asserviparmonex

 Pour commencer, je me suis juste souvenu de cette phrase  : - " je me sens un peu fatiguée 'mman ... laisse le moi le temps qu'il me fasse minette !   après tu pourras lui dérouiller les fesses à ta guise . "

Avant ? 

J'avais obéi, servi comme je sais le faire... comme je ne cesse de le faire !

 j'avais écouté, admiré, vénéré ... comme je ne le  faisais plus depuis une semaine, faute de sujets d'admiration ...

... tout ça pendant qu'en ce samedi, mes deux radieuses Maîtresses prenaient leur  collation en devisant gentiment...

Une fois servies, elles m'ont fait mettre à genoux devant elles, dans l'attente de ce qui allait suivre ... de ce que j'ignorais en partie , mais dont je savais qu'il serait question de " comptes à rendre "...

... elles  poursuivirent cependant leur conversation, m'ignorant superbement, jusqu'au moment où ma mise en cause comme  mon implication seraient totales... je le savais... je le craignais... je  l'attendais ! 

Comme elles étaient belles !... sensuelles ! 

Ah les magnifiques  dévoreuses de vies ! ... avides de plaisirs , insatiables gourmandes ! ... gourmandes de tout !! ...

 L'une et l'autre m'avaient subjugué ... ce fut une évidence... et  dès le début !.. Mais ce jour là,  au moment de leur retour je me rendis compte que " confronté  simultanément "  à mes deux éblouissantes Maîtresses leur pouvoir de fascination, pourtant quasi surnaturel dans ses effets ( primaires et secondaires )... opérait plus intensément encore .  

Effet multiplicateur ... peut être... 

L'après  digestif  fut le signal de ma mise en cause ... et  me causa bien  du désagrément d'un coup, mais la magie ... l'harmonie qui transpirait du moment  n'en souffrirent en rien ...

Je dus m'agenouiller sur une sorte de " prie-dieu"...  mes rotules y reposaient à près de quarante centimètres de sol, mes orteils ne touchaient pas la moquette  !...

Mes Maîtresses se levèrent tour et tour ou simultanément, pendant toute ma " mise à l'épreuve... " tout l'interrogatoire ...

 ...Assises ... elles étaient dans chacun des deux fauteuils anglais de cuir fauve qui me faisait face...

... debout... la cravache battait les bottes de cuir de la fille,

...le paddle  frappait doucement mais sèchement la paume ouverte de la mère  ...

Il fut très vite question  de " la tentative de vol " dans la tirelire, la réserve de pièces  de " mon Maître " ...Maîtresse Mareen ayant commencé par un petit sermon  sur  le thème :

" il n'y a rien que je déteste plus qu'un voleur " ... renforcé par un

" je ne trouve pas bien judicieuse  cette idée de mariage entre ma fille et son esclave mais si ce dernier se trouve être un voleur en plus  , alors là c'est'l'bouquet ! " ...

Elle haussait le ton sur certains passages de son propos  et comme ce qu'elle affirmait ne semblait souffrir aucun doute  elle accompagnait les passages les plus rageurs de ses affirmations de coups de paddle sur mes flancs, mes hanches , mes fesses ...

Mes contorsions firent d'abord rire Joy...

Puis elle émit l'idée qu'il y avait peut être une explication ...

- " Une explication ! quand on fouille dans les poches ou porte-monnaie !!qu'est ce qu'on peut expliquer ma chérie ? à ton avis !! "

Je savais que je n'avais pas la parole ... qu'on ne m'avait encore rien demandé mais j'ai voulu garder le sillage tracé par ma future Epouse...  ( oui je m'accrochais toujours à cette idée ! )

- " Maîtresse ! je vous en prie ! il faut me croire j'ai voulu emprunter quelques pièces  afin de ... " et j'ai expliqué ce que tout lecteur m'ayant lu ces derniers temps a sans doute compris : la nécessité  de laver et d'assainir ma bouche, mes dents, suite à l'interdit du vieux militaire, la nécéssité d'avoir le matériel et les produits pour ça...

... ma " justification " valait pour contrer l'accusation de "maître Robert" mais elle pouvait aussi s'appliquer à la délation venant de Clara ...    

Oui maintenant c'était une certitude : Clara était en contact certain, sinon étroit  avec Joy : la façon dont mes Maîtresses racontèrent ce samedi  comment les choses s'étaient passées, dans la boutique lorsque Clara m'avait coincé " en train de voler " montrait clairement la " proximité" des deux jeunes Femmes... pour le moins !...   

- " Bon ! cesse de nous souler avec tes explications foireuses quand il te faut assumer ... tu mérites d'être puni ! reconnais le ! " 

'- " Mamou ! je vais m'en occuper, il n'y a pas lieu de perdre notre temps avec ces bêtises, il n'aurait sans doute pas dû faire ça, j'en conviens , maintenant ton mari l'a déjà corrigé pour une partie de cette histoire  ... Ce que je vois pour l'instant c'est qu'il n'y a pas d'élément nouveau ... je verrai avec notre informatrice du magasin, si elle juge plus sévèrement ce qu'il  a fait  et dans ce cas je t'assure qu'il s'en souviendra... 

Pour ce qui se rapporte à l'hygiène  on y reviendra au cas par cas ...

- " Bon  ! si tu veux ma chérie ! alors tu proposes qu'on le félicite pour sa conduite pendant ces huit jours si je comprends bien ... ben moi, telle que tu me vois je vais quand même  lui chauffer le cul pour les moues  et les airs dégoutés dont Bob m'a parlé et qui l'ont caractérisé   chaque fois qu'il s'agissait de se servir de sa bouche ou de sa langue... je veux qu'il soit exemplaire dans ce domaine, qu'on puisse l'utiliser sans la moindre mauvaise surprise , quel que soit le contexte ! "

Joy avait bien ri lorsque sa mère avait caricaturé " ... alors tu proposes qu'on le félicite " elle avait aussi réalisé que ça ne valait pas le coup d'une discussion, prolongée  ...

- " Je me sens un peu fatiguée 'mman ... tu vas pouvoir lui chauffer les fesses à ta guise ... "

La suite m'a conduit ... quand c'était si peu attendu ... dans le lit de mon Adorée ... après tant de jours de manque  et de dégoût  !!