asserviparmonex

- " En un sens tu as de la chance , un après midi de dimanche, j'devrais pas être là, mais je suis toute barbouillée  et j'ai dit non à mon fils pour le cinoche... mais tiens ! avant d' entrer p'tit homme , vas donc me chercher des bandes hygiéniques à la pharmacie, celle d'en bas est de garde, mes régles approchent, c'est peut être pour ça que je suis mal foutu ! " 

C'est comme ça qu'elle m'a reçu sur son palier en fin d'après midi , dimanche dernier ... elle avait le même peignoir sans tenue, presque totalement ouvert, la ceinture nouée trop large sous le nombril, le peignoir  du premier jour ... ses cheveux étaient encore plus filasses ... pas très propres , elle n'avait aucun maquillage ...

J'ai voulu m'incliner, pour un baise-main , elle m'a vaguement tendu son bras, puis sa main s'est agitée ( genre " ça suffit ! va ! va " ) :

- " Allez va !  reviens vite ! tu me salueras tout à l'heure ! ... on a du temps devant nous, d'après ce que tu m'as dit ! "

Au retour j'ai refait mon entrée ... J'ai baisé, tête au sol, cul levé,

 - comme elle le voulait -  ses pieds chaussés de petites mules à talons et à l'odeur piquante, un peu rance; puis elle m'a craché dans la bouche, avec un sonore :

- " Bonjour p'tit homme ! "... suivi d'un sincère et chaleureux : 

- " C'est bien que tu aies pensé à m'appeler ! suis moi au salon ... nous avons à parler ! "...

... elle m'a  caressée la joue, affectueusement, m'adressant un bref sourire  simultanément... et un regard mi-inquisiteur, mi-amène  . L'affection, même supposée feinte, et l'inquisition en même temps !... j'en ai ressenti un long frisson qui m'a donné la chair de poule...   et elle a vu ma chair de poule !... car j'étais en train de me déshabiller, sur ordre, face à elle...

Elle  avait fait tomber son affolant corps dense  dans le canapé, après remplacement, en deux ou  trois gestes, de son vieux peignoir par une nuisette courte et transparente qui magnifiait plus son corps qu'elle ne le couvrait .

- " Tu as froid p'tit homme ? "

... elle souriait , pas dupe de l'origine réelle de ma chair de poule ... elle me fit tourner sur moi même, lentement, en m'incitant à me rapprocher, simultanément ... elle put ainsi me toucher, sans se lever ...

Elle sourit encore, sarcastique , quand elle examina de plus près mon bas ventre et ma verge émue, obligée de se tordre, une fois de plus, sous l'effet du désir, pour composer, tant bien que mal, avec l'exigüité de la cage :

- " On peut dire que ta Maîtresse ne te ménage pas en t'imposant un si petit anneau et si peu d'espace ! ta tuyauterie n'a pas l'air bien grande mais quand même !... c'est parce que tu perdrais ta CB avec un ajustement plus lache peut être ? "

- " Non Ma... Madame, je ne l'ai jamais... pe... perdu ! c'est l'amant de ma Maîtresse  qui dit que c'est nécessaire à mon dressage ! " 

- " Ah ! c'est un point de vue ! MOouuaaiis ! ( moue dubitative ) si un jour tu deven... ( elle se reprend trouvant sans doute le conditionnel trop hypothétique ) si un jour tu es mon esclave, je pense qu'on reviendra à un réglage plus... humain . J'en parlerai à ma fille ... Elle  saura bien  me conseiller !  Elle, tu sais , son mari ne porte presque jamais de CB et pourtant il n'éjacule sûrement pas plus de trois ou quatre fois par mois ... ahahah !  Tourne toi ! penche toi en avant ! allez ! remue toi ! !! "

Elle me claqua la fesse pour me faire obtempérer plus vite ... elle glissa un doigt dans mon sillon fessier , écartant un hémisphère de l'autre main ... elle porta son doigt à son nez, après l'avoir examiné, pendant qu'obéissant , je me retournai vers elle ...

- " Tu t'es bien lavé avant de venir ?!... mouaiis , pas terrible ... suce mon doigt !  Allez ! on va parler de tout ça , mais va d'abord me chercher  à boire ! "

Elle avait froncé le nez au début de son geste... Je suis allé lui préparer sa boisson... coeur battant ... heureux d'échapper quelques minutes à son regard, mais aussi heureux d'être là !