler à son mari ce qu'il allait lui en couter d'avoir éjaculé en elle et sans son autorisation ! ...
... d'avoir osé jouir avant elle !! ... ce qui, affirma -t-elle , l'avait obligée
à précipiter le mouvement ... au lieu de prendre son temps comme elle l'aimait...
Elle semblait vraiment en colère, même si physiquement elle dégageait toujours quelque chose qui lui venait de la plénitude de l'orgasme qu'elle venait de ressentir !
Elle dit ça en se levant et en exigeant que je lèche son entre-cuisses écarté d'où glissait le sperme de Cocu .
Ni quantitativement, ni qualitativement cela avait à voir avec le flot blanchâtre et grumeleux qui s'écoulait de la même fourche charnue et tapissait l'intérieur de ces exquises cuisses, après les épanchement de plaisir de ses deux amants Joseph et Grégory !
C'est sans doute le résultat paradoxal des longs dénis d'orgasme ... paradoxal car moins on n'a la possibilité de jouir... d'éjaculer... plus la production spermatique est " pauvre en quantité " et... " plus acqueuse que laiteuse ! "
( nous avions déjà évoqué ça tous les trois ! ... nous avons, Cucky, Régis et moi à peu près le même dégoût pour notre production consécutive à de longues périodes de déni... d'abstinence forcée ! ... cela va de ce que j'ai léché ce petit matin là sous ma Maîtresse au filet morveux qui pend désespérement au bout du méat et du gland de l'interdit de masturbation, comme l'a encore rappelé récemment l'ami Christophe dans un de ces judicieux commentaires )
Cependant la production de Régis , si elle n'est pas épaisse est assez abondante, plus que je l'avais cru lorsque j'avais reçu l'ordre de sa Femme : il en coula de sa vulve un bon moment ... de peu de saveur , mais odorante ... une odeur piquante !... Celle de la mouille de notre Maîtresse n'arrivait pas à prendre le dessus ...
Elle me fit lécher sa raie et son oeillet parfumé, musqué puis m'ordonna de " sucer son cocu " ... Cela me fit tout drôle de prendre dans ma bouche la pine du mari , esclave comme moi ...
Il avait éjaculé , et pourtant ses testicules était encore bien bleus... peut être encore davantage que la veille, même si moins que les miens !...
Il a poussé un petit cri quand malencontreusement je les ai écrasés un instant sous mon menton : oui ! ils étaient encore douloureux ... bien que vidés de frais !
Plus ou moins ? ... que boire et ingurgiter celui d'un autre ??..
Pour toi c'est ton quotidien. Ton quotidien d'esclave épanoui.