Vous trouverez ici :
- I - Une partie de ma vie récente - sur les cinq dernières années - de mari asservi par sa Femme d'alors, soumis au déni d'orgasme, à la chasteté imposée dans le cadre d' UN COUPLE GYNARCHISTE REEL.
-II - Puis de nombreux témoignages, plus récents, actuels, sur le vif parfois... diversifiés... parfois très détaillés, parfois survolés, selon les articles... témoignages de ma vie d'aujourdhui ...
Esclave au service des Femmes Supérieures et Gynarchistes, c'est ce que je suis devenu, au sein du couple, dès ma jeunesse, très vite, alors que , tel monsieur Jourdain avec la prose, je ne savais pas ce que voulaient dire ..." Déni d'Orgasme ", " Power Exchange " soumission ou " Servitude 24/7 " " Gynarchie " " Rapports de D/s "...
Les articles relatifs à ma vie de conjoint asservi - I - sont plus anciens, donc " au fond " de ce blog que j'ai ouvert en Février 2010... vous pouvez y aller directement en " ciblant " les mois du printemps 2010...// ceux évoquant ma vie actuelle - II - sont à votre porté immédiate ...
Avec tout ça, je viens de réaliser que je n'avais encore rien dit des jours de début novembre pendant lesquels Nadia s'est absentée...
C'était pendant une semaine au cours de laquelle la Belle Enceinte alla visiter sa famille ...
Ce n'est pas tant par ce qui s'est passé au cours de ces journées ... ( et de ces nuits! ) que cela mérite d'être abordé ici ... mais plutôt en raison de la personnalité très " marquée " de quelques êtres jusqu'alors inconnus ... et des perspectives offertes ... ouvertes, à partir de ce constat .
Oui ! je pense que mon programme des cinq jours en question, déjà fort significatif en lui-même est surtout révélateur de ce qui m'attends, à court ou moyen terme, surtout si Nadia, ne me garde pas à son service...
Une hypothèse qui pourra surprendre car je ne l'ai pas soulevé jusqu'alors... je l'admets ....
Une hypothèse à laquelle je n'aurais accordé aucun crédit fin octobre ... mais que je dois prendre en compte aujourd'hui :
Car si " on " parlait même de mariage possible alors ... aujourd'hui de nombreux signes, venant de divers horizons, me laissent penser que je ne serai peut être même plus vraiment dans son entourage après son accouchement .
En revanche ce qui s'est passé pendant ces cinq jours laisserait présager une servitude tout aussi radicale mais au bénéfice de personnes dont au moins deux m'étaient inconnues avant ces journées ...
Je sais ! c'est un peu déroutant, alors que je viens - déjà - d'être " déraciné ", mais c'est comme ça ... et, comme je l'ai déjà dit, pour un esclave comme moi , être loué, réquisitionné ou acheté, sans avoir mon mot à dire sur ma ou mes nouvelle(s) propriétaire(s) est redoutablement significatif ... très révélateur de la façon dont je suis perçu par Maîtres et Maîtresses ... comme est révélateur la façon dont je le vis .... c'est à dire assez bien et aussi "sérieusement" que possible ...
Oui, c'est ça ! plutôt bien ! ... même si un avenir dans le sillage de la future maman m'aurait comblé ...
C'est que tractations, marchandages, hésitations, non-dits, voire volte-face m'installent définitivement à ma vrai place ... me confirment l'absence totale de maîtrise de mon destin de ma part ...me rappellent à l'humilité qui sied à ma condition et à ma personne... Délectation morbide ? peut être ! mais véracité garantie !
Dois je rappeler que lorsque Teresa avait jeté son dévolu sur moi , j'ai craint moi-même d'être incapable d'accepter la plus authentique preuve d'une servilité revendiquée : l'acceptation de Maître(s) non choisis ...
j'insistais bien - je l'ai fait ici- sur le fait que ce " rejet " n'était dû qu'à la cruauté patente de cette Femme ... qu'il n'était que la conséquence de
la peur panique qu'elle m'inspirait ... qu'il n'avait de raison d'être que le rejet de cette Femme ... qu'il n'aurait pas existé avec une autre ...
Je croyais bien sûr à ma justification ! ...pourtant il subsistait, même dans mon esprit, un léger malaise...
Certes j'étais sûr de moi !... de mon argumentation , imparable sur ce coup là ... mais je ne pouvais prouver que je vivrais autrement, dans l'acceptation totale , toute autre situation ...
Et là tout est venu d'un voyage, au lendemain de celui de Nadia !...
Un voyage voulu par Charlotte , après accord de Michelle .
Un voyage dans la famille de Charlotte et à un moindre degré de ...Flavia !
une famille difficile à " cerner " ( en référence aux liens de parenté ) comme beaucoup de familles recomposées ... Mais ce qui est clair c'est que le cercle très rapproché de la jeune fille s'inscrit dans un mode de vie et des comportements qui n'ont rien de vanilla ... c'est évidemment la raison pour laquelle j'ai pu aller " démasqué " dans le clan " Charlotte " et pas dans la famille de de Nadia ...
Là ! dans la " Charlie's family " aucun malentendu, aucun faux semblant, pas le moindre temps mort : j'ai été esclave aussitôt, et pour toute la durée de notre court séjour ... La mère de Charlotte , qui s'appelle NADIA elle aussi
- j'ai d'ailleurs appris à cette occasion que ma Maîtresse enceinte s'appelle Nadine .. et que Nadia est le prénom choisi assez récemment par elle par manque d'enthousiasme évident pour Nadine - ... la vraie Nadia donc m'a aussitôt appelé " esclave " jusqu'à ce que sa fille lui suggère d'autres possibilités ... mais même alors , elle revenait régulièrement à l'appellation neutre , simple et vraie d' " esclave " ...
D'ailleurs, dans cette maison je me suis trouvé, dès que le soir tombait, en présence d'un autre esclave - dès la tombée de la nuit car ce "semblable" travaille et
ne rentre que vers dix neuf heures - c'est évidemment un indice suffisant de l'authenticité du mode de vie de la maisonnée .
j'ai été considéré d'emblée comme l'égal de Dick, celui qui part travailler chaque jour peu après six heures et demi, se déshabille dès son retour et se place au service immédiat et complet des Maîtresses ou Maîtres de l'endroit ...
Il semble qu'il soit marié à NORMA , soeur de Nadia, l'ainée et donc tante de CHARLOTTE ... il est ainsi l'esclave de son épouse, de sa belle-soeur, de sa belle-fille ... et de quelques autres sans doute comme ANTHONY , l'amant de Nadia, ou REGIS l'amant de sa Femme ...
... J'ai entendu dire aussi qu'Anthony serait le frère Matthieu !!... mais tout ça montre la complexité des liens tissés au fil du temps ... et j'aurai
à coup sûr l'occasion d'en reparler
Comme le dit si bien Christophe, un "frère" en soumission :
" Quand l'amant est là, (je) perds mon rôle " ...
En fait JE PERDS... CE QUE J'AIME DANS MON RÔLE ...
L'ensemble de mon rôle c'est bien sûr d'être à disposition, prêt à servir, en tout ... et toutes ... tous ! Cela inclut tout ce que je raconte ici .... y compris les humiliations répétées, permanentes ...
Mais ce que j'adore dans ce rôle, cet état ... c'est le service personnel de celle qui m'utilise le plus, intimement aussi ... depuis mon arrivée .
C'est pourquoi je suis généralement déçu et... quasiment jaloux ( je sais ! c'est ridicule ! ) quand son gynéco d'amant arrive ... et particulièrement lorsqu'il arrive en soirée ... surtout tard ... Cela veut dire que je ne passerai pas la nuit collé contre elle , dans son dos , à veiller sur la constance, la permanence de sa chaleur ... sa respiration ...
Cela veut dire que je ne serai pas mobilisé , au salon, pour la vénérer à genoux , ou accroupi ... dos tourné à l'écran ou aux proches, comme aux ami(e)s ,avec lesquels elle discute peut être ... ou encore pour caresser son ventre , masser ses cuisses, ses jambes, ses pieds, pour la détendre...
Cela veut dire que je ne serai pas entre ses cuisses à lui donner du plaisir avec ma langue ... ni avant qu'elle ne s'endorme
... ni le matin à l'heure du petit déjeuner ... comme je l'ai déjà raconté ...
Cela veut dire que je serai, le plus souvent occupé à des tâches ménagères concernant la maison tout entière ... ou qu' Eric lui même m'aura donné un ordre, avant même de prendre sa " jolie fée " dans ses bras ... comme par exemple hier :
Elle venait de refuser à Roxane, qui ne m' " utilise " pourtant pas souvent le soir intimement,
de me faire monter avec elle ... je n'étais pas trop déçu ( encore que j'aime beaucoup lécher la très sexy et jolie black, qui jouit à répétition dans des " feuilles de rose "
appuyées et qui est friande de face-sitting prolongés ) ... non ! pas trop déçu, car cela annonçait ma présence auprès d'elle , et même sans doute la nuit sous ses
draps... - Il me faut quand même préciser qu'en soirée , les autres colocataires doivent s'incliner quand Nadia a " besoin " de moi ... priorité absolue à la Femme enceinte, voulue
par Eric -
Et puis il est arrivé vers 22 heures , après un accouchement difficile ... alors que la future mère ( Nadia, la nôtre ) songeait à se coucher et venait de me demander de lui préparer et monter son infusion et de l'attendre à genoux au pied de son lit !! ... Pire ! ... Il m'a jeté à la figure ses clés de voiture et m'a ordonné d'aller la laver :
-" Tiens ! fais quelque chose d'utile ! J'ai dû passer dans des chemins atroces pour cet accouchement et ma bagnole est dégueulasse ... Je l'ai mise devant le garage, pour que tu aies de la lumière ! lave la entièrement et passe l'aspirateur à l'intérieur , qui est aussi plein de boue ! "
Et j'ai obéi, en bon esclave... à 22 heures 30 !! ... pendant qu'ils s'étreignaient, se caressaient, s'aimaient
Voilà comment les choses se passent ... assez souvent aujourd'hui ... voilà pourquoi je préfère en effet être seul avec Nadia ...
Mais pour en revenir à ce weekend, le dernier, celui qui avait commencé si terriblement !... là je me suis plutôt senti bien ... avec les deux , Eric et Elle , qui restèrent seuls à la maison, après les départs collectifs dont j'ai parlé ... c'est que ce samedi et ce dimanche relativement paisibles , après ce que je venais de vivre était réconfortant ... et que j'avais surtout besoin de repos .
Et puis si l'activité du gynéco et son absence d'horaires précis , m'ont parfois joué des tours très décevants , comme hier soir ... il se trouve que samedi ce fut le contraire :
Les amants étaient partis se coucher ... j'avais entendu leurs râles de plaisir , et , toujours pas remis de mes épreuves de la veille , je croyais passer une nuit calme et reposante ... quand Eric fut appelé pour un accouchement ... Il était aux alentours de minuit ...
Nadia m'a appelé pour que je vienne me coller contre elle le reste de la nuit ... auparavant elle m'a fait lécher son vagin aux lèvres béantes , pleines du sperme de l'homme qui finissait de s'habiller .... lui a souri et trouvé la scène " amusante " .
Vers quatre heures quand il revint , il me fit " dégager " sans égards ... mais j'étais bien ... j'avais oublié pendant
quelques heures ma chair endolorie .je n'avais plus qu'à aller me coucher ... sur le ventre , en faisant très attention à mon dos , mes fesses !
Oui ! c'est vrai ! je préfère quand ma Maîtresse privilégiée me garde auprès d'elle ! ... mais hélas, l'esclave
que je suis n'a pas son mot à dire là dessus ! ... cela ne dépend surtout pas de moi !...
Je me suis dit, avant de m'endormir crette nuit là que le week-end n'en finirait décidément pas ... alors qu'à peine commencé il prenait cette tournure infernale !
Les soins que m'avait prodiguée, apparemment à contrecoeur, la secrétaire du gynéco, et la station immobile qu'il me fallait bien maintenir depuis ... même si ma "pose"( j'étais accroupi... tassé ! confiné !.. raidi par la force des choses dans un espace dérisoire ) la rendait épuisante, douloureuse ...ces soins m'avaient fait du bien ... alors le sommeil est venu , sans doute favorisé par mon état d'épuisement physique et psychique ...
Il y eut aussi le départ généralisé de toute la maisonnée vers le restaurant, qui serait sans doute, à en croire quelques échos de conversations, suivi par des virées en boites ( Eric et Nadia semblèrent hésiter , mais je crus comprendre qu' "on" leur proposait une soirée calme mais amusante ... et ils suivirent le mouvement )... Je fus donc rapidement seul ....
..... rapidement ?!!...
Je veux dire en ne considérant que cette soirée ! ... A défaut de connaître le bien-être vraiment réparateur ... la solitude me débarrassa de la trouille immédiate de voir débouler n'importe quand , n'importe comment un salaud pour me pisser dessus ou se faire sucer ... Oui ! j'ai fini par dormir , dans cette position invraisemblable qui me faisait craindre une pétrification irrémédiable de mon corps , tant sa raideur forcée et épuisante m'inquiétait ...
C'est un filet d'eau sur la tête qui me réveilla ... j'ignorais alors qu'elle heure il pouvait être ( depuis, comme plusieurs membres de la troupe ont parlé de retour à cinq heures du matin , je pense que c'était dans ces eaux là ! ) Le filet d'eau ? il était tiède, presque chaud, compte tenu de la température extérieure qui avait quand même faiblit -même si heureusement pour moi l'amplitude diurne n'était pas ce qu'elle est devenue depuis - Le liquide dégoulinait le long de ma nuque, le long de mon nez, mon menton ... dans mon dos il piqua, au contact de mes éraflures ... cela me confirma que ce n'était pas de l'eau ... sur mon visage cela sentait l'ammoniaque , l'urine ...
J'ai levé la tête , les tubes métalliques de la misérable cage, arboraient une parure de chair ... chairs écartelées , béantes, fendues ... avec en leur centre un énorme coquillage boursouflé qui libérait un nectar prolifique ... Impossible d'en savoir plus, d'identifier la pisseuse ... c'est Karim qui mit un terme à cette interrogation par ailleurs secondaire :
- " Tu l'as réveillé Sharon ... c'est pas très malin ! " ... mais son rire démentait ce jugement ..... il y avait autour de la cage plus d'une demi douzaine de fêtards avinés et qui étaient " écroulés de rire "! .... pour rien.
Charlotte a oté ses chaussures et remplacé Sharon pour une miction encore plus abondante ... j'étais trempé, mais la température du liquide libéré en un flot précipité était agréable au fond ! ... je craignais juste ce qui arrivait sur le pourtour de mes yeux , car en se mêlant aux traces de sperme séché , cela menaçait de m'irriter encore davantage les yeux ...
J'étais de nouveau aux prises avec des hurlements et des cris hystériques de gens à l'évidence " pris de boisson " ...
Heureusement Michelle intervint :
- " S'il vous plaît ! soyez gentil ! Nadia qui nous a quitté vers deux heures , tout à l'heure , a sa chambre juste au-dessus ! ... ne la réveillez pas ! "
Aussitôt le calme revint car plusieurs jeunes gens gagnèrent enfin leurs chambres ...
Karim, Franky et ...Matthieu me pissèrent dessus simultanément avant de disparaître définitivement à leur tour ... La couverture que m'avait apporté Nadia avant son départ pour le restaurant et que j'avais eu du mal à disposer afin de m'en couvrir au mieux ... elle était maintenant trempée ! ... pourtant j'avais cherché à la maintenir au sec en la bouchonnant à mes pieds ... mais peine perdue !!
Je me suis réveillé alors qu'il faisait déjà grand jour :
C'est Karim qui tenait le jet d'une main , l'autre étant sur les épaules de Sharon qui se marrait contre lui ... Il s'agissait de me laver ... l'eau n'était pas glacée et me fit du bien ... même si le but du duo était bien sûr de rire à mes dépens ...
Après ma sortie de la cage!... très laborieuse ... à reculons ... mais sans trop de témoins heureusement ! j'ai passé mon temps à servir des petits déjeuners ...les réveils ayant lieu à des heures très disparates, échelonnés ... puis ce furent les préparatifs du plus grand nombre ... la bonne surprise pour moi étant le départ en weekend de tout ce beau monde ...alors que j'avais cru qu'ils arrivaient POUR la fin de semaine ...
En fait ils devaient avoir une soirée commune programmée dans le coin et avaient décidé de partir pour une même destination, ensemble ... le samedi matin ...
J'ai donc dès ce samedi après midi, retrouvé mes missions habituelles auprès de la future mère rayonnante et de son amant et médecin ... de plus en plus présent ... et plus amant que médecin ses derniers temps ...
ce qui ne me réjouit pas tant que cela .
Beaucoup de temps passa encore avant ma sortie du sous bois ... une sortie qui d'ailleurs ne fut rien ... rien qu'une libération de mes poignets entravés, rien qu'un éloignement d'un lieu détestable désormais ...
Beaucoup de temps oui ! ... La nuit était doucement tombée ...
Deux ou trois fois, des voix avait résonné son dehors, sur une période de trois quarts d'heure ... une heure peut être ... Tantôt il s'agissait de deux ou trois personnes, sorties sur la terrasse pour fumer : la présence de Nadia, Femme enceinte conduisait les autres, lorsqu'ils étaient fumeurs, à sortir du salon, de la maison même, et ils allaient fumer dehors ...
Il y eut aussi quelques appelants ou appelés ... quelques bavards, téléphone mobile vissé à l'oreille ... seuls, mais parlant souvent plus fort, instinctivement, que les duos ou trios tabagiques ...
D'où j'étais en tous cas j'entendais et comprenait plus facilement les bavards du téléphone ...
Pour les premières sorties , j'avais caressé l'espoir qu'elles me concernent, mais il n'en fut rien ... et le temps passait !! je me surpris à appeler, deux trois fois ! Voix tremblante, pleurnichade ... qui me donna un peu plus la honte ! ... je cessai .
Dans la maison, en provenance du grand salon, se répandait de la musique rythmée et dansante ... des ombres , dans la nuit maintenant établie, se balançaient en musique ...
Et bien sûr, dès qu'une porte s'ouvrait le volume sonore augmentait, surtout quand l'ouverture concernait la grande baie vitrée et coulissante de l'immense pièce de vie ... On s'amusait... des rires fusaient ...
Alors que moi j'avais encore dans les oreilles ceux dont j'avais été la cible
ceux qui me parvenaient maintenant ne pouvaient me paraître innocents... légers ... ils me faisaient mal ... comme s'ils m'étaient toujours adressés ...
D'ailleurs ils l'étaient un peu non ?!
Que faisais je encore dehors, enveloppé par la nuit, le corps douloureux , l'esprit chamboulé ? ... tout honteux , rabaissé, relégué ... rejeté hors de la lumière, hors de la vraie vie !!...
... quand leurs
vies me faisaient des pieds de nez permanents !
Juste avant la nuit, un couple s'était approché , mais ils dévièrent, peu avant le sous bois pour aller s'allonger sur de l'herbe, plutôt que sur la terre jonchée d'aiguilles et brindilles sur laquelle j'étais retenu ... il y en avait de l'herbe !... juste à côté, sur la droite en sortant de la maison ... de la bien verte, fortifiée par les pluies de ces derniers temps ... étonnantes ces pluies !! quand il avait fait si beau, si doux toute la journée ... à la mi-novembre ! J'ai cherché à deviner qui étaient mes deux visiteurs, mais ils ne passèrent pas assez près et à l'évidence ils s'étaient changés ... la fille portait une jolie jupe courte et un pull que j'aurais remarqué ... Elle était, grande, aussi grande que lui, un peu comme Sharon ... Ils s'embrassaient, en silence hormis deux ou trois accès de rire ... lui, grogna un peu au moment de l'orgasme ... elle avait gémi de la même façon tout au long de leur accouplement ... un peu plaintive ... mais on sentait qu'elle aimait .... je les entendis à peine quand ils remirent de l'ordre dans leurs vêtements ... je les vis s'éloigner de dos ... pour la Fille j'avais pensé vraiment à Sharon ... oui ! ... mais c'est quelqu'un que je connaissais trop peu pour avoir une certitude ... puis ensuite, la façon dont elle avait exprimé son plaisir m'en avait fait douter ... en tous cas avec moi, pour me maltraiter, Sharon avait révélé une tout autre personnalité ....
Ensuite , un groupe de fumeurs trouva qu'il faisait " trop beau " pour se limiter à la terrasse, et vint se promener tout près ... puis le temps passa ... long ... de nouveau ... je commençais à vraiment avoir froid , alors que mes fesses, mon dos, mes épaules, le haut de mes cuisses ! ... étaient brûlants...
Et puis enfin on vint... je veux dire pour moi... Un petit groupe de trois :
Roxane, Flavia - sans Arno ! - et ... Franky ! lui ne put s'empêcher de faire le mariole ... vous pensez : seul, ou presque... avec la lumineuse Flavia qui le faisait ouvertement baver de désir ...
Il fit mine de renifler en me tournant autour quand Roxane m'eut ordonné de me lever, la cruelle accompagnant son ordre d'un coup de pied dans les côtes pour me faire accélerer ... il avança son visage tout près du mien , il humait, reniflait ...il se composa un air bien dégouté puis lança, en regardant les deux fille :
- " Pouah ! il chlingue ! la vache !! " Flavia rigola ... l'autre non ... mais il s'en foutait ! ... Oui ! je puais ! comment l'aurais je ignoré ? ou même oublié !..
Je puais son sperme aussi ! et celui des autres ! ...et la mouille des Filles, comme leur urine débordante ! ( même si ces odeurs là m'étaient beaucoup plus douces ) ... le sperme avait séché et j'avais l'impression qu'il craquelait mes joues, mon front ... je ne risquais pas de l'oublier !
- " On le passe à la douche ? ... proposa Flavia !
- " Non ! c'est pas la peine ! personne ne va l'utiliser en soirée , pour aujourd'hui on va faire sans lui ... et Matthieu a fait transporter la cage dehors ... " ... elle montra la fameuse cage métallique étroite qui venait de chez mon ex Femme... elle était en effet posée sur un coin de terrasse ... Ainsi "on " avait décidé d'échanger mes liens contre l'encagement et semble il pendant des heures ! ... toute la nuit !!
Curieusement en l'apprenant, je ne me suis pas inquiété de ça ... la torture temps !! mais plutôt de l'état de mon dos, au sens large, et de l'aptitude de cette quasi moitié de mon anatomie , à supporter l'entrée en cage ... les inévitables frottements ...compte tenu du petit volume attribué l
Et j'avais raison : l'entrée dans la cage ... accroupi ... voûté ! rabougri ! tassé ! fut bien douloureuse ... Par malchance Eric, Michelle et Nelly sortaient à ce moment là pour fumer ... Flavia vint les taper d'une cigarette ... et tout le monde s'intéressa à mon entrée laborieuse dans l'espace si exigu... le contact de ma chair abîmée avec le dur métal était terrible ... Nelly, qui avait éclaté de rire en me voyant dans cette pitoyable posture, disparut un instant dans la maison et revint avec un bâton de marche , mais de ces bâtons munis d'une pointe métallique au bout...
Elle le tendit à Franky, souriante :
- " Tiens Franck ! ça devrait t'aider à lui faire comprendre qu'il ne doit pas nous faire perdre notre temps ! "
Franck prit l'objet qu'elle lui tendait et me donna aussitôt de la pointe sur les fesses et le flanc ... provoquant mes hurlements , accentués par la poussée qu'exerça , la salope rigolarde ...
Flavia vint l'aider à pousser sur la porte et Michelle, impassible vint poser le cadenas ... " clic " sinistre à mes oreilles ... plaisanteries douteuses ... Réflexions toujours semblables de qui s'accroupissait au plus près de moi ... par curiosité , pour le fun !!
- " Ouah !! il pue le bougre ! " la dernière à le constater fut Nadia qui pourtant dans son état ne s'accroupit pas ... elle venait chercher son Eric ...lui en revanche se pencha sur moi et trouva " médicalement " nécessaire de protéger la chair endommagée de mon dos et de mes fesses ...
il demanda à une fille que je n'avais vu qu'une fois, fin octobre je crois , et qui semblait être sa secrétaire, de placer des coussins entre le métal et ma peau sur l'arrière de mon corps ... après m'avoir pommadé quelque peu les parties sensibles , surtout pour favoriser la cicatrisation ... il rappela , à Flavia, qui trouvait en rigolant qu'il me " bichonnait " un peu trop , que Nadia aurait encore besoin de moi ... et qu'il ne me voulait pas malade ...
L'extraordinaire , c'est qu'il éprouvait le besoin de justifier un peu d'humanité à mon égard et qu'il le faisait en demandant à une de ses proches, professionnellement, d'intervenir ... sans doute peu enclin à faire confiance au reste du groupe ...
Quand tout le monde fut sorti , la grande rousse qui ressemblait à une pin-up américaine du milieu du siècle dernier, et qui arborait un magnifique décolleté vint étaler de la pommade apaisante et cicatrisante sur ma peau à vif ... cela me fit mal, cela me fit du bien ... cela me fit un peu plus honte encore quand elle toucha longuement mes fesses pour avec une lotion huileuse en apaiser le feu ... ma verge, qui était de la plus grande discrétion depuis l'éjaculation intempestive qui me valait tout ce déchaînement ... ma verge commença à s'ébrouer et se tendre quelque peu...
Ensuite elle me fit encore mal , mais c'était pour caler les coussins qui se révéleraient à l'usage " anesthésiants " ...
Je lui dit merci ... je l'avais trouvé douce ... je l'estimais compatissante...
Elle tint
alors à me faire savoir qu'elle " ne faisait que son travail, (qu'elle) suivait les instructions ...mais ( qu'elle ) dirait que (j)'avais commencé à bander au
contact de (ses ) mains et en (la )regardant ... "
Ce disant, elle me sourit hautaine et tourna les talons , qu'elle avait acérés , menaçants et qui claquèrent sur la dalle ...
Elle me souhaita une bonne nuit !
Quand les effluves
d' Opium, son parfum qui lui allait à merveille se dissipèrent je me remis à croupir au milieu des relents de sperme de pisse, de mouille et de cul qui étaient "mes" parfums et pour encore
longtemps !
Le dernier coup de fouet claquant sur mon échine , j'ai cru que je serai vite détaché de l'arbre et que j'aurais au moins ... un certain répit ... du temps pour me remettre, dans la mesure du possible, de ces heures insoutenables ...
Les regards et l'aparté entre Michelle et Matthieu m'avait fait penser qu'ils m'accorderaient une forme de protection ... ou, au moins qu'ils proposeraient de me faire rentrer après ma "branlée" ( expression utilisée par la rousse au fort accent ... qui disait " la bwanlée "... comme par Karim ou Roxane )
Aussi fus je cruellement déçu quand j'entendis Matthieu prendre congé de l'assistance :
- " Bon ! les jeunes ... je reverrai peut être certains d'entre vous , mais là je dois y aller, vraiment ! je me suis pas mis en avance avec tout ça ... mais je regrette pas d'être venu ! ...sympa non ce petit exercice !! ahahah ! ...allez ! ... amusez vous bien ! ne vous acharnez quand même plus trop sur votre jouet du jour ...là ! je le vois un peu limite ... Bref je crains la casse si vous n'êtes pas un peu raisonnables !
... Et n'oubliez pas que Nadia et Eric comptent encore sur lui pour quelques semaines .... au moins ! ... ahhaah ! "
- " OUI P'PA !! " réagirent spontanément et rigolards un paquet de gosiers des deux sexes, parmi les interpelés .
Il prenait le temps d'embrasser qui lui était le plus familier .... ce que faisaient aussi entre eux ceux qui quittaient
l'endroit.... ce maudit lieu ! ... que j'étais le seul à ne pouvoir quitter à ma guise !
- " Ce n'sont plus des enfants Matt ! " ... lui lança Roxane en se laissant pour sa part embrasser sur les lèvres ! ( j'apprenais ainsi ... un ...qu'elle ne se considérait pas concernée par l'apostrophe aux jeunes ... deux ...que malgré la présence de Micky, elle ne cachait pas une certaine intimité avec Matthieu ...)
Pour ce qui est des groupes d'âge ... Roxane ne s'attarda pas dehors elle non plus... en dépit des tentatives de Charlotte et Nell, pour la retenir ... .... " pour une partie "...
La rousse anglo-saxonne, déclina aussi la proposition de jeu ... également la grande brune athlétique,
prénommée Sharon ... du moins c'est ce qu'il sembla dans un premier temps pour cette dernière ... mais appelée par celles qui voulaient jouer, elle rebroussa chemin avant d'arriver au
perron .
Les garçons, eux ... même jeunes ! ... même Arno ! lui qui n'avait guère laché la trop belle Flavia ... quittèrent la place en un petit groupe compact, attirés dans la maison par la perspective, dirent ils, de jouer au poker !...
Il devait être quinze heures trente ... guère plus .
Flavia, Charlotte, Nelly se placèrent de part et d'autre d'un filet de volley-ball, entre clairière et maison, et hélèrent Sharon pour qu'elle vienne en renfort ... c'est ce qui fit rebrousser chemin à la grande .
Flavia et Nelly décidèrent de faire équipe , tandis que Sharon et Charlotte s'unirent, le temps d'une partie...
Si je prends la peine de détailler ce que fit chacun, ou chaque groupe ... c'est aussi pour montrer que, sitôt après ma dérouillée, j'étais comme oublié, effacé , déjà !! ...
Oh j'aurais bien aimé au fond ... mais juste après avoir été libéré de mes liens blessants !
Quand j'ai essayé de timidement appeler ... les Filles allaient commencer leur partie ... il n'y avait plus qu'elles dehors ...
Mon appel , lancé d'une voix tremblante, particulièrement mal assurée fit d'abord sourire ou rire celles qui m'avaient peut être déjà " oublié "... en effet ... C'est ce qu'il me sembla, aux regards qu'elles lancèrent vers la clairière ...
Et à la phrase que me lança Charlotte, en forçant sa voix, tout en renvoyant un ballon de l'autre côté du filet, je sus que la libération, comme la fin de cette navrante épreuve , n'étaient pas pour tout de suite :
- " Il a pas compris "face de cul" ( rire garanti des trois autres ) qu'il avait intérêt à se faire oublier un chouille ... il en veut encore ! "...
- " Moi je pense qu'i peut plus se passer de nous Charlie tu sais ! on va être obligé de retourner le voir ! " ....
.... et Nelly éclata d'un rire en rafale qui trouva aussitôt un écho ...
Mes poignets me brûlaient vraiment et, oui ! je le redis avec conviction : j'aurai bien aimé en effet, détaché, être véritablement oublié ! ...
Je suis "devenu" plus effacé que jamais, après ces réflexions ... je les ai regardé jouer, avec le souci de ne pas attirer leur attention ...
Comme elles étaient belles !! ... comme elles se servaient bien, pour jouer ... de leurs corps insolents aux courbes exquises !! ... Je pris vite du plaisir à les regarder jouer, à les observer ... à les caresser du regard ! ... en dépit de mon état ... de ma situation !... cela dura un bon moment ... entre une demi-heure et une heure ... puis Sharon eut "envie de pisser", selon ses dires, et vint le plus naturellement du monde vers le sous bois ... vers moi ...
Allongé sur le dos, pour lui obéir, mais avec combien de précautions justifiées par l'état de mes épaules, de mes reins , de mes fesses ! ... j'ai vu son beau postérieur blanc et évasé s'arrêter à deux ou trois centimètres de mon nez ... elle transpirait ... sa sueur odorante se mêlait à des relents d'urine et de cyprine macérées, vigoureux et tenaces ... J'avais à peine ouvert la bouche, comme elle l'exigeait, que le flot doré commença à ruisseler dans ma gorge ...
Mais dès qu'elle en eut fini, elle s'assit sur moi, sur mon visage, à
l'envers , au lieu de s'en retourner comme elle était venue :
- " Lèche esclave ! " ... elle avait posé son anus aux senteurs aigrelettes au dessus de mon nez et je me mis à lécher son vagin poisseux ... sans doute avec assez d'enthousiasme à son goût pour lui procurer un généreux orgasme en moins de cinq minutes ... il faut dire qu'elle " ne partait pas de rien " comme le remarqua Nelly qui avec Charlotte était aussi de retour dans le sous bois de mon supplice ...
La partie à quatre était bel et bien terminée ! Flavia était sans doute retournée auprès de son chéri et les deux autres aidèrent Sharon à se relever : elle tremblait encore , jambes bien " flageolantes " ... bien après son plaisir ...
Après ... j'eus droit à de nouvelles humiliations verbales des trois jeunes Femmes, puis Sharon embrassa les deux autres ... Elle semblait beaucoup moins familières du groupe ...je l'avais ressenti très vite ... mais elle n'était pas non plus mal à l'aise ... je n'étais pas sûr cependant qu'elle resterait là, à la maison, bien longtemps ...
Ce qui est sûr c'est qu'elle m'ignora complètement : pas un mot ! pas un regard ! pas même une marque d'ironie à mon endroit avant de disparaître ...
- "On y va aussi Charlie ? " interrogea Nelly qui tenait gentiment son amie par le cou .
- " T'as pas envie d'une petite gâterie toi ? " répliqua Charlotte en fixant
la brune qui avait rassemblé ses longs cheveux pour jouer ...
Et déjà la voilà qui mettait en accord parole et envie ... faisant ce qu'avait fait Sharon ... Elle aussi sentait la sueur et la cyprine ...un peu moins l'urine ... mais l'odeur de sa rosette anale délicieusement striée, bien plus forte, n'avait rien d'aigre ... elle la frotta une multitude de fois sur l'arête de mon appendice puis imposa son gros, coquillage qui ne sentait pas que la mer à mes lèvres ... à ma langue ... à ma bouche ! jusqu'à son explosion .
Cela prit un peu plus de temps qu'avec Sharon ... imposible d'en déduire qu'elle prenait moins son pied : ses cris, sur la fin , disaient tout le contraire !... et je pris en pleine face un vrai et long jet de liquide vaginal ... Non ... elle ne se remettait pas à pisser ! c'était, je le découvrais dans son cas , ce qu'il est convenu d'appeler une " Femme - fontaine " !
Nelly avait dû s'accroupir à ses côtés : je les entendais échanger des baisers mouillés au dessus et à côté de moi, alors que Charlotte restait assise, m'écrasant de tout son poids, heureusement ... un écrasement se limitant à ma pauvre tête ...
- " Quand je te dis que j'adore le face-sitting chérie ! tu as vu !! ça fait un moment que j'avais pas " éjaculé " comme ça ! ... non ? "
- " Oui ! c'est vrai ma Carlita ... faut dire qu'il lèche pas mal " langacul " pas vrai ? ... ahahah ! ... tiens laisse moi ta place un peu ... voir vos deux fions de salopes sur le groin de ce porc ça me donne des envies , à moi aussi ! ahahah !"
Et Nelly vint à son tour s'asseoir sur mon visage, couvert désormais de muiltiples couches et plaques de sperme, cyprine, mouilles diverses , urine ... toutes ces odeurs fortes se mêlaient joyeusement ! ... pourtant, quand elle vint caler son joli trou de balle à l'aplomb de mon nez, je retrouvai la senteur grisante de la précédente " occupante " du siège...
J'étais en train de réaliser que Nelly et Charlotte avaient des odeurs anales assez proches .... comme Flavia aussi d'ailleurs ! je fis le rapprochement à cet instant là ... Peut être dans de précédentes narrations m'est il arrivé d'ailleurs de citer cette caractéristique de l'une des trois comme s'il s'agissait d'une des deux autres ... tellement le rapprochement que j'en fait est troublant .... l'explication se trouve là : les rosettes secrètes des trois merveilles ..." secrètent " des substances aux effluves ... aux caractéristique très voisines ...
On pensera peut être que je suis en train de dire n'importe quoi ! ... mais je maintiens! ... je signe ! ..... j'ai dit tout à l'heure en parlant des relents libérés par le pourtour anal de Sharon qu'ils étaient aigrelets ... je n'ai jamais encore employé cette expression pour les trois Grâces qui semblent bien aimer s'asseoir sur mon visage ....
( Et compte tenu de l'état de mon dos cet après midi là , j' apprécie doublement qu'elles aient fait cette fixation sur ma tête )
Je ne dirai pas que leur raie culière est toujours propre, ni que l'odeur de l'endroit n'est jamais répulsive ... je dis qu'elles ont en commun d'être absolument grisantes , entêtantes, énervantes ... même quand elles ne sont pas irréprochables ni parfaitement saines !
je dis que je les aime !!! voilà tout ... qu'elles m'excitent !!... même dans
les situations les plus incongrues ... et qu'elles contribuent grandement, au comble de mon déni d'orgasme à provoquer mes " couilles bleues " ...
Nelly avait libéré ses longs cheveux qui couvraient de nouveau son dos jusqu'au creux des reins, juste avant de s'asseoir sur mon nez ... et quand elle se releva elle était splendide ! ... à la fois sombre et lumineuse ...
Elles se prirent mutuellement par les hanches après avoir rajusté le peu de vêtement qui les parait, sous la taille .... éclatèrent de rire, face à face , visiblement heureuses d'être ensemble ... ravi de la façon dont elles m'utilisaient .... leur rire s'acheva en un long baiser, vorace de part et d'autre ... et ... sans cesser de se tenir flanc contre flanc, maintenant qu'elles ne se faisaient plus face, elles me tournèrent le dos dans un même élan ... elles furent les dernières à regagner l'intérieur ! ...
Sans plus s'occuper de moi .... encore une fois comme si j'étais devenu invisible !
Mais cette fois je me gardai bien " de l'ouvrir " ...
Le soleil était pourtant en train de disparaître derrière les collines ... même s'il faisait encore jour .... et
je me demandais quand tout cela allait il cesser !!
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