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La Fille d'Armelle  a donc joué un moment à me faire peur, avec sa pince coupante tout près de mon sexe, pour cisailler le cadenas verrouillant ma Chastity Belt ...

... elle a fait rire les sept personnes présentes lors de cette " délicate opération "  ( voir article précédent ) ... 

Mais la cérémonie n'était pas pour autant terminée ...

Le bénéfice immédiat que j'en ai tiré , et je ne l'ai pas trouvé négligeable !  Oh  non !... fut d'avoir le sexe enfin libre, après des semaines  de confinement d'enfermement sans le moindre répit...                                 même si ce soulagement a sitôt été  " annulé " par l'humiliation d'exhiber mon pauvre sexe triste et  rabougri devant les invités du jour...

Ensuite, les deux autres esclaves et moi avons préparé tout ce qui se rapportait au repas d'anniversaire prévu ( celui de l'amie de la famille : Fanny ) nous avons tous les trois servi à table...

Fanny a fait remarquer, pendant l'apéritif, que j'étais le seul esclave privilégié , puisque le seul à ne pas avoir le sexe sous cage... La Fille d'Armelle  a précisé, en riant, que la décision venait d'elle et que je devais la remercier ... elle était assise dans un canapé profond , elle a écaté les cuisses simultanément à un 

- " Pas vrai Maman ? "  consécutif à sa remarque précédente ...

Armelle a confirmé :

- " Mais oui ma chérie ! " 

et  " la chérie " de me regarder en me désignant d'un doigt impérieux  les broussailles  de son sexe visibles grâce à l'écartement de ses longues cuisses satinées  "...

Je l'ai léché devant tout le monde  pendant une partie  de l'apéritif ... elle ne m'ordonnait rien de particulier ... elle m'écartait juste de la main  quand elle se sentait trop proche du plaisir ... elle voulait prolonger cet état, peut être sans jouir ...

C'était la première fois  que j'étais admis en ce lieu... l'endroit très humide d'emblée  sentait une marée vigoureuse ... ma langue la fit mouiller davantage ... 

Je me rendis compte au bout d'un moment qu'Armelle avait exigé le même service de son gendre ... Les vrais hommes,  eux, parlaient bagnole dans un coin du salon avec celle dont c'était l'anniversaire... et juste avant de passer à table, c'est elle qui exigea " son dû  " mais de la part des trois esclaves ... Nous passâmes donc nos têtes  entre les cuisses odorantes et savoureuses de la quadragénaire replète ... à tour de rôle et c'est le gendre de ma Maîtresse qui eut l'honneur de la conduire à l'orgasme .  

A table tout se passa à peu près normalement, sauf que  Fanny remarqua que de mon gland coulaient ces fameux filets de liquide séminal qui sont  le fléau des êtres à la sexualité contrainte, brimée, niée ... et que cela provoqua le courroux de ces Dames .

La Fille d'Armelle demanda à son amant de me punir  au fouet  et  le repas fut interrompu un moment .

 L'homme  m'infligea la première vraie  correction de cette nouvelle ère . 

Après vint le temps des cadeaux ! Au pluriel car Fanny en reçut plusieurs mais aussi parce que les invités réservait une " surprise " à ma Reine .

Elle aussi eut un cadeau ... elle le sortit d'une  petite boite, genre boite à bijoux ... elle même sortie d'une boite plus grande ... et encore d'une  plus grande ... le temps d'entretenir rires et surprises  ...

C'était un  cadenas flanqué de sa clé ! une jolie clé dotée d'une petite pierre... Fanny passa la clé  dans la chaine en or, bijou  portée  parfois  par Armelle... Et quand son amie la passa autour de son cou, la jolie  petite clé à la pierre étincelante vint se placer seule, au bout de cette  chaine , juste entre les merveilleux seins de ma Maitresse... 

Tous avaient le regard sur le buste magnifiquement décolleté de ma Reine,  alors  tous les regards convergèrent sur moi et tous  me regardèrent   en riant ...

Le cadeau à ma  Maîtresse était aussi  le mien  !