Le blog de jip.pet
Tout le monde fit le voyage en voiture ! Oui ! Celles et ceux qui étaient attendus chez Grégory , firent le voyage vers la France en voiture ...
Pour ma Maîtresse et moi, c'était un retour... mais il y avait aussi les deux Epouses espagnoles et leurs cocus Nando et Fidel ainsi que Carlito :
Estrella monta à l'arrière de notre voiture, pour commencer le voyage en compagnie de Murielle ... et elles surent s'occuper pendant une bonne partie de la première journée ... moi je dus veiller à ne pas utiliser le rétroviseur intérieur uniquement pour voir ... à l'intérieur, et admirer trop longtemps ... et trop souvent, leurs plastiques envoutantes pas particulièrement vêtues...
Nous roulions vite, je conduisais et l'accident par distraction était naturellement à proscrire ...
Dans la voiture de Gloria, conduite par Charles , le soumis anglais d'Alejandro, dont décidemment l'Epouse de Fidel, tout comme Estrella avait la pleine jouissance, cette dernière, puisque les mains de Carlito étaient comme les miennes : sur le volant, n'eut pas mieux à faire, que de se faire lécher et sucer par les deux cocus ...
Son mari et celui d'Estrella l'entouraient ...
Quand on fit le premier arrêt, par exemple , son mari pétrissait sa grosse poitrine blanche avec beaucoup d'émotion ( je compris sans délai pourquoi : il avait assez répèté à Nando ces derniers temps que sa chère Gloria lui interdisait généralement les caresses sur son buste comme sur son visage...
Là pour le voyage elle avait assoupli sa position ... quel bonheur pour lui ! ... Nando, lui, était à genoux aux pieds du couple et léchait et suçait chaque orteil dénudé, de son compagnon de servitude comme de l'Epouse Supérieure !
Cet arrêt servit de pause repas, en tous cas pour ces Dames et " Sumi " ... Car Nando et moi reçument l'ordre de nous allonger pour nous reposer , à l'arrière de la voiture que j'avais conduite ... Nando devait se reposer car il allait remplacer Carlito au volant de l'autre voiture... Tels étaient les ordres .
Fidel qui renouvela aussi les boissons fraiches , fit la navette entre restaurant et voiture pour nous apporter, dans des boites, les restes parcimonieux des quatre déjeuneurs ... et du même coup nous sortir à chaque fois de notre assoupissement... Il veillait toujours à me tendre la boite la moins remplie, la bouteille la moins fraîche... Nous repartimes avec Gloria dans les bras de ma Maîtresse , derrière moi ... et dans l'autre voiture, conduite cette fois par le cocu d'Estrella , celle ci, au corps à corps - et accord - avec Charles ...
Fidel commença l'après midi à leurs pieds ... et passa dans l'allée de notre voiture après un arrêt pipi en pleine nature...
Pipi ?? Oh ! pas seulement !
Au risque de déplaire à Mademoiselle G ... - mais ne me suis je pas engagé à dire toujours les choses... y compris ces choses qu'on dit scabreuses... certains disent " sales " ? -
Bref ! Estrella vida bien et longuement sa vessie, mais déposa d'abord dans les fourrés quelque chose de plus solide en grognant de bien être, de manière un brin obscène...
... mais je fus le seul à la voir accroupie, grognante et rougissante ( non de pudeur, face à un esclave ! pensez donc !... mais parce qu'elle dut pousser un peu pour se libérer ) ... C'est Gloria qui lui avait proposé de partir avec une boite de kleenex, qu'elle lui tendit , mais Murielle arrêta son geste :
- " Pourquoi souiller davantage cette belle nature plutôt aride et à l'équilibre précaire ? Essaie plutôt la langue de mon esclave qui est apte à cet usage ! "
Et elle m'envoya pour " assister " l'opulente espagnole à l'abri d'un fourré ... Estrella comprit vite que, selon ma Maîtresse, ma langue ferait l'affaire de manière " écologique " ... Elle facilita ma tâche en tendant son exquise croupe jusque devant mon nez ... et j'en revins avec de l'amertume jusque dans la bouche ... et une forte odeur dans les narines
L'amertume s' installa d'autant plus durablement que nous ne fimes pas de nouvel arrêt avant le diner et un vrai repos à l'hotel, bien mérité !!
Oui ! je sens combien tu compatis... et ça me va droit au coeur !
Dur dur comme trajet