Vous trouverez ici :
- I - Une partie de ma vie récente - sur les cinq dernières années - de mari asservi par sa Femme d'alors, soumis au déni d'orgasme, à la chasteté imposée dans le cadre d' UN COUPLE GYNARCHISTE REEL.
-II - Puis de nombreux témoignages, plus récents, actuels, sur le vif parfois... diversifiés... parfois très détaillés, parfois survolés, selon les articles... témoignages de ma vie d'aujourdhui ...
Esclave au service des Femmes Supérieures et Gynarchistes, c'est ce que je suis devenu, au sein du couple, dès ma jeunesse, très vite, alors que , tel monsieur Jourdain avec la prose, je ne savais pas ce que voulaient dire ..." Déni d'Orgasme ", " Power Exchange " soumission ou " Servitude 24/7 " " Gynarchie " " Rapports de D/s "...
Les articles relatifs à ma vie de conjoint asservi - I - sont plus anciens, donc " au fond " de ce blog que j'ai ouvert en Février 2010... vous pouvez y aller directement en " ciblant " les mois du printemps 2010...// ceux évoquant ma vie actuelle - II - sont à votre porté immédiate ...
Julie n'est autre que la magnifique jeune Fille blonde dont le physique et la plastique irréprochable se sont imposés à moi quand je suis sorti, au bord de l'étouffement, d'entre les cuisses serrées et vibrantes de Coralie ...
L'exquise très jeune Femme qui s'était réjouie de la disparition prochaine de la bite enviable - à mes yeux - d'André, derrière la cage de chasteté...
Il semble voué à porter désormais assez systématiquement l'appareil honni des branleurs " compulsifs " dans mon genre ... et dans le sien visiblement !
Ce que j'appris de la bouche de l'esclave lui-même, c'est que si son Epouse, Marion, en était venu à adopter la CB 6000 et à la lui faire porter de manière systèmatique, c'est que des voix, comme précisément celle de la jeune Julie, s'élevaient dans l'entourage du couple pour réclamer " des mesures " contre lui, le " sans vergogne ", l' " obsédé " le " vicieux "... sans cesse excité ..." pour tout et pour rien " ...
Oui ! c'est " Dédé " lui même qui m'a expliqué tout ça ... et il a eu le temps de m'en dire des choses !..Quand nous nous sommes retrouvés lui et moi enfermés dans un local, mi-garage mi-cave, en léger contrebas de la coquette maison ... et ce après la pose de sa Chastity Belt ...
Pour moi - souvenez vous de l'article précédent - il s'agissait d'attendre le retour de Nelly, ma Maîtresse ... et je ne fus pas mécontent de constater que Marion, la Maîtresse de maison, ne profitait pas , à la fin de ma " mission ", de ma présence obligée, pour me faire bosser, comme l'avait suggéré Nelly ..
.La situation d'André m'intéressait , comme celle de tous les soumis ou esclaves conjugaux ( enfin! .. je dis tous ... mais on est pas si nombreux que ça ! ) il avait des points communs avec moi et je percevais dans les débuts de son parcours d'esclave beaucoup de jalons que j'avais connus au début du mien ... C'est pourquoi je me suis prêté de bonnes grâce à ses questions, sans pour autant trop le rassurer ...avant de l'inonder des miennes !
Oui ! le bonhomme était particulièrement inquiet à l'idée que son épouse allait lui infliger le port prolongé d'un dispositif assurant sa chasteté... et comme il m'avait entendu raconter, à la demande de sa Maîtresse et de ses amies , mon parcours , mon expérience , mon ressenti en la matière, il avait cherché - je l'ai senti à la tonalité de ses questions - à être rassuré ...calmé, m'interrogeant sur ce qui causait ses peurs , en particulier celle de souffrir ... Un sujet qui évidemment n'avait pas préoccupé le moins du monde ces Dames ! ...
Le pauvre a passé notre isolement commun , à me parler avec des sanglots dans la voix ... c'était étrange de voir cet homme jeune, " bien de sa personne " , grand, athlétique, sexuellement bien pourvu, cultivé, aussi démuni, désarmé devant son épouse dont il me confirma que, comme la plupart d'entre nous, il était devenu sciemment son soumis puis son esclave ...
Peut être me faisait il un peu de peine, mais en même temps son cas m'excitait , je dois le reconnaître :
... le contraste entre l'impression que devait donner cet homme à l'extérieur, dans sa vie professionnelle ... ou encore dans sa vie sexuelle, avant de tomber entre les griffes de sa superbe épouse et la chiffe molle qu'il était ici ... avait quelque chose de croustillant , de jouissif finalement, même pour quelqu'un comme moi !! ...Pas étonnant alors que ce genre d'évolution , de déchéance , d'avilissement, motive certaines Femmes ... et des hommes , homo ou bisexuels !! ...
Je devais être un peu comme ça , à l'époque de mon premier mariage ( la beauté en moins : ce type est vraiment superbe ! ) Je confesse même que j'ai bandé ... pas seulement parce qu'il est beau... pas en raison d'une bisexualité assez "discrète" chez moi ... mais " méchamment " comme un dominant , au plus fort des manifestations de sa crainte ...
Je suis même " méchamment " et sciemment resté évasif , sur ses inquiétudes les plus vives ...
Par exemple, il avait mal et je ne lui ai pas dit qu'il allait finir par s'habituer... que la souffrance n'était pas linéaire... que j'étais bien payé pour le savoir ... qu'il y avait alternance de moments très durs avec des heures calmes, souvent, sans qu'on sache pourquoi... ou encore qu'il y avait accoutumance... des périodes de répit ... que sa Femme finirait par " trouver " les tailles les mieux adaptés à sa morphologie, des différentes pièces constituant l'armature de sa CB... etc ...
... Non ! j'ai même été assez salaud pour souligner qu'il serait sans doute réveillé la nuit par la douleur... ou encore, qu'avec la taille de son sexe - et oui ! on se venge comme on peut - la CB serait sans doute très pénible à supporter dans la durée ... et tout ça me faisait bander de plus belle .
Mais il ne le voyait pas trop : lui était enchainé à un gros anneau mural... au bout d'une courte chaine ... et moi, comme " on " l'avait laissé entendre à Nelly en évoquant cette cage d'enfermement , nouvelle ici, j'avais dû me glisser entre parois et plafond de l'objet métallique, et pas excessivement grand !... comme j'avais tenté, au bout d'une heure peut être d'adopter dans la cage une position moins inconfortable, moins ankylosante, je m'étais retrouvé, je ne sais trop comment, presque plié en deux ! ... et sans trop de possibilités de varier la posture ... ce qui d'ailleurs me paniqua un peu ...
Je rappelle que nous ignorions tout de l'heure ... et du moment ou ma Maîtresse reviendrait ...
Après ces petites vacheries pour entretenir notre aimable relation naissante ... c'est moi qui ai appris de sa bouche, sans difficulté, ce qui se passait ici !
Et qui oeuvrait à ce déni d'orgasme, qu'il vivait mal !
Il m'avait semblé que la sublime Julie était là pour cause de parenté avec Irina , je ne sais trop pourquoi ... peut être simplement la douceur de leurs échanges, quelque chose de tendre ... mais c'est vraie que j'ai vu si peu de temps la blonde Julie ...
J'ai dit à André l'impression énorme qu'avait produit sur moi la belle et mon sentiment sur la " proximité " entre elle et ... l'autre blonde ...
Il m'a appris qu' Irina était d'origine Ukrainienne et que leurs identités sexuelles étaient à l'origine de mon impression : en dépit de leur douze ans d'écart ( Julie a vingt ans et Irina trente deux ) elles sont amantes et éprises l'une de l'autre selon l'esclave ...La parente de Julie c'est Coralie ... qui semble t il a joué un rôle énorme dans son passage de la soumission ( ludique au début , selon lui ...) à l'esclavage en marche ...
Quelque chose d'assez fréquent, comme je le lui ai fait remarquer ...
Julie est la fille de Coralie ... Julie a déjà été mariée !! à dix sept ans !... et divorcée quelques mois après sa majorité !
Julie, selon André, est une garce qui ne cesse depuis qu'elle est là " de l'exciter, le provoquer, l'allumer " ... ce sont ces propres mots
Julie s'est installée chez sa tante, Marion - " par commodité " dit l'esclave - après son divorce et Irina est venue grossir encore, mais de manière plus intermitent et un peu plus tard , la population de la maison, lorsque son histoire de coeur - et de cul ajoute Dédé ! - à pris du volume avec Julie ...
On le voit, l'esclave de fraiche date est loin d'être ébloui comme je le suis par la fille de Coralie... il prétend qu'elle n'a eu de cesse de souligner auprès de sa femme les " sales bandaisons de son oncle " ( j'ai tiqué quand il a dit ça ... mais il est vrai que c'est ce qu'il est ... par alliance ) ...
... elle est, parait il, allé jusqu'à dire que le pauvre Dédé avait eu des
" frolements " voire quelques ébauches de " gestes déplacés " ... des gestes déplacés sortis de son imagination perverse... souligne t il ...
Bref ! le bonhomme n'en démord pas : si je suis là c'est à cause de
" la garce " ... car si lui doit subir ces dénis d'orgasme qui le désespèrent ... c'est toujours à cause d'elle!...
Je ne cessai de vouloir en savoir toujours plus ... je le soumettais maintenant à un feu roulant de questions ... mais je suis resté sur ma faim, car ma Maîtresse est venue me rechercher ...
Le mari soumis s'appelle André , il est assez grand , mince, bien foutu et pas mal membré du tout ! Il a dans les trente ans , comme Madame .
Quand il est rentré pour prendre les ordres, je me suis senti un peu moins seul ! ... non parce qu'il était esclave comme moi, mais parce qu'il était nu...
J'allais dire " comme moi " , mais lui n'avait pas de collier autour du cou , en revanche il avait le sexe sous Chastity Belt, à ce moment là du moins . ( Un appareil que je porte moins ces temps ci je l'ai souvent dit )
Nelly offrit à son tour des clopes aux deux fumeuses , Marion et Irina et le cendrier nécessaire fut posé sur mon dos ( j'étais à quatre pattes tout près de ces Dames et Demoiselles et cela leur parut plus commode que la table basse, pour un accès facile au cendrier ) ...
C'est ainsi que je les entendis deviser gentiment un bon moment .
Nelly répondit à leurs questions convenues :
" Oui j'étais son esclave ... enfin ! l'esclave de son couple . "
" Non je n'étais pas un esclave sexuel - contrairement à André - " ...
... elle ajouta goguenarde : ... " vous avez vu son sexe ! " cela fit rire et me donna un peu plus " la honte " !
" Oui ... je suis soumis au déni d'orgasme . "
" Non je ne suis pas autorisé à me branler et me vider plus de deux ou trois fois par mois "
" Oui cela produit un effet indéniable sur mes prestations serviles, sur
mes performances domestiques "
Il y eut d'autres questions, peut être plus intéressantes, posées à ma Maîtresse, mais elle rappela qu'à son grand regret - et elle semblait sincère en le formulant - elle devait partir... Cela lui donna l'occasion de souligner que j'étais " là AUSSI pour satisfaire ( leur) curiosité , que c'était une des raisons principales de( ma) présence " et qu'elles pourraient si nécessaire , punir mes réticences à expliquer, à informer ...
Une fois Nelly partie, c'est moi qu'on chargea d' oter au mari de Marion sa cage de chasteté. Sans doute pour l'humilier davantage et me troubler, me metre un peu plus mal à l'aise .
Les quatre Femmes confortablement installées dans le long canapé dont André et moi , nus et agenouillés côte à côte étions si proches, se livrèrent à un feu roulant de questions, portant sur une multitude d'aspect de mes obligations, contraintes et " performances " ...
Quand je parlai, à leur demande, de mes " records ", les presque huit semaines d'abstinence et de déni d'orgasme firent sensation ... même si je pris la peine de préciser que ma moyenne d'abstinence était bien moins ...spectaculaire ...
Bien sûr la belle et directive Marion s'intéressait à tout ça parce qu'elle était depuis peu dans cette perspective avec son mari.
A plusieurs reprises elle ponctua mes réponses à leurs questions d'un " tu vois " ou encore " sois attentif ! ça va te concerner très vite "... en fixant son pauvre mari qui malgré sa jeunesse, sa beauté et le calibre très enviable de son sexe n'en menait pas plus large que moi...
Ensuite je dus raconter " sans fioritures et dans ses grandes lignes " ma vie d'esclave conjugal, répondant à une demande de la charnelle Coralie... Même en ne trainant pas cela me prit un moment ... Marie Odile envoya
"DD" leur chercher de nouveau à boire ...
Quand il revint, sa Femme lui demanda de se retourner " par respect " pour elles, et de se masturber... Il devait éjaculer "dans les trois minutes" sinon " tant pis pour toi ! on te remet la CB et tu devras faire comme cet esclave " lança la blonde Irina en me regardant durement .
Il se masturba donc !
Coralie baissa son short aux chevilles, puis l'ota, avant de se rasseoir et de m'ordonner, cuisses écartées, de venir la lécher... Elle était déjà bien mouillée quand mes lèvres s'écrasèrent sur celles de son entre-jambes, sous la pression de ses deux paumes sur ma nuque... rapidement ses puissantes cuisses musclées se mirent à vibrer et elle émit des petits cris
" touchants " ... qui s'achevèrent en cris sourds et rauques au moment de l'orgasme.
André dut jouir, lui aussi, juste avant la rousse ! car j'entendis , malgré l'étau puissant des cuisses de Coralie qui se referma, quelques secondes durant sur mes oreilles, sa belle-soeur dire à son esclave :
- " Voilà qui est fait ! Lèche tes saloperies sur le parquet maintenant ... après on te remetta ta cage de chasteté et on sera tranquille avec ça pour un moment ... même si tu ne tiens pas de suite aussi longtemps que l'esclave de Nelly ! "
L'esclave de Nelly c'était moi bien sûr !... Et je dis " la belle-soeur " en parlant de Marion car si je l'ignorais alors, j'ai appris peu après que Coralie et l'Epouse , semble t il en pleine mutation dans son couple, étaient soeurs !
Il finissait de lécher le sol , cul levé, quand je sortis d'entre les cuisses odorantes et poisseuses de Coralie ... Et j'eus une nouvelle surprise en me relevant :
Il y avait là, debout près du canapé, une jeune fille qui regardait le mari soumis en train de lécher son sperme ... elle arborait une moue vaguement méprisante, mais dont je perçus surtout la cruauté ... elle avait sans doute à peu près de l'âge de ma Maîtresse, guère plus de vingt ans ...
Elle était blonde, plus blonde encore qu'Irina ... Elle était d'une beauté à couper le souffle !!... Dotée d' un visage fin, régulier, juvénile et angélique ... elle ne faisait rien pour cacher une poitrine abondante, parfaitement dessinée : son top était particulièrement échancré et lui allait à ravir ...
Elle lança en regardant Marion :
- " C'est bon alors cette fois ... on va pouvoir enfin se déplacer... vivre chez toi, sans avoir sous les yeux la bite de ton bonhomme dressée irrespectueusement ! "
La phrase provoqua des rires ! Sauf évidemment chez nous, les deux esclaves !
Ce matin j'ai expérimenté et pratiqué une nouvelle facette de mon activité d'esclave "professionnel" au service de mes deux employeuses ...mais je me dois d'expliquer :
Depuis mon entrée à leur service, les soeurs m'ont tour à tour utilisé comme manutentionnaire, commis, démonstrateur, cobaye ... etc... aujourd'hui j'ai ajouté une corde à mon arc ... et il semble que ce soit appelé à se renouveler, puisqu'aussi bien ça les décharge de contraintes qui ne nécessitent pas des professionnelles comme elles ( de la coiffure, des massages, de l'esthétique en général...) ...
Il s'agit de satisfaire une partie de leur clientèle, appartenant au groupe de ce qu'on peut appeler " les nouvelles dominatrices de la vie conjugale ou maritale "...
Les satisfaire en les confortant, si possible, dans leurs nouvelle approche de la vie de couple ( car c'est ce qui "nous" fait travailler vendre et vivre , que ce "nous" désigne ... les deux Soeurs ou leurs trois esclaves !)
Et pour les satisfaire il faut séduire et achever de convaincre dans nos interventions...
Dans ce but je suis " formé " depuis quelque temps, et n'ai pas été surpris de ce nouveau rôle ... pas surpris, mais parfois décontenancé , malgré tout, par les situations et les implications ...
Mon activité consiste à me présenter seul, ou amené par une Maîtresse ( par exemple ce matin Nelly) à une adresse où, évidemment, je suis attendu ... Nadia et Norma ont organisé une réunion " conso " , non pas de "ménagères de moins de cinquante ans" chez l'une d'elles ! ... mais de Femmes - et de couples - que la Domination conjugale intéresse voire obsède et qui individuellement , isolé(e)s ne parviennent pas à franchir réellement le pas, sinon parfois dans des soirées à thèmes , en club... donc par trop épisodiques .
Mais autant passer au concret non ?
Ce matin, c'est Nelly donc qui m'a conduit dans une petite mais belle villa de la campagne aixoise ... Là quatre jeunes Femmes, au final m'attendaient ... tout avait été, je le répète, préparé par mes Maîtresses ...
Nelly a présenté ma carte d'esclave ( carte-diplôme établie par l'organisme internationnal qui délivre le matricule chiffré à toute personne en faisant la demande... une carte que mes Maître(esse)s successifs possèdent depuis que j'ai été affilié, puis tatoué - cet épisode et ce cérémonial, je les raconte sur ce blog ou sur l'autre -) ...
et pendant qu'elle présentait cette carte, j'ai commencé à me déshabiller ... Les deux Femmes qui s'étaient présentées à la porte se sont penchées sur mon matricule tatoué , l'une lisant sur ma chair et l'autre vérifiant que le numéro énoncé soit bien celui figurant sur la carte ...
Elles se sont redressées avec un " c'est parfait " souriant en direction de Nelly lancé par l'une et le " continue de te déhabiller " moins souriant prononcé par l'autre d'un ton neutre en me fixant sans la moindre chaleur ...
Nelly a tendu la main pour prendre un à un mes frusques ... chaque vêtement quitté au fur et à mesure ... pendant qu'une des Femmes , une brune sensuelle aux cheveux courts coiffés très " mode ", prénommée Marion , allumait une cigarette, sans me quitter des yeux ... tout en tendant ses clopes à Nelly, qui en prit une et remercia souriante !
Ah ! l'intimidante source de honte ... même pour un esclave "patenté" !
... la mise à nue physique, devant des êtres habillés ... qui plus est des Femmes, n'est jamais une formalité ... croyez moi !
Quand il ne me resta plus que mon collier d'esclave , ma jeune Maîtresse tendit mon paquet de vêtements à l'autre hôtesse, Coralie, une rousse aux cheveux mi-longs , moins fine mais pas moins sexy dans sa jupe moulante plutôt courte ... ... Celle-ci disparut avec mes vêtements dans la pièce la plus proche et j'entendis des bruits de serrure ... elle revint aussitôt les mains vides .
La première, très intimidante vraiment! ... sourit de nouveau à Nelly et lui proposa à boire, en la tutoyant :
- " Je veux bien un truc chaud , avec ce froid ! mais je vais pas rester , j'ai cours dans moins d'une heure ! "
Une troisième Femme vint à notre rencontre guère plus âgée que Nelly , au frais minois , brune, elle portait des lunettes qui n'altéraient ni sa joliesse, ni sa sensualité ... elle s'appelle Marie-Odile... elle aussi tutoya ma Maîtresse :
- " On n'a pas besoin de toi mignone , Nadia nous a expliqué que ton esclave avait le catalogue et qu'il devrait répondre à toutes nos questions , puis se préter aux démonstrations utiles ! "
- " Tu repasses le chercher ? " lança la quatrième ( par ordre d'apparition ) Irina, belle blonde aux yeux bleus, qui était restée assise dans le canapé du salon où nos sommes arrivés finalement .
- " Oui ! mais ça ne sera pas avant midi ... Nadia m'a dit que vous pourriez le garder jusque là , quitte à le faire bosser pour vous ! "
- " On verra ! jusqu'alors mon mari s'en tire très bien seul ... et je ne tiens pas à ce que quelqu'un l'aide vraiment ... nous ne sommes que deux à vivre ici ! ... mais au besoin il finira la matinée à faire du rangement à la cave ... ou en cage . Norma m'en a vendu une superbe le mois dernier ... "
C'était Marion qui parlait , celle au regard sévère si intimidant qui continuait à vous fouiller , même nu ... c'était donc elle la propriétaire
de l'esclave qui apparut quand elle agita une petite cloche pour lui demander de préparer thé et café et d'apporter " quelques petits fours " .
Petit clin d'oeil, d'abord au figuré... léger ... mais aussi réel matériel, parce que Nelly, espiègle, joueuse, mutine, l'a voulu ainsi :
Quand ma Maîtresse m'a appelé vers 17 heures, tout à l'heure ...
... elle était... dans la salle de bains ...
... elle était suspendue au cou de l'homme, doigts croisés sur sa nuque ...
... elle avait les cuisses levées et les genoux, les jambes ceinturant les hanches, les fesses du mâle ... Lui, debout, face à moi cette fois encore, tenait de ses avants bras puissants la Fille sous les cuisses ...
Nelly, confortable, coulissait presqu'assise sur le mandrin de son porteur et ses murmures de plaisir accompagnaient chaque mouvement de haut en bas ... de bas en haut !
Je voyais son visage dans la grande glace murale cette fois ... son visage au dessus d'une épaule toute blanche et le dos masculin ... le dos de son porteur .
Oui ! je voyais son visage ... et quand elle rouvrit les yeux après un énième murmure extatique, elle m'adressa un vrai clin d'oeil ... que je fus seul à voir évidemment ...
C'est pour ça que dès la première ligne, je parle de clin d'oeil au figuré , mais aussi réel : celui que m'adressa ma Maîtresse dans la glace alors qu'à son appel j'étais entré dans la pièce et qu'elle me tournait le dos .
Qui a lu le précédent article peut aisément comprendre le sens de ce clin d'oeil :
La situation était la même que moins de cinq heures plus tôt ... et je devinais, avant même qu'elle ne m'ordonne, d'une voix vacillante altérée par l'excitation...
- " Agenouille toi ! ... S...sous mes fesses ! ... L..lèche ma raie ! mon cul !... m..mon petit trou ! Fais ça bien ! "
Elle cherchait en dépit de cette excitation à me donner de vrais ordres ... à me rappeler ma place , ma condition ... mais en même temps il y avait eu ce clin d'oeil ... et le lecteur des deux articles peut comprendre facilement je pense - ou alors c'est que je m'explique mal ! - combien la situation soulignée par le clin d'oeil, était lestée de complicité ...
MERVEILLEUSE COMPLICITé entre la Maîtresse et l'esclave ! ...
car beaucoup l'auront compris je pense ...
... j'étais appelé par ma Maîtresse, que je trouvais dans la même posture, la même situation que moins de cinq heures plus tôt ... elle m'ordonnait les mêmes gestes ... les même choses ...
Il n'y avait que deux différences...
l'une très secondaire : ce n'était pas la même salle de bains,
l'autre essentielle ... et pour moi jouissive ...oh combien ! ... et qui expliquait, justifiait , ornait le clin d'oeil de Nelly ... L'AMANT DE MA MA MAÎTRESSE N'ETAIT PLUS LE MÊME !!...
Certains l'avaient devinés bien sûr ... c'était Frank ! ... qui était revenu du village avec les autres un bon quart d'heure après le départ de William ...
Le rapprochement de mes deux Maîtres avait été laborieux ... avait nécéssité les bons offices et le savoir faire des deux Soeurs ... et d'autres , comme par exemple Daphné ( qui elle avait sans doute quelqu'arrière pensée : si Nelly et Frank ne se réconciliaient pas, c'en était fini de la présence de l'esclave à la colocation ! )
Bref le déjeuner ... le café ... la promenade digestive dans la campagne environnante ... la virée en voiture, je ne sais où, de quelques invités dont Nelly et Frank ... tout cela n'avait pas été de trop pour générer un rappeochement qui ne me sembla pas encore évident quand ils sortirent de voiture, peu après quatre heures ...
Frank me jeta les clés de la voiture et m'ordonna sèchement de la laver rapidement ... elle était toute boueuse, suite au petit périple ... et l'insistance sur la rapidité qu'il exigeait ... s'ajoutant à sa mine renfrognée m'avait d'abord fait penser qu'entre eux c'était le statu quo et qu'on risquait bien de repartir d'ici avec la soupe à la grimace sur le chemin du retour ...
Ce qui n'était pas franchement une catastrophe à mes yeux ...
Et puis il y a eu l'appel de ma Maîtresse ... et tout ce que j'ai dit ci-dessus ! ... je venais de prendre ma douche après la fin du lavage de la voiture , et je me demandais si cet appel était le signe d'un départ imminent ...
Bien sûr compte tenu de mon espoir d'une désagrégation rapide du couple le spectacle de la salle de bains, le dernier ! ... n'était pas forcément réjouissant ... mais je l'ai dit :
le regard de ma Maîtresse dans la glace , suivi de son merveilleux clin d'oeil, balaya toute ma réticence et ma mauvaise humeur ...
Je suis tombé à genoux avec un enthousiasme inhabituel quand il s'agit de laper le sperme abandonné par Frank ...
Il est vrai que les supports et receptacles de ce foutre me ravissaient, me comblaient !
J'ai trouvé les sécrétions du cocu moins amères que d'habitude ... même quand j'ai dû le sucer après avoir quitté l'adorable cul de l'espiègle beauté ... Tout indiquait qu'il ne l'avait pas sodomisé ... et j'en fus heureux car sachant combien il aimait ça , ce ne pouvait être que la conséquence d'un refus de ma Maîtresse !
Nous ne repartirons que demain matin ! ... et cette nuit ... là ! tout à l'heure, dès que j'aurai fini cet article sans doute ... je vais aller dormir dans la chambre que mes Maîtres retrouveront en rentrant de leur petite soirée " entre jeunes " ... je vais dormir par terre, près de leur lit , enroulé dans une couverture ... mais je crois que je vais bien dormir ... même si quand ils rentreront, lui me réveille pour me pisser dans la bouche comme il le fait assez systématiquement maintenant ...
Ma Maîtresse, en le faisant cocu avec ce talent, me venge ... même si évidemment ce n'est pas le but recherché ... et puis elle me prouve que sa relation avec lui n'est pas la chose la plus importante de sa vie .
Ils sont là tous les deux aujourd'hui ! Incroyable ! et triste pour moi !
Certes je ne crois pas que ça durera bien longtemps ... mais ça devient tellement insensé avec lui, tellement pénible! que j'ai hâte d'en finir !
Et Nelly qui a passé deux jours avec William, son amant ... et qui à peine arrivée baise avec " mon maître " comme si de rien n'était !!
Pour William je le sais car elle est arrivée vers onze heures et demi, tout à l'heure, raccompagnée par lui... au moment où Frank était de sortie, au village, avec une partie du groupe ... sortie traditionnelle pour l'apéro ...
Je pense que Nelly était en contact direct et " à la minute " avec Norma ou Nadia car ils sont arrivés dix minutes à peine après le départ de la bande vers le bistrot !
J'étais en train de faire du ménage dans les chambres, très occupées le week end on le sait, avec Dick ... quand Nelly m'a appelée ( je l'avais vu arriver par une fenêtre ce qui m'a évité d'être surpris )
Ils étaient nus , elle et William dans une salle de bains et quand je suis entré, ils étaient en plein orgasme ! ... lui debout elle empalée sur sa bite, pour moi de dos ... il la tenait fermement au niveau des genoux , sous les cuisses et elle s'agrippait des deux mains à son cou, elle coulissait encore sur le chibre tendu, jambes toutes tremblantes et balantes le long des cuisses de l'homme ... une posture qu'elle adore... elle le fait souvent avec Frank ...
Lui m'a ordonné entre deux râles et l'oeil vitreux de m'agenouiller sous le merveilleux cul de son amante et de le lécher ...
J'ai léché avec passion les deux globes merveilleusement charnus , gluants, poisseux , odorants ... odeurs de l'homme et de la Femme divinement mêlées ... ma langue dardée s'enfonçant dans la raie profonde et serrée , en dépit de la position presqu'assise de la belle ... ma langue et mon nez débusquant des saveurs merveilleuses ! acidulées! amères ! poivrées !! des odeurs énivrantes et musquées !
Les traces grumeleuses de sperme signifiaient que William l'avait sodomisé peu de temps avant : dans la voiture ? en venant ?
C'est la question que je me posais en m'activant sur les invraisemblables trésors ... je sais depuis peu que c'était tout simplement à l'hôtel ... tout proche ! ... car après le départ de William, vers midi et avant le retour de Frank , Nelly a parlé avec Norma et Nadia ... et leur a dit en riant qu'elle était là depuis l'avant veille ( à l'hotel contigu au bar dans lequel Frank et les autres étaient en train de prendre l'apéro !! ... sourires ! )
Après ces moments merveilleux et trop courts, jai sucé la verge de celui que j'aurais volontiers " validé " comme mon Maître ... mais j'en ai pour l'instant un autre !
Les odeurs et saveurs qui s'attardaient sur la "tige magique" de l'homme ( expression de Nelly ) suffirent à me renseigner sur les séjours récents dans les deux temples de la belles ... et pas seulement dans celui dans lequel je l'avais " trouvé " en rentrant dans la pièce ...
Ensuite ils ont pris un bain tous les deux ... je les ai rapidement massé ... et ils se sont dit au revoir avec émotion ...
C'est ce qui m'a fait penser que Nelly était là pour dire à Frank que c'était fini ... mais je me trompais :
ce qui s'est passé au retour de " mon maître " en est la preuve ...
Récit à venir ...
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