asserviparmonex

  Des ébats sexuels , des joutes continues, des étreintes torrides entre trois couples voilà ce qu'auront été ces  trente six heures chez Estrella que je présente dans mon article précédent .

Parler de trois couples donne d'ailleurs une idée partiellement fausse  des choses et des situations ...  mon précédent post le mentionne, les couples n'avaient rien de figé, d'immuable . 

Certes Murielle a passé un peu plus de temps avec " son " Grégory, qu'avec 

" Semental "  dont la venue - pour laquelle elle a fort habilement oeuvrée - 

a tout déclenché... certes  elle n'a pas été sodomisée par Carlito, mais c'est parce que, prétend elle régulièrement, elle n'aime pas le sexe anal avec un soumis, fut il aussi bien membré que " Sumi " , son anus n'en a pas été pour autant moins visité que ceux des deux charnelles ibères ... je peux en attester puisque c'est moi ... ma langue  qui fut chargé  trois fois sur

quatre de toiletter  son cratère tout palpitant et distendu  et sa raie marécageuse...

Gloria et notre hôtesse se sont amusées de ce préjugé de la belle française : D'après elles , ma Maîtresse se prive  d'une prestation de choix : Carlito dispose d'un sperme surabondant et qui  de plus jaillit très fort , s'écrasant d'autant plus spectaculairement  sur les parois du boyau anal qu'il inonde... et ce,  qu'il décharge pour la première ou pour la sixième  fois...

 Pour la puissance du jet, je ne peux rien affirmer : les seules qui savent étant nos trois Dames qui  vivent tout ça  de l'intérieur, et donc, présentement deux d'entre elles  ! ... mais pour l'abondance ... pour avoir lapé l'amère et glaireuse liqueur sur ( et dans ) les rosettes anales distendues des andalouses ... je peux affirmer que ni  Grégory, ni le dernier  des invités , ne produisent plus ... et puis , si " Sumi " n'a inondé qu'une fois le coquillage à odeur très marine de Murielle, je confirme pour avoir été préposé, cette fois encore, à la toilette de ma chère Maîtresse, qu'il quitta un endroit si inondé qui produisit des bruits comiques pendant  toute mon intervention ...

 Comme au bout de quelques heures Fidel, Nando et moi, en dépit d'ablutions régulières, étions tout poisseux... tout collants, Grégory proposa , comme il en a l'habitude, et comme il me l'impose en France , de 

" laver ( nos ) visages à l'urine . " 

On dut s'allonger sur le dos , en serrant  et rapprochant nos têtes,  et Estrella se proposa pour remplacer Semental - qui constata, au moment

" m " qu' il " n'avait pas envie de pisser " ! - la Femme de Nando monta sur un tabouret pour pouvoir tendre sa divine et opulente  croupe juste au dessus de nos visages sans gêner les deux hommes qui se firent face en dirigeant négligemment de la main les jets d'urine vers nos faces honteuses ... J'étais , pour cette première , la tête comme prise dans un étau entre les joues de mes compagnons cocus ...

La hauteur des trois sources, comme la puissance du débit et la  quantité de liquide à évacuer eurent pour effet d'éclabousser copieusement le haut de nos corps nus et pas seulement nos visages...

L'opération se renouvela  à trois reprises durant les heures passées là... Gloria participa aussi, même quand aucun des trois hommes ne manquait à l'appel ...  Nous fîmes aussi, "  pour ( nous ) détendre un peu " selon  Estrella, le service domestique ... Nando et Fidel étant même envoyés dehors à trois reprises, pour aller faire de menus  achats  " imprévus " juste avant... 

Enfin , Murielle eut l'idée, après une séance amoureuse particulièrement chaude avec Semental,   de  jouer  à " Blue Balls " avec moi ... histoire d'impressionner notre hôtesse  et son amie - qui ne connaissaient rien à cette pratique - et comme ma dernière libération commence de nouveau à dater ( eh oui ! ) le succès de la manip. a été immédiat - ... au prix de nouveaux tourments ... de nouvelles humiliations .                   

Je pense qu'au vu - comme " au lu " - de ce que fait subir Estrella à Nando, son chaste  mari, vous commencez à avoir une idée de la dangerosité de cette Femme  pour l'homme faible !... Comme j'avais donné déjà un aperçu du potentiel de son amie Gloria... vous imaginez combien je suis ces jours ci en de bonnes mains !!

La journée de travail sur la plage, n'a évidemment pas été sans lendemain...

 Si " Sumi " suppléait Nando dans cette épuisante galère... du moins ce soumis avait il  le bonheur de suppler aussi le cocu d'Estrella dans le lit conjugal ... 

Pour moi rien de tel ... Sans doute sur proposition d'Estrella, Gloria avait  bien voulu que je prenne la place de son mari sur le sable brûlant de l'après midi ... mais dans le lit de la Dame c'était Alejandro, le Maître et formateur de Carlos qui y avait le beau rôle ...

 La vente sur la plage est un  boulot de dingue :

- les horaires y sont délirants,

- les humiliations et insultes permanents ,

- le transport des articles à vendre   tuant ...

 les deux autres " exploités " , parmi lesquels une Femme, étaient  assurément protégés... privilégiés, voire ménagés par rapport à moi...

Dans mon cas, il n'en était pas question ... Estrella en particulier cherchait à m'éprouver , et je compris que si je n'améliorais pas mes résultats le troisième jour - car il y eut un troisième jour ( hier ! ) -  cela " barderait pour mon matricule "  autre expression vieillotte qu' Estrella avait à son répertoire... mais améliorer mes résultats étaient tout bonnement impossible !! voilà quel était le piège...  insurmonable pour moi ! 

Et cela a  bardé en dépit de tous mes efforts et ma bonne volonté ...

Car la soumise et Carlos se sont mis d'accord sur mon dos : ce qui n'allait pas était toujours " de  ma faute " ... de ma responsabilité ! ...

...  et je finis par être puni pour ces résultats - ou cette absence de ... -  qu'on m'imputa...

Mais outre ce piège ... c'est avant hier que je saisis tout le pouvoir d'attraction de ces lieux et de leurs habitants sur " ma " Murielle ... 

L'hypothèse de la venue de Gregory ,CAR C'EST DE CELA QU'IL S'AGISSAIT !! TOUT SIMPLEMENT ! d'abord notée comme purement fantaisiste, gagna vite en crédibilité ... 

Voilà qui ne pouvait que " séduire " mes Maîtresses et particulièrement Murielle ... et c'est alors qu'il commença aussi à être question d'un retour en France un tantinet groupé ...

...  entre nombre des personnes dont il fut question ici ces dernières heures !! ... mais ce sera pour demain maintenant ... car cliché pour cliché :

 " A chaque jour suffit sa peine " .         

Ce ne fut bien qu'une trêve ! ( voir article précédent ) :

 Le lendemain midi mon Maître partit et je compris aux propos tenus que je ne le reverrai qu'en France et pas avant trois jours donc ... quatre peut être ...

Jenna téléphona à Estrella après la sieste qui suivit ce départ... une sieste où je finis d' éponger .. lécher... laper le nectar laissé généreusement dans les temples d'amour de ses deux Femmes par leur Joss : je veux dire que durant cette nouvelle sieste - ici il y en a chaque jour - du genre qu'on dit volontiers   " crapuleux " Jenna et Murielle s'étreignirent joyeusement, se donnèrent du plaisir sans compter et qu'ainsi, chaque fois que ma langue  intervenait sur et dans leurs temples d'amour, aux fins de rafraichir, ou toiletter ...   elle y trouvait, mêlés à leurs sucs et liqueurs personnels ( que le plaisir, indéniable, rendaient débordants ) des restes, certes toujours plus minces, mais indéniables... des épanchements si virils des heures enfuies !

  Voilà qu' Estrella proposa à mes Maîtresses de s'installer chez elle pour les deux derniers jours... et je sais maintenant que le coup de fil de Jenna, avait plus que vaguement cet objectif en vue  !  

 " Ce sera sympa ... " ... précisa la Maîtresse de maison

... " et puis on pourra peut être rentrer en France ensemble "...

 ajouta Gloria, qui était, elle aussi, dans la coquette maison d'Estrella en lisière du parc Doñana, important parc naturel, fleuron andalou d'espèces protégées    ( Soumis et esclaves du monde BDSM eux,  n'y sont pas, on le verra vite, " espèces protégées " !! ) ...

Gloria et Estrella  se connaissaient alors depuis peu...

 Le trait d'union initial entre elles étant Alejandro, elles découvrirent  seulement ces derniers  jours, que , quand Gloria venait sur les terres de son cocu  de Fidel, dans la province de Huelva, elles étaient belle et bien voisines ...

... l'intérêt commun de ces belles et charnelles ibères  pour un BDSM musclé fit le reste : en quelques jours ( y compris à mes dépens, en m'instrumentalisant... en m'exploitant ! ...) elle devinrent presque inséparables...

L'acceptation par mes Maîtresses de l'invitation de la première nommée fit le reste :

Oui ! je ne peux dire mieux : en quelques heures les deux hispaniques devinrent quasi-inséparables ...

Et, d'un autre côté, les liens avec mes Maîtresses prirent une tournure qui m'apparut très vite préjudiciable... à mes pauvres intérêts s'entend !

 C'est qu'entre Jenna et Estrella, par ailleurs, se développa quelque chose d'aussi inexpliquable que puissant ( et qu'on n'a pas encore fini de bien mesurer au bout de quelques jours ) tandis que Murielle, pour sa part, songea rapidement à un avantage de la situation qui, quarante huit heures après notre arrivée ici, pourrait bien l'amener à se féliciter au delà de tout de sa nouvelle amitié  - mais c'est encore un peu tôt, pour elle, pour crier victoire, elle préfère attendre d'être sûre de son coup   -...

 ( Je vous promet de vous en dire plus sur le sujet, sitôt que les espoirs de ma Maîtresse se seront concrétisés ... ce qui  en cette nuit de jeudi à vendredi ne saurait tarder ! )

Mais dans un premier temps, c'est du travail que m'ont  valu  les nouvelles amitiés Féminines de mes chères Jenna et Murielle... et puis aussi des tourments !... Estrella étant du genre à s'acharner sur sa proie quand elle

 " tenait le morceau " !...

C'est venu très simplement, dès le premier matin, Estrella trouvant, tandis que je lui léchais et suçais un à un les orteils, sur  ordre  de son amie Gloria que  j'  " étais trop orgueilleux, trop fier, pas assez humble et qu'il faudrait bien que l'on  ( me ) rabatte (mon) caquet ... " 

C'était des expressions toutes faites qu'elle connaissait du français, et qui firent rire les autres ... en particulier Gloria qui sauta sur l'occasion pour proposer à mes Maîtresses de me confier  une activité  qu'elle réservait  d'ordinaire l'été à Fidel ... et dont elle était sûre qu'il " ne serait pas mécontent de( me) l'abandonner quelques jours "...

Le Fidel rosit de plaisir au simple énoncé de la proposition et je compris aussitôt que mes prochaines journées ici ne seraient pas une partie de plaisir :

Il s'agissait tout simplement de le remplacer pour vendre des friandises des sodas, de la bière fraiche  sur la plage, et même quelques " culottes brésiliennes " très colorées, quelques strings aussi , en arpentant ce long ruban de sable,  d'un bon kilomètre et demi, dans les deux sens et à longueur de journée ... Chaque cinq cents mètres un relais permettant de

" ravitailler " en glaçons, canettes et friandises...

...  je portais à bout de bras des glacières de  voyage emplies de boissans fraiches , et, devant mois dans une panière large et encombrante , paquets  divers  d' " en-cas "  et d'  " amuse-gueule "... 

A part moi, qui remplaçais  Fidel donc , une jeune soumise...  et un quinqua asservi par Alejandro - et que je fus un peu étonné de retrouver ici - se partageaient ladite plage !... encore faut il savoir que la fille , couleur pain d'épices - je parle de son bronzage ! -... en mini-short et top léger autant qu'échancré  ...avait des arguments que nous n'avions pas, ni l'un ni l'autre... sa panière était deux fois plus petite que la notre , quand au trajet du quinqua , il était d'un bon tiers inférieur, le résultat étant qu'il trimballait des charges bien moindres à chaque fois...

Bref, je ne fis, évidemment  pas le chiffre " escompté  " et cela me fut reproché dès la fin du premier jour , avec quelques arguments cinglants ( au propre ) à l'appui... et la promesse de choses plus sérieuses si ma deuxième journée était aussi " décevante " ...

Comme on le voit, l'idée de vacances, de loisirs .. n'étaient plus vraiment dans l'air du temps !

Je le montrerai dès demain je pense .