Le blog de jip.pet
- " Ahaha ! comme tu as faim peuchère ! T'as voulu faire ton malin... mais c'était couru d'avance ! tu ne peux pas te passer de moi bien longtemps, pas vrai ! allez lèche bien mon toutou... puisque tu es là !... "Maman" va peut être te pardonner... ahahahha ! Tu le sauras à mon retour ... faut que je réfléchisse ! "
Puis après un temps pendant lequel j'ai obéi et oscillé entre obscénité goulue et dégoût elle lança :
- " Finalement je n'avais peut être pas besoin d'un bain ... Ta langue me suffisait pour ma toilette ! Aaha ! remarque non !... je plaisante !... J'ai un rendez vous galant ce soir, et il aime que je sente bon ... Tiens ! il est comme toi, au moins sur ce plan : il adore "Jean Paul Gauthier" pour Femmes... et il profite, du coup, du dernier flacon que tu m'as offert ! Ah ! puis tu aurais pu commencer par là au fond ! viens donc faire un tour aussi dans ma foune ! "
Et elle écarta complètement le compas de ses cuisses en pivotant... pour que je m'ajuste bien à son entre-cuisses, sous son ventre bombé, à la manière de ce que nous montre une oeuvre de Namio.
... et il n'en fallut pas plus pour que je sois happé, pour que je me sente aspiré par les lèvres toutes gonflées et poisseuses de son vagin... Je l'ai lapé ... j'étais dans un état second... J'étais moi même devenu effluve... odeur lourde.
Je ne saurais dire quand j'ai commencé à me sentir somnolant... Si je me souviens bien, je bandais pourtant toujours autant !
J'ai même cru un instant qu'avec tout ce que j'avais emmagasiné de désir dans les heures précédentes, auprès ma nouvelle " aventure ", j'allais finir par exploser... par juter à l'abri de mon pantalon ... toujours cette histoire du coup de grâce ! ... et c'est d'Irène que je l'aurais reçu !
Une de mes dernières pensées à peu près cohérente fut qu'il fallait que je m'efforce de ne pas jouir...
Et puis mes paupières devinrent très lourdes ... cela m'intrigua... je ne comprenais pas ce qui m'arrivait ...
Je me souviens juste que malgré mes efforts, je ne pouvais plus garder les yeux ouverts ... Je crois qu'elle lacha un pet sur mon nez, qu'elle s'était de nouveau "calé"... "carré" dans la raie !... ma langue dardait sa pointe, à sa demande, au creux de son cratère anal...
... mais je crois aussi qu'elle m'engueula parce que je ne durcissais pas assez ma langue...
- " T'es mou de partout biquet ! heureusement que maintenant j'ai mieux dans mes relations ... ahahhah ! "
Je crois ! mais allez savoir si je n'ai pas rêvé cette phrase... Le vent sur la pointe de la langue là... pas vraiment de doute ... en l'évoquant je sens encore le souffle taquinant ma langue et agaçant mes papilles .
Son rire aussi était bien réel... et son écho n'a pas pris une ride !!
J'ai sombré totalement au creux de ces éclats humiliants d'hilarité .