Le blog de jip.pet
Ce ne fut bien qu'une trêve ! ( voir article précédent ) :
Le lendemain midi mon Maître partit et je compris aux propos tenus que je ne le reverrai qu'en France et pas avant trois jours donc ... quatre peut être ...
Jenna téléphona à Estrella après la sieste qui suivit ce départ... une sieste où je finis d' éponger .. lécher... laper le nectar laissé généreusement dans les temples d'amour de ses deux Femmes par leur Joss : je veux dire que durant cette nouvelle sieste - ici il y en a chaque jour - du genre qu'on dit volontiers " crapuleux " Jenna et Murielle s'étreignirent joyeusement, se donnèrent du plaisir sans compter et qu'ainsi, chaque fois que ma langue intervenait sur et dans leurs temples d'amour, aux fins de rafraichir, ou toiletter ... elle y trouvait, mêlés à leurs sucs et liqueurs personnels ( que le plaisir, indéniable, rendaient débordants ) des restes, certes toujours plus minces, mais indéniables... des épanchements si virils des heures enfuies !
Voilà qu' Estrella proposa à mes Maîtresses de s'installer chez elle pour les deux derniers jours... et je sais maintenant que le coup de fil de Jenna, avait plus que vaguement cet objectif en vue !
" Ce sera sympa ... " ... précisa la Maîtresse de maison
... " et puis on pourra peut être rentrer en France ensemble "...
ajouta Gloria, qui était, elle aussi, dans la coquette maison d'Estrella en lisière du parc Doñana, important parc naturel, fleuron andalou d'espèces protégées ( Soumis et esclaves du monde BDSM eux, n'y sont pas, on le verra vite, " espèces protégées " !! ) ...
Gloria et Estrella se connaissaient alors depuis peu...
Le trait d'union initial entre elles étant Alejandro, elles découvrirent seulement ces derniers jours, que , quand Gloria venait sur les terres de son cocu de Fidel, dans la province de Huelva, elles étaient belle et bien voisines ...
... l'intérêt commun de ces belles et charnelles ibères pour un BDSM musclé fit le reste : en quelques jours ( y compris à mes dépens, en m'instrumentalisant... en m'exploitant ! ...) elle devinrent presque inséparables...
L'acceptation par mes Maîtresses de l'invitation de la première nommée fit le reste :
Oui ! je ne peux dire mieux : en quelques heures les deux hispaniques devinrent quasi-inséparables ...
Et, d'un autre côté, les liens avec mes Maîtresses prirent une tournure qui m'apparut très vite préjudiciable... à mes pauvres intérêts s'entend !
C'est qu'entre Jenna et Estrella, par ailleurs, se développa quelque chose d'aussi inexpliquable que puissant ( et qu'on n'a pas encore fini de bien mesurer au bout de quelques jours ) tandis que Murielle, pour sa part, songea rapidement à un avantage de la situation qui, quarante huit heures après notre arrivée ici, pourrait bien l'amener à se féliciter au delà de tout de sa nouvelle amitié - mais c'est encore un peu tôt, pour elle, pour crier victoire, elle préfère attendre d'être sûre de son coup -...
( Je vous promet de vous en dire plus sur le sujet, sitôt que les espoirs de ma Maîtresse se seront concrétisés ... ce qui en cette nuit de jeudi à vendredi ne saurait tarder ! )
Mais dans un premier temps, c'est du travail que m'ont valu les nouvelles amitiés Féminines de mes chères Jenna et Murielle... et puis aussi des tourments !... Estrella étant du genre à s'acharner sur sa proie quand elle
" tenait le morceau " !...
C'est venu très simplement, dès le premier matin, Estrella trouvant, tandis que je lui léchais et suçais un à un les orteils, sur ordre de son amie Gloria que j' " étais trop orgueilleux, trop fier, pas assez humble et qu'il faudrait bien que l'on ( me ) rabatte (mon) caquet ... "
C'était des expressions toutes faites qu'elle connaissait du français, et qui firent rire les autres ... en particulier Gloria qui sauta sur l'occasion pour proposer à mes Maîtresses de me confier une activité qu'elle réservait d'ordinaire l'été à Fidel ... et dont elle était sûre qu'il " ne serait pas mécontent de( me) l'abandonner quelques jours "...
Le Fidel rosit de plaisir au simple énoncé de la proposition et je compris aussitôt que mes prochaines journées ici ne seraient pas une partie de plaisir :
Il s'agissait tout simplement de le remplacer pour vendre des friandises des sodas, de la bière fraiche sur la plage, et même quelques " culottes brésiliennes " très colorées, quelques strings aussi , en arpentant ce long ruban de sable, d'un bon kilomètre et demi, dans les deux sens et à longueur de journée ... Chaque cinq cents mètres un relais permettant de
" ravitailler " en glaçons, canettes et friandises...
... je portais à bout de bras des glacières de voyage emplies de boissans fraiches , et, devant mois dans une panière large et encombrante , paquets divers d' " en-cas " et d' " amuse-gueule "...
A part moi, qui remplaçais Fidel donc , une jeune soumise... et un quinqua asservi par Alejandro - et que je fus un peu étonné de retrouver ici - se partageaient ladite plage !... encore faut il savoir que la fille , couleur pain d'épices - je parle de son bronzage ! -... en mini-short et top léger autant qu'échancré ...avait des arguments que nous n'avions pas, ni l'un ni l'autre... sa panière était deux fois plus petite que la notre , quand au trajet du quinqua , il était d'un bon tiers inférieur, le résultat étant qu'il trimballait des charges bien moindres à chaque fois...
Bref, je ne fis, évidemment pas le chiffre " escompté " et cela me fut reproché dès la fin du premier jour , avec quelques arguments cinglants ( au propre ) à l'appui... et la promesse de choses plus sérieuses si ma deuxième journée était aussi " décevante " ...
Comme on le voit, l'idée de vacances, de loisirs .. n'étaient plus vraiment dans l'air du temps !
Je le montrerai dès demain je pense .
Mmmm ! délicieux ... et je connais un de mes lecteurs habituels - tu vois lequel je suppose - qui va particulièrement apprécier... Je vois que ces vacances ... si ce n'était évidemment pas TES vacances , t'ont apporté quelques satisfactions ... et je sais bien que tu es plus heureux dans ce rôle, et en vivant la condition pour laquelle , tout comme moi, tu es fait , que dans ton gagne pain fastidieux ... C'est pourquoi, encore une fois , je te souhaite de réaliser ce rêve que tu poursuis : n'être plus qu' à ta Maîtresse , à plein temps ... même s'il n'est pas exclu qu'elle attende de toi que tu travailles aussi au dehors, mais pour elle . Ne te gènes pas pour nous faire part d'autres situations comme cells là... nous sommes nombreux à apprécier les tourments publics ou semi-publics.
J'ai eu aussi, cet été, "droit" à quelques punitions à la cravache (son "jouet" préféré). Et les marques étaient (et le sont encore) bien visibles sur les plages.
Tantôt nu, en soumis affichant son état si la plage le permettait. Ou sinon en simple string (donc quasiment nu) si la plage n'était pas naturiste.
En plus des coups de soleil, il y avait les coups de cravache très très visibles.
Ma condition de soumis a été clairement affiché aux yeux de tous.
Même dans les commerces et restaurants. En effet, ma sublime Maîtresse, m'avait confisqué tous mes papiers d’identité ainsi que ma CB accompagnée de son code. C'est elle qui achetait, commandait et réglait. Je n'avais aucun mot à dire.
Par exemple, si elle voulait aller au restaurant, j'avais l'énorme privilège de l'accompagner. Mais lorsque le serveur s’adressait à moi, elle prenait la parole et refusait que je lise la carte. Soit elle commandait pour moi sans me demander mon avis, soit elle ne commandait que pour elle, et me donnait ses plats a terminer, avec évidemment les moins bons morceaux, ou encore des parties de son repas qu'elle avait mastiquées et recrachées dans l'assiette.
Que du bonheur en somme.
Une félicité que je comprends parfaitement ! Continue ces évocations, même tronquée...., c'est " délicieux ".
Lorsque ma Sublime Maîtresse avait marché pieds nus dans les vagues, puis avait marché dans le sable, évidemment ce même sable collait sur ses merveilleux pieds.
Alors, sous son ordre, je devais tout lécher jusqu'à parfait nettoyage, jusqu'à ce qu'il n'y ait plus aucun grain de sable, afin de pouvoir la rechausser sans qu'elle soit accommodée par le sable.
Voilà ce qui peut arriver quand on est " sur le sable " expression bien connue !
Ma Maîtresse (et ce n'est pas exceptionnel) a une passion pour les jolies chaussures. Elle en a une quantité impressionnante.
Aussi, elle change souvent de chaussures dans la journée.
Ce faisant, pendant SES vacances, je la suivais quotidiennement dans ses moindres déplacements, et avec un pas de recul, je portais soit à la main, soit dans un petit sac à dos, une ou des paires de chaussures de remplacement.
Fréquemment dans la journée, elle changeait de chaussures, ou plutôt elle ME faisait changer ses chaussures.
D'un simple claquement de doigts, je devait me mettre à genoux à ses pieds. Quelque soit le lieu, et les personnes environnantes. Je devais la déchausser et la rechausser.
Quel bonheur !
Il y eu cette scène sur des plages évidemment (les hauts talons n'étant pas adéquates dans le sable), mais aussi en pleine rue piétonne, en plein cœur de marché devant les étales de fruits et légumes.
Hummm que c'était bon !