Le blog de jip.pet

Après avoir eu le visage aspergé par les jets puissants du plaisir d' une Armelle ayant résolument enfourché mon visage, après avoir découvert la Femme-fontaine qu'elle est, j'ai pu vérifier que ce n'était pas la première fois qu'elle battait un type comme moi :

La correction au paddle qu'elle m'a infligée dans les minutes qui ont suivi son intense sonore et liquide plaisir, m'a laissé des traces visuelles et palpables durables, au point qu'en rentrant " à la maison ", je me suis demandé comment je les expliquerais... si d'aventure on me demandait des explications. D'autant que je le rappelle,

" at home " JE VIS et sers  NU . 

 Heureusement le fait d'être sous la coupe de plusieurs Maîtres et Maîtresses dans mon cas, réduit considérablement ce risque . ( J'ai parfois, lorsqu'ils viennent d'être maltraités  des commentaires sur l'état de mes fesses, de mon dos, mais au delà de sourires mi dédaigneux, mi admiratifs, au sens de " qu'est qu'elle ( ou  il) t'a mis ! ", ça passe assez facilement ... De plus le soir qui suivit ma " prestation " chez Armelle , Murielle me trainait chez Grégory, puis dans une soirée privée fétichiste .

Mais mon passage chez Armelle ne laissa pas des traces que sur ma peau  endurcie !!

Oui ! elle a pris de nouvelles photos : de mon bas ventre... des tiges de ma CB, morveuses de ce que , pour la deuxième fois en quelques jours , j'avais été incapable de retenir devant elle !... également de mes jambes entravées par la barre d'écartement, puis des pinces à seins réglables  dont elle a lesté mes pauvres tétons pendant que je finissais le ménage et faisait du repassage, sans doute en souffrance depuis près d'une semaine ...

Elle riait en prenant ces photos !... mais rapidement elle ne prit même plus la peine de rappeler qu'il s'agissait d'alimenter la base de chantage !...

 Elle savait qu'elle me reverrait, et que la menace ne serait pas le seul ingrédient de la recette !

Elle insista sur mes  " intempestives et ridicules éjaculations " ... je lui expliquai ce qu'il en était : mon port permanent de la CB ces derniers mois , mes récents  records d'abstinence  forcée !

Elle riait !... Durant la fin de ma visite elle m'a permis de m'agenouiller à ses pieds, pendant qu'elle dégustait le thé que je lui avais servi , et pendant sans doute pas loin d'une heure , j'ai répondu à ses questions ... les plus précises, les plus intimes sur ma vie d'esclave... 

Rien ne la surprenait vraiment! ...

 - quand je vous dit qu'elle connaissait notre monde bien avant de jouer au chat et à la souris avec moi dans cette arrière boutique ! - quand je lui révélais les choses les plus pitoyables elle me passait parfois la main dans les cheveux avec une moue tantôt compatissante, tantôt amusée :

- " Mon pauvre lapin ! "  ou encore ...

- " Si tu étais à moi ça se passrait pas comme ça ! ... oh non ! " ...

Elle m'a très vite percé à jour ... elle s'est très vite rendue compte que sa façon d'être et ma profonde vulnérabilité étaient... " compatibles " !... et , si je puis me permettre, rendue compte que je m'en rendais compte !... moi aussi ! 

 Armelle est une adepte du " tease and denial " : même avec un soumis, un esclave, elle exerce son charme, déploie sa séduction.... allume !... puis elle fait toucher du doigt à sa victime que tout ça est vain bien sûr ... elle lui rappelle de mille façons qu'elle est sa condition... où est sa place !

Avant de partir , ce jour là, j'ai préparé son bain , sorti de la belle lingerie ( autre chose que le vieux peignoir avachi dans lequel elle était venu m'ouvrir !...) Je lui ai lavé les cheveux... j'ai savonné sa poitrine, son ventre, ses fesses , ses cuisses ... son entre-jambes ... je rebandais déjà , et depuis un moment ... douloureusement dans mon implacable CB puis elle m'a dit 

- " Tu peux partir ! je n'ai plus besoin de toi aujourd'hui ! tu tire juste la porte en sortant ! Appelle moi dès que tu peux ... mais ne t'avise pas de me laisser longtemps sans nouvelles !... n'oublie pas que je peux te faire de gros ennuis ! " 

Elle était debout dans la baignoire, ruisselante, magnifique, encore agenouillé j'ai voulu embrasser ce qui était le plus près de moi : son ventre sublime, en lui disant

 " Au revoir Madame "... Elle a écarté le geste qu'elle avait anticipé en me tendant sa main , désinvolte :

- " N'en profite pas vieux cochon ! maintenant va-t-en ! "  Le sourire  accompagnant la main tendue laissait déjà place à une moue irritée, à de l'impatience dans  sa  voix vibrante et chaude  ... J'ai  fait un baise-main respectueux ... suis sorti m'habiller , puis suis sorti tout court  ... 

Avant de faire claquer la porte j'ai entendu sa voix, de nouveau rieuse :

- " Je crois qu'on va bien s'entendre, p'tit bonhomme ! " Son rire a claqué en même temps que le loquet de la porte !