asserviparmonex

 Oui ! Bien avant d' arriver sous les pins, et les quelques palmiers vers lesquels mes deux tortionnaires m'ont trainé, je savais plus ou moins  ce qui m'attendait  !

Les deux Femmes couvertes des pieds à la tête , chaussées, cagoulées... moulées dans de superbes " combis " ! ce n'était évidemment pas pour rien !

Moi j'étais nu , à l'exception des bracelets unissant mes chevilles à l' épaisse chaines les reliant... du collier d'esclave pourvu d'une autre chaine plus longue et qui servait à me trainer, même en supposant une stupide  tentative de résistance de ma part ... à l'exception encore de ma ... cage de chasteté !

 " Tentative stupide de résistance " ai-je écrit à l'instant  ... stupide sans doute !!  il n'empèche que quand les deux pulpeuses  Femmes ont uni leurs efforts pour m'entraîner dans le parterre d'orties, me tirant vigoureusement par la chaîne de ma laisse ... j'ai cherché à résister, même si la stupidité de mon action ne faisait aucun doute...

... marcher sur ces orties, être piqué cruellement par les feuilles des hautes tiges arrivant pour certaines au dessus de mes genoux ! voilà que je voulais éviter l'impossible... avec l'énergie du désespoir ... Bee et Murielle en rirent  et tirèrent de plus belle sur la chaine... tellement  que la première glissa et bascula sur le cul dans les orties omniprésentes ... cela les fit rire ... d'autant plus  que j'en fus déséquilibré ... Murielle acheva l'opération " chute " en me coinçant le pied entre ses jambes !!

J'ai chuté ... m'affalant de tout mon long ! ... Impossible de cette façon d'épargner  jusqu'à mon visage que j'espérais bien pourtant , quelques secondes plus tôt préserver ... Les rires des deux cruelles redoublèrent !... Pendant que Murielle me cravachait violemment en m'ordonnant de me retourner sur le dos ( ce que je fis sous la douleur des coups, mais aussi, encore une fois, pour éviter que les orties ne maltraitent trop mon visage ) Bee vint s'asseoir fermement sur ma face tourmentée  ... elle avait tout juste ouvert le zip de sa combinaison, juste assez pour mettre en contact mes lèvres et celles de son vagin ! ... elle était très humide, trempée même ! ... signe d'une  excitation  qui n'avait pas du beaucoup la quitter durant cette dernière heure ! 

Je sentis que Murielle, à son tour, s'asseyait sur moi ! ... sur mon bas ventre ! sur mon sexe malmené par ma CB, qui ne m'en fit que plus mal  !! Elle appuya  sur mes jambes, il fallait que  mes rotules s'affaissent et qu'ainsi la totalité de l'arrière de mes cuisses de mes mollets soient en étroit contact avec la partie active de la plante urticante !!

C'était horrible ! je manquais d'air aussi, je me débattais ... des cris étouffés sortaient de ma gorge , couverts par des ricanements exaspérants ... ma bouche grande ouverte, pour éviter l'asphyxie, reçut un flot de pisse amère et tiède  que je bus tant bien que mal, sur ordre...

Ensuite, la noire, soulagée, se remit dans une position plus confortable, qui la mettait  plus à même d'exiger du plaisir au moyen de ma langue !!  ...

... elle y succomba rapidement  et je fus d'autant plus heureux de l'entendre jouir que cela me sembla devoir abréger mes tourments ...

mais de l'autre côté, Murielle , toujours assise sur mon ventre, libéra  mon sexe , d'abord de son séant énergique puis - je sentis ses mains oeuvrer - de ma CB  !!

 J'aurais dû être le plus heureux des hommes de cette libération !... après un si long déni d'orgasme !!...  mais les douleurs de plus en  plus cuisantes provoquées par les orties et mes mouvements incontrôlables sur elles étouffèrent toute possibilité de " bonheur " ... 

Pourquoi donc m'ôtaient elles ma CB ? qu'est ce que cela pouvait bien encore signifier de tourments et d'humiliations à affronter ?

Je n'aurais été si mal en point physiquement, qu'une éjaculation pouvait sanctionner  immédiatement ma " libération " !... d'ailleurs les mains de Murielle sur ma bite, mes couilles ... me le firent redouter quelques secondes... mais Murielle comprit, au volume de ce que la CB libéra, qu'il n'en serait rien ... elle éclata de rire , et se levant juste après avoir ouvert le verrou du cadenas...  

Bee, qui libérait toujours et encore  des vents sonores, ne  me souilla pas de nouveau le visage... sans doute uniquement parce que le zip de sa combinaison, fermé en cet endroit, autour de sa raie anale  , faisait écran ... mais l'odeur franchit aisément l'écran ... 

A coup de cravaches , me surplombant l'une et l'autre, jambes écartées  elles me   firent " trémousser " sur le parterre urticant .... 

J'ai rapidement imploré " pitié " ... mais pour toute réponse c'est à son tour Murielle qui s'est assise sur " mon groin de porc " comme elle disait rigolarde ...

Puis, elle aussi s'est mise à vider sa vessie dans ma bouche ... et alors que sa fermeture éclair s'ouvrait bien plus largement sur sa raie et son anus que ce ne fut le cas avec sa complice,  elle  se frotta avec conviction sur ma face, qui était écrasée  sous son beau derrière , mettant , tour à tour en contact avec mes organes sensoriels... son anus... sa raie profonde ...son périné , ses organes génitaux ...

Eux aussi étaient trempés ... témoignant du plaisir qu'elle prenait à  me maltraiter, m'humilier ...

Elle encore, enfin, a joui au dessus de ma bouche!  ... son cul n'avait certes pas été lavé après les ébats de tout à l'heure ... et la menace d'un nouveau dérapage me tenailla un moment ... mais elle se releva ...

Bee qui avait une petite réserve d'urine que j'ignorais, tant sa miction avait été fournie , se mit debout , jambes écartées, juste à l'aplomb, au dessus  de mon visage et le filet qui me tomba sur la tronche éclaboussa tellement qu'il entraina une nouvelle hilarité des belles Dames... j'en avalai encore un peu ...

 Puis  elle m'obligèrent, à coups de triques , à aller m'agenouiller au milieu des ronces ... il fallut bien évidemment me frapper ... elles utilisèrent des branches qui jonchaient le sol du sous bois ( c'est pourquoi je parle de triques ) élisant les mieux pourvues en aspérités ...

Elles eurent gain de cause : je me suis retrouvé à genoux, nu , le corps plein de rougeurs et de cloques et surtout la peau épouvantablement irritée ... au comble de l'humiliation, et  suppliant pour que tout ça prenne fin au plus vite ... mais ce n'était hélas pas leur intention ... elles n'étaient pas rassasiées ...

Cela signifie qu'il va, encore une fois, vous falloir attendre pour connaître le dénouement de tout ça ... car mes fonctions m'appellent , en ce dimanche ensoleillé et venteux, ( et là je ne parle pas de ce que produit Bee en abondance )

... dimanche   au cours duquel , le corps tellement douloureux des conséquences de ce que je raconte, en différé,  je dois néanmoins servir en souriant et sans broncher ... tel le bon esclave que je suis ... et qui regrette tellement d'avoir " manqué de respect " à des Maîtresses ... puisque c'est ce dont on m'a accusé !!!