Vous trouverez ici :
- I - Une partie de ma vie récente - sur les cinq dernières années - de mari asservi par sa Femme d'alors, soumis au déni d'orgasme, à la chasteté imposée dans le cadre d' UN COUPLE GYNARCHISTE REEL.
-II - Puis de nombreux témoignages, plus récents, actuels, sur le vif parfois... diversifiés... parfois très détaillés, parfois survolés, selon les articles... témoignages de ma vie d'aujourdhui ...
Esclave au service des Femmes Supérieures et Gynarchistes, c'est ce que je suis devenu, au sein du couple, dès ma jeunesse, très vite, alors que , tel monsieur Jourdain avec la prose, je ne savais pas ce que voulaient dire ..." Déni d'Orgasme ", " Power Exchange " soumission ou " Servitude 24/7 " " Gynarchie " " Rapports de D/s "...
Les articles relatifs à ma vie de conjoint asservi - I - sont plus anciens, donc " au fond " de ce blog que j'ai ouvert en Février 2010... vous pouvez y aller directement en " ciblant " les mois du printemps 2010...// ceux évoquant ma vie actuelle - II - sont à votre porté immédiate ...
C'est alors que j'avais fini par m'endormir , en dépit de mon intense excitation que l'on vint ...(me visiter ? me sortir de ma cage " d'exhibition " ?... ) ... cela me réveilla .
J'avais un instant oublié que la cage était suspendue à plus d'un mètre cinquante du sol ... Ce sont les rires du petit groupe qui me découvrit lorsque la lumière s'alluma qui me replongèrent dans l'humiliation la plus poisseuse ! ... le nombre des regards dardés d'un coup sur moi dans la clarté crue du long néon n'arrangea rien ... j'aurais aimé pouvoir me glisser dans un trou de souris , j'étais au contraire totalement exposé, surélevé ... ridicule animal captif ...
Larissa et Richard marchaient en tête , il la tenait affectueusement par le cou... cette belle Femme dure , impitoyable avec les faibles , obsédée par son plaisir, son bien être avait quelque chose de touchant sous l'aile rassurante de " son " homme ... j'avais déjà ressenti cela .
Presqu'à leur hauteur et donc arrivant autour de la cage en même temps Charlise et Odile ... c'était les moins vêtues des Femmes : leurs beaux fessiers moulés dans des shorts de couleurs et matières différentes ... pas de soutien gorge , rien aux pieds ( quand les autres Femmes portaient de hauts talons )... Elles se tenaient par les hanches et Odile qui n'affichait plus la totale nudité de la Soumise avait l'air si heureuse que je sus que leur couple avait reçu la bénédiction de " Mam " .
Elle marchait derrière, entre Madeline sa soeur et Monica son amie ... Elles étaient toutes les trois flanc conte flanc se tenant par les hanches ou les épaules ... la sororale attitude !!
Le jeune blond frisé et le mec de Madeline partageaient une cigarette . Entre eux Luna qui ne fumait pas mais semblait s'intéresser à leur discrète conversation .. ils achevèrent de faire cercle autour de moi... de ma cage ! et se turent ... j'avais vingt yeux à bout portant sur moi dont quatorze féminins !!
- " Elle est bien cette cage non ? " c'était Charlise toute fière , qui apostrophait le groupe ( sans doute avait elle oeuvré pour .... pour la deuxième cage ? pour son emplacement ? pour sa suspension ?)
- " Oui ! très bien Biche ! " lança sans se forcer le frisé qui dut se pencher pour la voir de l'autre côté de la cage ..." ...pas de lumière du jour , pas d'aération , dans ce coin ..."
- " Nan mais c'est pas bien gênant , l'anneau-crochet du plafond est très costaud et le néon ne peut être mieux placé " souligna " Biche "... Madeline compléta, prenant à témoin sa soeur puis regardant tour à tour chacun :
- " Et nous avons une arrivée d'eau , là tout près ... même s'il n'y a pas d'aération , d'ouverture sur l'extérieur l'hygiène du détenu est assurée , et son isolement radical ...nous avons beaucoup déplacé les cages depuis le début ... lorsqu'ils sont plusieurs enfermés en même temps , il n'est pas toujours bon qu'ils aient la possibilité de se parler... Celle là restera là... Quand nous aurons la troisième , nous pourrons faire plus de changements ... mais celle là restera là . "
Le frisé vint près de Charlise et la prit par le cou indifférent à la présence d'Odile :
- " Faudrait voir à ôter le plancher , si vous voulez vraiment affoler vos esclaves avec cette cage ... la grille à la même trame en dessous ( il s'est de nouveau penché pour vérifier ).... il est trop confortable comme ça ! "
Le mot " confortable " fit glousser Luna et Odile ... Charlise rebondit :
- " On y a pensé ma tante et moi ! On en a parlé ... ( Madeline hochait la tête en signe de confirmation ) d'ailleurs si l'on veut pouvoir réduire encre la cage en largeur ou longueur - je rappelle qu'elle est modulable ! - il faudra obligatoirement ôter la plaque plancher "
- " Tu penses pouvoir encore réduire le volume ! " rigola le mec de sa tante , entrainant d'autres rires .
C'est Hannah qui lui répondit en examinant et touchant les côtés de ma " boite " , comme pour achever de s'en convaincre - et donc en effleurant mon corps à plusieurs reprises : tétons ! extérieurs des cuisses ! pieds !! j'étais déjà dans l'ivresse de son parfum " flower ", vous pouvez penser jusqu'où cette séquence m'emmena , en dépit de tout !
- " Oui ! on peut encore gagner jusqu'à deux centimètres en longueur comme en largeur et réduire au maximum le volume comme priver l'esclave puni de plancher, ont été des contraintes, prises en compte par ma soeur comme ma fille et qui les ont surement séduites ....Les autres cages ... puisque vous en attendez une troisième n'est ce pas ? servent essentiellement à punir par l'enfermement , alors que celle là est destinée à supplicier ... Je ne pense pas trahir le projet ! "
Madeline et Charlise acquiesçaient sobrement ... J'entendais des choses terribles , j'étais dans l'étau d'une cruelle humiliation, et pourtant si j'avais pu je me serais pincé pour me prouver, pour m'assurer que je ne rêvais pas !... La veille encore je n'aurais pu imaginer pareil moment !! avec dans le premier rôle mon Adulée !!
Je fus pendant la plus grande partie de la tirade de mon ex Epouse tout près de son visage !! Ses yeux terribles et merveilleux me fouillèrent à plusieurs reprises, sans concession ni douceur et jusqu'au plus profond de l'âme !! De si près son haleine régnait sans partage ... l'haleine des soirées prolongées , encombrée d'abord des relents de mets épicés d'un riche repas, mais aussi des vapeurs d'alcool ( tout le monde semblait avoir beaucoup bu ! ) et de miasmes à la nicotine .... Comme j'aimais son haleine, pourtant peu facile, de ses soirs de fête !!
Elle m'en cernait encore quand elle s'adressa à Odile :
- " Et toi ma belle ! dis moi... puisque tu le côtoie tous les jours et qu'il doit t'obéir ... Est il devenu un bon esclave ? Penses tu que ma soeur a eu raison de l'appeler d'abord puis de le garder ? " Avant que la belle Soumise n'ouvre la bouche , ma " belle-fille " avait déjà fait rire tout le monde :
-"Bon esclave ? faut voir ! ... Mais sûrement meilleur esclave que mari ma p'tite Maman !
Encore aux prises avec un rire évidemment exagéré, Odile toute imbue d'importance précisa , rebondissant sur les derniers mots de son amante :
- " oui ! faudra voir ... c'est pas gagné ! c'est le moins bon de nos trois esclaves actuels ( quelle salope ! ... pardon ! ça m'a échappé .... elle aussi avait l'haleine lourde , mais moins grisante que celle de mon Idole ) Oui ... faut voir avec Charlise on pense qu'on peut y arriver à force de bonnes dérouillées quand il sort des clous ... "
Mon Ex fronce les sourcils , puis son regard dépourvu de toute indulgence , et même inquiétant s'empare du mien :
- " Mais ...il est vraiment moins bon que les autres ? " Charlise vole au secours de sa chérie , dont elle tient à conforter la crédibilité :
-" C'est le plus paresseux des trois ...il faut constamment l'avoir à l'oeil... pas vrai tantine ! " La soeur d'Hannah opine avec conviction , brièvement ... les garces !!!
- " Bon ! Ouvre la cage et fais le sortir Odi.... ( elle appelait déjà la Soumise par son diminutif ...comme elle savait y faire la chérie de Charlise !) "...Je vais voir tout ça avec lui ... Tu demandes à Al 2 ... c'est bien ça ? ... ou à Milou , comme tu veux de le doucher au jet et tu l'envoies dans ma chambre ... si vraiment il ne s'améliore pas , on n'est pas obligé de le garder ... Luna m'a parlé tout à l'heure d'un candidat qui lui à fait très bonne impression ..." Là je n'ai pu retenir un cri de détresse ... un cri de bête ...
... " ... on verra bien , je vais voir ce qu'il a dans le ventre !!! pensez à lui ôter jusqu'au moindre poil ... j' en ai vu qui repoussaient dans sa raie des fesses ... je déteste ça chez un esclave ! "
Tout le monde s'éloigna peu à peu et remonta sans le moindre regard supplémentaire pour moi ... Odile seule restait pour me sortir de la cage , elle appela Al 2 pour l'aider , me doucher , me préparer .... évidemment ;;;puisqu'on lui donnait le choix , elle n'allait pas prendre le bon Milou !!!
J'allais me trouver enfin en tête à tête avec mon Adorée , ma Désirée !!... Pourtant rien ne laissait prévoir une partie de plaisir !!! Je mourrai de trouille et pourtant j'avais toujours cette étrange impression de rêve ..
J'ai terminé mon récit précédent par l'expression d'une idée comme " le plus dur était à venir ", mais pourtant les quelques heures qui suivirent me furent très douces ... en dépit des conditions d'incarcération ( cette fois , au sens le plus fort du mot ) ...
Ceux qui lisent mon autre blog savent que, ce que les Maîtresses , soumis et esclaves de notre Communauté appellent le cachot est en fait constitué de deux cages métalliques placées au sol sol de la villa ( Un sous sol qui court sous toute la superficie du vaste bâtiment ) .
Ces deux cages ont en commun leur étroitesse . Dans la moins petite , on tient à quatre pattes au mieux , le dos de quelqu'un de ma taille ( 1m77) touchant quasiment les barreaux du "plafond " dans cette position en longueur , pas question de s'étendre de tout son long ...lorsqu'on n'est pas à quatre pattes , et comment pourrait on y rester des heures ?on ne peut que s'allonger en chien de fusil ... .... et pendant quelques semaines , depuis l'arrivée de la deuxième, modulable , réglable en hauteur et longueur comme en largeur elles avaient aussi leur " proximité " : l'une près de l'autre , voire l'une raccordée , attachée à l'autre ... IL n'en est plus rien aujourd'hui, celle ou Odile m'a enfermé , dans laquelle elle a du me pousser puis me piquer avec un aiguillon pour que j'y trouve plus vite une position à conserver certainement plusieurs heures ... oui , la plus petite est dans un recoin un peu labyrinthique , d'où je ne vois pas l'autre ...
Oui ! Odile m'a lardé les cuisses de quelques coups d'aiguillon pour que je "replie " au plus vite, jambes , chevilles et pieds et qu'elle puisse refermer et cadenasser la grille du fond l J'avais peur qu'elle ne vise avec la pointe acérée mes fesses ou pire : mes couilles dangereusement exposées , mais elle était sans doute pressée de remonter ...: elle devait j'imagine être présentée à mon Ex Epouse par Charlise et attendait beaucoup de cette rencontre ... elle n'en rajouta donc pas ... Elle fit simplement quelque chose de nouveau qui me stupéfia : elle raccorda un gros anneau très épais que je n'avais pas vu sur la grille supérieure qui me servait de plafond à une aussi épaisse chaine qui pendait autour d'une roue de poulie et, le raccordement effectué , au moyen d'un petit interrupteur au sol qu'elle actionna du pied , elle mit en mouvement la poulie ... La chaine s'enroula dessus et la cage qui m' "abritait " se mit à s'élever en se balançant ...
Mon effarement la fit rire ... Elle appuya de nouveau sur l'interrupteur quand mon visage incliné se trouva au niveau du sien ... Elle me fixa , amusée pendant quelques secondes, comme elle l'aurait fait d'un animal exhibé ... elle se repaissait de ma vulnérabilité , de mon inconfort , de cette exhibition forcée , de mon ridicule ... ses yeux riaient , pas sa bouche ... Sa bouche , elle , se contracta en forme de cul de poule et elle éjecta vers mon visage tout proche un jet ténu de salive que je reçus sous le nez et sur la lèvre supérieure ... elle tonna : " lèche ou je te massacre le cul et ton paquet de couilles à l'aiguillon !! " elle n'avait pas besoin de menacer ! ...j'ai léché ma lèvre sous mon nez dégustant son modeste crachat comme un baiser , comme les baisers que j'aurais aimé d'elle ...
Puis elle a calé entre mes cuisses sous ce qu'elle avait appelé " (mon) paquet de couilles " un petit entonnoir , relié à un tuyau, ... et le tuyau , reliait l'entonnoir à un seau hygiénique ...
- " Et n'en met pas partout gros malin , tâche de pisser dans l'entonnoir ... le sous sol n'est pas une porcherie . ".... elle disparut en riant .
La dernière image qui survécut à son départ fut celle de son cul magnifique sous un déhanchement qui renouvela mon désir , mon admiration ...
C'est là que j'ai entendu ces échantillons de conversations dont je parle sur " tindick"... ces différents dialogues qui m'en apprirent beaucoup sur la nouvelle donne , les nouveaux rapport de force ... Beaucoup de nouvelles certitudes intéressantes voire exaltantes sortaient de ces bouts de conversations ... la cage , en son nouvel emplacement, nécessairement sous la poulie, puisqu'on avait décidé de s'en servir , me plaçait providentiellement au niveau d'un conduit d'aération , vraisemblablement en provenance des chambres de l'étage et plus précisément de celle où s'installait Hannah...
Oui !! j'appris des choses pendant ces heures !! pourtant , ma curiosité ne m'accaparait pas vraiment et même il m'arriva de " décrocher " complètement ...
Comme il devenait difficile de penser à autre chose que la présence ICI de ma Déesse !!
Quant " on "vint , je n'avais aucune conscience du temps passé ...
J'allais remonter , la revoir ... vraiment cette fois ... du moins pouvais je l'espérer !!
Lequel de mes blogs allait me servir à raconter ce qui s'est produit en début de soirée , vendredi dernier à l'orée du long weekend de Pentecôte ... ce qui a trouvé une suite puis s'est prolongé, le lendemain et le surlendemain, avec des conséquences encore incalculables ?
Dans une logique encore toute proche, cela semblait aller de soi : -le passé pour " asservipar..." -le présent pour " tindick..." ..... C'est ce que je fais depuis le début ... ce qui justifie la double narration " tindick" trouvant sa source ( presque sa justification) dans " asservipar "
Oui .... MAIS on pourrait dire aussi ........." tindick " pour la Communauté de Maîtresses " asservipar..." dès qu'il est question d'elle . Mon " Ex "
Sur le blog de la Communauté j'ai raconté récemment ... ....quelques faits mineurs ..... mais consécutifs à bien plus important : ma première masturbation depuis huit semaines ( si l'on peut appeler ainsi " quelques va et vient " d'une durée inférieure à trente secondes !) .... des faits consécutifs à un plaisir à peu près nul, mais rapidement suivi d'un immense soulagement .... et qui s'installe et qui perdure !!
Mais avec " L'EVENEMENT" !!... et les mystérieuses " promesses " de tractations - transactions - des deux jours qui ont suivi ... avec quelque chose de tellement marquant ! il ne m'apparaissait pas indispensable de raconter ce " SEISME " sur le blog de mon esclavage Communautaire ... même si , paradoxalement c'est bien cette organisation qui s'en trouve renforcée , confortée ....
Alors ... puisque ce qui s'est passé ici, à la villa, depuis vendredi dernier à certes pour cadre la Communauté de Femmes Supérieures mais avec une telle imbrication dans mon passé conjugal .... pourquoi ne pas relier et mêler ces faits à ceux de ce passé ? Et pour ce faire , écrire ici !
Beaucoup de précautions quand à la forme direz vous peut être ? ... Peut être !! !
Allez !!! je fonce ! ... et cette fois , impossible de dire " Même pas peur ! "
La journée coulait comme une autre , en semaine ... sauf qu'un vendredi c'est souvent l'arrivée de plusieurs Maîtresses, avec ou sans ami(e)s , amant(e)ts ... Ah ! c'est vrai ! je n'ai pas encore parlé d'un fait nouveau sur "tindick " : si Bobby , le soumis est reparti le lundi dix sept, avec ceux qui remplacent ses Maîtres , Milou lui est resté : c'est un esclave , comme moi , et il n'a pas eu l'occasion d'exprimer son point de vue . Larissa et Richard, c'est clair , n'ont pas vocation à être de " simples keyholders " et vous savez , si vous me lisez sur " tindick" qu' Odile n'a pas son pareil pour " teaser " allumer et maltraiter de toutes les façons les esclaves contraints à la chasteté et appareillés ...
On nous a remis nos CB à tous les deux ce même lundi ... je dis "on" et cette fois ça désigne Al 2 ... et que ce soit un autre esclave - le troisième de la maison maintenant qu'il y a Milou - qui nous cadenasse la "Chastiy Belt" , voilà qui est pour moi très difficilement supportable !! ... D'autant qu'il l'a fait avec ses habituels sarcasmes à deux balles , ce qu'il appelle de l'humour et qui vise à ridiculiser davantage mais aussi rendre un peu plus jaloux celui qui n'a pas sa chance ... qui ne peut tabler sur aucun favoritisme ...
L'avantage d'avoir ce doux esclave dans nos murs ( pour combien de temps ? impossible de le savoir ) c'est que les Maîtresses et aussi Odile nous mettent à peu près sur un pieds d'égalité pour tout ce qui est tâches domestiques et ménagères ... et je suis enfin moins " débordé " .... Comme je passe toujours autant de temps encagé à la cave , cela ne me donne pas plus de temps pour écrire ! ... mais bon ! Avoir un "égal" qui ne passe pas son temps à me faire des crasses , à m'humilier autant que s'il était un Maître .... que dis je ? m'humilier davantage ... précisément parce qu'il n'est pas un Maître ! ... j'aurais tort de me plaindre... et j'espère que cela va durer un peu . Nous étions tous les deux en train d'aménager une chambre qui n'avait pas servi depuis mon retour à la villa , en février . La seule dans ce cas finalement !... et j'avoue que cela me rendait perplexe et un peu nerveux ... certains " signes " surtout ....
C'est une petite chambre , pas très lumineuse en dépit de son exposition plein sud , car dotée d'une seule et modeste fenêtre .... Elle était meublée d'un lit de cent soixante de large qui rendait encore la pièce moins grande ( le seul de plus de " cent quarante " avec celui de l'ex " chambre conjugale " ) , un lit en très beau bois sombre tranchant , tout comme la petite penderie, sur la blancheur des murs nus ... Une petite table élégante et une chaise de bois, elle aussi , dans les mêmes tons complétaient l'ameublement ....
Mais ce vendredi Charlise , qui était donc arrivée exceptionnellement tôt pour un vendredi, nous avait ordonné de transférer de l'ex grande chambre conjugale vers celle qui nous occupait un fauteuil anglais de cuir fauve très patiné ... fauteuil qu'Hannah aimait autant que moi ( et qui avait supporté nombre de nos ébats , fin 2006 quand nous faisions encore l' amour ma Femme et moi ... )
Pourquoi changer ce fauteuil de chambre ? Pourquoi d'ailleurs préparer cette chambre ? ... Rien ne laissait supposer que nous serions beaucoup plus nombreux ... même si le beau temps revenu, certains citadins de cercles BDSM voisins semblaient retrouver le chemin de la campagne ensoleillée, comme "au bon vieux temps" des deux années précédentes , qui avaient vu la villa devenir un lieu prisé du BDSM pour quelques couples privilégiés ...
Charlise par exemple était arrivée plus tôt que d'habitude , je l'ai dit , mais en compagnie d'un grand blond frisé de vingt quatre ans , avec lequel je l'avais déjà vu un an plus tôt , juste le temps d'un weekend, ensoleillé justement ...
C'était au temps de mon esclavage conjugal et je me souvins de ce garçon aussitôt que je le vis .... Quelqu'un de cultivé et très prévenant avec ma belle-fille qu'il faisait tout pour séduire , charmer , avec un certain succès semble t il .... mais imbu de lui même et méprisant , dur avec moi .... ce weekend du printemps dernier ... Ma peau avait eu quelques difficultés à se remettre du passage du jeune homme qui s'était mis en tête d'apprendre à ma belle fille le maniement d'un fouet court qu'il avait dans son sac de voyage et qu'elle trouvait très " joli "...
Mais j'avais beau chercher des dérivatifs , tenter de penser à autre choses , tandis que le rythme des ordres à exécuter s'accélèrait ... je ne parvenais guère à ne pas ressasser l'étrangeté de ces minutes :
Cette chambre préparée avec tant de soin...
Odile qui ordonna à Milou d'aller chercher une belle rose rouge dans le jardin et de la placer sur la table de chevet de la dite chambre ...
Des conversations chuchotées au téléphone entre Charlise et divers correspondants puis entre Charlise et Madeline encore sur la route ( elle arriva dans le quart d'heure suivant avec son gigolo )
Des apartés entre la Soumise et ma belle-fille , que je ne savais pas capables de parler entre elles sans divers éclats ... allant de la colère au jeu ... puis du jeu au rire ( or à la réflexion il y avait dans l'arrivée de Charlise , en compagnie du grand blond, de quoi mettre de fort méchante humeur son amante ... j'ai dit déjà combien Odile aimait avoir ma belle-fille pour elle seule ... mais oui ... décidément !.. le plus grand calme - apparent - régnait entre elles ...)
Odile m'envoya chercher un peu de persil et cueillir des radis ,dans le potager au moment où un surcroit d'agitation s'emparait des présents .... ... ...soumis et esclaves : Boris , Al 2, et Milou à qui Madeline venait de glisser deux mots, et Bobby avec lequel Larissa et Richard étaient revenus ... compagnons de Maitresses : le gigolo de Madeline, le grand blond de sa nièce, le Richard de Larissa ... et les quatre Maîtresses, puisque Luna arrivait à l'instant ...
Une forme d'excitation commençait aussi à s'emparer de moi , alors que tout semblait indiquer qu'on cherchait à m'en tenir éloigné ... mais pourquoi justement ce traitement particulier ?
Je décidai donc de procéder aux prélèvements maraîchers commandés et de rentrer sans traîner ... d'autant qu'avant même de quitter le jardinet j'entendis un nouveau bruit de moteur ... Quelqu'un encore arrivait !!
Qui cela pouvait il être ? on faisait pratiquement le plein des habitués et l'atmosphère de plus en plus particulière semblait plaider pour de l'exceptionnel...
Il m'arrivait quelque chose d'étrange : PLUSIEURS FOIS LA FOLLE HYPOTHESE AVAIT FAILLI ME SUBMERGER , devenir une évidence , AUTANT DE FOIS JE L'AVAIS REPOUSSé avant qu'elle ne s'installe ...
Il faut savoir que le perron de la façade nord débouche sur une entrée principale qui fait exactement face à la baie vitrée séparant les cuisines de la grande terrasse sud ... c'est par là qu'on revient du jardin , c'est là que l'évidence repoussée dix fois ...par quel mécanisme étrange ?? s'est définitivement imposée ... Le bruit de moteur était celui d'une grosse cylindrée ... j'ai entendu des débordements joyeux , des cris , des rires ... et avant même d'entendre
- " Maman ... OH ! Mam !! ça fait si longtemps ! "
Oui ! dans la seconde précédent l'exclamation de Charlise j'avais - et là seulement ! - accepté " CE QUI ETAIT " !!! c'était bien HANNAH ... ma Fem... enfin mon ex qui était là , chez elle ... j'allais LA REVOIR !! ...
JE LA REVOYAIS ! ... pour la première fois depuis six mois !!!
Dans le grand couloir à une douzaine de mètres de la baie que je franchissais .... OUI ! JE LA VIS ! splendide dans un ensemble veste- jupe en cuir très fin rouge vif .
Sous la veste à l'encolure en V très profonde, juste une petite guépière magnifiant une superbe poitrine , plus belle encore que dans mon souvenir ! c'est dire !!... Une jupe courte, échancrée latéralement, dont la seule utilité semblait être de souligner la beauté soyeuse de cuisses déjà bronzée . Ses cheveux auburn tiraient de plus en plus sur le roux ... une crinière flamboyante de fauve ... un rire merveilleux, qui me rappela ma vie avec elle ...
Elle présentait son amie à l'assistance ... en fait , je l'ai très vite compris : il s'agissait de la soeur de son nouveau mari : Monica , une grande et gironde toscane brune...
Des baisers, des accolades s'échangeaient dans la promiscuité d'entre murs ... les quatre sub/slaves saluèrent selon un rituel bien établi, à genoux ... puis Madeline les envoya voir ailleurs ...Les Maîtresses avaient à l'évidence envie de se retrouver entres elles , de laisser éclater leur joie ... leur bonheur !! Ainsi Charlise en profita pour retomber dans le bras de celle qui l'a élevée et elle s'étreignirent encore, longue effusion touchante... puis Madeline les enferma à son tour entre ses bras , toutes les deux ...
C'est le moment , très malheureux , on peut en juger ! que j'ai " choisi " pour aller me jeter à ses pieds ... elle ne m'avait pas encore adressé un regard ... je n'en pouvait plus !!! ... Après tout n'étais je pas dans une situation comparable à celle de Charlise ? Je ne faisais qu'oublier mon statut .... rien que ça !!! ... mon geste a été si mal maitrisé que j'ai, très involontairement bien sûr , fait vaciller Charlise ... en voulant m'approcher ... en glissant sur mes genoux ... Charlise s'est rattrapé à l'épaule de sa Mère , j'ai bredouillé un "pardon " lamentable en jetant un regard furtif à la fille avant de revenir, comme aimanté sur le visage de la mère ... visage courroucé ! ... le mouvement de recul et de mauvaise humeur des Femmes , face à mon intrusion grossière ( c'est comme ça qu'elles perçurent mon irrépressible élan ! )...s'avéra catastrophique ....préjudiciable ...
Je fus à mon tour déséquilibré et me retrouvai sur le flanc aux pieds de Larissa et de mon ex .. qui me gratifièrent l'une et l'autre , sans s'être concertées , de coups de pieds dans les côtes ... Madeline , dans la seconde suivante m'ordonna de me relever , tout sourire éteint et fit claquer ses doigts pour appeler Odile....
Odile était là toute proche , en retrait de Charlise , son amante , sans doute ma belle-fille lui avait elle proposé de rester un peu en retrait , et qu'elle la présenterait , dès que possible et de belle manière à sa mère... mon intrusion n'était pas planifiée et contrariait visiblement tout le monde ....
- " Oui Madeline ! " ( la soumise ne disait presque plus " Madame " en s'adressant aux Maîtresses et ne semblait pas tenir à le faire devant Hannah ) ...
- " Enferme moi cet imbécile au sous sol qu'on soit tranquille un moment ! .... et rappelle Aldeux et Milou , qu'ils nous servent à boire au salon pendant que Boris montera les affaires de ma soeur et de son amie dans leurs chambres "
Aldeux justement , bien plus zélé que de coutume , acheva de me relever en me tordant le bras et semblait désireux d'accompagner Odile avec moi jusqu'au sous sol , mais Madeline lui rappela qu'il avait mieux à faire .
Odile me saisit sans ménagement par un bras et me descendit sans un mot " au cachot " !!!
Le plus dur allait venir .
Je me suis encore laissé surprendre ... je guettais Maîtresse Madeline hier matin au départ de la villa ... je voulais voir si elle retournait dans sa chambre pour y déposer une nouvelle "lettre du passé " , mais elle ne remonta qu'après avoir demandé à Odile de me remettre ma CB ...( Oui ! j'ai passé plus de vingt quatre heures sans ! du jamais vu depuis ... très , très longtemps !! ) ... quand je suis monté après son départ ... il y avait bien " du courrier sous le lit !" : lettre de mon Ex , sa soeur, , chronologiquement , quelques jours entre les deux trois dernières lettres , j'imagine pas plus de quinze entre les trois lettres qui sont apparues et que j'ai reproduites ici ...
Une indication significative c'est que mon Epouse mentionne l'arrivée prochaine programmée de Madeline ... C'est bien l'époque où les châtiments corporels se sont encore durcis ... Je savais qu' Hannah ne jurait plus que par Elise Sutton et ses méthodes depuis assez longtemps ... j'ignorais combien ma belle- soeur d'alors l'avait sans trop de répit poussée dans cette direction ... La peur poisseuse que m'inspiraient ces punitions de plus en plus cuisantes n'avait bien sûr pas échappé à mes Maîtres et je croyais que leur accentuation venait du constat évident que désormais j'obéissais scrupuleusement en tout , sans plus jamais rien discuter ... grâce à n'en pas douter à ces fichus châtiments ... J'ignorais cependant combien cette discipline " de fer " et ses conséquences excitait leur libido , combien ce que Maître Rafael appelait mes "simagrées ", et mon Epouse mes "couinements ridicules " les excitait ... Voici donc cette lettre à Madeline ...
Ma Chatte ,
Je sais qu' Amour t'a écrit tout récemment et qu'il t'a remercié de l'avoir si joliment aidé à me convaincre des bienfaits des châtiments corporels sur notre esclave .
Aujourd'hui c'est moi qui tient à te témoigner toute ma reconnaissance ma chère soeur !! . Tu sais qu'il m'a fallu du temps pour admettre qu'on n'obtient de vraie soumission qu'au prix d'une stricte discipline ... et que cette discipline sera peu de chose sans la sanction régulièrement appliquée du châtiment physique ...et je t'accorde volontiers ce que je refusais encore d'admettre il y a quelques semaines : sans la discipline et les châtiments on risque fort de rester au niveau " du JEU BDSM " ... Merci d'avoir compris qu'après avoir atteint ce stade , voulu aussi par " notre victime " j'ambitionnais quelque chose de plus sérieux, radical et définitif, et, dès lors d'avoir aidé mon homme , (dont le maniement du fouet est un régal pour les yeux !! ce que tu savais.. ) à dissiper mes craintes et hésitations .
En théorie , depuis que je lis Elise Sutton comme ses adeptes , je n'ai , tu le sais bien , rien à opposer aux arguments de ces Dames qui battent leurs maris sans complexe et mènent à bien leur éducation ( ou rééducation ! ) et leurs transformations en maris soumis .
Par ailleurs infliger une rouste à mon mari m'a, chaque fois que je l'ai fait, notablement excitée ... Pourquoi donc ne me suis je pas jetée " à corps perdu " dans cette pratique si émoustillante, qui de plus produisait des effets spectaculaires quant à son obéissance ?
Sans doute un peu par peur de moi même au départ : Battre au paddle , au martinet , à la cravache , voire au ceinturon le corps nu et implorant de mon pitoyable mari met littéralement ma craquote en folie et plus il couine et espère ma pitié , plus je mouille ... tu n'as assisté au phénomène qu'une fois , mais ce fut assez je crois pour t'impressionner ... ( c'est du moins ce que tu m'avais dit alors ) . Ce qui est remarquable c'est qu'Amour et toi n'avez, malgré tout, jamais renoncé à créer les conditions propices , comme à les proposer dès que possible ...
Raf et toi avez fini par comprendre pourquoi je n'étais pas entré avec plus de détermination , d'enthousiasme dans tout ça , lui me l'a expliqué ... et je comprends à mon tour ...
Oui ! sachant mon p'tit mari plutôt douillet et aux antipodes d'un masochisme physique débridé je craignais qu'il finisse par refuser un asservissement dont pourtant il n'était plus question que je me passe .... , qu'il se cabre , renâcle et refuse un avilissement basé peut être plus sur la contrainte physique que sur le psychique ... Oui ! je peux le confesser maintenant : j'avais peur de ça ... autant que de moi même : des piquotements dans mon ventre au son mat ou sec d'un quelconque instrument sur la peau vulnérable de mon époux .
Vous m'avez démontré QUE LA REUSSITE DE MON AMBITION PASSAIT PAR UN SAVANT DOSAGE DES DEUX ... ( qu'il nous fallait maltraiter son corps autant que son esprit ) et qu'une sérieuse douleur physique allant jusqu'à " l'intense " par étapes , avec détermination, au lieu de faire fuir le gus , lui ôterait toute réaction, étouffant toute contestation dans l'oeuf ... Amour m'a parlé de " tétanisation " ... il parait que le mot vient de toi ...
Ton idée de faire progressivement de Rafy le propriétaire de mon esclave de mari est géniale , depuis que nous y procédons , nous avançons à pas de géants !
Je ne le corrige plus guère moi-même , mais quand amour et moi sommes à la maison tous les deux et qu'il est vivement question d'un probable châtiment corporel, nous procédons le plus souvent selon un même rituel : mon mari qui s'est mis à genoux dès son entrée dans la pièce où je me trouve , progresse vers moi en se dandinant sur ses rotules et , dès qu'il se trouve à portée de main, il lève son regard de cocker vers moi et me demande pardon....
Ce faisant , il précise ce qui lui est reproché ... ce n'est pas une vague demande de pardon... Avant , si je disais " demande moi pardon ! " une fois sur deux voire davantage il tentait de discutailler , de minimiser la faute , l'erreur , la maladresse , voire de la nier purement et simplement dans quelques cas ... en ritualisant et radicalisant simultanément nous obtenons un résultat à la hauteur de notre attente ... Il sait que si pendant qu'il est à genoux devant moi ses paroles ne sont pas toutes axées sur la demande de pardon , d'abord il va se prendre une baffe de ma part ... mais aussi qu'aussitôt amour va venir l' empoigner par les cheveux pour le conduire manu militari et donc sans douceur excessive vers l'anneau mural ou plafonnier où il sera suspendu , bras levés pour être sévèrement fouetté ... d'autant plus sévèrement qu'il aura tenté , ne serait ce qu'une seconde de minimiser ou nier quelque chose , de ce qu'on lui reproche ... Il a compris que chaque accusation de notre part vaut preuve et l'expose à châtiment dès que je dis à Raf " emmène le ! " ou " corrige le ! " ( que je lui accorde mon pardon ou non ne m'empêchera pas forcément de prononcer " corrige le l "
Même maintenant que mon mari sait qu'il appartient à mon homme , il vient implorer mon pardon avant son châtiment !
Rafael y tient et je sais maintenant qu'il à raison : le supplice commence en effet dès que mon époux rampe vers moi ... il sait qu'il a peu de chance d'échapper à la suite et pourtant il rampe et supplie ... et moi j'ai toujours ces picotements délicieux dans le bas ventre chaque fois que se produit une telle scène ( Serai je aussi délicieusement sadique que toi ma Mado ?? ! HaHaHa !) ... J'ai en tous cas beaucoup de plaisir à assister à ces punitions ! Rafael manie merveilleusement le fouet et j'apprécie que mon cher amant soit un dominateur si expérimenté ... j'aime tellement lire la peur dans le regard de mon mari entre ses mains ... je craignais qu'il nous glisse entre les doigts alors que sa peur de Raf et de la douleur physique qu'il va lui infliger le condamnent à l'obéissance aveugle et sans murmure ... N'est ce pas la condition nécessaire pour l'esclavage véritable dont tu parles ?
Je pensais qu'il n'était pas assez masochiste pour qu'on réussisse par la force ... et c'est précisément cela qui assure notre succès ... De plus , je ne crains plus de me laisser déborder, d'être incapable d'arrêter mes coups ... puisque ce n'est plus moi qui le bat ! Mais je tiens à assister aux plus de punitions possibles ...
Quand Rafy le fesse cul nu allongé sur ses genoux , ce n'est sans doute pas le plus douloureux , mais je sais qu'il est encore très humilié et j'aime bien car c'est généralement dans notre chambre que cela se passe . Je suis ça du lit ... et à peine terminée la fessée que mon homme se jette sur moi et que commence nos ébats ...
Mon chéri arbore une belle bite bien dure , tandis que moi je mouille terriblement dans ces circonstances et cela nous a donné l'idée d'utiliser l'anneau métallique qui pend du plafond près du pied du lit ( et qui accueille le plus souvent un macramé pourvu d'une belle composition florale ... tu le sais puisque tu as renouvelé parfois toi même la plante ) et bien figure toi que j'ai eu l'idée - Oui ! celle-ci vient de moi- d'ôter la suspension de temps en temps , pour y lier les bras tendus de mon mari !!!... Ainsi je peux me régaler de ses couinements pathétiques sous les coups de cravache ou de ceinturon...
Là où je t'ai encore écouté ... et Raf qui n'a cessé d'abonder dans ton sens ... c'est que je ne souhaite plus que ton beau-frère porte un baillon lorsqu'il est sévèrement battu : il serait en effet dommage de se priver de ses cris et supplications et quand j'assiste à tout ça du lit je mouille encore davantage !... La propriété est suffisamment isolée pour que ça ne produise aucune nuisance !! Juste une chose : je ne résiste pas toujours au plaisir de de lui enfourner la petite culotte que je viens de quitter entre les lèvres pour le faire taire...
Nous n'allons plus à la buanderie que pour les corrections les plus sévères pour lesquelles amour utilise le magnifique single tail que mon ami parisien nous a offert ... Là il a besoin d'un recul qui en dépit de la grandeur de ma chambre serait peut être insuffisant là haut ... mais tu peux constater que ce n'est plus vraiment l'insonorisation du lieu qui nous séduit .
Bref ma chère Mado tout cela est très enthousiasmant! Tu le sens certainement dans mon propos ! Faire l'amour avec mon homme qui vient de dérouiller mon mari et sous les yeux de ce dernier qu'on laisse généralement dans son inconfortable posture au moins pendant quelques dizaines de minutes est un plaisir et un bonheur sans égal !!!
je suis impatiente vois tu que tu sois plus souvent parmi nous pour profiter toi aussi de tout ça !!! Cela te reviens de droit .... tu le mérites amplement ...
Voilà ! je vous épargne la "formule de politesse " et surtout tout commentaire de ma part ... JE PENSE QUE C'EST PARFAITEMENT INUTILE .
Maintenant il n'y a plus de doute sur l'instigatrice de cette stratégie des " lettres qui trainent " ou " lettres égarées , semées ... " comme on voudra ...
A qui profite cette pratique délibérée ? A Maîtresse Madeline , bien sûr ... le point commun de ces différents courriers, qui remontent pour certains à plusieurs années est de mettre l'accent sur la place que tient la soeur de mon Epouse dans ce qui m'arrive alors ... et le rôle qu'elle joue dans tout ça ...
Il s'agit bien de me faire comprendre ce que j'ignorais : combien elle est partie prenante dans mon avilissement et par extension ... oh ! combien !!! ... dans ma vie d aujourd'hui ... Là dessus , aucun doute n'est possible ...
Mais Madeline n'est pas là tous les jours ... alors qui sort au compte goutte ces lettres qui valent information chaque fois ?
Savoir qui agit en complicité avec elle ( car comment imaginer qu'il n'y ait pas complicité ? ) est moins évident ... J'ai pensé à sa nièce évidemment ! la jeune et belle Charlise , mon ex belle-fille ... intérêt familial oblige !! complicité flagrante ... Les deux parentes s'entendent fort bien ... Mais là aussi le mystère s'épaissit ... Si Charlise est présente un peu plus souvent , si elle vient régulièrement en semaine pour passer des nuits avec Odile , il me semble quand même que certaines lettres " ont trainé " le lendemain de nuits où elle n'est pas venue ... maintenant je ne puis assurer avoir toujours découvert les lettres le jour de leur " oubli " ( en fait de leur dépose )
Je m'étais dit que je ne serais plus surpris ,et que pour éviter de l'être, il me fallait regarder tous les jours sous le lit de Madeline , même s'il n'y avait ni ménage ni rangement à faire dans sa chambre ... Je m'y astreint scrupuleusement ...
J'ai bien trouvé une nouvelle lettre hier matin vendredi ( j'écris dans la nuit de vendredi à samedi) alors que Madeline n'a pas passé la nuit de jeudi à vendredi à la villa ... ( elle n'est arrivé que tout à l'heure ) ça pourrait être la preuve d'une indispensable complicité ... sauf que la lettre que je vais reproduire , je l'ai trouvé dans une botte , au moment de la cirer :
Ici la pluie est très fréquente ces jours ci et les bottes que porte Madeline pour battre la campagne étaient crottées depuis son séjour précédent ... sachant qu'elle arrivait pour le weekend le soir même j'ai voulu les nettoyer hier matin ... et j'ai trouvé la lettre ... C'est un courrier qu'adresse son ami Rafael ( l'amant de ma Femme... mon Maître ! ) à ma belle-soeur et qui lui parle de la même chose que la lettre d'Hannah, reproduite tout récemment ... Si c'est Madeline qui l'a déposé elle même cela signifie qu'elle était dans la botte depuis plusieurs jours ... pas impossible ! Madeline aurait voulu mettre ces deux courriers en perspective qu'elle ne s'y serait pas prise autrement ... mais je ne les ai pas trouvé le même jour ...je n'ai donc aucune certitude .
Si cette lettre n'a pas été déposée là par Madeline ... qui d'autre ? Il n'y a qu'Odile qui soit toujours là ... et donc automatiquement suspecte ... mais alors ... le but ne serait pas de " servir " les intérêts de ma belle-soeur ?? ... je veux dire " objectivement " ... Si on lit l'autre blog , celui qui parle de ma vie d'esclave communautaire on y comprend facilement qu'Odile et Maîtresse Madeline ne sont pas particulièrement proches , ni amicale l'une envers l'autre ...
Pour ma belle-soeur qui appelle systématiquement Odile " Soumise " cette dernière est à son service , ( comme à celui des autres Maîtresses )... pas nécessairement très appréciée elle a en outre le tort d'être aimée par Charlise sa nièce et tout porte à croire que Madeline voit là une mésalliance ( l'aspect amour lesbien en revanche ne lui pose aucun problème ) ... pourtant c'est peut être moins simple ... j'y pense depuis mon " milking " : Madeline s'est essentiellement basée sur l'opinion et les appréciations de " la soumise " pour évaluer Alain , le nouvel esclave ... et décider , seule, de le " titulariser " à mon grand regret !!!
De l'autre côté ? Odile est navrée que Madeline lui manifeste si peu de sympathie , qu'elle soit si facilement hautaine à son endroit ... Elle déteste être appelée " Soumise " et se doute que si elle n'a pas encore été " libérée de sa soumission initiale " ( alors que Charlise ne ménage pas sa peine pour cela ) Madeline n'y est pas étrangère ...
Reste que si Odile jouait un rôle dans la dissémination des lettres, ( ce que je ne peux me résoudre à exclure ) elle le ferait peut être en pensant que, dans une certaine mesure, ces lettres , dont le but est quand même avant tout qu'elles me touchent , ne sont pas " à l'avantage " de ma belle-soeur de naguère ... Tout n'est peut être pas si simple !!!
Mais voilà la lettre ... la dernière ... je l'ai dit .
Elle a exactement le même sujet et couvre sans doute la même période que celle de mon Epouse que je viens de publier ici... c'est sans doute ce qui l'a rendue attractive aux yeux de la " semeuse " de lettres ... qui qu'elle soit
Mado chérie ,
Je deviens chaque jour un peu plus le Maître de ton beau frère et ça m'amuse beaucoup... mais cela m'excite aussi pas mal et ta soeur qui organise cette forme de passation de pouvoir entre nous deux vis à vis du cocu, n'est pas moins excitée que moi par le résultat ... Tu avais donc raison !... comme ( presque ) toujours - je suis sûr que tu vas aimer le presque ... héhéhéheé !-
La discipline fait partie de sa vie quotidienne ... Ma chérie est devenue une adepte inconditionnelle et lectrice assidue d 'Elise Sutton et ses adeptes ou disciples et il est corrigé régulièrement ...
C'est Hannah qui a fixé les tarifs pour les différentes fautes , erreurs ou maladresses qu'il est amené à commettre .. tu le sais , puisque ce n'est pas très nouveau ... mais nous avons tout revu à la hausse récemment après en avoir discuté tous les deux ... Et à part les gifles dont elle n'est pas avare tu le sais , elle a presque renoncé à le battre elle-même lorsque nous sommes ensemble ..
Je suis donc amené à le corriger sérieusement deux ou trois fois par semaine , non sans qu'il ait demandé , à genoux devant Hannah, et en ma présence qu'elle veuille bien lui pardonner ... demande généralement rejetée , tu t'en doutes .... Son comportement est en tous point celui d'un esclave parfaitement zélé depuis qu'on agit ainsi ... IL me craint terriblement et fait tout pour ne pas mériter de punition ... malheureusement pour lui , dans les tâches ménagères il a beaucoup à apprendre et si l'on ne peut lui reprocher d'être insolent discourtois ou mal élevé ( il me craint trop pour cela ! ) son peu d'aptitudes pour les tâches manuelles lui vaut souvent de fâcheux désagréments ...
Le voir à genoux devant moi a toujours amusé et excité ta soeur et ce , rappelle toi, dès le début de notre relation ... il n'a jamais coupé à l'ordre qu'elle lui donnait elle même de me sucer avant qu'on fasse l'amour et c'est vrai que cela me fait bien bander ...
Sa ceinture de chasteté , maintenant c'est moi aussi et je n'attache pas beaucoup d'importance à ses jérémiades quand il vient me supplier de la lui ôter ...
Tout cela en tous cas stimule nos libidos de belle manière et nos étreintes n'en sont que plus merveilleuses ... je te serai éternellement reconnaissant de ce que tu as fait pour qu'Hannah et moi nous rencontrions et pour qu'ensuite tout devienne à ce point possible et même parfois facile ... "
Suit en guise de conclusion, une tournure de phrase qui ne cherche en rien à faire croire qu'il n'y a eu entre eux que de l'amitié ... mais tout cela est une autre histoire ...
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