Vous trouverez ici :
- I - Une partie de ma vie récente - sur les cinq dernières années - de mari asservi par sa Femme d'alors, soumis au déni d'orgasme, à la chasteté imposée dans le cadre d' UN COUPLE GYNARCHISTE REEL.
-II - Puis de nombreux témoignages, plus récents, actuels, sur le vif parfois... diversifiés... parfois très détaillés, parfois survolés, selon les articles... témoignages de ma vie d'aujourdhui ...
Esclave au service des Femmes Supérieures et Gynarchistes, c'est ce que je suis devenu, au sein du couple, dès ma jeunesse, très vite, alors que , tel monsieur Jourdain avec la prose, je ne savais pas ce que voulaient dire ..." Déni d'Orgasme ", " Power Exchange " soumission ou " Servitude 24/7 " " Gynarchie " " Rapports de D/s "...
Les articles relatifs à ma vie de conjoint asservi - I - sont plus anciens, donc " au fond " de ce blog que j'ai ouvert en Février 2010... vous pouvez y aller directement en " ciblant " les mois du printemps 2010...// ceux évoquant ma vie actuelle - II - sont à votre porté immédiate ...
La venue imminente de Matthieu ramena vers le sous bois quelques jeunes gens qui n'étaient intéressés semble-t-il que par la cravache !... le fouet !... le paddle ! ... le tout sur ma peau de victime expiatoire .
Mais Nagy considéra que ça lui laissait bien le temps de m'humilier à son tour en forçant ma bouche au moyen de sa bite... le pire c'est qu'il était suivi, dès la sortie de la maison par son meilleur ami ( que j' ai déjà présenté ) le cher Karim... sans doute le plus membré de la troupe, et qui partageait avec "Nage", comme disaient les Filles, le désir de m'enfoncer son engin jusqu'à la garde ...
Karim vint s'appuyer sur l'épaule de son pote, après avoir répondu aux sourires, à la sympathie débordante et aux salutations empressées de ces demoiselles, dont la plupart l'appréciait... à l'évidence ! ...
De ce poste d'observation privilégié : juste au dessus de moi, bras sur l'épaule de celui que je suçais, contraint forcé et honteux, le beau kabyle suivait de très près ma prestation ... et exhortait Nagy, qui n'avait pas vraiment besoin de ça, à me " casser la bouche ", à me " perforer la luette " , à me " baiser les dents ", " à me fourrer la langue "...
Chacune de ses expressions approximativo- ridicules fit tordre de rire celles qui étaient maintenant " bien torchées "...
L'expression - lucide à mon sens - fut employée par Franky ... et je crois que, lucide encore, il s'englobait dans les "
torchés " ...
Les deux " nouveaux " eux n'étaient pas encore pétés , c'est pourquoi leur dureté naturelle à mon égard n'en était que plus exaspérante, inquiétante ! Karim alla même jusqu'à me presser sur la nuque avec insistance !
Son but était bien sûr que son copain aille encore plus loin ! ...
Comme s'il voulait que le gros gland de Nagy, qui sentait toujours plus mauvais à la sortie de braguette !... se fiche au fond de mon gosier pour toujours...
Moi ?.. je n'étais pas dans l'éternité ! je cherchais juste un moyen d'éviter le pire : gerber sous les coups de boutoir impitoyables ! ... et là encore plus il cracherait vite son foutre moins l'horreur durerait ...
Je me suis donc appliqué à sucer au mieux , ce qui me valut les sarcasmes et insultes d'usages ...
- " Vous avez vu cette lope ? c'est chié !! on dirait qu'il a fait ça toute sa chienne de vie ! " ...
A la remarque crachée par son copain, Karim ricana, et, en me toisant voulut amplifier le constat :
- " Pour sur ! il suce et pompe mieux que la plupart des gonzesses ce trou du cul !! ahaha ! "
Quand Nagy a joui, je crois que j'étais vraiment sur le point de le vomir ... le fond de ma gorge était agité de spasmes et de mes yeux ruisselaient des larmes mécaniques , incontrolables, qui n'avaient plus rien à voir avec le chagrin ou la honte ... simple phénomène physique désespérent et paniquant .. des larmes dont le flot doublait presqu'à chaque coup de queue !!...
Lui préféra rester dans ma bouche presque jusqu'à la fin ... et ses jets eurent une force inouie et
...
.... à la fin ... j'ai avalé ses glaires consistants et épaix , d'une grande amertume ...
...... à la fin il s'est essuyé sur mes cheveux et mon visage ... et mon nez et mon menton ont dégouliné, malgré tout,
des seules deux dernières giclées !!... ... et les rires alcoolisés ne se sont pas éteints !! Oh non !!
... A la fin , Karim aurait sans doute pris sa place dans ma bouche ! ...
mais Matthieu est arrivé ...
Nadia était de retour ... et Eric aussi !! ... et les autres qui papotaient et riaient ... verre à la main ... le coeur léger !
Les revenants étaient moins éméchés que ceux qui avaient passé le plus clair de leur temps à me martyriser ! ils étaient mon espoir ... pour que les choses n'empirent pas ... pour que l'hystérie collective ne prennent pas le pouvoir !!
Le mien de coeur se mit à battre à tout rompre ! mais pourtant ... pouvait il vraiment m'arriver des choses pires ... ?
Plus honteuses ? certes non ! plus douloureuses .... oui ! ... certes oui !... c'était mon éternel problème avec la douleur physique !
Pendant que Matthieu s'occupait de la corde et me faisait passer de la station " à genoux " à la station " debout "
.... membres étirés ! ... pieds ne touchant le sol que de la pointe ....
le "contexte" et la "règle" furent précisés par Michelle qui rappela au passage " mon exploit "... et aussi que Nadia ne pouvant me punir elle même les trois " bourreaux " - car ils seraient trois, je l'appris moi aussi - seraient tirés au sort...
Elle ajouta que, mon attente ayant été longue , ce que j'avais vécu de difficile faisait peut être partie de ma peine - peut être... elle interrogea les gens du regard - et qu'en conséquence elle proposait la réduction de dix à vingt pour cent des coups prévus ...
Je ne savais pas ce que voulait dire quantitativement " les coups prévus "
la proposition accueillie fut d'ailleurs accueillie avec une certaine tiédeur ...
De plus les partisans de deux taux ( une "remise" de dix pour cent, l'autre
" allègement " allant jusqu'à vingt pour cent ... ) ne parvinrent pas à se mettre d'accord et c'est Matthieu qui trouva une issue... en toute complicité avec Nelly qui lui parla un moment à l'oreille ...
Résultat : chaque fois que je ne pourrais retenir un cri , cela jouerait contre moi... en revanche , si au bout du compte, je n'avais pas crié plus de sept fois sous la douleur du coup, ma peine serait réduite de vingt pour cent ... si je natteignait que douze cris ... il s'agirait de dix pour cent de remise ...
Mais à partir de treize , c'était le retour à la case départ ... et sans remise ...
Je sus rapidement que mon batteur ... ou ma cravacheuse avaient le résultat " du jeu " entre leurs mains ...
C'est
Matthieu fut l'heureux élu pour l'utlisation du fouet, c'était bien ma veine !
...c'était un homme et je savais qu'il maniait "correctement" l'instrument, j'eus donc très peur de ce premier round .. mais contre toute attente , je n'ai été pris en défaut que quatre fois ... étais je en train de "progresser" dans ma résistance à la douleur physique ? au début j'ai cherché à compter les coups ... mais concentré comme je l'étais sur l'obligation de ne pas crier, j'ai vite laché prise ...
... je caressais encore l'espoir d'une conséquente remise de peine .... vingt pour cent, quel que soit le " prix " initial ... ce n'était quand même pas rien !
Franky tira le deuxième bon numéro ... hélas pour lui , le paddle ne lui permit pas d'exprimer totalement sa hargne, sa méchanceté perceptible à mon égard : il frappait fort certes ! ça claquait spectaculairement, mais je pouvais dans l'ensemble résister...
De plus, contrairementà Matthieu et à son fouet, son champ d'action autorisé se limitait à mes fesses, au haut de mes cuisses ...
même si sa puissance physique ne souffrait aucun doute , j'eus moins de raison de crier que sous le fouet ...
....et puis, obnubilié par mon cul et les exhortations des copines, il ne comprit qu'à la fin que les coups sur le haut des cuisses faisaient plus mal que ceux reçus sur le gras des fesses...
Résultat : il ne m'arracha que deux cris ... ce qui le mortifia vis à vis de l'assistance ... et dont je me doutai qu'il me le ferait payer dès que l'occasion s'en présenterait ... mais dans l'instant , je pouvais encore espérer , certes faiblement et si je parvenais à ne pas crier sous le dernier supplice, d'échapper aux majorations ...
Quand Nelly s'avança pour ma dernière épreuve , je compris, rien qu'en croisant son regard, que je serais inévitablement au dessus des sept " cris " et donc qu'au mieux mon cadeau serait de dix pour cent... l'assistance savait aussi qu'elle pouvait compter sur la belle brune pour m'ôter tout espoir de remise de peine !!
Elle m'avait à peine infligé une demi douzaine de coup de cravache que j'avais laissé échapper deux nouveaux cris ... elle frappait mon dos, mes fesses, mes cuisses , mes hanches ... elle chercha même la trace des coups de badine de tout à l'heure , pour cingler le sillon d'alors , la chair égratignée !...
Elle le trouva alors qu'on était à dix cris ... et que je pensai la fin de sa malfaisante action toute proche ... mais dès lors elle s'acharna sur cette portion de mon anatomie, sous les encouragements des copines avinées et hystériques ! et sous la dernière demi-douzaine de ses coups, je criai quatre fois ...
Elle avait gagné !! j'étais au dessus de treize !!... à elle seule elle avait ruiné mon espoir .... elle fut acclamée ... les " soeurs " qui tentèrent même de la porter en triomphe ... mais elles manquaient un peu de ... "stabilité " pour la porter bien longtemps et tout le monde finit par terre dans des éclats de rire et des attouchements .... " complexes " :
Par exemple, Flavia qui, vautrée sur elle, eut l'idée de glisser un doigt dans la foune de la cravacheuse constata combien elle était lubrifiée ... elle ne s'en étonna pas mais le fit savoir à tous , hilare, l'autre lui rendit la pareille, main entière entre les cuisses ... pour un même résultat !
Elles vinrent naturellement ensuite me faire lécher le doigt tout poisseux et odorant et la main luisante ...
Les coups que je n'avais pas réussi à éviter me furent donnés, par nouveau tirage au sort, par Charlotte et Roxane qui choisirent respectivement la cravache et le fouet ...
Michelle qui avait bien vu que j'étais au bord de l'épuisement et de la syncope ... (Matthieu aussi ! ... ils s'étaient concertés en me regardant deux minutes avant... me redonnant un peu d'espoir ... car aucune trace de méchanceté ni de plaisir sadique n'altéraient alors leurs traits, contrairement à ce qui se passait avec beaucoup d'autres participants ) .... Michelle donc vint relacher la corde ...
Et je retombai à genoux pour les derniers coups ...et même sur le flanc pour les derniers coups de fouet de Roxane qui ne jugea pas pour autant utile de m'en dispenser ... elle acheva même de faire éclater la chair , sur le sillon initialement esquissé à la badine en début d'après midi ... cruel châtiment d'avant le châtiment !!
La suite ? car non décidément nous n'en avions pas terminé ! ..même si la punition elle même était achevée !! ... ce sera pour tout à l'heure ...
ou plus tard encore , car nous sommes dimanche à l'heure où j'écris, et loa nécéssité de panser mes plaies ne m'a
valu aucune protection particulière ni exonération de service !!
Ainsi, non seulement je n'échapperais pas à la présence de ce Nagy que je détestais et qui m'inquiétait de plus en plus , mais l'annonce de sa venue, juste avant le début de ma flagellation renforçait, aggravait la durée et donc la dureté de ce que je subissais et allais subir !
Nous attendîmes donc !... et les pestes juvéniles qui m'entouraient sous les arbres, n'avaient pas appris, dans leur enfance encore bien proche , à attendre tranquillement , en discutant de tout et rien ...
Oui ! je sais j'exagère en disant cela ! c'est de la mauvaise fois ? de la bêtise de ma part ? ... comment imaginer qu'avec un souffre douleur aussi réjouissant que moi au milieu d'elles, à quelques poignées de centimètres, ces jolies personnes ne trouvent rien de mieux à faire que de discuter des mérites du dernier gadget électronique apparu sur le marché ?
Vous imaginez la scène ? je la relance à grand traits puisqu'elle est dans mon article précédent :
Nous sommes au milieu d'une petite clairière, sur le terrain privé qui cerne la maison, la petite dizaine de joyeux habitués de ladite maison est en train de s'agglutiner, tout autour du malheureux, de l'infortuné futur supplicié ! ... pour un spectacle à venir des plus croustillants :
son châtiment !! ...
Ce malheureux c'est moi ! je suis à genoux ... nu .... TOTALEMENT NU ... je veux dire par "totalement " que je n'ai même pas sous le ventre mon exaspérante, blessante , humiliante ... mais dans mon état ... au fond ... rassurante cage de chasteté !!
Mes bras sont levés, tendus au dessus de mon crane, entourant ma tête, sans possibilité de modifier en rien cela ... puisque mes poignets, sévèrement serrés, liés l'un à l'autre sont fixés à une corde épaisse dont l'autre extrémité tire, au moyen d'un noeud coulant, sur l'épaisse branche d'un orgueilleux sapin qui sur des chaises apportées à la hâte ...
Vous imaginez vraiment la scène ?!!
Rien que ça, pour le commun des mortels serait assez pour vous donner envie que la terre s'ouvre sous vous et vous engloutisse au plus vite ! ... pour échapper à tous ces regards ... goguenards ... égrillards ... inquisiteurs ... moqueurs ... hautains ... méprisants... émerveillés ... curieux !...
Oui ! émerveillés parfois !! comme ceux d'enfants face à un nouveau jouet excitant ...
Elles ? eux ? Les "spectateurs" et ... trices , dont certain(e)s élégant(e)s, parfumé(e)s, sur(e)s - avec raison ! - de leurs avantages, de leur mérites, de leur destins et qui sont prêts à vibrer ... à rire ... qui rient déjà de mon ridicule ... de ma honte ... de ma trouille palpable ...
Elles et eux sont assis par terre ... qui en tailleur, sur un plaid ... une couverture ... ou bien un isolant de fortune, car le sol de terre fine est couvert d'aiguilles de pins, de feuilles, branchages, badines improvisées ! ... Si je parle de badine improvisée, ce n'est pas la conséquence de mon esprit pervers ... dérangé ... certes il l'est, je l'admets volontiers ... mais certaines, qui sont ici du côté des vainqueurs transforment très facilement un baton, un branchage, parmi ceux qui jonchent le sol, en instrument punitif des plus efficaces ...
C'est ce qu'a fait Nelly ... quand je l'ai vu ramasser une branche , presqu'à mes pieds, l'examiner, en oter une excroissance jugée superflue, puis la rejeter ... en prendre une autre , derrière moi cette fois , la tordre ... testant sa souplesse et la faisant claquer sur le tronc du sapin ... je n'avais pas à être bien malin pour savoir ce qu'elle comptait en faire !
Ce que j'ignorais c'est qu'elle allait s'en servir aussitôt !!
Elle la fit claquer deux fois sur mes flancs : un coup de chaque côté ! ... sans retenue ! pas du tout " pour rire " ... pour l'essayer ...
Alors " zob de nain " ( c'était son sobriquet préféré du moment ... même si Nagy lui avait fait remarquer, rigolard, que les nains avaient plutôt la réputation d'être " gatés " par la nature sur ce plan ! ) ... alors " mou du gland " ! on fait moins le fier d'un coup ... ahaha ! " et elle m'asséna un nouveau coup, qui se superposant au précédent sur ce côté , me fit atrocement mal ... Comme si j'avais l'habitude de faire le fier ! c'était vraiment n'importe quoi ...
Autour de nous " la chaleur " monta d'un coup, des regards se firent plus aigus ... des yeux se mirent à briller plus intensément, comme les siens, qu'elle fronça méchamment, tandis que les ailes de son jolie nez se mirent à palpiter ... La douleur consécutive au troisième coup ne me permit pas de retenir mon cri de vraie souffrance ... j'aurais portant bien voulu, car je savais qu'elle n'attendait que ça ...
- " Il est bien douillet ce porc ! " ricana Charlotte qui, du coup, avait aussitôt cessé ses attouchements très ciblés sur le sexe de la rousse anglo-saxonne.
- " Yè ! je t'louve aussi " ..... avait renchéri cette dernière avec son délicieux accent ... du coup, comme je le redoutais , un quatrième coup partit , du côté qui n'en avait pris qu'un ... elle le donna plus fort encore , narines dilatées, en se mordant la lèvre inférieure ...
- " Tu n'as pas à crier lavette ! compris ? tu n'as donc aucun amour propre ... si tu te voyais ! pauvre larve ! et baisse les yeux maintenant ! "
Son haleine qu'elle me soufflait sans complexe au ras du visage était lourde, chargée ... j'obéis à l'injonction ... mais l'entourage "montait en puissance" :
- " Vise son paquet ma chatte ! ses couilles sont moins bleues ... vous avez vu, mais le tout est encore tout gonflé ! ahaha ... si tu vises entre ses guiboles pour sûr qu'il va couiner le bougre ! ...t'es sûre Nadia qu'il a balancé du foutre ce matin ... ahaha ! "
- " Oui ! cingle cette horreur boursouflée et ridicule ! " ... appuya Flavia qui venait aussi de délaisser un instant la bouche et les bras d'Arno, sur lequel elle était vautrée, pour s'asseoir ... et conseiller ...
Si elle faisait ça , si elle écoutait ses cruelles amies je savais que j'allais m'évanouir !! ... mes génitoires sont d'une hyper sensibilité qui m'a toujours fait peur ... mais là c'était pire ! ... mon sac boursier, encore gonflé comme une grosse balle, comme si en effet je n'avais pas éjaculé ...était à mon avis " intouchable " ...
La première qui avait exhorté Nelly, juste avant l'approbation de Flavia, c'était cette grande inconnue en short de toile, dont j'ai juste signalé la présence précédemment ... si j'avais vaguement escompté, au départ, un peu de compassion de cette grande jeune Femme athlétique ... il me fallait déjà déchanter ...
C'est Nadia, confortablement installée dans son gros fauteuil , le seul dans le sous bois ... privilège évidemment lié à son état ... oui c'est Nadia qui me sortit du désespoir dans lequel les actes et propos de quelques Filles étaient en train de me plonger ... Elle était magnifique ! seins et buste dénudés sous la fourrure qu'Eric avait remis sur ses épaules avant de retourner seul vers la maison ! Ventre majestueux , plus bombé que jamais
- " Bon les filles ... je comprends que vous soyez excitées, mais je vous rappelle que nous attendons Nagy , au moins, pour commencer à le corriger, Nagy et peut être Matthieu ... selon ce que vient de me dire à l'oreille Charlotte ... N'oubliez pas que cet esclave est là avant tout pour m servir en tout ! pour rendre agréable et confortable la fin de ma grossesse ! ... au moment ou il va m'être si utile ... je ne veux pas que vous le mettiez " hors service " quand même ! "
Sa réflexion fit rire ... mais Nelly lâcha son baton ... dont la présence à mes pieds continua à me perturber : et si Nadia, à son tour retournait vers la maison ?... puisque l'attente se prolongeait ... n'y aurait il pas une de ces garces excitées pour reprendre la badine ? ...
C'est Charlotte qui s'était levée la dernière , pour aller vers la maison ... elle revint très vite :
- " Nage vient d'arriver ... mais on a eu un coup de fil de Matthieu à l'instant ... il aimerait bien qu'on l'attende, il est coincé dans un embouteillage sur l'autoroute ... "
- " Bon ! on n'est plus à quelques dizaines de minutes près... " lança Nadia en me regardant rieuse ... " pas vrai toi ? ... il va pas s'envoler hein ! alors on se calme les filles ! " ajouta t elle pour les autres ... Elle s'était levée... elle avait visiblement l'intention de retourner attendre à la maison ... et la crainte que je viens d'exprimer devint énorme ... heureusement elle eut une simple phrase pour calmer le jeu ...
... je n'en attendis pas une amélioration sensible de mon sort ... oh non ! simplement l'assurance de n'être pas vraiment battu avant l'heure de la sanction...
Nadia partie Charlotte manifesta l'envie de pisser et se leva pour aller à son tour vers la maison ... Flavia l'arrêta:
- " Pisse lui dans la tronche Charlie !... je suis sûr qu'il a soif ... la trouille ça assèche la bouche il paraît... tu vas quand même pas aller jusqu' à la baraque pour ça ! "
Du coup Charlie ne fit ni une ni deux, elle prit une pierre plate pour être un peu plus haute et se plaça au dessus de mon visage , jambes flèchies et écartées ... j'avais , pour la deuxième fois son anus juste au dessus du nez et son odeur me surprit encore une fois : odeur forte, aggressive, poisseuse ... mais pas repoussante ... elle libéra un flot d'urine aussi impressionnant que deux semaines plus tôt ... sous les sarcasmes de la petite assistance fidèle au poste ... sarcasme à mon endroit évidemment ...
Ensuite c'est Flavia qui voulut faire la même chose ... mais pour elle pas besoin de pierre plate : elle entraina son
amoureux dans l'affaire , le plaça devant moi , lui sauta au cou , croisa ses jambes autour de ses hanches , comme pour s'empaler sur son chibre et lui proposa de faire un demi pas vers moi
... et elle vida à son tour sa vessie bien pleine dans ma bouche ... dans cette posture si sexuée !!
Ensuite comme Arno commençait à la caresser, très excité qu'il était, j'imagine, par le corps magnifique de sa chérie tout contre le sien, par les bras de la Fille autour de son cou, par les baisers enflammées qu'elle lui donna dès qu'elle eut fini de m'arroser le palais, il chercha de son gland fièrement pointé au bout de sa tige infiniment dure , l'entrée du vagin convoité ... caverne déjà bien lubrifiée, j'étais bien placé pour le sentir, de différentes façons ... Flavia du coup chercha à s'appuyer sur ma face en feu ... son anus et sa raie " avalèrent" mes reliefs faciaux ... Flavia gémit quand le bel engin glissa en elle , et libéra un petit vent sonore qui les fit rire tous les deux ... et en provoqua un autre ... et ils se mirent à faire l'amour ainsi ...
Pour moi cela devint vite préoccupant : à mesure que le plaisir de la belle prospérait, elle se faisait plus lourde sur mon visage , sans doute aussi son amant se penchait il d'avantage sur son visage ... je l'entendis lui dire " je t'aime " ... elle susurra , le souffle court " OOhh ! moi aussi amour ! " ... et la petite troupe de nanas qui restait là , avec Charlotte, Nelly et les deux jeunes inconnues ... debout ! applaudit spontanément ...
On ne m'entendit même pas crier ... Le sublime cul de Flavia m'écrasait littéralement !!... elle était en train de s'abandonner sur moi au moment de l'orgasme , et dans ma position ( je rappelle que j'étais à genoux et que mes bras étaient étirés vers le haut , tendus , à l'instar de cette méchante corde qui les reliait à l'arbre ... ) mes poignets ... mais aussi mes articulations ... mes épaules me faisaient atrocement mal ... une sorte d'écartèlement insensé des membres supérieurs - on aurait dit une oeuvre, une illustration BDSM de Namio, je suis sûr que quelqu'un, parmi les témoins, y aura pensé !! mais là c'était vrai ! -... je criai encore ... la douleur devenait atroce ... Flavia le comprit elle ? ou son " amour " ?
Toujours est il qu'après mon dernier cri bestial , il roulèrent en douceur , sur le côté dans les aiguilles de pin , les branchages et c'est là qu'ils jouirent en parfaite simultanéité, insensibles au soudain inconfort !!! Ils crièrent l'un et l'autre leur bonheur, à l'unisson ... les applaudissement reprirent ... plus émus ...
Moi ? J'étais soulagé mais j'avais très mal ... j'avais l'impression que mes poignets étaient cisaillés par la corde tant la pression avait encore resserré le lien ... J'espérai néanmoins connaître un léger répit ... c'est le moment que choisis Franck qui était revenu juste avant le bel orgasme de ses " amis ", pour s'approcher de moi et sortir sà grosse verge ...
J'avais vu avant qu'il ne la sorte, qu'il bandait ! ... la bosse longiligne , en travers de sa braguette ne trompait pas ... Libérée par l'ouverture, elle jaillit comme sur ressort ... cela fit fuser quelques rires ... Aussitôt il enfourna sa fière virilité dans ma bouche ... ne prenant même pas la peine de me dire " suce ! ", ça allait de soi ... Je sentis qu'il allait éjaculer très vite ... Je pris une grosse rasade dans la bouche, mais il rejeta aussitôt
son bassin, pour le plaisir, de me couvrir le visage de sperme ... Miraculeusement, alors que je sentis une giclée s'écraser dans mes cheveux ( qui commençaient à repousser ) , il n'en arriva pas dans mes yeux ... il avait pourtant visé avec cette intention ... mais j'en avais des paquets filamenteux qui dégoulinaient au bout de mon menton ! ... des glaires qui coulaient sur mes joues ... s'il avait raté mes yeux ... mes
narines souffrirent beaucoup plus de sa générosité ... La rousse saxonne ricana parce que j'avais " la morve au nez "... elle semblait connaître ce mot depuis peu et cela l'amusait de faire le rapprochement ...
C'est le moment que choisit Nagy pour arriver !!
Aussitôt, la grappe de Filles qui entourait les deux amants, puis qui avait repris quelque distance pour mater ma fellation
... se rua en direction du jeune homme ... qui nous annonça que Matthieu venait d'appeler et qu'il serait là dans les vingts minutes ! ... j'étais presqu'impatient de subir
l'inéluctable ... d'en finir ! j'ignorais combien j'étais loin d'être au bout de mes épreuves ... de mes souffrances .
Je vais donc essayer de raconter ce que j'ai vécu hier après midi, conséquence de l'éjaculation intempestive et malheureuse que je n'avais pu hélas contenir quelques heures plus tôt ...
Ma faute, c'était il y a moins de dix huit heures !!
La dérouillée ... précédée de terribles humiliations, c'était il y a une douzaine d'heures !!
Au moment où j'écris, mes fesses et mon dos sont dans un tel état que
j'ai dû m'allonger à plat ventre sur mon lit, avec l'ordi devant moi ...
et que c'est sans doute ainsi que je vais mener à bien cet objectif : raconter, avec le plus de détails possible ce qui s'est passé entre le moment où des talons de Maîtresses ont résonné pour venir me chercher - c'était en tout début d'après midi - dans ma chambre ( voir article précédent ) et celui, tout à l'heure, vers une heure du matin, de ma "libération"...
C'est NADIA qui a ouvert ma porte :
- " Je suppose que tu entends l'atmosphère qui règne en bas ? Tout ce brouhaha c'est pour toi ! ... Imbécile ! tu es bien avancé maintenant ! ils tiennent à assister à ton châtiment !! ... Allez ! on t'embarque ! pas la peine de chercher à gagner du temps ! " .....
Elle a dit tout ça d'un ton dur, d'une voix presqu'agacée, mais avec une pointe d'excitation ... quelque chose d' assez inhabituel chez cette belle jeune Femme paisible, posée, lascive que sa grossesse finissante rendait encore plus nonchalante.
De plus dans l'embrasure de la porte j'eus comme un choc en la découvrant ! ... elle était NUE , TOTALEMENT en escarpins noirs à talons ... des talons de près de huit centimètres ( j'ai toujours eu l'oeil pour ces choses là : j'adore les talons ... même si je conviens qu'une telle remarque , en un tel moment peut surprendre ! elle était de toutes les façons ... totalement surprenante) ...
ROXANE l'accompagnait , elle aussi en talons , mais avec une robe rouge, mi-longue qui moulait à merveille ses rondeurs insolentes...
Je dus les suivre ..et sans un mot - Roxy me gifla pour avoir cherché à discuter bêtement ... "discuter quoi" !
Je me sentais livide, j'en eus confirmation en passant devant la petite glace murale tout près de la sortie ... J'ai bien tenté de la supplier de me remettre ma CB ... mais cette fois la gifle me
vint d'elle !
En bas, ce fut bien pire ! je vécus une vraie descente aux enfers ... Quelques Filles et garçons qui m'avaient si cruellement tourmenté ,
deux semaines plus tôt ... et parfois la veille encore n'avait jamais vu distinctement mon pauvre sexe, et bien sûr mon bas ventre que portèrent maints regards quand je me troivai face à eux ...
Il y avait FLAVIA et son amoureux d'ARNO ... il y avait NELLY ( et pas de Nagy ! ni Karim son acolyte ! toutes les nouvelles n'étaient quand même pas insupportables ! )... mais pourtant ... CHARLOTTE sa complice des derniers jours ... !
il y avait MICHELLE ( dont je m'étonnais qu'elle ne soit pas venue me chercher elle même ... en tant qu' " exécutrice " habituelle des hautes et basses oeuvres ! ) ... il y avait FRANKY...
il y avait DEUX FEMMES INCONNUES , l'une grande et " baraquée "... bustée, fessue en short de toile ... l'autre un peu plus petite, très rousse ( quand elle commença à parler elle me fit penser à l'anglo-saxonne " croisée " lors de mon enlèvement ... elle avait un fort accent et des intonations qui me la rapellaient vraiment ...
Les conversations cessèrent rapidement à mon arrivée et j'eus le sentiment, que tous les regards qui convergeaient vers moi se concentraient sur mon bas ventre !... il y eut des rires , des moqueries diffuses ...
Tout ce beau monde avait un verre à la main et ne semblait pas vraiment s'ennuyer , pourtant Michelle prit la parole pour suggérer " d'en finir au plus vite avec ( moi ) " Nadia ajouta qu' "on" avait peut être mieux à faire d'un beau début de weekend comme celui là sans donner plus d'importance à cette histoire qu'elle n' en avait et qu'il valait mieux aller dehors au plus vite ...
Michelle précisa que mon " supplice " aurait pour cadre la petite clairière du sous bois appartenant à la maison " là vous voyez ?" ajouta-t-elle en montrant, par la grande baie du salon, le petit groupe d'arbres disposés presqu'en cercle à moins de cinquante mètres, et quand le gynécologue arriva en s'excusant ( il venait de procéder à un accouchement ) tout le monde partit vers le bouquet d'arbres désigné .....
- " Prenez chaises, verres, cigarettes ... enfin tout ce qui peut favoriser votre bien-être sur place, là bas il y a des
boissons ... bière, pastis, vins, Bourbon , vodka ...etc... ... vous ne mourrez pas de soif ! ... précisa une Roxane souriante que Franky zieutait avec insistance
Quelqu'un lança l'idée que je devrais porter la future maman jusqu'à l'endroit convenu ...que ce serait un bon début de punition ... un bon échauffement ... je me voyais mal la porter dans les bras, comme le marié le fait le jour de la noce pour franchir la porte nuptiale ... mais Eric lui même trouva l'idée amusante à condition que le ventre de Nadia soit l'objet de tous les soins ... Il me fit prendre place au bas du plus petit des escaliers ...en me penchant vers l'arrière et le gros ventre à protéger vint se poser un peu plus haut sur les marches ...
Assise , elle posa rapidement ses mollets, ses jambes, sur mes épaules et avec de l'aide sur ses deux flancs , pendant qu'on m'incitait à redresser le fessier, le buste , le dos ... elle arriva sur mes épaules au moment où je parvins à m'asseoir ... un effort un peu plus marqué encore me permit, avec un brin d'aide , de me relever...
Je sentais maintenant l'intérieur de ses cuisses et la base de ses fesses qui poissaient sur mes épaules, mes omoplates ... Ses odeurs intimes vigoureuses, toutes proches, de par sa position, vinrent chatouiller mon nez .... Eric prit quelques photos de notre équipage pendant le " trajet " vers l'arbre où j'imaginais que j'allais être attaché...
... il s'opposa clairement à ce que d'autres photos soient prises ... il jeta rapidement une veste de fourrure sur le dos de sa protégée ... il faisait dès ce début d'après midi de novembre près de vingt degrés , mais Nadia devait être nue depuis un long moment et pas question qu'elle s'enrhume , si près de la délivrance ! ...
Eric l'aida à descendre alors qu'elle lui tendait les bras ... cela faillit me déséquilibrer ... cela me déséquilibra ... et glissant sur de la mousse je me retrouvai sur un genou ... puis A GENOUX , quand Arno qui avait oté son ceinturon de cuir , m'en donna un coup violent et qui claqua en travers du dos ...
- " Empoté ! ben reste sur tes genoux maintenant ! ...
Flavia était là , déjà assise lors de notre arrivée vaguement spectaculaire, Nelly était assise ... et Franky aussi ! et Charlie !! les plus jeunes nous avait précédé ...
- " oui ! reste à genoux ! " .... Roxane attrapa la corde provenant d'une branche de sapin fixée sur une grosse branche parallèle au sol, à quelque trois mètres du plancher des vaches et m'emprisonna les poignets ... Michelle régla la longueur de corde afin que je sois à genoux, mais bras tendus au dessus de ma tête , dans une position aussi honteuse qu'inconfortable, pénible à tenir !
Nadia qui était un moment restée " collée " à Eric , debout tout contre lui dans une sensuelle étreinte , à échanger des baisers ... finit par s'asseoir confortablement entre les bras du massif fauteuil de cuir apporté pour elle ... Son médecin préféré lui remit délicatement sur les épaules la fourrure qui avait glissé dans l'action ...
La grande fille en short de toile qui était encore dans la maison, nous cria que Nagy venait de téléphoner , qu'il aimerait bien qu'on l'attende, qu'il serait là dans la demi-heure ( et merde !! ... reflexion ... toute personnelle )
- " Tiens ! si tu nous racontais comment ça s'est passé ... on a au moins un peu de temps pour ça ... " ...et je fus obligé de narrer la scène à l'issue malheureuse ... et ça fit rire copieusement... tout en me couvrant un peu plus de honte ...
Ma voix chevrotait... des sanglots montaient dans ma gorge , ponctués par des rires... des commentaires dépourvus de toute charité ... qui m'apostrophaient sans aménité ...
- " Eh mauviette ! tu vas chouigner comme ça longtemps ? "
- " Et ben minus ... tu fais un effort pour raconter en restant audible et clair ou je me fache ?
Le temps s'étirait ... Nagy se faisait attendre et je racontais en reniflant comme un gamin morveux , faute de pouvoi
me moucher ... temps interminable ! Temps lourd de menaces bien audacieuses et décomplexées !
Après la terrible séance racontée hier, et qui remonte quand même à presque deux semaines maintenant, je me proposais de m'attarder sur ce qui s'est passé la semaine dernière en particulier dans les six premiers jours de novembre ... et sur l'importance de ces faits .
De ces comportements aussi !! Façons d'être de Maîtres et Maîtresses, parfois improvisés et novices qui apparaissent souvent en une sorte de génération spontanée !... qui ne cessent de me surprendre, de m'inquiéter parfois, de me déboussoler presque toujours ...
Mais il me faudra y revenir, car ce matin ...
Oui ! cet article est écrit " à chaud " !! ...
Ce matin j'ai commis L'IRREPARABLE :
J'AI EJACULE ENTRE LES CUISSES ET LES JAMBES DE NADIA, au
cours d'une de ces merveilleuses minutes que j'ai évoqué dans l'article du mois d' octobre " Nadia prioritaire ... "
Je le sentais venir !... Hier soir il y avait tout un petit groupe dans le salon, devant la télé... j'avais ma CB, mais les filles présentes n'arrêtaient pas de m'aguicher, me " taquiner" comme dit Flavia , me frôler ... me " teaser "
comme disent les anglo-saxons ...
Nelly était complètement nue , son magnifique corps blanc , juvénile et
si féminin à la fois brillait dans l'écrin de ses très longs cheveux noirs
( détachés ils couvrent jusqu'au milieu de ses fesses ! )....
Flavia (dont il sera urgent que je parle, après avoir dit maintenant l'inéluctable .... l'inéludable ! ) n'avait sur elle qu'un micro-short qui ne cachait rien des émouvantes fossettes de son sain et rose joufflu ... un gilet ouvert sur ses gros seins mobiles ... et des chaussures à talons ...
Elle " flirtait " avec Arno ( flirtait ! le mot est faible !) qui a maintenant, comme on disait avant " table ouverte " ici ( mais pas seulement la table, on l'aura compris ) Si des coloc. étaient devant le grand écran plat pour suivre " 24 heures chrono " dernière saison ... ce n'était pas leur cas ... autant dire que , micro-short et gilet ne firent pas la soirée !
Michelle, qui elle suivait le feuilleton de "Canal" avec assiduité et acuité était habillée pour sortir : une magnifique robe noire fendue latéralement , des talons hauts, un décolleté panoramique !...
Michelle est de plus en plus belle et élégante, cela lui va bien... et elle le sait ... elle sort avec Matthieu ( pour mes lecteurs réguliers pas besoin de présenter Matthieu je pense ) qui ne passe pas souvent ici ... mais qui viendra la chercher à la fin du feuilleton comme les semaines précédentes ... je m'égare un peu pensez vous ... mais pas vraiment ...
Michelle prend aussi plaisir à m'exciter " pour rien " de plus en plus et à provoquer mes "blue-balls" ... ( à m'exciter au point de faire bleuir mes couilles ... pour ceux qui ne sont pas familier de cette " torture " raffinée !)
elle a voulu que je la lèche, dans les brèves minutes entre les deux épisodes de la série... sans idée de jouissance ... comme ça ... avec aussi l'objectif de m'aguicher, pour les " balles bleues "
Bref , les présents... peu nombreux certes , avaient néanmoins tous le même objectifs : le bleuissement de mes couilles, signe visible de mon tourment permanent ....
La moins intéressée n'était pas Charlie dont vous avez fait la connaissance hier si vous m'avez lu, mais qui est assidue depuis deux semaines, lorsque je suis là . Elle considère mes couilles bleues comme un challenge à peaufiner, dans lequel elle aurait sa part émoustillante et ne vient ici, depuis quinze jours, que pour ça ! ...Non ! J'exagère un peu ... enfin ... je ne sais pas.
Elle est aussi très proche de Nelly et Flavia ... elles sont très " bi " toutes les trois et se cajolent beaucoup ... et bien sûr AUSSI devant moi ... ça n'étonnera personne compte tenu de leur sadique objectif !
Bref pendant toute la soirée d'hier, j'ai été sur la corde raide ... vers vingt trois heures quand Matthieu est venu chercher Micky ... il a bien rigolé en se penchant sur le contenu de ma cage de chasteté ...
C'est Charlie ( qu'il traite avec beaucoup d'affection, alors qu'elle se comporte un peu comme si elle était sa fille, ce qui n'est pas le cas ) c'est Charlie qui lui a fait remarquer mon "état" et il m'a ordonné de monter sur la table basse du salon pour mieux voir accompagnant son ordre d'une baffe parce que je ne m'exécutais pas assez vite ...
LA J'AI EU TRES PEUR ! ... PEUR DE CE QUI FINALEMENT C'EST PRODUIT CE MATIN !... peur d'une main curieuse ou errante sur mon barbare appareillage , peur d'une " pichenette " inconsidérée ( Nelly avait fait ça le jour où j'étais exhibé à 4 pattes avec ma queue de cochon plantée dans l'anus , vous vous souvenez ) je suis sûr que j'étais sur le point de jouir
( quel mot déplorable pour qualifier ce qui se passe alors ! ) ... je pense même que sans la claque de Matthieu ... rien n'aurait pu " me sauver " hier soir ! même sans attouchement ou comportement provocant supplémentaire.
Mes boules violacées remplissaient la cage au détriment du reste de mon appareil génital .... Charlie, faussement innocente a dit :
- " ça doit lui faire terriblement mal quand même ... vous croyez pas ? "
Elle a regardé un peu tout le monde, comme si c'était une vraie question ... mais on voyait qu'elle connaissait la réponse et que c'est ça qui l'excitait ...
Ce contraste et l'incongruité de la pseudo-question ont fait rire " tout le
monde " ...
Nelly l'a embrassé en riant , Flavia aussi ... La première a ajouté après avoir baisé de nouveau furtivement ses belles lèvres charnues en voyant sa moue boudeuse :
- " C'est pour ça qu'on t'aime tu sais! change pas ma chatte ! "
Ce qui a remis à aujourd'hui mon " explosion " c'est aussi sans doute que Matthieu a proposé à toute la petite troupe une sortie attractive ... elle l'était en tous cas pour les filles et Arno qui ont battu des mains à la proposition du galant de Michelle .
Dès lors j'ai eu mon répis ... un répit inespéré ! ...
MAIS CE MATIN !!... APRES TRENTE TROIS JOURS JE N'AI PU "TENIR"
D'AVANTAGE ... je vais cependant devoir remettre l'exposé des faits à plus tard ... car il va être treize heures ... et l'heure de mon châtiment est tout proche ... VOLEE ASSUREE ... on me l'avait bien dit !
J'ai très peur !... ( le fait d'écrire cet article m'a distrait du "trop concret" un bon moment mais je dois maintenant faire face !
Je pourrai donc vous raconter ... mais quand ? et mon orgasme "coupable" et sa sanction ... vraisemblablement sous de nombreux regards excitées ... car depuis une demi-heure j'entends beaucoup de voix .. et le volume sonore ne cesse de croître !!
J'entends maintenant des talons d'escarpins qui claquent sinistrement dans le couloir menant à ma piaule !!...
Curieux titre ?.... curieuses interrogations, pensera-t-on peut être ...
Encore que, si on me lit régulièrement, on s'est bien rendu compte que l'indifférence de mon ex épouse pour son esclave, l'indifférence de mes ausses Maître(sse)s de cette époque encore si proche est bien à prendre en compte pour décortiquer ce qui m'arrive ...
Oui ! au moins cette indifférence là ...
Mais depuis ? Mon sort incertain est il la conséquence ....
- D'un manque d'intérêt de certains, ici, dans mon nouveau cadre venaissin ( on pensera peut être à Nadia pour représenter cette tendance ... mais moi je vois aussi Eva ou encore Roxane ... )
- Ou au contraire, ce flottement étrange, ce malaise diffus, ce sentiment d'improvisation ... est il le fruit de rivalités sélectives plus ou moins sourdes pour m'accaparer ... puis peut être ... me posséder vraiment ?
Je commençais à me poser quelques unes de ces questions dès la fin du mois dernier ... ce qui s'est passé pendant mon silence de quelques jours n'a fait que cultiver ces interrogations ... au début ...
Maintenant certaines réponses se font jour, que je vous soumettrai ...
mais elles sont induites par ce que je viens de vivre ...
C'est de ça que je dois parler en priorité et je vais le faire dès mon prochain article ...
Mon " problème " viendrait il donc de cette pléthore de gens étrangers à notre monde et qui gravitent autour de Nelly... de Roxanne ? ... du nombre de ces personnes , du temps qu'elles envahissent, accaparent ? .... de la peur que peuvent provoquer ces " vanilla " déboulant dans notre monde sans en connaître les codes et les règles ...
Un après midi, il en est arrivé une dizaine avec Nelly, Nagy et la Black si sexy ... heureusement Nadia m'avait posé ma CB dès le matin ... heureusement Nadia était sortie pour le reste de la journée ...
Enfin ! ... pour ce deuxième " heureusement " pas sûr qu'il ait été tellement en ma faveur : elle aurait râlé ... elle aime bien que la maison soit calme quand elle fait sa sieste ...
Et puis j'aurais préféré caresser doucement son énorme ventre dans son lit , coincé entre ses cuisses , comme j'en ai eu souvent l'occasion déjà pendant ces siestes ....
Au lieu de ça, après les avoir servi longuement ( Thés, cafés, chocolats, alcools et même une petite collation pour deux des garçons, dont Nagy qui se croit vraiment chez lui et me donne des ordres avec une violence proportionnelle à son mépris .... une violence qu'il cultive hélas en fonction de l'aura qu'elle paraît lui confèrer auprès de plusieurs membres de la gent féminine ) ...j'ai subi ce qui, pour nombre d'entre eux, sans doute étudiants , n'était qu'une forme de bizutage, un (presque) innocent défoulement !
Il faut dire que c'était l'anniversaire de l'une de ses admiratrices justement, une des (nombreuses) amies bisexuelles de Nelly : Flavia, qui fêtait ses dix neuf printemps ... ils étaient venus avec gâteau, bougies et quelques cadeaux ...
J'avais d'emblée pris des baffes ... pour tout et pour rien :
Parce que je ne remplissais pas bien un verre ... parce que j'avais parait il "coupé", "fendu" un groupe en pleine conversation, sans demander pardon ... parce que je ne baissais pas assez vite et humblement les yeux devant une " jeune fille " qui me parlait, me donnait un ordre ( Nagy, par exemple m'avait giflé pour m' " avoir surpris deux ou trois fois en train de regarder avec insistance l'entre-jambes de Charlotte " ... La jeune fille en question, qui aura pour sa part dix neuf ans au début du mois prochain, était assise au plus profond du canapé du salon et cela avait eu pour effet de remonter sous ses superbes fesses , sa jupe déjà pas très longue ... comme elle écartait assez systématiquement les jambes , elle attirait en effet beaucoup de regards ! ... et des deux sexes ! ...mais c'est moi qui en ait subi les conséquences ! ) ...
Un grand blond aux cheveux longs ondulés que je n'avais encore jamais vu ( certains ne venaient pas pour la première fois, lui oui ! ) me gifla sans retenue pour " un regard de porc " sur le décolleté d'ailleurs aussi beau qu'audacieux d'une autre fille ... Nelly arriva, dit au grand blond, prénommé Arno qu'il avait bien fait, que j'étais un sale, un incorrigible mateur au regard poisseux ... Puis elle me regarda durement, me gifla à son tour, sous les sourires et commentaires du petit groupe qui était en train de se former autour de nous et m'ordonna de me mettre " à genoux devant Samantha et de demander pardon " ...
je le fis ! que pouvais je faire d'autre ? mais Samantha était aussi joueuse que son décolleté était audacieux et elle refusa mon pardon !..
Karim, que Nagy présentait comme son meilleur ami intervint :
- " Alors si Sam ne pardonne pas à ce sale bâtard il faut qu'elle le punisse ... non ? " Karim avait entouré de son bras les belles hanches rondes de
l' "offensée" plutôt souriante qui regarda le jeune kabyle avec intérêt ... Arno posa sa main sur l'épaule de Nagy qui s'approcha de son ami ... trois des quatres " mecs " de la petite fête improvisée étaient là et l'on semblait d'un coup suspendu, très à l'écoute ..
Nelly croisa les petits yeux cruels de Nagy et lui sourit, puis lui glissa quelque chose à l'oreille ... Il prit la parole aussitôt après :
- " Nelly pense comme nous, que Sam à raison de vouloir punir cette fiotte ... le vieux va donc aller chercher de quoi rougir facilement son cul, sans se faire mal aux mains ... il y a tout ce qu'il faut pour ça ici, les amis , il paraît que ça sert souvent ! " ( sourires ravis et entendus, murmures amusés ...) mais avant je pense que nous les mecs, on doit pas laisser salir nos chéries comme ça , par un croulant vicel... "
....enthousiaste Karim avait coupé la parole à son copain, son "frère"
... en suggérant de m'infliger un gang bang .... il me traita au passage de " bouse de cul " ravivant les rires de la grappe humaine qui nous entourait maintenant ...
Franky teenager lui aussi, qui entre deux filles, passait son visage hautain et me fusillait d'un regard terrible , ajouta que c'était exactement ce dont j'avais besoin et que ce serait bien AUSSI ... de me couper la bite ... si je n'avais pas été protégé par cette armure ( il parlait de ma CB )... sa phrase augmenta encore l'humeur joyeuse et excitée de la petite troupe menaçante ...
- " AHAH ! on voit que t'as jamais vu ce qui sert de zob à ce porc Franky, tu saurais qu'y'a pas grand chose à couper ! " ...
les murmures hystériformes allèrent crescendo après cette " précision " de Nagy ... Nelly se proposa de les attiser encore un peu plus !...
- " Son zob, comme dit Nage est une petite chose ridicule et inutile , ça se résume à un gland, assez gros ... enfin tout est relatif ... ahaha ! si tu coupes ça, t'es vite à la racine de ses couilles tu sais ! ahaha ! ... bon ! on demande à Flavia, dont c'est l'anniversaire, et à Charlotte à laquelle il a aussi manqué de respect de nous proposer quelque chose ? "
Charlotte ne se fit pas prier :
- " Moi je lui pisserais volontiers en pleine gueule ! " ( rires et excitation s'en trouvèrent encore renforcés ! ) ...
- " Moi je voudrais que les garçons se mettent autour de lui debout et se fassent sucer un par un le zob.. et qu'à la fin ils balancent leur jus de couilles dans sa gueule de raclure ! .... qu'il en aie plein la tronche ! vous pouvez pas me refuser ça ... c'est mon anniversaire non ! "
- " Hé les mecs ! j'imagine qu' on peut décemment pas refuser ce petit plaisir à Flavia ! ... moi j'vais peut être avoir du mal à bander, sous tous ces yeux ... mais bon .... "
- " ALLEZ ! ALLEZ ! " des exhortations excitées fusaient de partout !
- " Sortez vos queues les mecs ... assez de paroles maintenant ! ... qu'on en finisse ! " c'est Roxane qui de sa voix grave et chaude de black mit tout le monde au pied du mur ... le silence se fit étrangement vite compte tenu de l'excitation du moment de ce groupe chauffé à blanc ... à la fin on entendit même distintement le zip de la braguette de Karim, le dernier à exhiber sous mes yeux ... sous TOUS les yeux ! ... son braquemard .
Ils étaient tous " enviables " et gonflés pour leur "apparation", preuve que ce qu'ils étaient en train de m'infliger sans pitié les excitait grandement, avant même la conclusion ... Nagy au lieu de sortir son engin de sa braguette avait détaché son ceinturon et son jean était tombé à ses pieds dévoilant ses grosses cuisses blanches et poilues ... il était visiblement fier de son chibre épais , de sa " tenue " ... seul celui de son copain Karim pourtant le plus jeune des quatre - certains murmurait qu'il n'aurait dix huit ans qu'au bout de l'hiver - était plus impressionnant , c'est lui qui s'était présenté le premier à ma bouche et qu'au comble de l'humiliation ( oui ! je sais ! c'est une expression ... le comble était à venir ) j'avais dû avaler et sucer ... il m'imprima un rythme en appuyant sur ma nuque à deux mains , puis relachant la pression me tenant par les oreilles ce qui lui permit de tout contrôler et de ne pas éjaculer ... le temps me parut très long, car ce salaud cherchait à s'enfoncer jusqu'au plus profond de ma gorge et me provoquait des hauts le coeur ... et pourtant la petite aiguille de la pendulette toute proche n'avança que d'un peu plus de deux minutes ... les deux suivants cherchèrent surtout à ne pas éjaculer ...
ils bandaient comme des malades et leur sadique excitation risquait de leur jouer des tours, aussi cherchaient ils à contrôler la vitesse de mes succions ... à insister pour que je ne presse pas trop sur leur hampe ... c'est aussi ce qui m'épargna ce qui m'avait fait si peur avec Karim ... le gland jusqu'au fond du gosier... Pourtant Franky, qui m'avait giflé, après m'avoir dit de "ne pas trop serrer ", avec un violent " tu comprends pas face de cul " ne parvint pas à se contrôler et gicla au bout de deux minutes ...
Quand il sentit l'inéluctable arriver il grogna , hurla "je lâche la purée ! " et Roxane le prit fermement à deux mains, entre ventre et reins, afin qu'il sorte plus vite de ma bouche en lachant son sperme ...
il m'atteignit donc en pleine face avec une violence inouie ! j'en pris dans les yeux , que je fermai et voulus essuyer, une main féminine aux ongles acérés m'en empêcha, me bloquant les mains dans le dos ...
L'éjaculation du grand roux avait provoqué des applaudissements, des cris joyeux ... et renouvelé les rires ... et il finit sans doute par n'être pas si malheureux d'avoir joui avant le bouquet final ! ... j'étais toujours à genoux, mais Nelly venait de m'attacher les poignets dans le dos en me crachant au visage et en m'engueulant pour avoir voulu utiliser mes mains pour m'essuyer les yeux ... quand j'ai voulu les rouvrir, l'oeil qui avait reçu une puissante giclée me brûla terriblement ... Flavia me donna un cinglant coup de ceinturon pour appuyer l'engueulade de son amie ...
Quand ce fut au tour de Nagy, qui n'avait pas bougé, caleçon aux chevilles, c'est Charlotte qui me poussa vers lui et pressa sur ma nuque ... le gland luisant de Nagy, complètement décalotté depuis le début, avait une odeur très désagréable... la "saveur", en bouche le fut tout autant....
Lui me saisit carrément par les oreilles en enfonça ses ongles... il voulait diriger ma fellation mais aussi me faire mal ... comme l'ami Karim il cherchait à presser sur mes amygdales .... pour fignoler mon supplice sans doute !
Comme si ses commentaires ne suffisaient pas ! ... et ceux des autres ! c'était comme un concours ... une joyeuse émulation :
- " Vas y la fiotte régale toi ! ... hé ça se voit que t'aime ça la queue merdasse !... alors lavette ! qu'est que t'en dit ? "...
Ils ne faisaient que renforcer , amplifier ce que j'entendais , depuis maintenant plus de dix minutes ...venant de toutes ces bouches, jolies, méprisantes ou hurlantes... toujours blessantes !
Flavia rappela que c'était son anniversaire et que pour remercier ces messieurs de leur présence elle les autorisait à se vider les couilles sur mon groin ... elle se délecta, tout sourire, des gloussements qu'elle provoqua et les trois jeunes hommes qui n'avaient pas déchargé vinrent s'astiquer consciencieusement au dessus de mon visage déjà souillé par le foutre du nommé Franky...
Flavia, qui s'amusait vraiment beaucoup et était ravi de ce que ses copains lui proposaient pour un anniversaire " mémorable " offrit un "vrai et long baiser" à celui qui m'éclabousserait le premier la tronche ... cela accéléra quelque peu le processus ....
... c'est Arno qui avait les couilles encore plus sous pression que Franky , si j'en juge par la violence de ses giclées , qui obtint donc le droit d'embrasser la belle aux dix neuf printemps ... mais c'est Nagy qui en avait " le plus dans les couilles " selon la délicate formule de Roxane...
Karim qui sur ce plan n'était pas loin de son grand ami, lui, chercha avant tout à viser mes yeux , maintenant que mes mains liées dans mon dos ne me permettaient plus ni de me protéger ni de m'essuyer ... et il y parvint largement , me faisait hurler , tant cette zone de mon visage me piqua alors ... des cris évidemment moqueurs m'accompagnèrent, bientôt couverts par les rires ...
Quand je reçus la dernière giclée , sur le menton et le cou ( de qui ? mes yeux douloureux, brûlants et crispés ne voyaient plus rien.... impossible à dire ! ) j'en avais partout... dans les cheveux... sur le front, les tempes ... dans les oreilles ... sur mes joues !!
Au moment ou Charlotte se présenta pour me pisser dessus, on venait de m'allonger par terre , sur une toile cirée - qu'ils sortaient dont ne sait où dans ce but - c'est Flavia qui intervint :
- " Oh non Charlie ! s'te plait ! ça va le démaquiller le pauvre ... il est trop mignon comme ça !!... ahahah ! " .... Nelly opina du chef et donna une bien meilleure idée
- " Pisse lui dans la bouche plutôt chérie... je suis sûr qu'il a soif , à force de nous voir picoler ! ahah!"
... ce que fit aussitôt la Fille , comme si c'était la chose la plus naturelle du monde, en s'accroupissant au dessus de ma bouche ... je ne voyais rien, mais j'avais l'odeur volatile et puissante de son anus juste au dessus du nez, une odeur prégnante découverte lors de mon court voyage, suite à la virée familiale de Nadia .... des senteurs corsées ... aussi éprouvantes que grisantes ... sa pisse était forte, abondante, presque chaude ...
Nelly, responsable de cette nouvelle épreuve me menaça séchement de me cravacher si j'en laissais échapper ... et j'eus du mal à avaler au rythme de la miction de la belle ...
Ensuite la petite troupe qui avait vraiment beaucoup ri - Roxane affirma qu'elle "en avait mal aux joues" - se retourna vers le gateau
et Nagy m'obligea, quelque coups de cravache parfaitement inutiles à l'appui, à m'agenouiller face à la table ... j'avais de plus en plus mal aux yeux et ne pouvais les ouvrir que peu à peu ... très difficilement ...
le sperme commençait à sécher sur mon visage ... l'odeur en était puissante, légérement modifiée par celle d'urine et de cul de la jeune fille fêtée ...
Au début je les devinais plus que je ne les voyais ... s'amusant, faisant du charme, mangeant, buvant...puis mes yeux brûlants retrouvèrent lentement leur aptitude à voir ... Flavia n'en finissait pas d'honorer son engagement : elle embrassait gouluement le bel Arno qui ne s'en plaignait pas le moins du monde et même participait de plus en plus... Franky, qui ne semblait pas indifférent au charme - redoutable ! - de la Fille le remarqua avec une pointe d'amertume ... cela amusa ...
Flavia radieuse souligna qu'Arno et elle ne se connaissaient pas encore la veille et qu'elle était ravie que son anniversaire les rapproche ... elle regarda l'heureux jeune homme avec amour et lui en profita pour remanger sa bouche sous des sourires attendris ...
Pas loin d'une heure avait passé lorsque cette dernière décida que l'heure était venue de m'infliger la correction au paddle qu'elle " avait gagnée "...
Roxane voulait aller pisser avant , mais pour "gagner du temps" Nelly lui proposa d'utiliser ma bouche comme urinoir ... ce qu'elle fit ...
Ensuite je dus compter à haute voix les coups que me distribua généreusement la fêtée du jour, j'étais à plat ventre sur ses genoux, posture parfaitement humiliante , mais j'avais connu tellement pire depuis leur arrivée ... le bel Arno me pressait sur la nuque ... les " convives " m'accompagnèrent avec enthousiasme, couvrant ma voix , par leur décompte hilare ...
Après , les départs se succédèrent assez rapidement ... certains ne me jetèrent pas un regard, comme la fêtée du jour et son amoureux....
Il est vrai qu'ils ne voyaient plus grand monde et n'avaient sans doute pas dans l'idée de se quitter rapidement ...
D'autres comme Roxane et Karim vinrent me cracher au visage ... la Black ajoutant que ça m'aiderait à me débarasser du foutre en frottant un peu quand j'aurai retrouvé l'usage de mes mains.
Nagy s'approcha tendit ses fesses vers mon visage et lacha un long pet tonitruant et fétide qui fit rire ceux qui étaient encore là ...
Franky, du coup l'imita ! ...
Charlotte, rieuse partit bras dessus bras dessous entre les deux jeunes garçons ! ... sans un mot, sans un dernier regard pour moi elle non plus ...
Nelly, qui habite là , je le rappelle, disparut la dernière mais pour sa chambre ... et sans avoir accepté de me délier les poignets !!!
Elle avait pourtant exigé que je l'en supplie ...
elle avait trouvé que je le faisais mal ...
elle m' avait ensuite imposé de la lécher ... son sexe était trempée de cyprine, poisseux et odorant ... preuve du bon - et long - moment qu'elle venait de passer.... elle avait joui rapidement ... puis son téléphone ayant sonné ... elle me dit de venir lui redemander de me détacher les mains dans une demi-heure ... qu'elle allait réfléchir ... et elle partit, visiblement ravie de ce coup de fil ! ... pour elle aussi j'avais cessé d'exister !!
Je suis donc resté inactif une demi-heure de plus ! certes ce n'était plus de la torture ... mais en pensant à tout ce travail qu'il me restait à faire avant le début de soirée, agravé par les conséquences de la petite fiesta ... j'en étais malade !! ...
Malade encore, quand au bout d'une demi-heure, sans perdre une minute de plus , j'allai gratter du pied à la porte de sa chambre pour la supplier de nouveau de libérer mes mains liées dans mon dos ...
- " Ah ! je t'avais oublié toi ... approche , je vais te libérer les mains car j'ai besoin que tu me masses après ma douche " .... elle était nue ! radieuse !
Elle s'allongea sur le ventre après m'avoir détaché et je dus la masser longuement recto- verso.... sur tout son corps si sensuel !
Partagé entre la crainte de ne pas pouvoir faire tout ce qu'on attendait de moi ... suite à ce nouveau contre-temps ... et le
plaisir d'être longuement dans l'intimité tactile d'une aussi belle fille ...
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