asserviparmonex

Toute la semaine Clara, dans le contexte vanilla du restaurant, a trouvé le moyen de m'humilier ...

Certains jours ce fut bref et intense... d'autres fois plus " dilué ", presque imperceptible aux regards non exercés  ou innocents  .

Je prendrai peut être un jour  le temps d'évoquer ces subtilités, car elles racontent assez bien  les méthodes des pseudo-vanillas perverses , comme Nelly le fut ... comme Clara l'est peut être encore...

Mais au fond ...  Clara a t elle jamais été  une Fille " vanille " ?

Ce qui est sûr... - et voilà qui va plaire à un de mes récents lecteurs,

" Ariste " - .... Ce qui est sûr dis je, c'est que la belle à le pied méprisant pour les faibles  et qu'elle aime à ... non seulement mettre l'esclave à ses pieds, mais lorsqu'il y est....  le tourmenter ... le torturer, l'humilier toujours plus .

Alors, lorsqu'elle en a le temps, je peux vous assurer que ses ordres  comme les épreuves qui en découlent peuvent supplicier un esclave aguerri comme je le suis ...

Oui ! lorsqu'elle en a le temps ! ... car  avec elle, dans le cadre du restaurant, c'est ce qui me sauve encore bien souvent ...

Songez qu'il n'y a plus la barrière  du " public " ... ou plus beaucoup... vous le savez maintenant... j'ai déjà raconté plusieurs petites scènes dans lesquelles elle implique volontiers, cuisinier,  apprenti et autre serveuse ...

Public qui, s'ils ne sait pas encore jusqu'où va ma soumission, jusqu'à quel point on peut m'humilier... a bien compris l'essentiel, a bien pénétré ma nature profonde ... 

Alors s'il n'y a plus en effet cette barrière, ma chance face à cette jolie vicieuse, c'est encore le manque de temps ( et sachant ce qui la rapproche de ma Future, je frémis à l'idée que cette barrière du temps disponible ne sera pas toujours et en tous lieu opérante  !! )

Oui ... le plus souvent au restaurant  , je vois bien que c'est l'urgence qui la coupe dans ses élans pervers ...

Ainsi tenez ... Je ne l'ai pas encore dit mais c'est maintenant une règle à laquelle je ne peux me soustraire que lorsque nous ne sommes pas seuls au moment où nous arrivons au bistrot, entre onze heures et onze heures et demi ... la règle ? je dois me mettre à genoux devant elle et lui baiser les pieds ... pas furtivement non ! avec " conviction "... " ferveur " ...

... ce sont ses mots !

D'ailleurs elle fait tout pour que nous arrivions en même temps dans l'arrière-boutique/vestiaire que j'ai déjà décrit ... et comme, sauf lorsqu'on nous demande de venir bien avant onze heures et demi, les cuisiniers sont déjà arrivés et l'autre serveuse qui est en fixe aussi ... nous avons toutes " les chances " d'arriver  presqu'en même temps  et d'être seuls un moment ...

Je la salue donc généralement comme elle le veut !

Mais si le temps ne presse pas et que les autres sont déjà à coup sûr au boulot ... je sais que ce ne sera pas qu'une humiliante formalité ...

Elle excelle, lorsque mes lèvres sont sur sa peau, ou sur le cuir de ses chaussures ( ou sur ses " baskets " lorsqu'elle est en jean ) à poser son autre pied sur ma nuque ...

 J'ai déjà décrit une scène de ce genre, certains s'en souviendront

 surement ...

Aujourd'hui, juste avant midi, alors  que son pied " libre " pesait sur ma nuque  et pressait de plus en plus , au point d'écraser mes lèvres sur la peau tiède et parfumée de son coup de pied découvert, entre les lanières de cuir de son escarpin , elle me lança :

- " Tu vois comme ça me serait facile d'écraser ta tronche avec ma semelle... comme une merde  !! ahaha !  ... allez ! enlève ma chaussure !  baise mon  talon ! "

D'autres jours elle m'ordonne  de prendre un orteil en bouche et de le sucer en levant les yeux vers elle ... vers son sourire  sarcastique ... son regard hautain ...

Aujourd'hui ... elle a pressé très fort !... vraiment très fort et longuement  sa semelle sur ma nuque, et son talon aiguisé m'a même éraflé et fait saigner sur le haut du front... 

J'ai essayé de crier grâce, mais de mes lèvres écrasées ne sortirent aucun son... et quand enfin la douloureuse pression cessa, ma bouche   ne cessa plus de me faire mal  dans les heures suivantes ...

Ensuite, comme souvent quand nous avons un peu de temps , je dus partiellement la déshabiller  et l'aider à enfiler ce qu'elle portait pour servir ... 

Désormais, le pli était pris ... je lavais chaque jour à la main au moins une petite culotte qu'elle avait ôté, que je lui avais ôté ...

Deux fois par semaine je repars avec deux culottes dans mes poches ; elle me donne aussi à laver celle qu'elle porte deux ou trois heures  pour le service ...

Je les lave à la main  le soir avec les sous vêtements, les bas et collants,  la lingerie de Joy ... de sa mère  ... avec les slip et chaussettes  de Jacques ... de mon futur beau-père ...         

 Dans les jours qui  viennent je pense que mon prochain mariage va prendre de plus en plus d'importance dans mes articles ...

Tout me laisse penser cela, les propos des uns et des autres... les essayages etc...  

J'en parlerai dès les prochains jours... mais suite à quelques commentaires, et  aussi faute  de temps ce soir, je vais me contenter de traduire, dans la mesure du possible ...un climat général, une ambiance, une athmosphère bien particulière....

Le tout  fédéré par la personnalité de Clara... par  tout ce qu'elle sait maintenant, et aussi par  la place qu'elle est en train de prendre auprès de ma Future...

Clara est comme Nelly, mon éphémère très jeune Maîtresse  ( voir dans mes articles de ces derniers mois ceux dans lesquels  ce prénom apparait, pour  qui ne me lisait pas alors . ) 

Oui ! Clara et Nelly ont maints points communs ... pas seulement leur jeunesse,  la beauté du diable ... d'ailleurs je l'ai dit très récemment ... elles se connaissent  ... et j'ai parlé - rapidement - d'une rencontre commune au restaurant... 

La semaine dernière Clara a même demandé à la restauratrice de permettre à mon ancienne jeune Maîtresse, de déjeuner avec nous, vers onze  heures , avant le début du service... Permission accordée et qui m'a rendu un peu plus inquiet encore ...

En effet j'ai expliqué déjà, comment Clara, même seule, s'y entendait pour me maintenir  dans un état  de fébrilité avancé chaque fois que nous sommes elle et moi réunis , dans la vie " normale " ... dans le boulot ... chaque midi ...

Je crains toujours un écart de sa part ... controlé ou pas ... une volonté de me faire honte, de m'humilier ... de jouer avec moi ... avec ma peur et publiquement ... 

Alors vous pensez : A elles deux !!

Ce midi là il y avait le choix entre plusieurs plats, même pour nous ... et le cuisinier, quand nous déjeunons tôt, comme ce fut la cas ... vint prendre la commande :

- " Pour moi ce sera des champignons à la grecque . " commanda Clara 

.... " et toi ? que veux tu comme hors d'oeuvre  Nelly ? "

- " Pour moi ce sera  une quiche lorraine . " ... précisa aussitôt celle qui était ma Maîtresse quelques semaines plus tôt ... et dont la présence accentuait encore mon malaise !

- " Et pour lui apporte nous des carottes rapées  Micha  ! "

Le " lui  " en question ... c'était moi !! ... j'étais sur le point de proposer mon choix à mon tour ... et restai bouche ouverte ... il y eu plusieurs regards , vers moi, vers les autre ... et même déjà un éclat de rire ... mais Micha avait déjà noté  comme pour les deux commandes précédentes ...

Les autres commandèrent à leur tour ... puis Micha voulut connaître les choix suivants

Nelly demanda une bavette à l'échalotte ... Clara une salade norvégienne ...

et avant même que le cuisinier ne se tourne vers moi ... Clara, à son tour lança :

- " Et pour lui ce sera des carottes rapées ! " ... les regards se croisèrent comme lors de la précédente commande ... le silence hésitait entre malaise, gêne et ... envie de rire ... de mon côté il n'y avait bien sûr que de la gêne alors ...

Le cuisinier passa aux autres convives , et je ne me sentis pas le courage de modifier le cours des choses ... de faire comme s'il s'agissait d'une plaisanterie ... j'y avais un bref instant pensé ... mais l'attitude du cuisto, qui faisait comme si tout cela était on ne peut plus normal , eut pour effet de m'interdire quelque chose dont je me mis à penser que cela pourrait accroître la tension , et m'enfoncer vraiment dans le ridicule ...

J'ai donc mangé avec le plus de discrétion possible mes deux assiettes de carottes ...

Les autres très occupés à " se régaler " - l'expression revint deux ou trois fois quand Micha , comme un bon cuisinier posa la question de la qualité des plats - ... mon cas sombra dans l'anonymat ...

.... jusqu'au dessert !

Car la procédure fut la même , sauf que cette fois le cuisinier avait pris la commande de tous les autres  quand il arriva  à Nelly, Clara ... et moi ...

Nelly prit une salade de fruits ... Clara une glace ... et Nelly commanda pour moi ... DES CAROTTES RAPEES...

- " Mais ce n'est pas un dessert ! " .... réagit en rigolant une jeune serveuse qui ne venait que depuis trois jours...

- " Non mais moi je connais l'histoire ! "... répondit en se marrant notre restauratrice habituellement plus réservée...

- " C'est quoi ? " ... voulut savoir la nouvelle....

.... et Nelly de lancer à haute voix alors qu'un premier couple de clients entrait dans la salle...

- " Quand on baise comme un lapin ... on mange comme un lapin  ! " 

Il paraît que l'histoire ... " drôle " !! ... est connue 

La restauratrice la connaissait en tous cas ... mais avoua qu'elle ne l'avait pas entendue  " dirigée contre quelqu'un "  ... 

... moi je n'avais jamais entendu cette blague qui fit beaucoup rire ... au moment où un groupe était en train de prendre place à table ... et j'étais étouffé par la honte ...

Clara me dit en réprimant un éclat de rire tant ma mine déconfite la faisait rire :

- " Tiens jip... va prendre la commande du couple qui  est arrivé tout à l'heure  ... ça va gagner du temps... et tu mangeras ton dessert après "...

Je vous laisse imaginer comment ont pu ensuite " évoluer "  ces deux heures de travail et dans quelles conditions !

Les jours ont passé depuis ce mardi...

Le week end dernier, les préparatifs du mariage ont continué ...

Essaie des robe, chaussures,  chapeau, coiffure de Joy, ma Reine ... contrairement aux traditions habituelles en matière de noces, j'assiste à la plupart des séances d'essayages  et des discussions enflammées entre ma Future... sa mère... les hommes et Femmes de l'art  ( couturiers, chausseurs, coiffeur... - là la famille a fait appel à Nadia ... pas de dépaysement -  )

J'assiste ... oui !... " On " me demande assez rarement mon avis ... et quand on le fait, par exemple pour le chapeau... " on " en choisit finalement un ... très différent !

Joy est souvent dénudée , en tout ou partie... pour ces passages en revue et  inventaires d'objets divers ... Même le choix de la jarretière n'est en rien laissée au hasard : la forme, la couleur ... même chose pour les parures, les  sous-vêtements... Pour la robe, des essayages ont lieu actuellement au rythme de trois par semaine... 

Deux dates reviennent régulièrement dans conversations et discussions, des Maîtresses et décideurs   ... elles sont concentrées dans la première quinzaine d'Avril  ... il s'agit du neuf ( un samedi ) ... et du quinze ( le vendredi suivant ) ... je pense que je serai bientôt fixé  ...

Jacques essaie aussi des costumes ! ... moi ? pas encore ! ...

Mareen hésite entre des parures et éléments de lingerie à porter sous  son précieux tailleur ... et pour se décider, convie pas mal de monde à des séances animées ...

 " On  " choisit des musiques ... des mises en scènes ...

" On " plaisante !

" On " discute de qui sera là ... ou pas ...

Plusieurs noms me sont inconnus ... mas pas celui de Nelly... Jeune  "pseudo"  vanilla...  Ex éphémère propriétaire de votre narrateur  ... dont je parle dans  de nombreux  posts de ces derniers mois !

Je l'ai vu vendredi dernier au restaurant ... elle est venue vers la fin du service ... elle a manifesté beaucoup d'amitié vis à vis de ... Clara ... qui, au  vu de  l'heure, a pu rester  à sa table et discuter pendant la fin du service ... chaque fois que j'approchais et trainais près  des deux jeunes Femmes  avec l'espoir de capter des informations ... elles  me réprimandaient... ou même lorsqu'il n'y avait a priori pas de témoin 

 et c'est là que j'ai réalisé qu'elle serait au mariage !!