Vous trouverez ici :
- I - Une partie de ma vie récente - sur les cinq dernières années - de mari asservi par sa Femme d'alors, soumis au déni d'orgasme, à la chasteté imposée dans le cadre d' UN COUPLE GYNARCHISTE REEL.
-II - Puis de nombreux témoignages, plus récents, actuels, sur le vif parfois... diversifiés... parfois très détaillés, parfois survolés, selon les articles... témoignages de ma vie d'aujourdhui ...
Esclave au service des Femmes Supérieures et Gynarchistes, c'est ce que je suis devenu, au sein du couple, dès ma jeunesse, très vite, alors que , tel monsieur Jourdain avec la prose, je ne savais pas ce que voulaient dire ..." Déni d'Orgasme ", " Power Exchange " soumission ou " Servitude 24/7 " " Gynarchie " " Rapports de D/s "...
Les articles relatifs à ma vie de conjoint asservi - I - sont plus anciens, donc " au fond " de ce blog que j'ai ouvert en Février 2010... vous pouvez y aller directement en " ciblant " les mois du printemps 2010...// ceux évoquant ma vie actuelle - II - sont à votre porté immédiate ...
J'ai laissé entendre dans mon article d'hier que les tensions extrêmes entre mes Maîtres avaient des conséquences défavorables et peu rassurantes pour moi ... peu rassurantes dans l'hypothèse d'un couple restauré, apaisé , qui en fin de compte parviendrait à conjurer ses démons ...
C'est , je l'ai assez dit hier , l'issue la moins probable - et je m'en réjouis - pourtant elle n'est pas totalement à exclure ... et il y a même des soirs comme celui qui s'achève ( je commence cet article, que j'espère pouvoir terminer rapidement, alors qu'il est une heure du matin dans la nuit de mardi à mercredi ) oui ! il y a des moments où je doute ... où je crains qu'ils ne parviennent à se rabibocher ...
Ah ! ces deux amants qui n'ont pas tant de choses à partager pourtant :
Un appétit sexuel ...
immodéré car trop longtemps brimé chez lui ...
exacerbé chez elle, en tous temps et tous lieux même si'il culmine ... c'est elle qui le dit " en fonction de ( ses ) règles , avant pendant et après l'ovulation "...
Un goût pervers pour se délecter des tourments et souffrances, comme des humiliations d'autrui ... pour les imaginer et créer...
J'étais sur mon clavier, hier vers vingt trois heures, quand la clochette qui sert à ma Maîtresse à m'appeler de sqa chambre a retenti ...
Il m'est arrivé d'être heureux d'entendre un tel appel... parfois même de l'espérer, surtout quand Nelly est seule à la maison ... mais là j'avais entendu des propos un peu musclés, puis acerbes entre les deux amants terribles , et ce tôt dans la soirée... ensuite la tension avait décru ... c'était devenu presque tangible ... et enfin les bruits de l'amour avait remplacé toutes ces laideurs ...
Même en ayant dit toutes ces choses hostiles à mon Maître, je dois dire que j'aime ces bruits de l'amour ... plus que tout ! ...
Je sais qu'entre eux deux, rien de tout cela ne m' est particulièrement favorable ... mais j'ai toujours aimé constater le bonheur de mes Maîtresses et accessoirement de leurs amants, que je dois bon gré mal gré admettre aussi comme ...
La veille déjà j'avais fait les frais d'une énième réconciliation sur l'oreiller ... j'avais dû, dès mon arrivée dans la chambre, laper le sperme crémeux du cocu dans l'abricot juteux de Nelly ...puis sucer son sexe qui restait dressé, heureux ...
... et à peine cette toilette accomplie ... ils avaient recommencé ... je les avais contemplé ... à genoux près du lit ... attendant de nouveaux ordres qui étaient venus ... elle avait exigé que je lèche son anus palpitant, dont lui venait de sortir... que je lèche sa rosette pour "la rafraichir" puis pour
" l'émoustiller ", au même titre que sa raie profonde et odorante, tout ça pendant qu'elle le chevauchait, pendant qu'il avait l'injuste bonheur d'avoir sa grosse verge enserrée, coincé dans l'étui chaud, onctueux, charnu de la Femme triomphante ! ... ensuite il m'avait pissé dans la bouche, sous le regard goguenard de Nelly... et c'est elle qui m'avait congédié ... alors qu'une heure après je les entendais toujours ... sans parvenir à trouver le sommeil...
Cette fois, tout à l'heure, j'ai délaissé mon ordi, peu avant vingt trois heures en me doutant de ce qui m'attendait ... enfin plus ou moins puisque tout ce qui avait rempli ma soirée de la veille,avait de fortes chances de se reproduire... et c'est à peu de choses près ce qui s'est reproduit ...
Enfin ! ... à peu de choses ... faut le dire vite ! quand je suis entré dans leur chambre, c'était il y a moins de trois heures, Nelly m'a ordonné de
me mettre à quatre pattes " d'ouvrir (mon ) cul avec (mes ) mains " et Frank est venu m'enculer après avoir rapidement lubrifié la zone après c'est Nelly qui accroupie au dessus de mon visage a vidé sa vessie dans ma bouche ... j'ai admiré leurs étreintes et pour finir , ils m'ont renvoyé dans ma piaule vers une heure du mat... me laisant le temps d'écrire cet article ...
Mais ce faisant je me suis lancé dans quelque chose qui réclame bien souvent du temps, pas mal de temps ... et pour ce soir je vais être contraint d' éditer une publication incomplète, inachevée...
Allez ! si je peux revenir rapidement, j'aurai peut être du nouveau ... j'ai plus ou moins laissé entendre cela à quelqu'un qui se reconnaîtra ... et que je n'ai cependant pu " rejoindre " techniquement tout à l'heure ...
J'ai évoqué récemment les premiers éclats de voix entre Nelly et Frank ... en rappelant que, par la volonté de Michelle je pense, mon appartenance au couple était conditionnée à la solidité de leur union, pour ne pas dire de leur amour... ( car je n'ai jamais cru que l'amour était un ingrédient basique de leur " histoire " )
Depuis les choses évoluent vite ... très vite ... au point que je me demande si je ne vais pas revenir " sur le marché.... redevenir " marchandise à saisir " ... il est vrai que c'est l'époque des soldes !
Non ! sérieusement !... les choses s'accélèrent , indéniablement ...
... et cet imbécile de Frank y est à mon avis pour beaucoup ... mais je ne vais pas m'en plaindre ... je vous l'ai dit, ce type me fait peur ...
Même si je suis dans la situation de celui qui pense, quel que soit le contexte
" on sait qui on perd ... on ne sait pas ce qu'on trouve, ce qu'on va gagner à la place.... " ...
Et puis d'abord y a t il quelque chose à gagner ? ... sans doute pas à tous les coups !
Donc prudence ... d'ailleurs il n'est pas tout à fait exclu que les choses finissent par s'arranger entre eux ... Tout va dépendre au fond de Nelly ...
A t elle un peu de sentiment pour lui ? ...
Oui ! tout dépend de Nelly, car lui c'est vraiment le grand n'importe quoi !
J'explique :
J'ignore ce qui était à l'origine de l'accrochage, bruyant, que j'ai simplement annoncé l'autre jour, pour l'avoir entendu ... il m'avait semblé que c'était le premier clash entre eux ... Dick lui, prétend en avoir déjà entendu d'autres !
Mais ce qui est clair c'est qu'en voyant comment Frank se comporte de plus en plus souvent ... on peut saisir l'origine du malaise ...
Il y eut d'abord chez lui, qui ne pensait qu'à draguer et vraisemblablement " à baiser " ( ... " comme ses copains "... songeait il surement ) un mélange de surprise et de félicité ... quand il constata qu'il avait réussi à séduire Nelly ... puis, dans la foulée à coucher avec elle.
Oui d'abord quelque chose comme une merveilleuse, une divine surprise ! ...
S'ils ont quelque chose en commun, c'est bien, en dépit de leur "noviciat" de très fraiche date en matière de fétichisme sadique, l'excitation amoureuse et sexuelle que provoque en eux les tourments et brimades infligés à ceux qu'ils dominent ouvertement ... qu'ils accablent et torturent ... ça , ils l'ont perçu très vite !
D'ailleurs, faut il le rappeler ? leur idylle est née de la "cause commune" à laquelle en particulier Frank avait adhéré, lors des élans vindicatifs de la belle à mon encontre .
C'était à l'issue d'une partie de plein air assez proche de la chasse que je viens de décrire et raconter... ( La partie, je la raconte dans un article de décembre 2010)
Frank a vécu sur une sorte de petit nuage les jours qui ont suivi, grisé par l'intérêt que lui portait d'un coup Nelly... qui jusqu'alors, comme les autres Filles du groupe, le traitait avec une superbe indifférence ... ce qui rendait ses efforts assez pathétiques, quand il s'agissait d'apparaître et de paraître ... à peu près " à égalité " avec ses potes et néanmoins rivaux ...
Mais mieux encore pour lui, je suppose : sa liaison-surprise avec Nelly ( surprise elle l'était aussi pour le reste du clan ! c'était visible ! ) lui attira la sympathie de celles qui jusqu'alors ne le voyaient même pas ... ou le remarquaient à peine ... D'un coup il a eu l'impression qu'il était sur un pied d'égalité avec ses copains ... Arno, Nagy, Kamel ... etc ...
C'est sans doute ce qui lui est rapidement monté à la tête !
Il ne s'est pas remis en cause le moins du monde ... il a eu seulement le sentiment que la chance ... longtemps boudeuse à son égard avait tourné ...
Grisé le Frank !... et ce fut plus fort que lui !!...
Malgré l'appétit sexuel de Nelly, qui devait, qui doit le combler .... se croyant d'un coup irrésistible, et tenaillé par un machisme indécrottable sans doute, il s'est mis à faire le joli coeur, à draguer sans vergogne la gent féminine, partout où elle était présente ... comme s'il voulait , peut être, aussi se prouver que son succès avec Nelly n'était pas accidentel ...
Certains penseront que je suis en pleine subjectivité, que je ne fais qu'exprimer mon peu de respect pour sa personne, voire une haine consécutive à ma peur ... ou encore - pourquoi pas ? - ma préférence indéniable pour ma Maîtresse, en dépit de sa cruauté déjà mentionnée... Bref ! ... que cela me fait dire n'importe quoi ! ...
Sauf que, après conversations sur le sujet avec Dick et même l'esclave stagiaire, je suis obligé de constater que nos interprétations des comportements, comme de la situation sont ... très voisins !
Et comment ne le seraient ils pas ? Frank , qui " a pris le melon " drague ouvertement et sans scrupule !
Impossible pour Nelly de ne pas s'en rendre compte !
Les premiers incidents, les premières disputes furent sans doute la conséquences de ces dragues puériles et grossières du bonhomme ...
Nelly s'en est montré surprise d'abord ... puis assez vite blessée j'imagine, en tous cas ouvertement courroucée ... et comme elle n'est pas précisément dans la dépendance sur ces questions, comme les incidents se multipliaient, même publiquement ...
Elle a fini par lui être infidèle ... en ramenant un " vieux " de quarante ans à la maison, un soir de la semaine dernière où le pauvre chéri était allé diner chez sa " Moman " ...
Je le sais d'autant mieux que je les ai " servi " intimement, elle et ce quadra, lui comme s'il s'agissait de mon Maître ( puisque c'est ainsi que je dois considérer Frank, tant que le couple a un semblant d'existence ! ) c'est à dire que , sur ordre de ma Maîtresse, je l'ai sucé à genoux AVANT ... j'ai sucé sa queue couverte d'une capote, et puis ses couilles APRES pour la toilette, pour moi rituelle ...
Mais si je peux ouvrir une brève parenthèse - ou moitié de parenthèse, car je crois être bel et bien au coeur du sujet ! - pour lui, le quadra ( il s'appelle Thierry ) elle ne l'était pas rituelle ! ... et je vous assure qu'il a apprécié ! ... ça l'a d'abord surpris quand Nelly m'a introduit au milieu de leur jeu ... de leurs joutes, puis ça l'a fait rigoler ... et quand je l'ai sucé comme l'exigeait Nelly ... il a assez vite bandé, alors qu'il se disait, suite à une question de ma Maîtresse, " peu concerné par la bisexualité " ...
Tout ça pour dire que j'ai pensé, avant même d'être congédié ce jour là ... et bien sûr avant les conséquences, les développements nés de la révélation de " l'adultère " à Frank, un soir de colère, par Nelly... que Thiery ne serait pas qu'un coup en passant ... que je risquais de le revoir ... et de le " servir " encore .
Tout ça pour préciser aussi, qu'un soir de colère, un de plus, la semaine dernière, suite aux comportements immatures de Franky , Nelly, hors d'elle a lâché le morceau ... le traitant de cocu ... qui plus est publiquement ! Ce con s'est alors permis de lever la main sur elle !... Heureusement Nagy, qui je le rappelle est un cousin de Nelly ( mais j'espère qu'il l'aurait fait sans cet argument ! ) et qui était tout près du couple conflictuel a stoppé son geste d'une main ferme ... ( j'ai eu l'impression que Karim assez proche de la scène, était aussi sur le point d'intervenir ... et je crois que, modeste esclave, je serais intervenu s'il l'avait frappé ... quelles qu'en soient les conséquences pour moi )
Bref, ce soir là, la tension était à son comble ... et ma Jeune Maîtresse est sortie en pleurs ...
On a entendu le moteur de sa voiture... et les " garçons " se sont " expliqués " ! Quelque chose de viril ... mais correct ... comme on dit dans certains sports !
Je n'ai pas suivi ça de trop près, car Dick qui passait par là à un bien mauvais moment, s'est fait injurier par Frank ... pas très fier de lui assez rapidement et qui ne voulait sans doute pas se montrer si peu à son avantage devant un esclave ( alors deux ! ... vous pensez ! )
Mais les retombées furent évidentes : soient que les " potes " lui aient filé la honte ... soit qu'il ait d'un coup réalisé qu'il allait la perdre s'il continuait à déconner ainsi... deux jours après, quand il l'a revu, enfin ... ( elle a découché deux nuits et fut injoignable pour lui en dépit d'incessantes tentatives : téléphone, messages, e-mail, "enquêtes" auprès de proches etc...) je peux vous assurer qu'il a fait profil bas ...
L'expression revenir la queue entre les jambes prenait tout son sens ...
Et le sexe les a rapproché, une nouvelle fois ...
... et pour ma part, j'ai payé, par des brimades et des humiliations plus corsées que la moyenne, le fait d'avoir été là trop souvent quand il était si peu à son avantage ( je les résumerai peut être un jour prochain, si je n'ai rien de plus intéressant à raconter ...)
... d'ailleurs rien ne dit que c'est terminé pour moi ! après tout le clash c'était il y a seulement cinq jours et Nelly n'est revenue que dimanche !
La balle est dans le camp de ce macho égocentrique et immature ...
je crois que s'il sait un peu y faire il pourra calmer le jeu ... au moins un temps ...
Mais je l'ai dit : la petite aventure entre Nelly et Thierry ne sera pas sans lendemain ... je peux bien sûr me tromper ... mais cela m'a semblé évident qu'il y aurait d'autres rencontres ... peut être auront elles lieu ailleurs ... peut être y en a-t-il déjà eu ...
Je ne saurai vraiment tout ça que si, comme je le crois , quelque chose est irrémédiablement cassé entre mes deux Maîtres ... et vous avez dû le comprendre, je ne m'en plaindrai pas vraiment , même si cela ouvre une nouvelle période d'incertitudes pour moi ....
Après tout relativisons : je ne risque pas le chômage . ( sourire ! )
Le dimanche de " la chasse " - c'était il y a maintenant huit jours ! - nous avons donc, une fois repris, été " jetés " dans le pick up et ramenés piteusement à la maison ... j'étais d'autant plus honteux qu'au moment de ma capture, j'avais encore tenté de fuir :
Quand Lena, rapidement sur les lieux avait en riant et avec succès, aidé Larissa à m'extraire du filet, j'avais " profité " d'un court instant pendant lequel je n'avais plus rien sur moi , et où je n'étais pas encore entravé, pour tenter de fausser compagnie aux deux jeunes Femmes ...
C'est Lena, qui sans doute me " marquant à la culotte " au sens propre m'avait , dans un plongeon de rugbyman littérallement " alpagué " : elle était pratiquement tombée sur moi dans la manoeuvre, me plaquant aux mollets, puis alors que j'essayais de me relever, elle avait d'une main attrapé, un peu plus haut, le bas de mon short ... ce qui dénuda d'un coup plus de la moitié de mes fesses ...
Tandis que je tentais alors, avec une énergie décuplée par la honte et le rire des deux belles de me relever, l'autre main de Lena, lachant à son tour la cheville vint empoigner, dans un nouveau bon en avant, mes testicules à travers le short qui protégeait de plus en plus mal ce qu'un être libre appelle la pudeur ...
La prise implacable me fit pousser un hurlement de bête qui stimula davantage encore les rires ... Pour moi plus question de bouger : la plus petite amorce de mouvement de ma part conduisait Lena à serrer plus fort mon paquet ...
- " Bouge plus minus ou je te broie les couilles comme des noisettes dans la paume de ma main ! tu veux voir ? ...
- " Non Madame! je vous en prie! "
J'avais la voix assourdie, ma bouche " mangeait " de la terre et des brindilles ... Larissa m'est tombée dessus au sens propre, son cul sur ma nuque ... et j'ai mangé encore plus de terre, d'aiguilles de pin, de brindilles, d'herbes ! ... elle lança :
- " Sans te commander chérie, attrape les menottes qui sont à ma ceinture ! et mets lui aux chevilles ... on sera tranquille ce salaud ne pourra plus fuir ! "
Je sentis le short qui glissait désespérement vers le bas ... sous les mains de Larissa j'imagine ... d'où sa demande... faute de mains libres pour me menotter ... j'ai crié " non ! pas ça ! " ou quelque chose dans le genre...
de toute façon, nez dans la terre, c'était parfaitement inaudible...
J'avais encore parfois ce que mon ex Epouse adorée appellait des
" pudeurs de jeune fille ".
Dans les mêmes secondes je sentis mon short me quitter, trois mains s'en étant chargé ( la dernière de Lena ne lâchant en rien sa pression sur mes couilles ! ) puis cette dernière m'emprisonna les chevilles dans les bracelets des menottes...
Cela se passa au moment même où le pick-up que Larissa avait quitté pour me courser à pied arrivait sur le chemin en surplomb...
- " Comment ça va les filles ? " Norma avait dû repérer notre trio .
Larrissa se leva enfin de sur ma tête malmenée :
- " On tient Dickette beauté ! sort une couverture pour le couvrir dans la charrette, il a perdu sa culotte ! ahahah ! "
Mais Norma vint à notre rencontre avant que l'on m'eut remis debout :
" - Attendez les filles ! j'ai une de ces envies de pisser c'est fou ce que le froid agit sur la vessie ! "
" - Pisse lui dans la bouche chérie c'est plus écolo ! " ...
Lena rigola elle même de sa répartie douteuse qui, douteuse ou pas, entraina les autres ... et sans autre formalité, sans même me regarder, Norma baissa sa jolie culotte rouge ( au rouge sesiblement plus sombre ... d'humidité au niveau de son sexe ) tout en s'accroupissant au dessus de ma bouche et très vite elle se soulagea dans ma bouche ...
- " Oh! comme c'est bon ! j'avais trop envie! si vous saviez les ! "
- " Moi je vais faire comme toi ... mais y'a pas que le froid tu sais ... faut voir tout ce qu'on a descendu comme bières tout à l'heure ! "
C'était Lena ... la troublante Lena ! qui pendant que Norma se relevait et remontait sa culotte entrepenait les mouvements et gestes inverses ... avec un peu moins de faciliter car elle n'était pas en jupe, mais en jean's collant qui l'obligea à se trémousser délicieusement et vint à son tour exhiber sa vulve et sa raie à la toison toute humide et collée en paquets au dessus de mon visage subjugué ... comme tout mon être ...
Elle réalisa qu'elle n'eut même pas à m'ordonner d'ouvrir la bouche, le souligna, en rit et se vida plus longuement que la Femme de Dick ... sur la fin elle poussa " tellement ( c'était ) bon et lacha un vent au fumet vite dispersé ...
Moi, je m'appliquais au mieux , soucieux de déglutir assez vite pour ne pas risquer des reproches ou de nouvelles brimades ... mais le froid dont les Maîtresses faisaient état, je commençais à le sentir cruellement !
Faut il rappeler que je ne portait qu'une sorte de tee-shirt " blousant " et une paire de grosses chaussettes ... et plus rien entre les deux ! alors que les chasseresses étaient en bonnets, blousons, jupes ou pantalons et bottées ! Tant que je courrais je n'avais pas trop souffert... mais maintenant cela me faisait trembler de plus en plus douloureusement ..
Larissa , qui le vit mit ça uniquement sur le compte de la " trouille "
Cela l'amusait de ne voir que ça ...
Lena aurait bien embrayé sur un cunnilingus ... un précédent article vous rappelera l'effet produit entre ses cuisses par la moto ... mais les autres lui firent savoir que le temps pressait ...
Norma précisa même qu'on allait arriver à la fin de l'heure et que rien n'indiquait que le " nouvel esclave " avait été coincé !
Je fus donc hissé dans le "up" du véhicule et après un coup de téléphone de Nelly qui nous indiquait où Daphné retenait Dick, "on" partit à sa rencontre ...
Dick fut chargé dans le véhicule comme moi... comme un vulgaire paquet ... il était tout boueux, dans un état indescriptible, le corps tout griffé, écorché ... lui avait toujours son short, mais plus rien au-dessus ...
Nelly n'était pas là ... elle était repartie à la poursuite du nouveau ...
Lena était sur le point de repartir en chasse elle aussi, sur son bel engin quand Nelly appela de nouveau :
Le récalcitrant venait d'être immobilisé à son tour ... il manquait encore huit minutes pour qu'il échappe au châtiment ... mais de toute façon Larissa fit remarquer qu'il aurait " largement sa part " puisqu'il avait été le premier découvert ...
Cela ne risquait pas de me rassurer !
Comme je n'ai pu terminer le récit de nos malheurs d'esclave hier, contrairement à ce que je comptais bien faire au départ ( six jours après les faits ! quand même ! ) je me rattrape un peu en dévoilant déjà une bonne partie de l'issue dans le titre .
Non ! je n'ai pas réussi à tenir une heure ... parce que pas réussi à demeurer " invisible " assez longtemps sans doute ... et parce qu'une fois découvert le rapport devenait inégal ...
C'est bien pourquoi je n'avais qu'une chance de m'en tirer sans bobo :
rester le plus longtemps possible " ignoré " ... introuvable ... afin de n'avoir pas trop longtemps à fuir, ensuite, devant les motos...
Ou bien de n' être pas obligé de risquer la proximité des chemins parcourus par les deux voitures et la moto de Lena ...
Oui ! la dangereuse proximité des chasseresses excitées !... et qui de plus, étant au moins deux dans chaque 4X4 pouvaient en descendre et nous mettre - au sens propre - le grappin dessus...
C'est pour ça que j'avais bien pris soin de mettre à profit les minutes initiales pour choisir un site de dissimulation assez éloigné des chemins ! ... tout en ne perdant pas l'objectif d'essayer de me rapprocher un peu de la maison ... Dick avait eu une idée semblable évidemment ...
... seul le malheureux stagiaire, qui ne connaissait pas le secteur avait choisi " sa planque " sur d'autres critères ...
... ou ne l'avait pas choisi !
Il fut le premier repéré ... je l'ai perçu au changement d'atmosphère, de bruits de moteur, d'exhortations verbales, d'indications claironnées...
je pensai que près de vingt cinq minutes s'étaient écoulées, quand même ...
( je n'osais être assez optimiste pour songer à la demi-heure ! )
mais faute de montre et compte tenu de ma situation qui ne m'incitait certes pas à la patience et à un grand calme propre à favoriser une juste évaluation du temps je ne pouvais être catégorique ...
( dans une discussion entre Maîtresses, le soir, il fut question de vingt minutes ) ...
Une fois le premier de nous trois repéré - et je pense que Dick fit le même calcul - il s'est agi pour moi de prendre quelque risque et de
" sortir du bois " ( d'abord au sens figuré ) avec dans l'idée que " le découvert ", le stagiaire allait devenir la cible privilégiée ...
Je suis donc passé à la deuxième partie de mon " plan " ...
... elle supposait de gravir un passage escarpé - et relativement exposé, car visible de loin et de plusieurs endroits - le plus vite possible ... pour gagner le chemin menant le plus surement à la maison .
C'est pourquoi cela ne me paraissait jouable qu'après la découverte du premier de nous trois ... qui accaparerait peut être un moment l'attention générale dans les minutes suivantes ... Mais la voie était si raide que je doutais, à mon âge et avec mes moyens physiques, d'y parvenir sans encombre ...
J'ai passé en effet beaucoup plus de temps que prévu ! ... j'ai même glissé ... j'ai dû remonter ... exposé bien plus longtemps ... mais je suis arrivé au sommet ... de plus, de là haut , en me dissimulant , j'avais une vision enviable du champ d'opération ... c'est ce qui m'a perdu ... ça... et la découverte de Dick au moment même où je croyais pouvoir m'en sortir.
( c'était donc bien le nouveau qui avait été repéré en premier ... le hic : il n'était pas encore capturé ... alors que trois trials semblaient le poursuivre )
J'ai voulu en voir plus pour adapter mon comportement : j'ai vu qu'un trial se branchait sur le vieux mari de Norma ... Lena, de son côté voulut profiter du terrain peu accidenté et peu boisé sur lequel était Dick pour le poursuivre elle aussi ... je me suis redressé pour en voir plus avant de me hisser jusqu'à la petite portion plate rejoignant une route secondaire , voie royale vers la maison ... j'avais vu les deux 4X4 et me sentais à l'abri des jumelles embarquées ... Mais la voiture dans laquelle était Larissa a bougé entre temps ... Oh ! pas beaucoup ! mais assez pour créer une brèche vers moi ... et me rendre visible ...
J'ai entendu hurler Larissa " Dickette est là haut ! " ( la rousse copine de mon Ex m'appelait maintenant souvent ainsi )
Je me suis mis à couvert ... et j'ai glissé ... et puis il me fallait une solution de rechange ... j'ai donc de nouveau regardé vers le bas ... mais allongé ... j'ai vu Lena quitter en trombe le chemin qui la menait vers Dick et chercher à joindre la partie bitumée d'où je croyais que viendrait mon salut ... J'ai changé de planque ... de toute façon ce plan était compromis ... Le pire c'est que le nouveau, bien que découvert depuis un moment n'était pas capturé ... et que ma découverte - au moment ou Dick allait se faire prendre ! c'était quand même ballot ! - ...provoquait un redéploiement des forces ... à son avantage, et à mon détriment !
Je n'eus pas le temps de penser à d'autres solutions ... j'entendis très vite la grosse moto de Lena ... et puis, par l'autre versant le 4X4 d'où Larissa m'avait découvert hélas approchait aussi !!...
C'était l'inconvénient majeur de mon projet ... découvert j'étais forcément plus vulnérable... plus accessible à tous que dans le sous bois escarpé où je m'étais préalablement caché.
( j'avais d'abord pensé que ma cachette étant fiable , j'aurais peut être pu y tenir une heure ) maintenant il était trop tard ... et en captant une partie des forces acharnées à notre perte je soulageais d'autant plus les autres ...
Mon espoir était quand même que, Dick semblant très près de " tomber " tout le monde ne l'aurait pas lâché ... mais j'avais maintenant Lena, Norma Larissa contre moi et très proches ...
En cherchant à regagner un endroit mieux abrité, j'ai offert , bien involontairement à Lena l'occasion de m'apercevoir ...
- " Il est là ! " ... cria Lena .... le moteur de la voiture était aussi très audible . Il y eut un bref silence, et Larissa cria :
- " Oui ! je le vois ! coupe lui la route de l'autre côté avec ta moto ! je vais le coincer à pied ! "
Je me suis senti perdu ... je suis reparti, évitant les deux côtés d'où me semblait venir la menace ... erreur : j'ai vu Larissa , à pied en effet ... elle a couru et m'a lancé un filet aussi large qu'une grande couverture dans laquelle je me suis vite "englué" ... pour m'en sortir je me suis débattu et suis tombé ... elle s'est jeté sur moi ...
Seule satisfaction ... dans la minute précédente j'avais entendu Nelly hurler au loin :
" - On a attrapé Dick ! "
Je n'étais donc ni le premier débusqué, ni le premier attrapé ( de peu !! )
Je n'allais quand même pas échapper à une bonne dérouillée .
Etrange de parler de " nouvelle " ... alors que ce "jeu", fort distrayant pour les Maîtresses et leurs hommes ( mais terrible pour Dick comme pour moi, ainsi qu' un soumis stagiaire introduit ici par Larissa qui a passé le dimanche ici ) a eu lieu dimanche dernier, voici presqu'une semaine !
Mais je l'ai dit, cette semaine a été fort agitée :
Par mon " travail " en journée,
puis par mon service, intime et domestique en soirée, auprès de
mes jeunes Maîtres Nelly et Frank ... ( j'ai été tenté d'écrire " mes Maîtres actuels " car je suis de moins en moins certains de la solidité du couple qu'ils forment - je reviendrai bientôt sur ce qui provoque ce doute - et une clause du contrat que Michelle leur a fait signer précise qu'en cas de dissolution du couple, Micky récupère ses droits sur moi ) ... mais pour l'heure, de quelque côté qu'on se tourne " on " est acharné à user et abuser de moi, à défaut de me posséder ...
Dimanche dernier donc, alors que Norma avait programmé et annoncé, pour son mari comme pour l'esclave stagiaire et pour moi l'heure de jogging collectif ( que Dick et moi sommes astreints à accomplir au moins quatre fois par semaine... voir le propos sur le sujet dans un précédent article ) ... Nelly a lancé :
- " Et si on en profitait pour faire une petite chasse à l'esclave, un peu comme l'autre jour ... sauf que ça peut être plus marrant : le gibier est un peu plus nombreux ... "
- " Et nous aussi, et avec une moto de plus ! "... ajouta enthousiaste Frank en regardant Lena et sa fille ... surtout sa fille ! auprès de laquelle il ne pouvait s'empècher de faire le joli coeur (voyait il dans cette " chasse à l'esclave " la possibilité de redynamiser son couple avec Nelly, né dans un tel contexte, lors d'un précédent jogging terminé déjà en une forme de " chasse " ?
L'idée en tous cas fit l'unanimité, il faisait relativement doux - pour la saison et compte tenu des jours précédents ! -
La moto de plus c'était celle de Magda et de sa Fille ... la mère fit un peu la grimace ... ce n'était pas une moto tout terrain, loin de là, mais Nadia la rassura : elle n'aurait qu" à suivre les chemins , nombreux dans ce secteur, comme les deux 4X4 d'ailleurs , avait elle ajouté ... les quatre trials se chargeraient de rabattre le gibier ... si les esclaves croyaient malin d'aller dans les sous bois, d'ailleurs plein de ronciers et de fortes pentes ... ( Oui ! il y avait bien un trial de plus ... arrivé en mon absence et dont je ne connaissais pas l'origine ) .
Grazziella se vit donc confier le dernier trial, Nelly et Frank se jetant sur les machines qu'ils considéraient visiblement comme les leur, depuis l'autre jour ... Daphné prit la dernière ...
On embarqua le gibier dans le pick up dont Nadia prit le volant, son mec ne la lachant pas d'une semelle vint s'asseoir à côté d'elle ...
Norma prit les commandes de l'autre 4X4 avec auprès d'elle son amant et Larissa et Richard, son jules, enfourcha une moto comparable à celle de Lena, avec laquelle il n'hésita pas cependant à se lancer sur les pentes, hors chemins réguliers ...
Nous eûmes donc à notre poursuite, dès que nous fûmes jetés hors du pick-up, en pleine nature hostile et accidentée, quatre "deux roues" légers et un plus lourd mais piloté par un motard émérite ( je ne connaissais pas ce talent à Richard, que je connais pourtant depuis un bail ! ) ... à ces cinq là, qui pouvaient nous suivre à la trace une fois repérés, s'ajoutaient bien sûr les deux 4X4 et la moto de Lena qui pouvaient nous dissuader de regagner les chemins ... mais surtout nous repèrer, les jumelles étant de sortie ... et nous signaler par téléphone aux " chevaux légers " Nelly, Graziella, Daphné, Frank ... et Richard moins léger peut être mais pas moins dangereux pour nous, au contraire, la suite le prouva .
Soit six chasseresses et trois chasseurs , dotés de cinq montures ou véhicules différents !!
Nous pauvres hères, errants indécis au milieu d'une nature hostile et inconnue sans rien d'autre aux pieds qu'une paire de grosses chaussettes de laine et qui ne pouvions donc marcher sans risque n'importe où, sans autre vêtement qu'un short et une courte blouse de toile rèche... donc dans l'obligation de ne pas faire trop de sur place ... comment pouvions nous nous en sortir ?
L'épreuve était prévue pour une durée d'une heure, une fois lâchés nous avions une dizaine de minutes pour " disparaitre " avant que les trials se mettent en chasse ...
Le premier découvert serait puni ...
... le premier attrapé serait puni plus sévèrement encore ( si ce n'était pas le même...
Pas vraiment beaucoup de chances pour nous d'échapper à un châtiment , cela fut clairement explicité par les deux Soeurs, avant l'ordre de "dispersion" ... une punition, même si moins " exemplaire " attendait le deuxième capturé , dégressive encore celle de l'éventuel troisième ...
La seule chance de s'en sortir, sans dommage, en dehors de " tenir " une heure, tenir jusqu'à la fin des hostilités, même une fois découvert... c'était tout simplement de déjouer la surveillance, d'arriver à " sortir " du périmètre contrôlé, et de regagner la maison ( situé à près d'une demi-heure de marche ) par ses propres moyens...
Autant dire que pour le stagiaire , qui contrairement à Dick et moi n'avait jamais couru dans le secteur et ne le connaissais que d'après un plan montré par "l'organisation " ... autant dire que pour lui la seule façon de s'en tirer indemne c'était de tenir l'heure entière sans être capturé ...
Sa seule chance c'était donc sa jeunesse, sa meilleure forme physique ...
Moi, que pouvais je espérer ? Réussir à sortir de la zone scrutée et regagner le gîte ? Je voulais bien essayer d'y croire mais ...
Ne pas être repéré ? ou l'être assez tardivement pour ne pas être capturé ? Tenir une heure ?
Je voulais croire à tout ça ! ...
Surtout ne pas être le premier ... le premier repéré ... le premier capturé ...
( Voilà !
Au titre initial, avant publication, j' ai dû rajouter deux mots : LA REGLE ... car je suis appelé par Nelly et ne suis pas en mesure de terminer mon récit de suite ... Il faudra donc revenir pour connaître le dénouement ! )
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