asserviparmonex

Hier après midi Hannah est entrée nue ( ou presque : elle portait un minuscule string noir ) dans la petite pièce  où je me réfugie  pour écrire ... sans frapper bien sûr - elle dit , à ce propos, que si elle  devait  frapper,  en entrant dans une pièce où je suis seul, ce serait  sur moi ... pas sur une  malheureuse porte qui ne lui a rien fait ! -

Je n'ai pas été particulièrement surpris par sa nudité : l'été elle évolue souvent "topless" ...  en short ultra-court et moulant , ou en jupe vraiment  mini...

Mais là , n'entendant plus aucun bruit dans la maison ( nous sommes de nouveau seuls depuis hier jeudi  midi et jusqu'à samedi après midi ... le bonheur ! qui hélas semble sur le point de s'achever totalement mais c'est une autre histoire !! )... n'entendant plus rien donc , je suis sorti de mes écrits et l'ai cherché , dehors , en me penchant  discrètement aux différentes fenêtres ... Elle était allongée , vétue de ce seul string, sur le seul transat sorti...

Elle entretenait son magnifique bronzage issu de trois semaines de bateau en Méditerranée,

je n'ai pu m'empècher d' admirer plusieurs minutes , en plongée son  corps magnifique et plein ...

Je ne l'avais vu que quelques minutes depuis son retour  -  Elle était partie deux jours -

 je lui avais servi son déjeuner  et elle m'avait signifié que je pouvais disposer en claquant deux trois fois  ses doigts ( claquements accompagnés d'un geste de rotation du poignet  qui voulait dire " va ! va ! "  comme avec un soupçon d'agacement (elle me parlait de moins en moins et moi je devais lui demander la permission , en disant simplement " Ma Reine" ... elle disait " Oui ? " si elle était disposée à m'entendre à défaut de m'écouter vraiment  ...l'absence de  réponse signifiait que je ne devais pas l'importuner, par des propos qu'elle subodorait  d'emblée  dépourvus d'intérêt .   )  Pendant la préparation du repas et pendant qu'elle mangeait - à genoux attendant les ordres ... j'avais par deux fois prononcé timidement " Ma Reine " ... elle avait continué à mastiquer avec application, puis à déglutir sans le moindre mot ... j'étais transparant, juste instrumentalisé ...

Après les quelques minutes d'idôlatrie discrète  et clandestine , à la fenêtre la plus proche ,  à l'aplomb du transat, je fus  donc ravi de la voir s'approcher ,  en chair parfumée et en os ,puis tendre vers moi son sein gauche   aguicheur ...sans un mot ...

Je savais que je devais le prendre entre mes lèvres , doucement puis sucer son téton , le lécher , le serrer un peu plus en faisant entrer mes dents dans  sa chair croquante, craquante .... puis de plus en plus ...

j'avais pris dans la paume de la main la  dense masse de lautre sein , puis j'avais fait rouler le téton de droite entre pouce et index ... j'avais agacé les deux aréoles qui chaque fois gonflaient de plaisir presqu'instantanément ... j'avais fait passer ma  bouche de l'un à l'autre, permuttant sans être désavoué ... je savais ce qu'elle attendait de moi sur le bout des doigts ...Ses soupirs augmentaient ... nombre !... intensité !.. volume !... Une douce odeur de transpiration  propre me stimula davantage ... mais en avais je vraiment besoin ?...

Elle me dit  " doucement ... doucement "sans  vraiment hausser le ton ... sans  reproche ... juste pour me guider...

Puis elle appuya sur le sommet de ma tête ... Cela voulait dire que ma bouche devait descendre lentement vers son pubis , via son ventre précieux , puis se coller aux lèvres de son temple  d'amour le plus accessible ... Cela signifiait que je devais  tomber à genoux à ses pieds ... Je le fis avec empressement ...

 Son sexe sentait un mélange de sueur , d'urine et de cyprine ... le plaisir  produisait déjà sa merveilleuse rosée qui faisait luire les reliefs de sa fente désirée ...  l'odeur enflait ... grisante , étourdissante !

Je n'avais pas besoin d'être stimulé pour lécher,  déguster, renifler, savourer les richesses de  ce temple adulé !!

Les gémissements de mon Adorée, se faisaient plus nombreux , plus insistants.....ils s'étiraient, se pressaient, s'étouffaient parfois ... ils étaient de plus en plus émaillés de   " encore !! ... encore !! "  (  qui sonnaient presque suppliants  !! )ponctués  "de plus vite" ... mais cette fois plutôt autoritaires ...et visant le rythme de ma langue ...

Par instant elle réclamait plus de légèreté, exigeait que ma langue n'agace son petit bouton quasi-névralgique  que de sa pointe ... Bout contre bout en quelque sorte ...

Mais elle écarta bientôt  les cuisses m'ouvrant un  large passage et cette simple attitude m'apprit que je devais à la fois pivoter, projeter ma  tête et la glisser sous ses fesses en  me tournant complètement ...

Ce faisant, je me suis retrouvé, d'abord assis , nez enfoui dans sa délicieuse raie,  puis allongé sur le dos, puisqu'elle écarta et fléchit encore les jambes  dès qu'elle sentit mon souffle tiède sur sa rosette , tapie dans le secret de ses chairs tranchées par mon nez...

Elle finit par s'accroupir,  ses beaux hémisphères au plus près du sol !

Puis s'assit un moment ostensiblement sur mon visage ...

Odeur forte , musquée : elle était rentrée seule en voiture , avait roulé trois heures et même avec la clim ... même avant la chaleur extrême  du midi solaire ... elle avait bien transpiré ... Et puis cette heure , aussi  , passée juste avant sous les rayons intenses  de l'astre roi !! 

Son anus était onctueux , capiteux... mais aussi presque doucereux . Ses arômes étaient aussi généreux que ses  parfums !! ... J'étais très excité et bien sûr ma pauvre verge heurtait désespérement les tiges inflexibles de ma " Chastity Belt " .

Après une pause  consécutive au changement soudain de position , elle se remit à gémir , feuler , haleter ...Cela dura ... puis elle remonta son suberbe fessier doucement ... Toujours la même recherche : que  mon bout de langue agile titille et agace son petit trou palpitant ... de plus en plus vite ... puis que je le durcisse pour qu'il force la  délicieuse valve élastique et tente de pénétrer l'orifice  ...

Je sentais qu'elle allait bientôt jouir ... elle le disait ... mais l'information pouvait se passer de mots !!!... elle creusa son bassin , tendit sa croupe et , toujours sans s'asseoir  vraiment, entreprit  quelque chose comme  écraser mon bout de langue ...

je l'imaginais déçue qu'il ne soit pas inflexible comme l'épée ! ... quand elle pivota complètement , changeant l'ordre et le sens de ses pieds autour de mon visage, je me retrouvai de nouveau  avec  sa chatoune fondante et plus odorante que jamais qui tutoyait ma bouche , rudoyait mes lèvres ...

Aucun relent du sperme de l' amant, pas d'âcre saveur masculine ! pas d'odeurs viriles intempestives !!! ... Un plaisir  rare et  sans mélange  vous dis je !!!...

Ma verge et mes couilles, comprimées, me faisaient mal ! ... mais qu'importe !...

Ou tant mieux  !! ...donner du plaisir à Ma Reine , par le seul moyen restant à ma - à sa ! - disposition, et qu'elle appréciait - hélas trop rarement - mon museau fouisseur ...justifiait bien quelque désagrément ! ...

Et elle a joui  ! ... enfin ! ... ou hélas ! ....car dès lors,  de nouveau , je n'ai plus d'existence ...plus d'intérêt ...du moins au regard de son plaisir ! 

 Elle s'est "posée"   vraiment sur mon visage , parce que ça lui permettait de reprendre son souffle et ses esprits ... et aussi parce qu'à ce moment  je n'étais plus rien d'autre qu'un siège !.. et j'ai savouré , moi aussi, à ma place, ce moment d'une rare intensité !

Oh ! s'est allé vite !  trop vite !... et elle s'est levée , m'incitant à un dernier regard ébloui sur ses chairs  obsédantes et scintillantes, luisantes d'un plaisir  dont  elles témoignaient  et qui déjà s'était dissipé , évanoui !!  

Elle  m'a tendu son string , sans un mot pour que je le remette  à sa place, c'était évident.  ... Je me suis remis à genoux pour ce faire,  je n'ai pu m'empêcher ,  ma facile  mission  accomplie , de déposer un baiser  , doux ... mais enfièvré , sur son mont de Vénus , maintenant caché ...de sentir une dernière fois la Femme  ! ..et cette odeur m'a "relancé" ...  je n'étais évidemment pas " rassasié " ... pas satisfait  ! ...

J'ai saisi à pleines paumes  ses belles fesses charnues ... les écartant et pétrissant  ...

 je sais combien elle  aime ça....  mais  " ça " évidemment  c'est quand elle exige son plaisir ! Imbécile que je suis !

 - " C'est bon !  ça va ! ... tu peux me lâcher ? " il y avait de l'ironie dans sa voix et dans son regard ...moi,  je n'arrivais pas à me résigner !  "... ou tu veux que je te  gifle peut être ? "

Je l'ai évidemment lâchée... sous son regard rieur ,  après le sérieux  fugitif de la menace, sa bouche aussi s'est fendue d'un sourire amusé ....cinglant  ... 

Puis me tournant le dos,  elle s'est dirigée vers la porte ... non sans  onduler de la croupe  avec une saine insolence  ! .... dans l'embrasure de la porte , juste avant de disparaître , elle a tourné uniquement la tête , au-dessus de son épaule ... elle a sussuré , dans une moue coquine :

- " Mmmmmhh ! c'était bien bon ! "

Puis elle a disparu dans l'escalier dans le tintement de son rire  moqueur et frais !

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 Sur ce terrible début de mois de Septembre ( terrible par l'impensable menace  en suspend , car pour le reste c'est magnifique ! et tellement loin de ce que j'ai vécu en Catalogne !... ) Une  autre "page " suit .... pour qui  s'intéresse à ce qui est peut être        - hélas ! - l'agonie de ma vie à la villa , auprès de ma Maîtresse Adorée  ...

Alors que je n'ai jamais été aussi près de mon ex épouse , tant désirée , le cauchemar annoncé devient un peu plus crédible chaque jour !!!

 ...  je décris ces choses en sachant qu'elles  sont plus éphémères que jamais !!

C'est le retour à la chronologie  qui dira pourquoi ... Je me recentre donc dès que possible sur ce qu'a déclenché l'intérêt maladif de Teresa  pour moi  !