asserviparmonex

Ce soir là quand  le téléphone sonne... je décroche, comme je suis autorisé à le faire quand ma Femme n'est pas assez près du télephone pour répondre elle même rapidemment ... je dis " Allo " ...

Une voix grave, virile exige, sans même me dire bonjour :

- " Passe moi ta femme ! elle est là non ? "

Je n'ai même pas le temps de lui répondre ... elle est près de moi et m'arrache l'appareil des mains ...

- " Donne donc ! ... Allo oui ! ... ...  haa ! c'est toi Amour ... hoo !! c'est vrai ? ...vraiment ! tu viens !!! ... ( elle trépigne  comme une gamine excitée ) c'est génial ! ... Si ça me fait plaisir ?!! tu plaisantes j'espère ! ... Haha ! ... on ... oui ... on .. on devait aller à un cocktail avec mon mari ... oui, c'est ça ... et ... et tu sais quoi ... j'ai ... j'ai prétexté  un bon mal de crâne  pour y échapper ... ahaha ! comme tu dis ! ...

... " Non ! y a rien à manger .. tu sais bien ... je pars quelques jours ... c'est aussi pour ça que ça m'a fait chier à ce point quand tu m'as dit au dernier moment qu'on pouvait pas se voir ce soir ... c'est d'autant plus cool que tu aies pu te libérer ... hoo  tu es chou ! ... c'est cool tu sais ... oui ... ahah !... tu as raison  ! ... On ira au restau après ! ... Pardon ?  a... après quoi ?! ... mais après avoir baisé comme des malades bébé !! ... Ahaha !! ... 

...  Oh ! je suis trop heureux que tu viennes enfin à la maison !! ... "  

elle lui donne le code  de l'immeuble ... lui indique l'étage   ... est sur le point de raccrocher  après  avoir mimé " des brouettes de baisers "... puis :

- " A..Allo bébé ?! dis moi ... tu as une préférence pour la robe .... N..non en... entre celles que tu connais bien sûr ! ... la rouge ... celle que mon mari m'a offert pour la saint Valentin ?  oh tu es trop drôle Amour !! ... dépèche toi ! ... enfin tu me laisses quand même le temps de me doucher hein !  de m'habiller ... j'étais  en mules d'intérieur  et petit déshabillé tu sais !

mais pas propre ... pas pas maquillée , pas coiffée  "

Ils échangent encore " des brassées " de baisers ...

Elle raccroche  puis, à moi :

- " Tu vas voir cucky comme il est beau  mon homme ! une merveille !! ...

D'ailleurs vous vous connaissez, je peux bien te le dire maintenant ... avant lui ne voulait pas ...ça l'embêtait un peu ... tout ça parce qu'il est le conseiller  juridique et fiscal de ta boite ! bon c'est pas un délit non ? ahaha !  ... oui ! je vois à ta bouille  que tu  as compris ... ahaha !  c'est Yannis  ! Je veux que tu me montres à quel point mon bonheur te fais plaisir... sois un peu plus démonstratif que diable !

Allez ! mets toi à genoux ... dis moi quelque chose de gentil !!  "

Elle est tombée dans le canapé , a ouvert ses bras en croix le long de l'arrête supérieure... a ouvert ses cuisses presqu'aussi largement ... 

... je suis tombé à genoux au même moment .

Elle m'a dit " approche " en effleurant sa chatte .. le déshabillé transparent  largement ouvert soulignait plus qu'il ne cachait ses trésors ... J'ai avancé , toujours sur les genoux ....

- " Mets ta tête là  ! ... non ! je t'ai pas dit de lécher ... je n'ai pas besoin de ta langue mon pauvre toutou ce soir ... ahaha !  "

Elle m'avait désigné sa vulve déjà bien humide ... je m'étais " investi " sans doute un peu trop brutalement ... mais je la désirais tellement dans son impudeur cruelle !!!...

C'est vrai ... elle n'était pas prope !!...

et son excitation nouvelle poivrait un peu plus ses senteurs ...

et  j'aurais aimé glisser toute ma tête dans sa fente......

et mes joues collaient  à l'intérieur de  ses cuisses !

- " Allez dis moi par exemple ...' ma Reine grâce à toi je suis le plus heureux des cocus !! '... ahah ! " !! 

Au réveil je me suis dit qu'enfin je pouvais dire " demain "... à propos du retour de mes Maîtresses  et cela me rendit presqu'euphorique ..

Pourtant une nouvelle pipe matinale me fut imposée par le militaire ...

... et cette fois il sortit de ma bouche juste  avant  le début de son éjaculation  et  dirigea ses giclées gluantes  en direction de mon crâne ... de mes cheveux... qui furent bientôt imprégnés de filets blanchâtres et baveux...

Ensuite il ricana que " maintenant qu'il venait de m'offrir  le shampoing ... il serait bon que j'aille me laver, de la tête aux pieds "

Il m'annonça que Norma viendrait me chercher à huit heures, que je serai au magasin à partir de dix heures et demi .... et au restaurant  peu avant midi...

... il m'annonça aussi les "rotations" de l'après midi... 

C'était la première fois  de la semaine que l'information précise, le programme presque minuté me venait de lui ... cela n'avait en fait pas beaucoup d'importance ... 

Avant, c'était  des coups de fil ... de Norma ... de Nadia ... de la commerçante de la supérette... de la restauratrice, soeur de la précédente ...  qui m'apprenaient presqu'au dernier moment ce que je devais faire , ou quelles tenues seraient les plus adaptées ...

... mais bon ! tout ça n'était quand même pas très important ...

...sauf que cela laissait entendre une direction et un contrôle de plus en plus important de ce sale bonhomme sur moi ... et  aussi... et bien je préférais bien évidemment, quand je recevais, au fur et à mesure, mes ordres de chaque personne pouvant m'en donner ... par téléphone , à tout moment de la journée ( mon téléphone, je le rappelle  ne sert qu'à ça puisque je ne suis autorisé à répondre qu'aux rares Maîtresses  figurant à mon répertoire ) ...

Programme chargé donc, et dès le matin ... mais ça voulait dire aussi que je serais à coup sûr hors de la maison... jusqu'au soir ... et c'était toujours ça de gagné ! ... les heures passaient - lentement certes - qui me rapprochait de mes Maîtresses !!

Sauf qu'il y eut, à la mi-journée, DE QUOI CHANGER TOUTE LA DONNE A VENIR... ET LES PERSPECTIVES !... et que cela vint confirmer ce qui me tracassait ces jours ci , ce à quoi j'aurais aimé ne pas croire, en dépit de ce qui s'était passé le mercredi à la superette ...

Allez! je ne vais pas tourner plus longtemps autour du pot :

Clara, comme je le craignais savait des choses sur moi, sur ma véritable condition... des choses qui, hélas, ne pouvaient que lui venir de ma chère Joy !!

Et les minutes qui précédèrent le  début du service au restaurant furent, à cet égard, atroces pour moi  ( autant que jouissives pour elle, fatalement :

Elle m'entraina, vers midi moins le quart, dans  le cellier-cave , au fond d'une petite cour, au prétexte d'aller chercher du vin ...

Nous venions de déjeuner , comme le fait généralement le personnel avant l'heure de début du service  de restauration  ( moi je ne mange là que lorsque Norma ou Nadia me ramènent assez tôt ... ou, bien sûr, quand l'heure d'avant se passe au magasin )

J'ai bien essayé de faire remarquer qu'il y avait tout le vin nécessaire ... elle m'a coupé la parole sèchement " Dépêche toi ! "...

....intervention qui a surpris ... ou amusé, les autres membres du personnel (dont j'ai pu voir les échanges de regards ! ) ... j'ai déjà raconté, dans cet ordre d'idée, ce qui s'était passé  48 heures plus tôt ... je n'y reviens pas !

Je l'ai suivi finalement !... vaguement inquiet de l'attitude qu'elle avait de plus en plus envers moi ...

Dans la pièce fraiche et mal éclairée il n'y eut pas de préambule :

- " A poil ! Dépèche toi ! " elle me soufflait au nez une haleine légèrement avinée et nicotinisée !

- " Pour ... pourquoi ? Clara ... dites moi , je ... je ne comprends pas ! " 

- " Tu comprends pas ?  vraiment ? Tu veux que j'explique à ta patronne et aux autres ce que tu étais en train de faire quand je t'ai surpris, mercredi ? ... c'est ça que tu veux ? "

  Elle me fila une baffe , après une tentative pour ma part de me défiler encore ... et me subjugua par la dureté de son regard, ses narines palpitantes, sa main de nouveau levée, prête à frapper ... 

- " Dépèche !! on nous attends ! "

Je le fis la mort dans l'âme ! ... elle m'obligea à commencer "par le bas"... 

 et  se mit évidemment à rire quand elle découvrit... ce qu'elle savait qu'elle allait trouver  : que je portais une Chastity Belt !!... quand elle découvrit... l'état de mes fesses !

Elle me demanda ensuite d'ôter ma veste ... et découvrit l'état de mon dos !

- " Mort de rire ! allez !... rhabille toi minus ! j'en sais assez !  j'en ai assez vu ! ... maintenant on nous attends  ... et ne t'avise plus de m'appeler Clara ou t'en prends une ! ... je suis pas ta copine ".

Oui j'étais en bien fâcheuse posture  ( voir article précédent ) quand la baie vitrée de l'appartement  s'est refermée, étouffant le rire  de ma Femme tandis qu'elle s'éloignait, nue, au bras de son amant , pour finalement disparaitre  dans un déhanché ravageur  faisant tressauter son plantureux fessier...

Elle ... ils disparurent  dans la pénombre du coeur du salon...

Et ma situation, d'inquiétante devenait alors ... dramatique !!

Je rappelle,  sans reformuler  le contenu de l'article précédent, que MOI AUSSI  J'ETAIS NU ... mais pas au chaud de l'appartement de montagne  d'un jour d'hiver enneigé ....oh non ! 

... moi j'étais nu DEHORS !!!... dehors et puni ! HUMILIé.... HONTEUX ...

Puni, j'avais reçu l'ordre de sortir dans la neige épaisse ... et qui venait d'ailleurs de se remettre à tomber  ... puis de rester dos tourné au balcon du premier étage et à la grande baie coulissante derrière laquelle les deux amants  vinrent  vérifier...

... que  j'accomplissais correctement l'ordre reçu

... que la façon dont ils avaient décidé de me punir serait coûte que coûte  honorée ...

Dos tourné au balcon , j'avais écarté les jambes ... je m'étais incliné, mains tombant dans la neige , cul levé  ... Ma tête à l'envers, entre mes cuisses  me permettait de voir cette baie vitrée où apparurent  les auteurs de la sentence ..., la petite culotte de mon Epouse, enfilée sur ma tête comme un bonnet  n'était pas tombée quand j'avais renversé la tête ...

 J'avais la tête à l'envers ! à tous les sens du terme... 

Ensuite je dus accomplir la deuxième partie  de leur " projet " .. me relever... me retourner... faire face debout à l'appartement ...

Debout ... et coiffé   de la soyeuse culotte de ma Femme ... exhibition parfaitement ridicule et destinée à me conduire au comble de la honte... Destinée à ça  ? seulement à ça  ? ... ou à me laisser  geler ...

Combien de temps pourrai je tenir ainsi?

Avaient il  une idée de ce qu'ils  voulaient précisément ? Improvisaient ils ?

Voulaient ils tester jusqu'où aller ? ... ne risquaient ils pas d'aller trop loin ? ...

Toutes ces questions étaient sous tendues  dans le rêve, qui s'appuyait sur un vieux vécu je l'ai dit ...

... mais au plan onirique l'image  reprit l'ascendant !

Le poids des idées  certes ... mais  dans le choc de l'image ! 

Mon épouse et son amant reparurent avant que je ne sombre complètement  dans le désespoir...

La baie vitrée coulissa ... le bruit sourd du glissement sur le rail d'ouverture  chanta gravement, comme un retour à l'espoir ...

La soeur de l'amant ... un peu en retrait,  étaient là elle aussi ... Par l'étroite ouverture ( sans doute ne voulaient ils pas refroidir la pièce ) ... ils passèrent de l' appartement douillet à la froidure extérieure ... mais là plus aucun des trois   n'était nu :

... mon Epouse  avait enfilé sur son  excitant corps charnel, nu jusqu'alors ... le même long  manteau  de fourrure  que celui qu'arborait la soeur de son chéri  ...

- " Et bien Jip ... tu n'as pas l'air en grande forme  ! " ...

... ma Femme parlait, appuyée à la rambarde du balcon ... son amie rigola... mon Aimée continua :

... " mais dans ton malheur ... même si tu dois  ne t'en prendre qu'à  toi  même, pour les causes de ce que tu subis ... tu as beaucoup de chance ... nous sommes d'accord  tous les trois pour que tu remontes immédiatement , il te faut juste accepter que ton exposition au froid, dans la neige soit  transformée en une séance  de fouet  et cravache ... séance qui aura en plus le mérite de te réchauffer ! " ...

... elle rit de sa remarque,  la soeur de son amant poursuivit :

- " Pour rentrer immédiatement il te suffit d'implorer notre pardon  et de nous supplier de te permettre de remonter ... dès que tu auras fait ces deux choses on te donnera le code de l'ouvre- porte  !! "

J'ai imploré mon pardon ...

.... j'ai supplié ...

...et alors j'ai pu rentrer !! ...

Mais la raclée est restée en  devenir... le réveil-matin imposant alors sa sonnerie stridente !

La sortie du sommeil fut plus brutale encore... car si j'avais bien un slip sur le visage, c'était, faut il le rappeler un vieux slip de vieux mec ... avachis ( le vieux slip et le mec ) maculéS, tachéS, malodorantS ... ( là encore le vieux slip et le vieux beau ! ) Pour la culotte ...  tout le contraire  de la jolie parfumée petite culotte ... de Joy... Hannah... ou bien  qui vous voulez ...