asserviparmonex

Je suis obligé de faire assez vite ... je l'ai dit... ce samedi là donc, au moment de la fusillade évoquée dans l'article précédent, le taxi venait de me laisser près de chez la blanche amie de Vanina...

Je suis monté, en quelque sorte stimulé par le coup de feu meurtrier ... A l'étage et la porte indiqués, j'ai sonné ... la blanche amie de Vanina est venue m'ouvrir elle même :

... son éblouissant corps nu est apparu dans l'encadrement de la porte palière... elle s'est retournée et m'a séchement intimé l'ordre de refermer la porte et de  la suivre... c'est là que j'ai vu combien elle était " cuissue et fessue "...

... elle m'a entrainé directement vers la salle de bains... et je n'ai eu que le temps d'apercevoir les cuisses d'ébène  croisées  de la sculpturale Vanina affalée dans un fauteuil dans la grande pièce à vivre ...

Manon - ainsi s'appelle l'amie de la puissante noire - a enjambé la baignoire et m'a , tout aussi sèchement, ordonné de la laver...

Ensuite, quand je l'ai rincé à la douche , elle a fléchi ses merveilleuses cuisses étincelantes de blancheur  et a guidé mon poignet  de manière à ce que l'eau tiède inonde son coquillage duveteux ... elle a gémi sous la caresse de l'eau ... et peut être serait elle allé jusqu'à l'orgasme si Vanina n'avait fait intrusion dans la place ...

La noire s'est assise sur une fesse ... appuyée contre l'arête du long lavabo, pendant qu'à genoux , lui tournant à moitié le dos, je séchais soigneusement le corps plein de Manon ...

Je la voyais mal, mais je l'ai très bien entendue me dire :

- " Tu ne connais donc  pas la politesse batârd  ? ... Tu aurais dû venir te prosterner devant moi quand tu es entré ... si tu viens ici , servir mon amie , c'est à moi que tu dois un tel honneur  ! "

J'étais figé... je continuais , tant bien que mal à essuyer le ventre délicieusement  bombé de la blanche ...

Vanina marcha derrière moi et m'empoigna les cheveux sur le sommet du crâne... ses ongles griffèrent durement mon cuir chevelu, et sous l'action ferme de sa main ma tête bascula vers l'arrière , m'arrachant un cri... qui me valut aussitôt une gifle ...

J'étais accroupi maintenant entre  les deux beautés... Vanina me fit ouvrir la bouche ... installa la sienne un  instant à l'aplomb de mon visage ... m'intima l'ordre d'ouvrir la bouche ... racla avec énergie  le fond de sa gorge  et libéra un mollard gras qui vint glisser sur ma langue et dans mon palais ...

- " Il est solvable ?... tu es sûr ?... il a pas l'air très bourgeois ton larbin... "

Mais Manon n'attendait peut être pas de réponse ... j'entendis son urine couler avec force dans la cuvette du bidet au-dessus duquel elle s'était accroupie ... et quelques instants plus tard, elle m'attrapa à son tour par les cheveux pour m'obliger à lécher sa dernière goutte ...

A peine lavé ,  son sexe , redevenu gras  voyait son odeur marine  reprendre le dessus... je m'en rendis aussitôt compte...         

Certain(e)s se souviennent peut être d'un fait divers de week end estival qui a eu lieu à Marseille un samedi tout proche, rue St Sébastien ( pour une fois je suis précis et exact sur la localisation : comme cela a fait l'objet d'une couverture médiatique, il n'y pas de raison de rester dans le flou, au contraire, si je veux être compris, à propos de l'intérêt de l'anecdote  ) Là, que se passe-t-il au coeur de la matinée ?

Règlement de compte au coeur d'une boutique de type " web café "...

le milieu qui se fait justice ( qui rend sa justice ) bilan après la fusillade : un mort . Pourquoi mentionner ce fait divers ?

 Parce que j'ai été témoin de la scène, passant par là " par hasard " ( une heure avant il n'était pas même question que je vienne au centre ville de Marseille ) passant par là, dans une situation de nouveau peu rassurante, peu  valorisante... bref pas brillante  pour moi !...( car je suis alors en compagnie de Vanina, que mes lecteurs les plus assidus connaissent, et d'une autre adepte du " money-slavery " ) ...

...  les media s'étant fait l'écho du fait, je peux maintenant évoquer ici avec cette relative précision la scène  ...

Cela bien sûr n'aurait qu'un intérêt limité et même discutable si  je ne  venais pas, quelques heures avant  l'incident , d'évoquer, en privé,  ce genre de boutique ( un web café ) avec  une des Femmes Supérieures qui me fait l'honneur de me lire et qui comme moi connait l'attachante cité phocéenne ...

Ce genre de boutique où elle projetait de se rendre pour prendre connaissance de son courrier électronique  ... voire pour des raisons qui ne me regardent pas.

 Je ne savais évidemment pas que j'allais être le témoin de cette scène , mais avant même de passer devant le local commercial, j'avais pensé à ma lectrice ... en me disant, suite à notre dialogue que ce serait " amusant "  et surtout  très troublant ... - et peut être plus encore ! - de la croiser là... ce matin là...

 Le fait divers ... le forfait accompli .... bien évidemment, je me suis doublement réjoui de n'avoir fait qu'imaginer l' improbable présence de la Dame...

Doublement car évidemment le lieu était dangereux, sur le coup,  mais aussi parce que , comme la dernière fois que je m'étais trouvé avec Vanina dans les rues de Marseille , je n'étais pas très à mon avantage .

C'est ce que je vais expliquer dans mon prochain article ... si toutefois mon service me laisse le temps de le rédiger avant mon départ ... 

Oui ! c'est enfin décidé ! Je pars de sept à dix jours, au moins, avec Murielle, Jenna  et Maître Joseph ! ( sans Janique , sa Femme ) ... il en était question depuis un moment... mais Murielle faisait de la résistance larvée ( larvée car il ne fallait évidemment pas que Maître Joseph perçoive son manque d'enthousiasme et en cherche la cause)

La cause ? vous qui me lisez la connaissez : Murielle n'a nulle envie d'être séparée plus de  huit jours  de son " terrible " Gregory - et si je n'envisage pas plus de dix jours d'absence de notre lieu de vie habituel ... c'est bien parce que la Belle ... n'y songe même pas ! 

Son Joss lui parle plutôt d'une vingtaine de jours ... enfin , nous  verrons ! ... ce qui est sûr c'est que je n'aurai sans doute pas facilement accès à un clavier ... le mien ou un autre...

... allez ! je vous laisse pour pouvoir venir rapidement vous parler de cette matinée  avec Vanina et son amie.       

Non ! pas embraSSé cette fois ... embraSé ! transformé en braise, brûlant   se consumant, sans rémission, ni échappatoire  possibles ...

 La soeur aînée de Grégory n'est peut être pas plus perverse que lui, mais vue de mon côté, elle a des arguments qu'il n'a pas, pour me mettre à sa merci... sans violence ... pour me mettre " dans tous mes états " comme on disait avant  ( ... dans tous mes états ... du moins physiquement ! ) ...

  Si pour lui, force et puissance priment ... avec elle c'est séduction  et aguicheries ...

Et si j'en parle aujourd'hui...

... c'est parce qu'elle m'a  "poussé à bout " ( dois je rappeler que j'en suis à mon soixante et unième jour sans éjaculation ? que ce week end, sans issue d'ici là, on en sera à neuf semaines !! )

... c'est parce  que j'ai failli, dix fois au moins, auprès d'elle, " libérer " le trop plein de désir liquéfié et enfermé... foulé au pied ... piétiné.

Et si j'en parle  maintenant...

...  c'est parce que je viens d'être confronté à cette Femme volcanique pour la première fois  ( Murielle et Grégory m'ont envoyé chez elle pour préparer une réception qu'elle donne demain )...Grégory parlait assez facilement d'elle ... et récemment je devine que Murielle et elle se sont rencontrées ... et que sensuellement le contact s'est établi  et bien établi !!... et que  la relation a prospéré ... Murielle, ces derniers jours, parle autant d'elle que son frère... et avec le plus vif intérêt ! ...

 Je pense aussi que c'est la raison pour laquelle je me suis retrouvé dans le grand appartement bourgeois de la Dame, élégante quadra, beaucoup moins " guindée " d'aspect que son appartement,tout près du cours Mirabeau , lieu chic s'il en est !... à Aix  en Provence...

 J'ai accompli à la lettre tout ce qu'on attendait de moi, sans gros impair ( c'est parfois difficile de donner pleine satisfaction dans une maison inconnue , et sans rien connaître des possibles caprices  de la Maîtresse de maison ... comme des pièges potentiels de l'endroit ) Du coup, elle ne m'a giflé que deux fois ... et plus parce qu'elle a  la main leste que par raison objective ! 

Pendant que je m'efforçais de répondre à son attente domestique, en particulier au salon, où il y avait beaucoup à faire ... elle  prenait des poses , assise dans le canapé, cuisses ouvertes, ou affalée au même endroit, téléphone à la main, en train de s'esclaffer du bon mot d'un ami... d'un amant ...

 Cuisses ouvertes ou non, c'était pour moi une provocation permanente, dans la mesure où elle passa son temps à s'effeuiller pièce à pièce, commençant par la jupe de son tailleur , puis le soutien-gorge ... puis la petite culotte ... ses cuisses pleines et puissantes me fascinaient... sa toison brune aussi large que drue aussi !... 

... j'aurais dû, bien sûr, ne pas regarder, d'autant qu'elle me menaça :

- " Si tu continues avec ton regard sournois et vicieux tu vas voir que tu vas  t'en prendre une !  "  ...

...  il y avait ce risque ... et aussi celui d'un frottement malencontreux entre chair et  cadre rigide de la CB ... qui déclencherait le pire ... en regardant je majorais considérablement le risque ... mais c'était plus fort que moi ! ... et son propos démentait ce qu'elle cherchait visiblement à  provoquer ...

 Bref je fus  " heureux " aux différents sens du terme, d'en avoir fini avec cette pièce et la proximité de la Dame  et de ses parfums, heureux et peiné à la fois ...

Elle ne rata cependant aucune occasion de  me titiller un peu plus, pour un oui pour un non, d'une pièce à l'autre , avec toujours une bonne raison d'être là...

Ce n'est peut être pas grand chose, ce que j'ai conté là ... mais c'est aussi destiné à faire écho au constat de Christophe, qui affirme que sa Maîtresse tenterait plutôt  l'émasculation cérebrale avec lui ... que la mise sous ébullition sexuelle régulière ... C'est peut être - je l'avais déjà pressenti- la principale différence qu'il y a entre lui et moi :

... mon besoin de servitude conjugale absolue va de pair avec cette sorte de besoin simultané d'un désir entretenu ... et qu'importe qu'il ne soit pas satisfait... je fais partie de cette catégorie d'individus qui vivent en état de désir permanent ...

 "  je désire donc je suis " en quelque sorte ... je suis et j'agis ... je travaille, je sers !

 Les " Sutoniennes ", si je ne me trompe pas, font reposer le plus gros de leur pouvoir sur la notion de chasteté et de déni d'orgasme ... parce  que,  ne cessent elles  de proclamer : un mâle satisfait est un fainéant  veule et souvent stupide ...

     Alors certes, oui, une forme d'émasculation, d'étouffement du désir, de destruction même peut être de ce  bonheur de désirer  peut asseoir définitivement le pouvoir de certaines  Femmes Supérieures sur certains individus ... je doute que cela soit le cas pour moi,  et je suis plutôt

" heureux "  que les Femmes qui m'ont subjugué jusqu'à  ce jour  ait usé et abusé de ce merveilleux levier qu'est la séduction permanente ...

... mais il n'y a pas de hasard , et la Femme Supérieure sent ces choses là ...

 Et pourquoi se priver d'une arme aussi distrayante et efficace, n'est ce pas  ?