Vous trouverez ici :
- I - Une partie de ma vie récente - sur les cinq dernières années - de mari asservi par sa Femme d'alors, soumis au déni d'orgasme, à la chasteté imposée dans le cadre d' UN COUPLE GYNARCHISTE REEL.
-II - Puis de nombreux témoignages, plus récents, actuels, sur le vif parfois... diversifiés... parfois très détaillés, parfois survolés, selon les articles... témoignages de ma vie d'aujourdhui ...
Esclave au service des Femmes Supérieures et Gynarchistes, c'est ce que je suis devenu, au sein du couple, dès ma jeunesse, très vite, alors que , tel monsieur Jourdain avec la prose, je ne savais pas ce que voulaient dire ..." Déni d'Orgasme ", " Power Exchange " soumission ou " Servitude 24/7 " " Gynarchie " " Rapports de D/s "...
Les articles relatifs à ma vie de conjoint asservi - I - sont plus anciens, donc " au fond " de ce blog que j'ai ouvert en Février 2010... vous pouvez y aller directement en " ciblant " les mois du printemps 2010...// ceux évoquant ma vie actuelle - II - sont à votre porté immédiate ...
Samedi, Maître Joseph est venu avec son copain russe, je me suis dit, sachant ce qui se passe invariablement dans ce cas, que Murielle allait se faire prendre par ses deux trous les plus intimes et c'est ce qui s'est produit... et sans trop de préliminaires .
Notre Maître avait aussi embarqué Régis, qui a donc vu sa Femme savourer la première double pénétration de sa vie ( mal dit : Murielle adore la double pénétration depuis sa découverte concrète de la chose, à ce qu'elle dit, fin 2009... mais son cocu, Régis, n'avait jamais assisté à la chose encore moins
" participé ". )
C'est moi qui suis allé chercher les deux hommes et l'esclave : j'ai pris le bus jusqu'à chez mon Maître ... lui et son copain étaient en train de s'occuper des puits d'amour de Jenna qui a l'habitude - je l'ai déjà raconté - d'être doublement visité par ces deux là, et ne s'en est jamais plainte !
Le mari de Murielle était à genoux devant le trio, mains menotées dans le dos, quand je suis entré...
A la fin de ce hors d'oeuvre, j'ai dû sucer le russe à la sortie du rectum de Jenna ...
Régis, lui, s'est occupé de nettoyer la bite de notre Maître sortie toute crémeuse du vagin de l'ex favorite... Pour finir pendant que je rafraichissais la rosette de la jeune Femme, le cocu de Murielle rendait le même service, au moyen de sa langue, à son sexe " marécageux "...
Jenna a joui, une nouvelle fois, sans que Cocu ou moi puissions dire quelle langue était responsable ... peut être les deux après tout !
J'étais alors le seul des quatre protagoniste vêtu !...
... avant que je ne prenne le volant et la route - puisqu'aussi bien j'étais venu pour cela ! - le russe, douché , comme mon Maître , a attrapé le préservatif que j'avais oté avec mes dents, sur son ordre, un quart d'heure plus tôt, l'a renversé et en a vidé le contenu dans ma bouche ouverte ... il a lui aussi des éjaculations abondantes, mais contrairement à la production de mon Maître , je n'en apprécie ni la consistance, ni la saveur ...
J'ai eu du mal à déglutir... des larmes me sont venues aux yeux et mon tortionnaire ma giflé en disant que je ne devais JAMAIS lui manquer de respect ...
Au volant , pendant le court trajet, j'ai retrouvé mon calme .
De retour à la villa, c'est ma nudité habituelle qui est redevenue de rigueur, mais alors que Cocu suivait les deux hommes vers le salon où les attendait sa Femme, mon Maître m'a ordonné d'aller laver sa voiture .
Je l'avais fait la semaine dernière, mais ce n'est évidemment pas à moi de juger du bien fondé d'un tel ordre ...
J'ai vu Régis jubiler - discrètement - pour la première fois depuis longtemps : c'est bel et bien lui qui allait, une fois n'est pas coutume, jouer le rôle de cocu, qu'il pouvait à juste titre me reprocher d'avoir usurpé. (sauf que, ce faisant, je ne faisais moi aussi qu'obéir ! )...
Mais, je l'ai dit, la voiture n'était pas très sale ... et j'ai pu rejoindre le quator rapidement, ce qu'avait exigé mon Maître d'emblée ...
Lorsque j'ai pu le faire, ils étaient en plein dans les ébats attendus ... et cela ne faisait guère plus d'un quart d'heure ! ( Murielle extériorise tellement son bonheur que le début des plaisirs n'est pas passé inaperçu, même du garage et de l'allée de gravillons où j'officiais !.. )
Dans son rôle de cocu, enfin, aux pieds de la Femme qu'il adule Régis exultait ...
... pourtant dès mon entrée en scène, il a déchanté , sans que j'y sois pour rien : le russe a voulu le sodomiser et notre Maître, sollicité a donné son accord ... enfin plus exactement il s'est tourné vers Murielle :
- " Qu'en penses tu chérie ? tu crois que ton mari peut se prendre un braquemard comme ça dans le fion ?
Murielle a ri et en regardant son mari a lancé
- " Bien sûr Joss ! ce n'est pas pour rien que je me donne du mal depuis des mois avec des plugs de plus en plus épais, pour assouplir et habituer sa rondelle . "
Les deux hommes ont ri .
Moi, mon Maître m'a demandé de me mettre à genoux entre les cuisses du cocu et de sucer sa verge pendant qu'il se faisait enculer ...
Régis a bandé très vite ... il faut dire que si j'en étais samedi à une dizaine de jours sans ... pour mon compagnon d'infortune c'est par deux qu'il faut multiplier son temps d'abstinence ...
Il a même fini par gicler dans ma bouche, et le bougre avait les couilles pleines ! je peux vous l'assurer ...
Après quoi, j'ai toiletté, avec l'aide de celui qui venait de m'éjaculer dans la bouche, les recto-verso des trois principaux acteurs ... car pendant que l'ami de notre Maître besognait le cocu ... " Joss " lutinait sa Favorite encore et encore , avec le bel enthousiasme qu'on lui connait ...
Après quoi, tout le monde est reparti, précisément les deux hommes et l'esclave Régis - ce dernier endossant le costume du chauffeur - et j'ai connu le plaisir d'une nouvelle nuit collé contre les fesses de Murielle , hélas toujours porteur de ma Chastity Belt et mes " balls " de plus en plus congestionnées et bleues , le temps de ma dernière éjaculation s'éloignant, une nouvelle fois .
L'histoire des traces dans le slip, visqueuses ou sèches selon leur ancienneté, est sans issue, désespérante... et ne peut que me valoir des ennuis ! ... Comme s'il ne me suffisait pas de subir de draconiens dénis d'orgasme à répétitions , des phases d " excitations " tout aussi répétitives !...
Me voilà désormais inquiété , mortifié, humilié, puni ... quand on découvre ... mais quoi au fond ?!... que mes Maîtresses font de l'effet au " sale porc " au
" vieux vicieux " qu'on considère que je suis ?... Belle découverte ! ...
A part ça, je l'ai dit hier , j'exerce mon service intime avec enthousiasme ... Même sucer mon Maitre, un homme donc ... est maintenant, souvent, un plaisir ... sa grosse bite d'ébène me fait frissonner , même si sa longueur me donne des haut-le-coeur quand son gland pilonne mon fond de gosier ... mais là ce n'est pas du rejet ! juste une conséquence quasi mécanique du contact bucal poussé !
J'aime le calme de ce grand noir nonchalant ... Il est macho, viril, ne pense qu'à baiser , exerce une sorte de magnétisme animal sur la gent féminine... il aime commander , exercer son autorité, être obéi ... mais il n'est pas sadique ... la cruauté n'est pas son truc et cela me rassure ... Il répand des odeurs fortes... musquées... des odeurs de sexe , de sperme... d'épanchements et fluides divers ... mais dans la propreté ...
Quand il vient en soirée et seul, c'est pour passer des heures avec Murielle , à faire l'amour dans toutes les positions et par " tous les trous ", comme il aime à dire !
Mais il lui arrive de venir avec sa Femme , ou avec Jenna pour des soirées triolistes ... et puis , la semaine dernière il est venu deux fois ( un après midi... mais aussi la soirée du même jour, ce qui est rare ) avec Régis, mari cocu de Murielle... qui fut particulièrement humilié, dans la mesure où, je le rappelle quand même !... c'est moi qui au quotidien suis " investi " de son rôle , c'est moi qui suis le cocu présent auprès des amants, pour les servir, les toiletter... etc... ce jour là il fut témoin seulement !... des relations de sa Femme avec notre Maître , mais aussi témoin de mon action , de mon service, de mon " utilisation " A SA PLACE ...
Voilà qui est, vous en conviendrez... particulièrement humiliant et frustrant !!
Moi, ce qui me plait évidemment , c'est que Murielle me traite de plus en plus comme si j'étais son cocu, publiquement ... et je sais bien que ce qui me plait, me va bien... me flatte, est une source d'intense souffrance pour Régis ... mais ce n'est pas pour ça que cela me plait tant !... non ! être le cocu ... être perçu comme tel par la principale concernée et instigatrice est un bonheur en soi !
Et puis le soir , la nuit... quand je suis seul avec elle, quand elle exige ma présence dans son lit , à ses conditions, comme je l'ai déjà raconté ici, je me sens vraiment " mari soumis, esclave intime "...
Avec ce que me raconte Régis , de sa vie récente de mari idôlatre et candauliste, je peux établir des parallèles :
Murielle exige à peu près la même chose au fond ... nous sommes presque interchangeables ... il m'avait raconté comment elle calait sa tête entre ses cuisses, afin de se frotter longuement et avec force sur elle ... Je le vis maintenant souvent, la plupart du temps après un long cuni... après une savoureuse feuille de rose ...
Tellement souvent que j'ai d'abord eu peur que cela me vaille de nouveau d'être tondu, Régis me précisant que sa Femme apprécie beaucoup sa tête rapeuse d'après tonte ...( les cheveux de Regis sont actuellemenent en train de repousser mais pas très longs )... mais non ! elle prend beaucoup de plaisir sur ma tête... à chevaucher, non mon visage ( ce qui lui arrive quand même, dans la majorité des cas: pour de vrais face-sitting ) mais mon crane , parfois en me " montant "... debout ... non sur mes épaules mais sur le sommet de mon crâne,parfois allongés... mais le plus souvent debout .
Oui ! j'aime vraiment beaucoup me trouver seul avec elle ! ... savourer ses secrétions corporelles ...
... et puis aussi les toiletter , les servir, elle et son amant ... lécher et sucer les parties intimes de mon Maitre, quand il vient l'honorer ... et je comprends l'humiliation extrême, doublée de frustration , le tout éprouvée par son vrai mari ...
Curieuse et grisante place que la mienne alors...
Oui ! je suis fier de la place... que j'usurpe au fond, humilié aussi, comme nous l'espérons et comme nous l'aimons, nous, quand nous revendiquons d'être , à part entière ce que nous sommes : les esclaves candaulistes .
Ce que j'ai au moins gagné, avec cette histoire de petite culotte souillée
par mon indiscrète bave séminale, que j'ai, pour mon malheur, tenté de dissimuler ( voir articles précédents ) c'est que durant les heures éprouvantes sexuellement, pendant lesquelles, j'ai honteusement " bavé " en servant... massant... léchant la Femme légitime de mon Maître... ben !... au moins je n'ai pas taché de slip !!...
Non ! puisque durant le plus clair de cet après midi je n'ai rien porté sur ma Chastity Belt !...
Oui !! la plastique obsédante, le corps épatant et les attitudes plus ou moins directement allumeuses de la " légitime " de notre Maître ont bien généré ma " bave " séminale... mais en l'absence d'écran de coton, si j'ai dû me soucier de ne pas en semer un peu partout, puis , n'y parvenant pas ... de faire disparaître les honteux filets, sillages révélateurs de tous mes déplacements ... - et ce, comme dans les moments les plus délicats - au moins n'ai je pas eu le souci des taches révélatrices et accumulées sur le tissu, destiné d'ailleurs à me coincer !
Il m'a suffi d'enfiler un des deux slips restants , suffisamment longtemps avant le probable retour de Murielle... - mais pas trop pour ne pas le tacher - afin de ne pas risquer trop vite de nouveaux ennuis ... avec elle ! Mais restait le problème de la missive dénonciatrice de Janique !
Quand ma Maîtresse est rentrée je suis allé l'accueillir sur le perron...
Elle était en robe d'été très courte , à bretelles - autant dire que les seules régions anatomiques couvertes allaient des aréoles de ses seins opulents jusqu'au milieu de ses cuisses, et encore pour les cuisses ... c'est plus de la moitié qui était à découvert -... Je me suis donc rituellement agenouillé derrière elle , attendant qu'elle tende son sculptural fessier vers mes lèvres ( c'est ainsi que je dois la saluer quand elle est en robe ou en jupe ... c'est désormais bien établi : un baiser appuyé sur chaque fesse divinement bombée ) mais c'est un pied qu'elle m'a tendu, posé sur l'arrête d'une marche ...
Visage au sol et cul levé, j'ai donc baisé tour à tour chaque coup de pied... C'est un rituel habituellement plutôt réservé aux moments de port d'un pantalon !...
Mais cela m'a permis de voir , en contre-plongée qu'elle ne portait plus la petite culotte de soie sauvage, hors de prix, qu'elle avait en partant ... Cette culotte, justement, elle l'a sortie de son sac et l'a jetée sur une chaise dès son entrée dans le vestibule , puis , alors que j'étais toujours à genoux , la suivant comme un toutou, elle m'a plaqué la tête sur son sexe odorant et... fort crémeux !! ...
Elle n'avait pas fait que déjeuner avec Joseph : son vagin était encore débordant du sperme de l'heureux homme , et elle tint à ce que ma langue fasse son oeuvre réparatrice avec application ...
... elle avait du ôter sa culotte dans la voiture, et en quelque pas l'abondante semence du Maître non encore évacuée, avait dégouliné le long de l'intérieur des cuisses de la trop sensuelle ! Il me fallut un moment pour faire disparaître la consistance visqueuse de toute la peau de ces régions délicates ! Moment délicieux pour moi maios qui n'était pas sans conséquence sur la tenue de ma queue dans l'espace étroit de la CB !
Un fois terminé, elle attrapa sa culotte bouchonnée, l'ouvrit, afin de poser l'entre-jambes imbibé de sperme sur mon visage , mon front, le sommet de mon crane !... et cela la fit rire .
Puis elle partit dans un mouvement léger de robe vers la terrasse... robe dont elle se débarrassa d'un seul geste, en pénétrant dans le cadre de la porte vitrée menant vers les chaises longues ...
- " Ouf ! je suis épuisée et je meurs de soif... j'ai envie d'accentuer un peu mon bronzage, tant qu'il est encore temps !... apporte moi donc un grand Perrier citron !... et elle s'étala de tout son long sur le ventre avant de prendre le verre que je venais de lui remplir aussitôt ...
- " Lèche mon cul maintenant ! il poisse lui aussi ! " ...
j'ai terminé mon travail intime désormais " routinier " en écartant ses charnus hémisphères de mes mains ... naturellement je me suis senti bander, un peu plus ! enfin ! autant que faire se pouvait sous le carcan de la CB et sous le tissu du slip !
- " Rien à signaler " centsept "?
- " Non !... enfin ... si !! Maîtresse Janice a laissé un mot pour vous ! "
- " Alors pourquoi ne l'ai-je pas encore en main ? "
- " Désolé Maîtresse ! je n'y pensais plus ! je vous l'apporte ! "
Elle a lu pour elle même ce qui la concernait... et à haute voix les quelques lignes qui traitaient de ma " faute " ... et dans un sourire ironique , a souligné qu'elle comprenait mieux pourquoi je ne m'étais pas précipité pour lui remettre le mot...
- " Va me chercher un bouquet d'orties ! " ...
... son sourire s'était encore élargi .
- " Oooh non Maîtr ... "
- " Tu veux que je demande à ton Maître de te corriger ? !!... c'est ça que tu veux ?! ou tu comprends qu'il vaut mieux qu'on règle ça tous les deux ! "
Le ton ne se prétait pas à la discussion ... la question n'en était pas une !
Je suis allé cueillir le bouquet d'orties, où vous savez ... cela ne faisait pas encore dix jours que j'y avais souffert le martyre ...
Par ailleurs, elle m'avait refusé l'autorisation d'enfiler des gants de jardinage ... ma nouvelle punition a donc commencé par la cueillette !!
A mon retour elle m'a fait allonger, sur le ventre, au beau milieu de la longue table de la terrasse après avoir ôté mon slip ...
... constat désespérant , le tissu intérieur était déjà tout " baveux " ... et même une goutte était en train de perler sur le devant , sur le renflement provoqué par la CB ...
... la bave provoquée par tout ce temps passé à la servir, à honorer son corps ... à n'en pas douter !! Elle le remarqua ...
- " Sale vicieux ! ça ton Maître le saura ! crois moi ! "
Elle avait vraiment l'air en colère ! ... mais cela ne l'empêcha pas d'enfiler les gants de soie, d'attraper le " bouquet " et de commencer à me le " promener " sur les fesses, le bas du dos , les cuisses ... parfois elle cessait de faire glisser les feuilles urticantes, d'en parcourir ma peau , pour m'en frapper... mais elle se rendit compte que cela faisait moins d'effet ... et détériorait plus vite la gerbe... alors elle se remit à
" carresser " ma peau avec ... pour accentuer brulures, démangeaisons !
Heureusement Joseph arriva ... cela mit un terme légèrement prématuré au châtiment, même si, face à nous deux :
... elle sévissant rieuse, moi subissant résigné...
il s'intéressa d'abord à l'état de mes fesses , de mes cuisses, semble t il rosies et toutes cloquées ! Il posa le plat d'une main au milieu de mes fesses, riant à son tour, accentuant l'irritation, pour moi ... et il rit , jusqu'à ce que sa belle vint plaquer ses lèvres sur sa bouche ... Dès lors je cessai d'exister pour lui ... et l'enthousiasme avec lequel il manifesta son désir me rendit bientôt " transparent " .
Et cela...y compris aux yeux de la Femme de Cocu ...
Mon utilité ne leur apparut de nouveau qu'un bon moment après ... quand ils m'appelèrent de la chambre pour leur toilette intime ... Entre temps j'avais été très occupé à me gratter les fesses, tant elles sont maintenant
" sinistrées " : les cloques du jour deviennent rapidement des griffures et des plaies sous l'action de mes mains , de mes ongles , impossibles à réprimer ... des lésions qui s'ajoutent aux blessures précédentes , vieilles de près de dix jours mais pourtant pas encore entièrement cicatrisées ...
Non vraiment , je n'ai pas le souvenir d'avoir déjà eu les fesses dans un tel état !
Mais " faire creampies " , pour Maitre Joseph et sa Favorite revient " à prendre du fortifiant "comme ils disent ... et alors là, côté production ... mon Maître me stupéfie : Ce soir là quand ils m'appellent, il a déjà honoré les deux temples intimes de son amante ...
... quand je l'ai léchée, tout à l'heure , son intimité débordait encore des " coups de queue " de l'après midi .
Quand Janice, la Femme de mon Maître, m'a surpris alors que j'étais en train de faire disparaitre les traces " suspectes "...( Ces traces qui souillent désespérement, pratiquement chaque jour, le triangle de tissu noir de la culotte que je porte maintenant sur ma CB )... j'ai compris que j'avais pris un gros risque à vouloir effacer, ce qui trahit sans cesse la latente excitation consécutive à ma condition, à mon état, à mes particularités de vie ...
Mais je n'ai vraiment pas eu de chance surtout ! ...car comment imaginer que Janice allait venir ?... Qu'est ce qui, surtout, aurait pu me faire envisager la venue de la Femme de mon Maître, ici, " chez " sa Favorite ?... et puis ... si tôt dans l'après midi !...
Seulement dix minutes de plus et j'y aurais peut être échappé !!... à moins qu'elle ait été informée de l'obligation qui m'est faite de porter une telle culotte... je n'ai rien de tel en mémoire ...
Mais il n'était plus temps d'avoir des regrets ...
Cet " accident " me confirma, ce qui m'était apparu très vite :
Janice n'est pas une gentille vanilla caractérisée seulement par son amour de Joseph ! Janice aime exercer son pouvoir de Femme du Maître sur la gent servile !...
... et aussi son pouvoir de Maîtresse de maison, même sur un territoire, une maison, sur laquelle règne une autre Femme... et par la volonté de son mari .
Quand Janice se lassa du long léchage de pieds, quand, encore, elle eut savouré mon long massage de ses jolis petons, dispensé, selon sa volonté, sur la terrasse, au soleil, dans une douillette chaise longue matelassée... elle le fit savoir brutalement :
- " Bon ! ça suffit ! ... tu ne crois pas que j'ai oublié ce que tu étais en train de faire à mon arrivée ? hein ! " ... et elle alla tout droit vers l'armoire rustique , pour s'y emparer d'un fouet court qui m'avait déjà laissé de cuisants souvenirs, de sa main d'ailleurs, et aussi de celle de Jenna, quelques jours après mon arrivée ...
Sa jupe très courte était remontée sur ses hanches, depuis qu'elle s'était assise pour se faire lécher les orteils, et de dos cela m'offrit une vue imprenable jusqu'aux exquises fossettes de ses fesses sculpturales !...
Elle me fit allonger, courbé, buste et ventre sur la longue table de jardin, pieds au sol, après m'avoir enchainé les chevilles avec l'entrave utilisée lors de mon mémorable séjour dans les orties et les ronces...
Avant de commencer à frapper elle m'annonça que j'allais recevoir ... quatorze coups, dont la moitié pour une faute antérieure,
et elle me rappela ce jour où, alors que je lui servais un thé , je l'avais
" contrarié " en regardant " avec insistance " par dessus son épaule : elle était alors, je m'en souviens très bien, en train de lire son courrier personnel - une lettre manuscrite - et elle m'avait giflé !!... très remontée contre mon "indiscrétion", cette " lourde insistance à lire par dessus son épaule "... indiscrétion infondée, évidemment !... mais comment le prouver ? ...
Pauvre peau de mon dos, qui commençait juste à se remettre de mon
" bain de ronces " une semaine plus tôt !! ... quatorze coups !!... ce n'était pas rien ! surtout sous une main aussi cruelle et plutôt experte...
Mais j'ai encaissé... et ce faisant j'ai évité au maximum... les coups pour rien : un coup entrainant une réaction " inconvenante " de ma part et je risquais d'en subir un de plus à chaque fois !
Janice, cherchant vraiment à faire mal, réussit à me faire hurler et bondir une fois , quand un coup arriva précisément où j'espérais l'éviter avec la dernière énergie : sur une lésion, d'après ronces et orties qui s'était infectée dans les jours suivants... Je pris donc quinze coups avant d'être quitte !...
Sans certitude cependant ... car Janice resta encore deux bonnes heures
à prendre le soleil, nue sur la terrasse, espérant le retour de Murielle, avec laquelle elle était semble il en train de nouer une amitié sexuée ( malgré leur " rivalité " )... puis, après m'avoir demandé l'heure de plus en plus souvent, pendant que je massais son beau corps éclaboussé de soleil, elle conclut qu'elle devait partir ... un rendez vous " incontournable ". Elle fit un mot pour son amie, lui révélant qu'elle m'avait fouetté et pourquoi ... et concluant, avant la petite touche sensuelle de rigueur, qu'elle lui suggérait de compléter ma punition de sa main ...
Les trois articles précédents n'ont pas beaucoup d' "unité". Ils proposent cependant un certain RETOUR à la " normalité ", APRèS le paroxysme quasi-scatologique et le supplice au milieu des orties, des ronces ( paroxysme VéCU - c'est pourquoi je le raconte, désolé pour les déceptions que cela provoque parfois - )... C'est cette unité qui explique leur réunion ... A B C .
Oh ! une " normalité " très relative, puisque les relations et comportements
" vanillas " sont exclus de ma vie quotidienne... Mais c'est cette... EXTRAORDINAIRE BANALITé... cette EROTIQUE ROUTINE, qui ont repris leurs droits dans les trois articles précédents .
Ainsi, il me semble utile de revenir à ce qui fait la " couleur " les " saveurs ", les " odeurs "... et toutes les spécificités d'un parcours comme le mien...
... et pour en pointer du doigt l'unité, la cohérence, je réunis de nouveau les quelques articles à venir en " parties de... ".
Voilà pour le(s) titre(s) .
HIER, J'AI FAIT UNE GROSSE BÊTISE : j'ai profité de l'absence de Maîtresse Murielle pour laver la petite culotte qu'elle me fait porter par dessus ma Chastity Belt.
C'était tentant aussi ! : je savais qu'elle serait absente trois bonnes heures .
Il faisait beau et chaud, la petite culotte serait sèche en un rien de temps et je pourrais la renfiler, bien avant son retour ... ou même quand j'entendrais sa voiture. Mes tâches de l'après midi seraient toutes du côté de l'entrée principale et personne ne pourrait pénétrer dans l'antre sans que j'en sois alerté ... même à pied : le portail comme la petite porte latérale grincent énormément , et chaque arrivée, même lorsqu'il n'y a pas de bruit de moteur est " signalée "...
Oui !... " mes tâches de l'après midi " ... sauf qu'il fallait commencer par laver cette maudite culotte et que j'ai opté machinalement pour la buanderie dans le but de le faire... local adapté évidemment, mais qui se trouve de l'autre côté de la maison, côté sous-bois, roncier et tout et tout... côté insonorisé, aussi, à l'écart des bruits de la rue...
Oui , j'aurais pu utiliser n'importe quel lavabo, voire même l'évier de la cuisine...
... non je n'imaginais pas une visite suivant d'aussi près le départ de ma Maîtresse...
Janice adore surprendre, mettre en difficulté soumis et esclaves, je m'en suis déjà rendu compte... elle tient à marquer aussi souvent que possible son statut de Maîtresse de maison, sa légitimité d'Epouse du Maître...
Mais s'il y a bien quelqu'un que je n'attendais pas à cette heure, et ici, c'était bien elle !
- " Eh bien " centsept " tu en fais de ces choses quand ta Maîtresse croit tranquillement qu'en son absence tu effectues les tâches qu'elle attend de toi ! "
Je me retourne au son de sa voix ironique , au timbre métallique ... Je me retourne comme sous l'effet d'une gifle !... L'Epouse du Maître est là, mains sur ses hanches... jubilant de l'effet produit par son intrusion si " discrète " !
... elle a ôté ses chaussures à talons , preuve qu'elle cherchait bien à
" piéger " ! ... elle en tient une dans chaque main sur chacune de ses hanches rebondie, et, frottant énergiquement comme j'étais en train de le faire, avec la petite brosse, pour obtenir la disparition totale des traces blanchâtres, je n'ai pas le moins du monde entendu de bruit dans la maison. ( les traces visqueuses spermatiques s'incrustent dans le tissu et sont impossibles à faire disparaître sans frotter, je suppose que tout le monde ne sait pas ça )...
Ah ces marques qui valent aveu de mon excitation coupable et de mes
" mauvaises pensées " redondantes... Voilà qu'elles m'ont finalement poussé à la faute ... car je réalise immédiatement MA FAUTE ... et l'exploitation qui va en être faite... croyez moi !... Il n'est que de voir la façon dont Janique exulte sans grande discrétion !...
Oui ! ... il suffit de regarder l'air amusé de Janice ... air amusé d'abord ...mais soupçons de cruauté immédiats ! Elle fait un pas vers moi, fait passer les deux escarpins dans sa main droite et me gifle violemment de sa main libérée...
Plus le moindre sourire d'un coup !... ses yeux froncés comme des meurtirères, et les ailes de son nez qui palpitent témoignent de son état d'esprit...
- " A genoux esclave ! face à terre ! baise mes pieds ... excuse toi ! "
Je m'exécute, coeur battant .
Je sais que je viens de me mettre dans le pétrin...
J'invite celles et ceux qui en seraient à leur première lecture ici, et comprendraient mal la situation, à lire en particulier le précédent article... cela rendra compréhensible aussi cette histoire de culotte de Femme que je porte sur ma CB... et de traces blanchâtres quand elles sont sèches ... traces si dures à faire disparaître... traces qui révèlent " la lubricité permanente " de mes pensées selon ces Dames !
Oui , j'étais bien dans de sales draps et ce que j'étais en train de faire , dans le but de minimiser les effets de mes " mauvaises pensées " et d'une excitation toujours perçue comme coupable, allait produire tout l'inverse...
J'ai baisé avec une ferveur implorante les beaux pieds poussiéreux de la Femme du Maître ...
J'ai levé, au bout d'un moment, mon regard vers elle, faute d'une manifestation... d'un nouvel ordre de sa part ...
Son visage impassible , à la verticale de ses pieds un instant délaissés me toisait...
- " Qui t'a dit d'arrêter vermine ?! "...
... et de la plante d'un pied qu'elle posa sur ma nuque,elle me fit reprendre mon action ...
- " Lèche ma plante de pied maintenant ! avec cette chaleur ça me fera du bien ! " ... elle avait les pieds humides de transpiration, et les jolies escarpins très découverts qu'elle portait à la main, avait laissé passer sans difficulté toute la poussière de l'allée centrale, entre autre ...
- " Lèche entre mes orteils ! ... hmmm ! c'est bon ! " ...
... elle en profitait pour tourner la chose en partie de plaisir ... mais je savais qu'elle n'oublierait pas ce qui avait provoqué ses exigences .
Je dus m'occuper tour à tour de ses deux pieds puis les masser ... elle s'était assise dès qu'elle avait exigé que je lèche entre ses orteils...
J'étais vraiment dans une situation bien délicate ... que le plaisir sensuel de m'occuper ainsi des pieds de Janice ne me fit pas oublier ...
Il me faudra en reparler au plus vite ... dès la deuxième partie de ce récit . Mais , encore une fois, des tâches qui sont mon quotidien d'esclave dommestique et intime m'appellent.
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