Le blog de jip.pet
Non ! nous n'avons quand même pas refait, avec Estrella et son mari, le parcours intégral de la veille avec Vanina !!
Cela eut bien constitué comme une forme d'atrocité indicible !... mais au fond : y a t il des limites dans l'intensité des humiliations subies ?
Et surtout, ça n'avait guère de sens de redouter ce que j'imaginais " le pire " ! ... D'abord parce que Murielle et l'exhubérante black ne sont pas le moins du monde amies ( Faut il rappeler que si Vanina peut me " réquisitionner " aussi cavalièrement, comme elle semble avoir pris le pli de le faire , toutes les cinq ou six semaines maintenant , on le doit à la complicité passive... à l'accord tacite de Grégory ? )...
Lui, " Greg "... et Vanina ... et son petit gang de Filles effrontées des cités, se connaissent et s'apprécient !...
... lui s'amuse des pratiques ciblées de l'insolent groupe féminin , de sa façon d'opérer et de terroriser les " pauvres riches " ..
.Lui ! J'en suis maintenant convaincu , les fait bénéficier de son carnet d'adresses bien rempli en notables masochistes " à plumer "
Murielle, pour sa part, a découvert la chose quand elle a renoué avec Grégory . Au début, elle s'en est amusée , a haussé les épaules ... a souri ...
... mais elle ne connait physiquement ni Vanina ni ses amies ... le constat peut être " retourné " : l'exhubérante noire ne pourrait reconnaître ma Maîtresse dans la rue .
Bref ! Vanina n'est pas allé non plus raconter par le menu, les endroits où elle me traine : je paye tribut tout en l'amusant , et puis c'est tout ....
Se souvient elle en détail de ce que nous faisons ?... de ce qu'elle me fait faire ? je ne le parierai pas ! en tous cas pas au-delà de quelques jours...
Non ! Murielle, qui ce jour là n'était pas disponible, pour accompagner Estrella, ce qui avait d'abord été prévu je crois, a fourni quelques adresses à l'espagnole ( j'ai reconnu quelques magasins qu'elle aime bien ... où je suis allé, déjà, avec elle ) ... mais pour le reste nous avons visité les endroits à la mode ... ceux où les " marques " sont reines, ceux aussi du luxe évident ... ( ce qui n'est pas forcément la même chose )
Et certains bien sûr sont écumés par Vanina ... systématiquement ! ...
.... mais à coup sûr il n'y avait aucun calcul préalable, de la part de la coquette Estrella ...
Heureusement, car c'est bien cela qui fut le plus dur ! je le redis ... Repasser là où Vanina m'avait foutu la honte ... et de quelle manière !...ET MOINS DE VINGT QUATRE HEURES PLUS TÔT !
L' " essorage " de cartes de paiement est pratiquée de façon bien plus ludique et bien plus raffinée par la belle noire ! ... ce n'est même pas une question de montants de factures ...
... le " money-slavery " est un art qui ne s'improvise pas !
Mais bon ! Estrella a ses qualités ... et sait parfaitement ce qu'elle veut ou ne veut pas... Elle cherchait un tailleur et quelques dessous froufroutants... ... et, point commun avec Vanina la veille , dans ce but, les effeuillages en cabines furent fréquents !...
Ce fut, pour Nando et moi, pour notre plus grand plaisir esthétique... et aussi une émotion avec effet physique , difficilement compatible hélas avec le port de Chastity Belt ...
Oui ! Nando comme moi sommes en permanence affublés de ce désespérant appareillage !... faut il le rappeler ? ...
Estrella ne se priva pas en tous cas de nous aguicher " sauvagement " tout au long des essayages, nous introduisant chaque fois, son mari et moi, dans une cabine où notre point de vue ne lui fut au vrai d'aucun secours !...
Je le dis et le prouve : chaque fois que son cocu et moi avons, sur ordre, fait connaître un avis, une préférence, le choix final de la belle s'est porté sur une autre merveille...
Il est vrai que tout était si beau, et le contenu si merveilleux que nous ne risquions, ni lui ni moi, de faire une poussée d'amour propre inconsidéré...
Mais nous avions le bonheur d'aider , à tour de rôle - à peu près équitablement - notre Maîtresse...
... à se dévêtir,
... à passer le vêtement visé ,
... à recommencer avec un autre.
Et la sensation de chaleur, dans les carrés successifs destinés aux essayages, nous fut parfaitement commune.
Estrella nous accorda même à chacun le bonheur de lécher, dans l'ambiance feutrée de la même boutique et pendant quelques dizaines de secondes, qui ses lèvres vaginales, sa vulve... qui son anus , sa raie profonde... et nous la remerciâmes avec effusion pour ce divin cadeau :
j'ai simplement été affecté à l'adoration, au rafraîchissement du sexe ... parce que la cruelle sait que c'est ce qui manque le plus à son pauvre mari... cette possibilité d'honorer, soigner , adorer , savourer ce vagin dans lequel la verge du cocu qu'il est, une fois pour toutes, n'a plus, n'a pas ... la possibilité d'entrer...
Pour le reste, Estrella qui a vite décelé chez moi , un attrait déraisonnable et équivalent pour les deux puits d'amour les plus intimes de la Féminité... savait que j'étais le plus heureux des larbins intimes ... sous un orifice ou sous un autre .
Et d'ailleurs, comme à ce moment là , elle avait déjà passablement transpiré ... j'eus les saveurs du sexe, la touffeur tiédasse... ET AUSSI les parfums lourds de la rosette , déplacés par la langue de son si docile et idolâtre mari, parvenant en vagues d'effluves jusqu'à mon visage ravi !!
Oui ! cet après midi là, elle nous a réparti les rôles avec malignité : au nom de la frustration incessante à perpétuer chez l'époux asservi !!
Vint quand même le moment où, lui et moi ne fûmes pas ... mais alors pas du tout !... à égalité :
C'est quand nous entrâmes chez le chausseur de la veille ( voir articles précédents ) ... celui chez lequel m'avait trainé Vanina ... celui chez lequel j'avais subi les éprouvantes et exquises brimades de quelques employés , au coeur de la réserve :
La même vendeuse , la plus chevronnée ... et qui me reconnut évidemment, décida d'autorité que ce serait elle qui " nous " servirait... et alla jusqu'à confier le client dont elle s'occupait alors , à une jeune fille qui ressemblait plus à une stagiaire qu'à une vendeuse confirmée et dont la plus grande caractéristique , à mes yeux , était l'écrasement qu'elle avait fait subir à mon visage, une vingtaine d'heures plus tôt, en se mettant debout, pieds nus sur ma joue...
Comment cela avait il put se faire ? ... j'étais simplement en train de baiser, sur ordre, le pied du seul homme du quatuor amusé... Nous étions, dans la réserve à chaussures, où la chef vendeuse avait trouvé le moyen de m'entrainer , en tant que larbin déclaré de Vanina, au prétexte que nous pourrions ainsi ramener plus de modèles à essayer , plus de boites...
Je l'ai déjà conté dans un post ... j'avais, en un rien de temps dû embrasser et lécher plusieurs pieds ... et la stagiaire - Chloé de son prénom - avait pris cette initiative, de m' " écraser " la tronche sous sa plante de pieds, au moment où j'étais " face contre terre "... déjà terriblement humilié...
Initiative qui avait fait redoubler les rires ...
Ah !... la tête de la pauvre Chloé, le lendemain, quand sa supérieure, pour mieux nous prendre en charge , et ne pas se faire faucher la place par une autre vendeuse dont j'avais aussi goûté le pied la veille ( et qui vint vite fait vers nous !! )...
Oui ! la tête de la stagiaire quand " Madame " - c'est comme ça qu'elle l'appelait - lui refila ce banal client !!!
Mais cette fois encore, je sens qu'un nouvel article - un au moins - sera nécessaire si je ne veux pas vous cacher la fin de l'historiette ... car de nouveau mon devoir m'appelle .
Oui ! ... patience ! même si je sens qu'il me sera difficile de terminer ce récit aujourd'hui ! Tu ne perds rien pour attendre ... Héhé !