Le blog de jip.pet
Il y eut donc deux jours, et deux nuits... comme je l'ai laissé entendre dans mes derniers articles, au cours desquels Armelle dormit chez sa Fille, dans la chambre équipée du lit mural ( plus communément appelé "litd'cocu").
Non ! cela ne m'a pas fait oublier mes nuits "ordinaires" chez ma Maîtresses, là encore évoquées ici récemment !... Et ces premières heures, pressé contre son dos, ses fesses !... douces... et dures !... et brûlantes !
Puis mes retours imposés - mais ai je déjà obéi avec tant d'enthousiasme à un ordre ? - oui ! mes retours dans le lit de l'Adorée, au petit matin avec obligation de glisser ma tête entre ses cuisses impérieuses et ses fesses onctueuses et odorantes ! j'ai dit tout ça ici déjà... vous le savez ...
Entre les deux séquences des mêmes nuits, la moquette ou ma paillasse, selon sa volonté... tel est mon "quotidien" du moins quand Armelle n'a pas auprès d'elle un "coquin" comme dit, en riant, sa Fille de leurs amants .
Là, pendant ces nuits hors du sweet home, Armelle eut précisément un amant. Un grand slave ( au sens ethnique ! attention à ne pas faire de confusion ! le slave au sens BDSM c'est bien moi ! ) Un mètre quatre vingt cinq, sans doute à peu près autant de kilos que de centimètres au-delà du mètre... Une peau très blanche avec les muscles roulant dessous !... des fesses dures et bombées devant lesquelles ma Reine s'est extasiée à plusieurs reprises... Bref ce qu'Armelle appelle avec une expression admirative " un mec "...
Je ne l'avais jamais vu, et, à quelques détails, j'ai vite eu la quasi certitude qu'ils passaient leur première nuit ensemble...
Pour tester la chambre "gadgétisée" de sa Fille - c'est ainsi qu'elle la désignait alors, quelque peu amusée par ce que j'ai décrit précédemment - ma Reine avait sans doute besoin d'un amant de ce calibre :
D'une virilité à toute épreuve, joueur, naturellement dominateur et sarcastique avec les autres hommes, pas nécessairement très branché SM mais ayant déjà "joué" plusieurs fois - il le lui avoua - avec des couples triolistes et candaulistes...
En revanche c'était la première fois, il le souligna, que le mari du couple qu'il fréquentait était à ce point dominé...
Aussi il prit grand plaisir à découvrir tout ce qui équipait le lit mural : La glace sans tain, la caméra, le pot de chambre posé sur la tablette au bout du lit ( sur ce dernier point il s'étonna, mais Armelle lui expliqua qu'il n'était "pas question que l'esclave puisse se lever la nuit sans CB" pour aller pisser par exemple et sorte ainsi du champ d'observation de la caméra... il gloussa ... dit qu'il comprenait .
La première nuit je fus "envoyé au lit" dès que les amants gagnèrent la chambre à coucher - mais je les avais déjà copieusement et longuement léché et sucé tous les deux au cours des heures précédentes ... à l'heure de l'apéritif... pendant puis après le dîner ... à l'heure du café et du digestif ... Le serbe (je crois bien que c'était sa nationalité) avait déjà fait jouir ma Maîtresse près d'une demi-douzaine de fois, et, si laper son sperme dans le calice de ma Déesse ne me posa pas de problème particulier , darder ma langue entre ses fesses mâles musclées et serrées , comme Armelle me l'ordonna, me mit un moment le coeur au bord des lèvres :
Son invité est doté d'une pilosité abondante ... et très localisé : son torse , ses épaules son bas-ventre, ses fesses ... mais aussi sa raie culière ... des poils pas très longs mais frisottés et drus, véritable piège à odeurs et sécrétions ... sur lequel j'aurai l'occasion de revenir .
Heureusement avant de gagner la chambre à coucher, ma Chère Armelle rappela ma langue entre les siennes de fesses et les relents et saveurs de son rectum me dédommagèrent de ce que je venais juste de subir .
Un lit mural...
Tu passes de bons moments dis-moi...